Chapitre 4 : rêve et intrigue

Leïda avait eu du mal à se lever, l'effort de la veille lui faisait payer. Elle se leva tout de même, et avec Hermione, se dirigea vers la grande salle pour prendre leur petit déjeuner avant d'aller en cour. Lorsqu'ils arrivèrent à la table des gryfondore et qu'elles s'assirent en face des garçons, elle sourirent devant leurs deux amis, pliés en deux de rire.

Qu'est ce qui vous arrive ? Demanda Hermione.

C'est…essaya de dire Ron, c'est Harry…

Oui, dit Leïda, pourquoi pas.

Dès qu'il est entré dans la grande salle, il y a tout un groupe de fille qui lui a sauté dessus…et Harry…il a dit « je ne savais pas que Dumbledore entreprenait de créer un groupe de Harpie ».

Ils explosèrent de rire tous les deux de nouveaux et Hermione sourit, Leïda, se servit à déjeuner, fatiguée.

Leïda, demanda Hermione, ça ne va pas ?

Harry arrêta de suite de rire, et regarde la jeune fille, les cernes aux yeux.

Si si , affirma la jeune fille, je n'ai pas très bien dormis c'est tout..

Vous n'êtes pas rentré trop tard au moins hier soir ?

Non, dit Harry.

Hermione et Ron paraissaient septique et Harry voulu poser plusieurs questions à la jeune fille mais se retint au grand plaisir de celle ci.

Bon, on ne commence que dans une heure, dit Hermione.

Ouai mais on a Rogue !Dit Leïda, c'est la misère !

Ça tu peux le dire, approuva Ron.

Vous, savez, dit Harry, vous allez peut-être me prendre pour un fou mais, j'ai l'impression qu'il a changé, Rogue.

Oui, affirma Leïda, il est venu chez moi cet été, il a dit à mon père qu'il était désolé de ce qui est arrivé à …à Sirius, et qu'il s'en voulait…

De lui avoir parlé comme à un chien !Explosa Harry , ses excuses ne feront rien, il a été ignoble avec lui !

Oui mais, tenta Hermione, quand ils étaient jeunes, c'était Rogue le souffre douleur…

Oui dit Harry, quand ils étaient jeunes, ils ne le sont plus, et il n'avait pas à parler comme ça à Sirius.

De toute façon, coupa Leïda, mon père lui a dit que c'était pas à lui de faire des excuses et que ça ne servait à rien, que c'était trop tard étant donné que…

Il n'est pas mort !Intervint de nouveau Harry !J'en suis certain !

Comment peux-tu affirmer ce que tu dis ? Demanda Hermione, personne ne peut savoir.

Je le sens, vous pouvez dire ce que vous voulez, que je suis fou ou que je refuse de croire la vérité , je m'en fou, je le sais c'est tout.

J'aimerais tellement te croire, dit doucement Hermione.

Quand tu y repenses, dit à son tour Ron, il est vrai que c'est étrange, cette arcade.

Avec Luna on a entendu des voix ! Et pas vous, alors j'ai pensé qu'il y avait deux solutions, soit on est fous tous les deux, soit des personnes peuvent entendre ses voix.

Vous parlez de Luna Lovegood ?Demanda timidement Leïda.

Oui, dit Hermione en rigolant, pourquoi tu l'as connais ?

Oui, affirma Leïda, vous n'êtes pas au courant ?

Au courant de quoi ?Demanda Ron.

Je vois, dit Leïda, il y a eu , un petit problème cet été, vous n'avez pas entendu parler de l'attaque de la tour ?

Non, répondirent-ils tous les trois ensemble.

Il existe une tour de sorcellerie, près de l'école de Beaubâtons, c'est une gigantesque tour, on il y a plusieurs activités de sorcellerie, des sortilèges, des démonstrations, et des associations, toutes sortes de choses. Et cet été, une dizaine de mangemorts sont venus, et ils on tous détruits, plusieurs personne sont décédés, mon père y était j'ai eu une de ces frousses ! Enfin Bref je crois qu'en tout 9 personnes sont décédées quand la tour est tombé parce que les gens n'ont pas tous put transplané, et il y avait notamment, la famille Lovegood. Je croyais que vous saviez ça…

Non, dit Harry bouche bée, ça c'est passé quand ?

Au début de l'été.

La gazette du sorcier c'est bien gardé de le dire, affirma Ron.

Tu parles, Fudge voulait garder ça pour lui et son ministère.

Alors, dit Hermione, Luna est morte…c'est …la pauvre…pourquoi on nous l'a pas dit ?

Beaucoup de gens ne sont pas au courant, dit Leïda, mais je pensais que le père de Ron serait au courant.

Il est possible qu'il le soit mais qu'il ait oublié de nous en informer.

Luna était tellement, innocente, dit Harry, c'est injuste.

Le monde est injuste Harry, dit Hermione.

Merci mais je crois que j'avais remarqué.

Bon, il est l'heure, dit Hermione, on y va ?

Ouai

Leïda se leva et sentit une énorme douleur au niveau du dos, elle marchait doucement suivant les autres, mais Harry l'attendit, il voulut lui toucher l'épaule pour l'aider à marcher mais à peine le contacte eut lieu, qu'il sentit comme une vague de bonheur l'envahit, cela dura seulement quelques secondes puis il sentit que Leïda avait un énorme poids sur le dos, tout comme lui, mais ce n'était pas pareil, il avait l'impression de savoir ce que la jeune fille ressentait, fatigue, tristesse, lassitude. Leïda sentit le contact et se sépara de ce lien, pour ne pas dévoiler sa vraie nature à Harry.

qu'est ce…bredouilla Harry. Leïda faut qu'on parle…

Je crois pas que ce soit le moment. Affirma-t-elle.

Mais, essaya Harry, pourquoi tu…

Pas maintenant Harry !

Bon, vous venez ? Demanda Ron qui se trouvait devant eux avec Hermione.

Ils étaient arrivés en avance devant le cachot destiné au cour de Potion, mais ils ne furent pas seuls longtemps car les autres gryfondore arrivèrent peu de temps après. Ils parlèrent tous ensembles et Leïda ne fut en aucun cas mise à l'écart. Mais les Serpentard arrivèrent aussi et ce fut une tension très forte qui s'installa.

Alors Potter, dit Malefoy de sa vois traînante, tu es heureux maintenant que le vieux fou ait annoncé à tout le monde que tu étais son chouchou.

Je serais encore plus heureux si tu me foutais la paix Malefoy, dit Harry d'un ton cassant.

Oh mais j'en serais ravi, dit Drago, seulement le problème c'est que dès que je vois ta tête, je m'en vraiment obligé de te faire fermer ton clapet de petit merdeux.

Apparemment c'est pas trop réussi, répondit une fille de Gryfondore.

Toi on t'a sonné ? Cracha Crabbe.

Je vois que tu as inclus une nouvelle recrue à ta petite bande, dit le serpentard en regardant Leïda, très mignonne.

Ce qui n'est pas ton cas, lui répondit Hermione.

Toi la sang de bourbe tu te tais !Cracha-t-il.

Personne ne bougea contrairement à d'habitude ce qui mit Drago mal à l'aise.

Tu voix que tes insultes ne font plus aucun effet !Faut changer Malefoy, fit Harry ricanant.

Tu te crois malin Potter ?

Disons que si je le suis moins que toi je m'inquièterai.

Tu le feras moins ton malin, quand il viendra te chercher et en finira pour de bons.

Si ça lui fait plaisir, qu'il vienne. Répondit Harry d'un ton indifférent.

Au faite Malefoy, dit Ron dont l'envie le brûlait depuis le début, ton père va bien, le décor d'askaban est à son goût.

Le teint de Drago vira au cramoisi et il cria :

Ah oui !Et toi tu faisais moins le malin, quand ton cher et tendre parrain y était, ah oui j'oubliais, tu n'étais pas au courant, on t'en a parlé que trop tard ! et à ma connaissance, tu ne l'as pas vu énormément, entre sa fuite et sa mort tragique…pauvre chou…

Harry sentit sa main trembler de rage, sa baguette au fond de son sac, il ne voulait pas risquer de taper sur Malefoy car il ne s'arrêterait plus. Mais il n'eut pas à réfléchir plus longtemps que Malefoy reçut un sort et se retrouva 5 mètres plus loin contre ne mur. Harry se retourna, et vit Leïda ranger sa baguette. Elle se dirigea vers le jeune Serpentard qui se relevait, il voulut lui faire subir ce qu'il venait de se prendre mais quelque chose l'en empêchait, l'aura que dégageait cette fille était étrange.

Tu vois Malefoy, la principale raison de ton échec c'est que tu es seul, et que Harry ne l'est pas ! Tu n'es pas ce que tu crois être.

Elle le regarda, souriant, et lui dit sincèrement.

Ça t'irait mieux une coupe de cheveux un peu moi démodé, tu devrais te faire des piques.

Quoi ? Dit-il abasourdi, qu'est ce que tu racontes ?

Tes cheveux, tu devrais et faire des piques !Je t'assure ça te rendrait beaucoup plus séduisant.

Elle retourna au près de Harry, Ron et Hermione, qui se tenaient les côtes tellement ils riaient. Ils entendirent alors le professeur Rogue arriver et se calmèrent ,cependant Malefoy se précipita sur Harry et dit :

Je ne vais pas te laisser faire la loi avec ta bande de potiche Potter, dit-il d'une voix glaciale.

Mr Malefoy, appela le professeur de potion, si vous avez quelques chose qui ne vas pas, je suis prêt à vous entendre, sinon, veuillez entrer en classe en silence.

Drago entra en silence dans le cachot qui servait de salle de cour et les autres élèves le suivirent. Hermione se mit à côté de Leïda, et les garçons se mirent ensemble.

Certain d'entre vous, commença le professeur, se sente fier d'avoir réussi leur BUSE de potion, cependant il ne vous suffit pas d'avoir la mention Acceptable ( son regard se porta sur Harry) a un examen pour réussir tous les autres c'est pourquoi je demande une double attention de votre part, et je tiens à prévenir que tout relâchement dans vos devoirs serra tout de suite aperçut. Vous allez me préparer pour ce premier cour une potion très facile que l'on a étudier l'année précédente, les instructions figurent sur le tableau et les ingrédients dans le placard habituel, Miss Granger vous serez aimable de montrer à Miss Lupin où se trouve le matériel dont vous aurez besoin a chaque cour et de la laisser préparer sa potion elle-même afin que j'évalue son niveau.

Bien professeur, bredouilla Hermione.

Leïda stressa alors et le regard compatissant de Ron ne l'aida pas à se sentir mieux.

Après une heure de préparation d'une potion d'agrandissement, les élèves avaient tous chaud et Leïda avait très mal au dos, elle n'avait pas assez dormi et le ressentait. Hermione avait presque fini sa potion, Ron était un peu en retard mais semblait bien parti, quant à Harry il trouva étrange le fait qu'il en s'était pas trompé dans sa potion et que le professeur qu'il aimait le moins n'était pas venu lui mettre un zéro pour une excuse qui n'en valait pas la peine. A la fin de l'heure, Rogue ne demanda pas d'échantillon de potion mais vérifia celle de tous les élèves et notaient des abréviations sur un carnet, il regarda ensuite celle de Leïda, puis, pour vérifier son efficacité, versa une goutte d'un réactif qui devrait transformer la couleur grisâtre de la potion en couleur rouge ce qui se produisit au grand soulagement de la jeune fille.

Bien, lui dit-il.

La cloche sonna et tous les élèves sortirent, pour se diriger vers les prochains cours. Ils allèrent déjeuner tranquillement, puis se dirigèrent vers la salle de cour de DCFM. Pour Leïda, voir son père lui faire cour était très étrange, elle avait insisté pour ne pas se mettre au premier rang, et Hermione avait accepté de se mettre avec elle, derrière les garçons. Le professeur Lupin avait fait un rappel des cours de l'année précédente, sans entamer un nouveau programme car ils n'avaient pas fait grand chose au cour de l'année avec Ombrage. A le fin du cour, Leïda fut la première à sortir, de peur que son père veuille lui parler et qu'on lui reproche de faire du favoritisme, d'ailleurs le regard que les Serpentard lui jetait laissait signifier que c'était exactement ce qu'ils pensaient. Le cours de Sortilège fut assez ennuyeux étant donner qu'aucun nouveau sortilège ne fut appris. Ce fut alors fatigué que Harry se dirigea vers la grande salle pour dîner avec ses amis.

Au faite Leïda, demanda Ron, tu fais du Quiddicht ?

Oui, poursuiveuse.

Tu fais bien d'en parler Harry, annonça Ginny qui venait d'arriver, le week end prochain McGonagall choisi le capitaine de l'équipe, et pour l'instant personne s'est proposé tu devrais aller la voir.

Oui, dit Harry , j'irais un soir dans la semaine.

En même temps, tenta Hermione, tu pourrais passer par le bureau de Dumbledore…

Hermione, s'exaspéra Harry, sais tu combien de fois tu m'as dit dans la journée que je devais aller le voir ?

Mais Harry, commença Hermione, pourquoi…

Laisse le Hermione, trancha Ron, pourquoi tu ne prends pas exemple sur Leïda ?

C'est à dire ?

Manger et te taire…

Hermione ouvrit la bouche et la referma, vexée, Leïda était épuisée et si Harry ne lui avait pas donné un léger coup de pied elle l'aurait jamais remarqué que Seamus l'appelait depuis 5 bonnes minutes.

Quoi ? Demanda-t-elle à son ami qui était juste à côté d'elle.

Tu es libre ce soir ?Chuchota Seamus.

Pourquoi ?Demanda-t-elle septique.

Ça ne te dirait pas une promenade au clair de lune ?

Leïda regarde timidement Harry qui, sans aucun doute, écoutait la conversation.

écoute, dit Leïda avec un petit sourire, j'aurais été ravi d'aller me balader avec toi ce soir, mais je…j'ai été malade et je suis très fatigué …

Ok, répondit-il, c'est pas grave.

Ça aurait été pareil avec n'importe qui, affirma Leïda.

Je sais, dit Seamus, ne t'inquiète pas je ne t'en veux pas.

Il lui fit un sourire et la jeune fille lui répondit. Elle se retourna vers Harry qui mangeait, faisant semblant de rien.

Arrivé le soir, Leïda suivait Hermione vers les dortoirs quand Harry l'attrapa par le bras.

Faut que je te parle, dit-il.

Je n'en ai pas envie, je suis crevé…

S'il te plait…dit Harry, pas longtemps…

Bon d'accord, mais pas longtemps, et ici !

Oui…merci.

Leïda le suivit près d'un feu de cheminée, et attendirent que les élèves partirent se coucher, Ron leur dit bonne nuit et se fut le dernier à aller se coucher.

Alors, demanda la jeune fille, qu'est ce que tu veux me dire ?

Qu'est ce que tu m'as fait hier soir ?

Leïda souffla et s'affala sur le fauteuil, elle ne pouvait pas lui dire, pas maintenant.

j'en ai marre qu'on me cache tout le temps des choses, je veux savoir, je me s'en inutile et moins que rien…

Personne ne le sait, tu n'es pas mis au deuxième rang ou quoi que ce soit d'autre.

Alors pourquoi tu me dis pas ce qui se passe ?

Parce que , commença Leïda, parce que je ne suis pas prête à t'expliquer… en plus, je ne suis pas sur que tu ais besoin de ça en ce moment.

Je suis le seul à savoir ce que j'ai besoin ou non !

Oui je sais Harry, mais laisse-moi le temps, je vous connais à peine, j'ai du mal à me sentir bien ici, attend au moins que la semaine passe…

Comment veux tu que j'aie confiance en toi si tu ne me dis pas qui tu es.

Le problème n'est pas de savoir qui je suis, trancha la jeune fille, mais de savoir ce que je suis !

Qui me prouve que ce que tu m'as dit sur toi est vrai ? Demanda Harry d'un ton brusque.

Toi seul peut savoir si je suis de ton côté ou pas Harry.

Ouai, dit Harry méchamment, de toute façon c'est toujours pareil, on ne me dit jamais rien !

Je ne t'ai pas dit que je ne te dirais rien !

Mais bien sûr ! Harry criait presque. Tout ce que tu es en train de faire c'est retarder le moment où tu devras me le dire pour que je finisse par le découvrir moi-même !

Tu vois j'avais raison, on ne se connaît pas du tout et ça se voit, jamais je ne serai capable de te mentir ainsi, toi ou quelqu'un d'autre ! Il faut que sache Harry que ce n'est pas parce que certaine personne font des erreurs que tout le monde en fait !

Leïda avait parlé d'un ton sec et dur et Harry ne trouva rien à y redire, c'est alors que le tableau de l'entré de la salle s'ouvrit laissant apparaître le professeur Lupin.

Professeur, s'étonna Harry, qu'est ce que vous faîtes ici ?

je voulais m'assurer que tout le monde était couché, certain de mes élèves m'on paru fatigué pour une première journée de cour…

Il regarda Leïda qui ne regardait ni son père ni Harry éprouvant une forte colère pour le survivant.

Je vous laisse ; dit Harry sur un ton qui laissait supposer que la colère de Leïda était réciproque.

Rémus Lupin se dirigea alors vers sa fille et s'assit à côté d'elle, inquiet.

Ça ne va pas, tu as l'air crevé.

Oui, j'ai pas assez dormis…

Tu l'as aidé c'est ça ?

Oui, avoua Leïda, et alors, j'ai rien fait de mal.

Ecoute, je sais que Harry a besoin qu'on l'aide, mais...attends un peu, insert toi à Poudlard avant.

Oui je sais c'est ce que j'ai essayer de lui faire comprendre mais il semble aussi têtu qu'une mule.

Il en fallait pour faire changer d'avis Lily Evans.

Leïda sourit de plus belle et embrassa sur la joue son père.

Je vais dormir.

Oui tu en as besoin, bonne nuit.

Bonne nuit.

Harry n'avait plus adressé la parole à Leïda de la semaine mais n'empêcha en aucun cas ses amis de l'aider à s'intégrer, le jeune brun ne voulait toujours pas entendre parler de Dumbledore et changeait le sujet à chaque fois que la conversation allait vers lui. Hermione et Ron étaient agacé de voir Harry et Leïda s'ignorer ainsi mais à chaque fois qu'ils essayaient de le résonner, Harry répondait qu'au moins il savait ce que s'était de voir deux abrutis se faire la tête et les deux jeunes gens avaient tout de suite comprit qu'il parlait d'eux. Ce fut le premier vendredi soir que Harry revint du bureau de McGonagall et dit à ses mais qu'il était nommé capitaine de l'équipe de Quiddicht. Ron et lui étant les deux derniers joueurs de quiddicht à exister, ils affichèrent une affiche pour avertir les élèves que les joueurs seraient choisit après avoir passé des tests, le samedi prochain. Le premier week end à Poudlard fut à ravir aux yeux de tout le monde, il faisait chaud, presque aucun devoir à l'horizon, et tout le monde en forme. Mais voilà que voir Leïda en pleine forme effraya certain premier année.

Ils étaient tous les quatre dans les escaliers et ils parlaient de tout et de rien, quand ils croisèrent à leur grand regret Malefoy.

Tiens Potter et ses Potiches ! tu n'as pas de gardes du corps Potter ? pourtant tu sais , tu n'as pas que des admirateurs ici.

Tu sais Malefoy, je commence à croire que tu aimes parler tout seul.

Ouh tu commences à me faire rire Potter…

Ouai bah lui au moins il nous fait pas pitié.

Tiens Miss fille de loup garou se réveille, tu as quelque chose à dire Miss croc blanc.

Oui j'ai quelque chose à dire mais il faut que tu écoutes bien attentivement parce que je ne vais pas le répéter. Tu es prêt ?

Je t'écoutes.

La ferme !

Les élèves présents dans les escaliers explosèrent de rire.

bah alors Malefoy tu obéis au femme maintenant ! parce que je sais pas si tu as remarqué, mais tu ne parles plus. S'exclama Harry

d'une part tu fais bien la fouine, annonça Ron, mais tu fait à merveille la carpe.

C'est alors que Neville imita le poisson à merveille sous le regard étonné de tout le monde. Harry Ron Hermione et Leïda continuèrent leur chemin vers la grande salle.

bon, dit Ron, qu'est ce qu'on fait ?

je sais pas, dit Harry.

J'ai un jeu mais c'est pour les gamins normalement, mais ça me fait rire.

Va y dit toujours , fit Harry.

Ben , en faite, il y a un arbitre, moi, je choisit un objet et quand je vous l'annonce, il faut que vous alliez m'en chercher un chacun, le dernier qui arrive avec l'objet à perdu.

Ouai, dit Leïda, ça peut-être sympathique à faire.

Ok c'est parti, 'Mione tu fait l'arbitre, demanda Ron.

Oui, affirma-t-elle, vous êtes prêt ? allez me chercher………un pion d'échec.

Ron et Leïda furent les premiers à apercevoir le jeu d'échec que utilisait deux élèves, mais Harry courait vite et ce fut lui et Leïda qui sautèrent sur le jeu et rapportèrent un pin à Hermione en premiers. Ron explosa de rire lorsque les deux élèves les traitèrent de cinglé

démoniaque.

bon, final Harry et Leïda attention, ce que je vais vous demander d'aller chercher est très précis et il y en a qu'un seul dans la salle et je voudrait préciser à Harry que ce n'est pas fait exprès.

Les professeurs les examinaient avec attention, craignant qu'il ne fasse une bêtise alors que Rémus et Dumbledore souriaient.

un chapeau bleu ciel avec des lunes et des étoiles dessus.

C'était le chapeau de Dumbledore. Les deux joueurs étaient partis en même temps mais Harry fut freiner par des élèves, il ne perdit pas espoir et courut en les bousculant, les professeur virent les deux élèves de se précipiter sur eux et reculèrent leurs chaise, Harry était arrivé en face de Dumbleldore, et essayant de ne pas penser à ce qu'il pensait de lui dit :

professeur.

Oui ?

Est ce que je pourrais vous emprunter votre…

Une main s'était élevé de derrière Dumbledore et lui enleva son chapeau, Leïda était derrière la table et se mit à courir vers Hermione le chapeau à la main, mais Harry lui courut après, la rattrapa facilement et lui sauta dessus, ils s'étalèrent par terre. Leïda explosa de rire, et Harry lui arracha le chapeau des mains, mort de rire et le donna à Hermione.

Harry Potter est le vainqueur !dit-elle morte de rire avec Ron.

C'est pas juste tu m'as sauté dessus.

Ils explosèrent de rire.

fondrait peut-être aller lui rendre non ? demanda Ron en donnant le chapeau à Leïda.

Pourquoi moi ?

Tu as perdu, affirma Harry.

Leïda prit le chapeau et se dirigea de nouveau vers la table des professeurs, ou Hagrid et Rémus rigolaient. La jeune fille tendit le chapeau au directeur.

désolé professeur, et merci.

Derien Miss Lupin.

Leïda fit un signe à Hagrid qui lui répondit, puis elle commença à partir mais son père l'appela, elle se retourna.

faîtes attention quand même, dit-il.

Tu sais, on va pas s'entretuer.

Rémus sourit devant la remarque de sa fille et Rogue semblait agacé au plus haut point.

Harry avait passé une bonne après midi mais dès que le silence régnait même un cour instant, il se surprenait à penser de quel façon il pourrait aider Sirius, persuader qu'il était vivant.

C'est alors, en pensant à lui qu'il se coucha, pas trop tard. Il rêva de lui.

« Alors Harry les cours se passent bien »lui demandait Sirius, assis à un des fauteuil dans la salle commune, Harry lui répondit et Sirius rigola, puis d'autre rire surgirent, celui de James, et celui de Rémus. « arrêtez de rire, demanda Harry qui souriait lui aussi » mais les rires redoublèrent et Harry ne pu s'empêcher de rire aussi. Puis Bellatrix entra dans la salle commune, elle se dirigea vers James et l'embrassa tendrement, Harry sourit.

Harry se réveilla, se voir sourire à la vue de Bellatrix qui embrassait son père le rendit fou furieux. Il tenta de se rendormir sans rêver de nouveau mais il lui semblait que ce rêve lui était indispensable, il voulait revoir Sirius et James.

Harry rigolait avec Rémus et Sirius alors que James était parti, puis Rémus les quitta à leur tour. « alors Harry maintenant qu'on est seul on peut en parler… » Harry vérifia que personne le l'écoutait. « j'ai eu des nouvelles, dit-il, après avoir attaquer la tour, il projette de venir faire un tour au chemin de traverse, il y a beaucoup de monde et ça le rapproche de Poudlard, et Dumbledore s'en doutera pas, j'ai été le voir tout à l'heure et je lui ai donné un faux rendez-vous là bas, comme ça, Voldemort pourra l'attaquer » Sirius enchaîna la conversation « ils se livreront à un combat sans pitié, et nous pourront enfin dévoilé nos vraies pouvoir » « oui, continua Harry, j'attaque Voldemort faisant croire au vieux fou que je suis toujours de son côté, puis après avoir tué le mage noir le plus puissant, on tue à nous deux le petit Dumbly et on rège sur le monde de la magie ! » « merveilleux, conclut Sirius, et il éclata de rire suivit par Harry. »

Harry se réveilla en sursaut, cette fois en sueur, tremblant. « qu'est ce que cela signifie ? » pensa t'il. Il se rallongea mais essaya de ne pas sombrer dans l'inconscience des rêves. Mais à peine eut-il fermé les yeux qu'il rêva de nouveau.

Sirius avait perdu toute beauté, il était en sueur, les cheveux sales et emmêlé, il courait vers la forêt interdite, Harry le suivant de près. « où tu m'emmènes, cria le jeune garçon » Mais Sirius pénétra dans la forêt. Tout fut noir et on entendit juste des voix. « c'est la seule qui peut m'aider Harry, montre lui et je serais là, Harry, elle est ma seule chance » « mais qui, cria Harry » « trouve la lumière » Ce fut les dernier mots que Harry entendit, il se trouva dans une vielle cabane regarda tout autour de lui et une grande lumière blanche l'ébloui.

harry !harry !

harry!harry!réveille toi!

Ron secouait Harry qui se réveille en sursaut, voyant la tête de Ron, livide.

ah tu es réveillé, dit-il, Neville est parti chercher McGonagall.

Hermione et Leïda entrèrent dans le dortoir, averti par Seamus.

qu'est ce qui se passe ?demanda Hermione.

J'aimerais bien le savoir, affirma Harry qui avait retrouvé sa forme.

McGonagall entra dans le dortoir inquiète.

que se passe-t-il Potter ?

euh…j'ai fait un rêve.

Venez Potter, Miss Granger, Lupin et Mr Weasley aussi.

Tout les trois sortirent de la salle commune, suivant McGonagall, en pyjama.

on va chez le directeur.

Harry s'arrêta net.

je n'ai pas envie de voir le directeur!

Potter s'il vous plait, soignez gentil ne compliquez pas les choses.

Harry continua sa route, bougonnant, son mal de tête reprit, et sa cicatrice le picota de nouveau. Le professeur de métamorphose prononça le mot de pace, et la statu de phénix laissa place à des escaliers. Arrivé on toqua à la porte et une voix répondit.

entrez Minerva.

Ils entrèrent tous, et à la vue du jeune Potter et de ses amis Dumbledore se leva, inquiet.

que se passe-t-il ?

c'est ce qu'on aimerait tous savoir, expliqua McGonagall, Potter a fait un rêve.

Je vois, dit Dumbledore, Harry, as tu crié, tu as mal à ta cicatrice ?

Harry croisa son regard, et ne put répondre, de peur de se montrer mal poli.

oui il a crié, dit Ron, mais il n'avait pas l'air d'avoir mal à sa cicatrice.

Harry raconte lui, demanda hermione.

Asseyez vous, proposa Dumbledore en faisant apparaître des fauteuils pour tout le monde.

Mais Harry resta silencieux, ne voulant pas parler à Dumbledore, avec pour seul présence, ses amis et son professeur de métamorphose.

je préférais que le professeur Lupin soit là.

Dumbledore regarda un de ses portrait qui disparu aussitôt. Un silence régna alors et Harry regardait par tout sauf vers son directeur qui faisait tout le contraire puisqu'il fixait son élève désolé. Hermione ne cessait de lancer des regards perdu à Ron et Leïda qui en savaient pas quoi faire non plus. Rémus Lupin entra dans le bureau et lorsqu'il vit tout ce monde il pâlît.

ne vous inquiétez pas Rémus, il n'y a rien de grave, assura Dumbledore, asseyez vous je vous pris.

Rémus s'assit sur le fauteuil qui venait d'apparaître à côté de celui de Leïda.

pourquoi m'avez vous demandez ?demanda-t-il.

Harry a fait un rêve étrange, expliqua Minerva, il voulait que vous soyez présent pour nous le raconter.

Lupin se tourna un peu vers Harry qui, commença alors à raconter, en fixant Lupin et en ignorant totalement son directeur.

le plus étonnant, dit Harry, au milieu de son récit, c'est que j'avais l'impression de voir quelqu'un d'autre, alors que c'était moi.

Harry finit son récit, et personne ne parla pendant quelques minutes.

et bien, c'est très étrange, cela ne peut pas être Voldemort le responsable, sinon tu n'aurais pas rêver de lui, dit Dumbledore légèrement perdu, Sirius a dit : « c'est la seule qui peut m'aider, montre lui et je serais là »

donc, affirma Lupin, il parle d'une fille. Mais comment pourrait-il « être là » ?

peut-être sue, commença Hermione, peut-être que Harry avait raison et que…et que...Sirius n'est pas mort…

je n'exclue aucune possibilité, avoua Dumbledore, « trouve la lumière » c'est vraiment étrange.

Si seulement, dit Harry d'un ton appuyez, j'en saurais un peu plus sur cette arcade ! peut-être que je comprendrais mieux !

Tu ne crois pas, dit Dumbledore d'un ton neutre, qu'après ce que j'ai dit à la rentré, je ne t'aurais pas avertit si je savais quelque chose sur cette arcade ?

Harry ne sut quoi dire et regarda ses pieds, ne savant quoi penser à ce qu'il venait de dire.

personne ne connais le secret de cette arcade, affirma McGonagall.

Harry, dit Lupin, tu as dit qu'en dernier dans ton rêve, tu te trouvait dans une vielle cabane.

Oui.

C'est peut-être la cabane hurlante ?demanda Leïda.

Possible, dit Harry, je sais pas je n'ai pas eu le temps d'y voir grand chose, une lumière blanche ma éblouit.

Trouve la lumière blanche, répéta Hermione.

Lupin échangea un regard avec sa fille qui détourna les yeux.

encore un mystère de plus à résoudre, je vais surveiller le chemin de traverse, sait-on jamais ce qu'il peut arriver. Harry je voudrais que tu reprennes des cours d'occlumencie avec le professeur Rogue.

Mais, protesta Harry, l'année dernière ça à très mal fini !

Et ben si ça dérape encore, je te ferai moi même ses cours, inutile de te rappeler l'importance de ses cours harry.

Non, bredouilla-t-il.

Dans ce cas, allez tous vous coucher.

Les quatre adolescents se levèrent et sortirent du bureau, Leïda embrassa son père et suivit les autres. Harry se rendormi tout de suite, sans rêver, épuisé par son rêve et les remarques de Dumbledore. Leïda quand à elle n'arriva pas a vider sa tête de toutes ses pensées, qui , elle en était sûr, était le sujet de discussion de son père et Dumbledore.