chapitre 5 : expéto patronum, exive amossora, révélatum

La semaine de cours avaient repris, Harry avait beaucoup parlé avec ses amis de son rêve mais aucune solutions n'avaient été trouvées. C'était un mercredi et Harry et ses amis se dirigeaient vers le cours de DCFM, parlant des cours de formation spécial des aurors avec enthousiasme, ils s'assirent au premier et deuxième range et le cours commença.

Aujourd'hui, annonça le professeur Lupin, nous allons étudier les patronus, ceci devrait vous être enseigné en dernière année, mais étant donnés les évènements, le directeur souhaite vous le faire enseigner le plus tôt possible, dans un premier temps, nous étudieront les patronus en théorie, puis jeudi nous les verrons en pratique.

Les élèves rangèrent alors leurs baguettes et Harry en profita pour souffler un mot à ses amis.

Je connais déjà tout ça, dit-il déçu.

Moi aussi, affirma Leïda, mon père me l'a enseigné, il y a longtemps.

Le professeur demanda une nouvelle fois l'attention générale.

Alors, qui peut me dire, contre sui sont efficace les patronus ? Mr Weasley.

Les détraqueurs.

Exacte.

Le cours continua ainsi, et Leïda capitula vite, connaissant déjà tout ça, elle se laissa plonger dans ses pensés, et aperçut que Harry faisait de même. Elle observa la classe, et surpris à son étonnement, Malefoy qui la fixait. Leur regard se croisèrent et ils se regardèrent droit dans les yeux pendant un long moment, essayant chacun de savoir ce que voulait l'autre.

Mr Malefoy et Miss Lupin seraient aimable de suivre le cours, demanda le professeur.

Harry, qui avait compris, lança un regard noir au Serpentard et un regard rempli de reproche à Leïda. Le cour fut ennuyeux pour quelques élèves mais passionnant pour d'autre, comme Hermione.

Je me demande, dit Ron à la fin du cours, pourquoi Dumbledore croit être utile de nous apprendre à nous défendre contre des détraqueurs.

C'est logique Ron, fit Hermione, les détraqueurs ont échappé au contrôle du ministère et vont se ranger du côté de Voldemort.

Alors que Hermione venait de rabattre le clapet de Ron, celui ci fut sauvé par des élèves de deuxième année de Serpentard qui étaient en train de bousculer un de Gryfondore.

Hé, cria-t-il, arrêtez ça !

Et pourquoi ? Tu es qui toi ? Demanda l'un d'entre eux méchamment.

Je suis préfet, et je te dis de le lâcher !

Sinon ce sera une heure de colle, continua hermione.

Qu'est ce que tu veux, dit une voix glaciale, c'est un sang de bourbe, il ne mérite que ça.

Malefoy venait d'arriver.

Et puis c'est un gryfondore, c'est vrai que je suis assez fier de moi, ils m'obéissent très bien.

Slach !

Hermione venait de gifler Malefoy et Leïda retint Ron et Harry avec beaucoup de mal, qui essayaient de taper sur Malefoy.

Arrêter, dit-elle, ça serait se rabaisser à son niveau. Il ne le mérite même pas, je me serais même pas déplacé pour le gifler.

Malefoy ne rajouta rien rouge de honte, Leïda suivit Harry Ron et Hermione vers la grande salle.

Continu comme ça, dit Ron énervé à Leïda, et on va finir par croire que tu es de son côté !

Ce n'est pas ça, répondit la jeune fille agacée. Malefoy ne mérite pas que l'on fasse attention à ce qu'il dit, tout ce qu'il essaie de faire c'est nous provoquer.

Tu dis ça, dit Harry, mais la dernière fois c'est toi qui lui as lancé un sort.

Je ne m'énerve pas facilement, mais quand c'est parti, c'est parti.

Quelle petite vermine, cracha Hermione.

Ils mangèrent en silence, les filles partirent ensuite a leur cour d'arithmancie tandis que Ron et Harry se dirigeaient vers leur salle commune.

J'ai l'impression, dit Ron, que tu nous cache quelque chose, avec Leïda.

Oui, avoua Harry, j'aurais préféré que Hermione soit là, mais j'ai vraiment besoin d'en parler.

Harry lui raconta alors, la joie immense qu'il ressentait parfois au simple contacte avec elle, et l'événement de l'autre soir, les images de Sirius.

A moi aussi elle me fait cet effet là, avoua Ron, parfois lorsqu'elle est heureuse, j'ai l'impression qu'elle rend tout le monde ainsi, elle dégage une sorte d'aura positive.

Oui, elle est étrange, dit Harry, mais elle ne veut pas m'en parler, elle dit qu'elle est pas prête.

Je sais pas si elle nous le dira, lui confia Ron.

Je pense que si, contredit Harry, crois-moi, porter un poids comme celui ci sur ses épaules n'est pas facile, elle nous parlera, mais je ne sais pas quand.

On verra bien, dit Ron.

Harry allait ouvrir la bouche pour répondre, mais Lavande se dirigea vers lui.

Harry, dit -elle timidement, je…je pourrais te parler un instant.

Celui ci regarda Ron se demandant ce qu'il se passait mais en voyant son ami se retenir de rire Harry se sentit vraiment stupide.

Bien sûr.

Il la suivit un peu plus loin dans la salle commune, sous le regard intéressé de Ron.

Je…commença Lavande, je voulais te dire, que, lors de notre quatrième année j'ai été très contente d'aller au bal avec toi.

Moi aussi, répondit Harry ce qui n'était pas un mensonge.

Et je voulais te féliciter pour toutes les choses que tu as faite.

Merci, répondit Harry qui se demandait où elle voulait en venir.

Et…je me demandais si…

Harry crut un moment que Lavande allait être prise d'une série de gloussement mais à son grand plaisir elle se contenta de rougir.

Si tu accepterais de sortir avec moi lors de la prochaine sortie au prè-au-lard.

A sa grande surprise Harry ne rougit pas devant la demande de la jeune fille et se sentit plutôt fier, il se passa machinalement une main de ses cheveux en broussaille, croisa les bras.

Et bien, dit -il, pourquoi pas.

Oh merci Harry, on se verra d'ici là, dit Lavande toute souriante.

Oui, affirma Harry, bonne journée.

Lavande partie rejoindre ses amis et Harry rejoint le sien, un sourire au visage.

On dirait que tu as un ticket, fit Ron moqueur.

La ferme Ronny chéri, dit Harry persuader que ce surnom l'énerverai.

Ron prit en effet le premier coussin qu'il trouva et lui jeta dessus, Harry explosa de rire.

Tu fais ton malin, parce que tu t'es trouvé une petite amie avant les autres, affirma Ron.

Ben oui.

Ça va pas se passer comme ça ne t'inquiète pas !

On verra bien, ronny chéri.

Ce fut après une longue bataille de coussin que Harry et Ron allèrent retrouver Leïda pour leurs cours sur les aurors. Leur professeur, le professeur Firou, était très sympathique, âgé d'une quarantaine d'année et avec un sens de l'humour ce qui était rare parmi les professeurs. Il débuta alors son cours sur les premiers sortilèges à savoir.

Les sortilèges que nous allons étudier ne vous seront pas demander en cour de sortilèges, aujourd'hui, nous allons voir un sortilège très utile et très fréquemment utilisé. Avec ce sortilège, vous pourrez apercevoir des choses cachés, des choses cachés par un sortilège. Est-ce que quelqu'un a une idée ?

Le sortilège de la révélation, dit Leïda après que son professeur l'ai invité à répondre.

Exacte, 5 points pour gryfondore.

Ron sourit à la jeune fille et le cours continua.

Le sortilège de révélation, permet de dévoilé ce que l'on ne peut apercevoir cependant il est assez compliqué. Il peut aussi répondre à une question assez importante que vous vous posez mais ceci à été réalisé très rarement par les plus puissants des sorciers. Il faut savoir ce que vous cherchez, on ne peut le lancer au hasard espérant trouver quelque chose. Si vous avez un parchemin vierge mais que vous vous doutez qu'un message à été effacé grâce à un sort, un objet rendu invisible, le sortilège de révélation est très utile.

Le professeur commença à expliquer d'où venait ce sortilège et les meilleurs choses qu'il peut dévoiler, les élèves écrivirent pendant près d'une heure, puis ce fut les travaux pratiques.

On peut savoir si le sort à marcher même sans avoir à trouver quelque chose, une faible vapeur violette s'échappera de votre baguette lorsque le sort sera réussit. Voici comment nous allons procédés. Chacun allez penser à quelque chose que vous voulez savoir, même si vous êtes sur de ne jamais le savoir, vous allez vous concentrer, puis prononcé le mot « révélatum » en faisant un arc de cercle avec votre main, un arc de cercle du sens des aiguilles d'une montre. Je vous laisserai plusieurs minutes pour vous exercer puis je vous appellerais un par un pour voir comment vous vous débrouillez.

Les élèves se concentrèrent donc, Ron se demanda s'ils allaient gagner la coupe de quiddicht cette année, Leïda se demanda si l'insistance de Seamus à l'invité à sortir était justifié, et Harry, qui prit la chose beaucoup plus au sérieux, se demanda s'il allait trouver « la lumière blanche » comme lui avait dit Sirius dans son rêve. Ils dirent alors l'incantation avec le geste mais personne ne réussit à produire une vapeur violette de sa baguette ce qui, d'après le professeur était normal. La fin du cours était venue beaucoup trop rapidement pour eux, qui allèrent rejoindre Hermione dans la salle commune, puis aller dîner. Hermione était aussi contente qu'eux d'avoir participer à ses cours de médecine. Ils allèrent ensuite à la grande salle et la discussion fut très vive.

Il me tarde d'être à demain, pour le cours de DCFM.

Oui moi aussi, répondit Ron, j'espère que je vais réussir à faire un patronus.

Pour moi c'est pas un problème, affirma Harry, je vais m'ennuyer.

Oh mais je suis sur que si tu montres à toute la classe, dit Ron, que tu sais faire un patronus, certaine, fille vont t'admirer. Ce qui est déjà fait.

De quoi vous parlez ? Demanda hermione.

Oh Harry ne vous a pas dit, fit Ron en ricanant.

Quoi ? Demanda Leïda.

Ronny chéri est jaloux parce que je me suis trouvé une fille avant lui…enfin, c'est pas la fille que j'espérais mais bon.

Harry avait dit cela d'un ton neutre, indifférent, Hermione regarda Ron en se demandant de qui il s'agissait, alors que Leïda souriait.

C'est qui ? Demanda Hermione.

Lavande, dit Ron en rigolant.

Leïda et Hermione explosèrent de rire.

Quoi, dit Harry qui ne fut en rien gêné.

C'est sûr, essaya de dire Hermione, que ça ne peut pas être la fille que tu espérais !

Bonne chance, dit Leïda.

Oh c'est sûr que c'est pas la mieux, dit Harry, mais ça fera passer le temps.

Je ne te croyais pas comme ça Harry, dit Hermione surprise alors que Ron explosait de rire.

Il a la côte depuis la rentrée, dit Ron.

Ah mon avis, dit Leïda, en tant que meilleur ami de Harry, toi aussi tu vas avoir la côte.

A ce moment là, Cho passa entre les tables de gryfondore et serpentard et salua Harry qui lui répondit d'un signe de la main.

Et toi Leïda, demanda Hermione.

Quoi ?

Tu vas sortir avec Seamus ou pas ?

Oh je sais pas, je verrai ça ce week end, au pré-au-lard, on doit se retrouver là-bas.

Ok

Le cours de DCFM que tout le monde attendait fut aussi bien qu'ils l'espéraient. Le professeur lupin montra le geste à faire suivit de la formule puis demanda à Harry, comme Ron l'avait prédit, de montrer à tout le monde. Harry regarda son professeur, se passa machinalement la main dans les cheveux, ce qui fit rire Lupin, et montra à tout le monde.

Excellent, dit le professeur en voyant le cerf argenté courir dans la classe, que tout le monde essaie, n'oubliez pas, pensez à quelque chose d'heureux. Je passerais voir tout le monde dans un instant, Harry je peux te parler ?

Oui, bien sûr.

Ils se dirigèrent un peu plus loin dans la salle de cour.

Harry, je voudrais savoir, si le professeur Rogue t'a parlé des cours d'occlumencie ?

Non, avoua Harry, et je ne lui en ai pas parlé non plus. Pourquoi ?

Harry, il est important que tu suives ces cours, et le professeur Dumbledore m'a demandé de veiller à ce que tu les suives correctement.

Si le professeur Dumbledore veut quelque chose il le fait lui-même.

Nous pensions que tu ne voulais plus le voir… mais ce n'est pas la question, est ce que vous sortez au pré-au-lard samedi ?

Oui, pourquoi professeur ?

Et bien, nous avons beaucoup réfléchit à ton rêve, et il se pourrait qu'il se passe quelque chose lors de cette sortie, je voulais seulement de prévenir que des aurors te surveilleront Harry.

Ça, je commence à être habituer, je ne peux pas faire un pas dehors sans que je sois surveillé.

Je sais Harry, mais c'est …

Pour mon bien je sais, mais c'est agacent.

Si tu as besoin de parler, je suis là Harry, pas en tant que professeur, mais en tant qu'ami.

Si j'ai besoin de parler ça ne sera pas de cette garde rapprochée !

Je suis prêt à écouter ce que tu auras à dire. Et une dernière chose, un service…

Quoi ? Demanda Harry.

Fait attention à Leïda, elle est fragile…

Je pourrais faire attention à elle si seulement elle me parlait, dit Harry d'un ton las.

Je sais, je sais, mais s'il te plait…

Bien sûr professeur.

Bien, merci Harry, tu peux aller rejoindre les autres.

Harry rejoint ses amis, à sa grande surprise, les trois faisaient apparaître un magnifique patronus, seul celui de Ron disparaissait très rapidement, mais on pouvait apercevoir un majestueux vautour. Hermione faisait apparaître un gros chat et Leïda un loup. Le cours fut intéressant, mais les pensés de Harry allait vers son directeur, et vers la sortie au pré au lard où il devrait subir une garde d'aurors.

Cette journée ne plut pas à Harry, il ne suivit presque aucun cour, pensant à Dumbledore et Sirius, il se sentait triste et il ne pouvait se résigner à rester ainsi longtemps, il irait voir son directeur, après la sélection des joueurs de quiddicht, mais se dit qu'en aucun cas il parlerait à Rogue de ces fameux cours d'occlumencie. Il dormit mal, contrairement à Ron qui s'était dit que si leïda et Harry partaient de leur côté au pré-au-lard il passerait la journée seul avec Hermione.

La journée du vendredi avait bien débuté, lorsque Harry rentra dans la salle de potion, il se sentit mal comme s'il était sûr que quelque chose allait mal se passer. Mais Rogue ne changea pas son comportement. Mais plus la fin du cours arrivait plus Harry se demandait si son professeur allait lui demander de rester, et plus il revoyait des images du rêve que voldemort lui avait transmis, et il voyait Sirius tomber, tomber. C'est alors que quand la cloche sonna, il prit l'initiative de se diriger vers son professeur de potion.

Qu'est ce qu'il y a Potter ?

Je voudrais vous parler professeur, dit-il agacé du ton que prenait Rogue.

Et bien parlez Potter, le ton qu'il avait employé était inconnue à Harry c'était un ton sans reproche mais un ton sec et dur.

Le…le directeur souhaiterait que vous continuiez à m'enseigner des cours d'occlumencie.

Et vous croyez Potter que j'ai envie d'enseigner des choses à un élève qui n'écoute rien.

Non…bien sûr…je comprends…de toute façon j'en avais aucune envie.

Harry commença à partir de la salle, énervé, quand Rogue le rappela.

Potter ! tous les vendredi soir à 17h dans mon bureau !

Merci professeur.

Harry parti donc de son cour de potion, un faible sourire à la bouche.

L'heure des sélections de quiddicht était arrivée et Harry fut très rapide, en une heure l'équipe était au complet. Ron gardien, Seamus Ginny et Leïda attrapeurs, Dean et Max (garçon de 5ème année) batteurs.

Bien, dimanche, à 16h premier entraînement.

Tout le monde acquiesça et ils parlèrent toute la soirée de Quiddicht. Le samedi arriva et Harry s'excusa au près de ses amis pour aller rejoindre Lavande, qui l'attendait, seule, Leïda en fit de même et se dirigea vers Seamus, laissant Hermione et Ron seul. Ce fut une belle journée, tout le monde s'amusait bien et Hermione ne savait pas que Ron pouvait être aussi drôle et sympathique quand il le voulait.

Harry était, assis sur un banc, fasse à Lavande qu'il embrassait tendrement alors que sa cicatrice, à son grand regret le brûla, et sursauta et se mit la main sur le front.

Harry ça ne vas pas ? Demanda Lavande inquiète.

Non, dit Harry, pas du tout même.

Il faut trouver Ron ou Hermione, ils sauront quoi faire.

Harry fut bouche bée un instant, l'année précédente il s'était engueulé avec Cho parce qu'il lui avait parlé d'Hermione, et là c'était Lavande qui lui en parlait.

Oui, dit Harry, je crois qu'ils sont au trois balais.

On y va, dit Lavande en lui prenant le bras pour l'aider à marcher.

Ils n'étaient pas très loin des trois balais et Hermione et Ron accoururent vers lui quand ils le virent.

Qu'est ce qui se passe ? Demanda Hermione.

Je sais pas, dit Lavande, il a eu mal à sa cicatrice alors on vous a cherché je ne savais pas quoi faire d'autre.

Le mieux à faire c'est de trouver un des professeurs. dit Ron

Harry se rappela soudainement qu'il n'avait pas été voir son directeur après le quiddicht comme il se l'était promis.

Il doit y avoir des aurors qui nous surveille, affirma harry.

Mais ils n'eurent le temps de regarder autour d'eux, qu'une grande explosion retentit un peu plus loin et des cris se firent entendre. Des mangemorts apparurent et lancèrent des sorts un peu partout.

Leïda, murmura Harry.

Il voulut aller voir mais Ron le retint.

Non ! C'est sûrement toi qu'ils veulent !

Les aurors qui surveillaient Harry se dispersèrent, deux, qui n'étaient autre que Thonks et Mondingus se précipitèrent sur eux et les mirent à l'abri dans le bar.

Mais il y a Leïda là bas, cria Harry, il faut aller l'aider.

Il y a des aurors là bas Harry ne t'inquiète pas, dit Thonks.

La ruelle était en feux, c'était le magasin de plume qui avait explosé, un instant avant l'explosion, Leïda s'y trouvait avec Seamus. Elle avait été projetée contre un mur et se releva avec peine, elle ne voyait rien, de la poussière l'aveuglait.

Leïda, cria Seamus. Leïda où es tu ?

Je suis là !

Elle vit une ombre s'approcher et reconnut Seamus. Il la prit par la main.

Le mieux à faire c'est de rester ici ! Dit Seamus.

D'accord.

Elle tremblait de peur, où était Harry, et son père. On entendait des cris de partout. Mais les aurors se trouvaient plus nombreux que les mangemorts, grâce à Dumbledore qui en avait posté un peu partout. Les mangemorts s'enfuirent donc mais le calme ne réapparut pas de suite. Harry aperçut Hagrid et le professeur McGonagall.

Hagrid !cria Harry.

Mais les cris couvraient sa voix.

Hagrid, demanda Minerva, essayez d'éloigner le maximum de gens, surtout les élèves.

Oui professeur.

Le calme commençait à revenir, la poussière disparaissait mais le feu s'intensifiait, des aurors essayaient de l'éteindre, Leïda et Seamus ne savaient pas vers où ils se trouvaient, aveugler par la fumée.

Il faut s'écarter d'ici, dit Seamus.

Il entraîna Leïda un peu plus loin, contre un mur. La foule était paniquée et tout le monde courait dans tous les sens. De l'autre côté de la rue, Leïda aperçut le chapeau de Dumbledore qui venait d'arriver et se sentit un peu mieux. De son côté Harry était calmé mais se demandait où était Leïda, et l'appel de Lupin qui se répétait sans cesse le refis paniqué.

Leïda, criait Rémus, Leïda !

Je crois qu'on t'appelle, dit Seamus à sa petite amie.

Celle ci tendit l'oreille et se sentit soulagé d'entendre la voix de son père.

Papa, cria-t-elle à son tour, Papa je suis là !

Rémus l'entendit et l'aperçut alors, derrière la foule avec Seamus, il essaya de traverser cette foule déchaînée mais se fut impossible.

Il faut les calmer, dit Rémus à un auror qui se trouvait près de lui, Leïda se trouve de l'autre côté.

Dumbledore avait entendu et calma tout le monde simplement en criant un « silence » qui réconforta tout le monde. Rémus passa de l'autre côté de la rue et prit Leïda dans ses bras.

Papa, dit elle, j'ai eu peur.

Allez venez tous les deux.

Il entraîna sa fille et Seamus vers les trois balais où ils rejoignirent Harry, Hermione, Ron et Lavande qui furent soulagés. Hagrid raccompagna les élèves présents au château. Ceux ci se retrouvèrent tous dans la salle commune, assis tous ensembles en face de la cheminée. Certain pleuraient, par l'absence de leur ami et d'autre n'osait dire un mot. Leïda était dans les bras de Seamus, Ron avait pris Ginny dans les siens, et la tête de Lavande reposait sur l 'épaule de Harry. Hermione, protectrice essayait de réconforter les élèves de troisième année qui sortaient au pré-au-lard pour la première fois.

C'est ma faute, trancha Harry, tous ça est ma faute, encore une fois !

Non Harry, dit Neville, si quelqu'un est responsable ce n'est pas toi.

Il veut m'atteindre c'est pour ça qu'il a fait ça !

Peut-être, dit Ginny, mais ce n'est pas ta faute s'il veut t'atteindre toi.

Tu n'as pas choisi d'être son ennemi, continua une fille de la même année que lui.

Il ne trouva rien à redire.

Vous croyez que ça c'est arrangé ? Demanda Dean.

Je pense qu'on nous avertira, dit Hermione.

J'espère qu'il n'y aura pas un nombre important de victime.

Les aurors on été rapide, dit Ron, certain se trouvait là bas et d'autre…

Me suivait, dit Harry, tu peux le dire Ron.

Donc, dit Leïda, c'est grâce à toi si les aurors ont été efficace.

Ouai, dit Seamus, tu n'es en aucun cas responsable.

Merci, bredouilla harry.

La porte de la salle commune s'ouvrit et le professeur McGonagall fut attendrit de voir les élèves se soutenir ainsi. Tous les élèves se tournèrent vers eux.

- tout est arrangé, annonça-t-elle, tous les élèves blessés doivent se rendre à l'infirmerie, et je suis au regret de vous dire, qu'il y a eu plusieurs victime, mais rassurez-vous, aucun élève de Poudlard n'est décédé, le professeur Dumbledore vous parlera au dîner. Je vous conseille de vous occuper jusqu'au dîner et de ne plus repenser à ce qui s'est passé pour le moment.

Elle sortit et les élèves sourirent malgré eux, heureux qu'il n'y ait pas de mort. Beaucoup retournèrent à leur occupation, mais Harry se leva et se dirigea vers la porte de la salle commune.

Où va t-il ? Demanda Lavande.

Voir le professeur Dumbledore, affirma Hermione heureuse qu'il se soit décidé.

Harry se dirigea en effet vers le bureau de son directeur, d'un pas lent et traînant, mais un pas décidé. Il arriva devant la magnifique statue de phénix qui gardait l'entrée du bureau, il resta devant celle ci, ignorant le mot de passe et hésitant. Il n'eut pas beaucoup de temps pour réfléchir qu'il entendit des pas dans le couloir et aperçut le professeur McGonagall qui semblait pressé, elle passa devant lui avec un sourire au lèvre et lui dit « bonbon nez en sang Potter » et continua son chemin vers son bureau. Harry la regarda stupéfait puis s'avança vers la statue.

bonbon nez en sang, dit il.

La statue se déplaça laissant place à des escalier, il y monta stupéfait du mot de passe, « c'est les bonbons de Fred et George » se dit-il. Il rigola un instant mais lorsqu'il se trouva devant la porte du bureau de son directeur, il sentit ses entrailles se glisser. Il prit son courage à deux mains et toqua.

entrez, répondit une voix.

Harry ouvrit lentement la porte et se retrouva devant son directeur qui remplissait des papiers, assis à son bureau. Dumbledore leva les yeux et lorsqu'il aperçut Harry il fut surpris et content.

bonjour Harry, dit-il en souriant.

Bonjour, bredouilla le survivant.

Assis toi je t'en prie.

Harry ferma la porte et s'avança en tremblant légèrement vers le fauteuil et s'y assit, évitant de regarder son directeur qui rangeait sa plume et ses parchemins.

qu'est ce qui t'amènes par ici, demanda Dumbledore gentiment.

Harry se sentit stupide, il ne savait pas pourquoi était-il venu, il ne voulait plus être en froid avec son directeur et ne voulait que les gens croient qu'il pourrait un jour le détester, mais était-ce la seule raison.

je suis allé voir le professeur Rogue, ce fut le seule chose que Harry réussit à dire, il a accepté de me faire des cours d'occlumencie.

Cependant il n'avait toujours regardé Dumbledore qui ne savait pas quoi dire lui non plus.

c'est très bien, répondit Dumbledore.

Il y eut un silence très long, où Harry essayait de trouver un moyen de dire se qu'il ressentait, et Dumbledore qui attendait.

bon, dit le directeur sachant la réaction que Harry allait avoir, si c'est tout ce que tu as à dire, tu peux t'en aller…

oh arrêter de faire semblant, dire Harry agacé, vous savez très bien pourquoi je suis venu !

oui mais peut-être qu'il serait plus facile d'y remédié si tu me parlait Harry. Ou si tu me regardait.

Je…essaya de dire le brun mais sa gorge le brûla soudainement et se sentit coupable, j'ai été stupide.

Je ne crois pas, contredit le directeur.

Si j'ai été stupide, je…je vous est tenu responsable de ce qui est arrivé à Sirius… vous vous êtes excusé au début de l'année et moi j'ai rien voulu savoir, je suis stupide.

Non Harry tu n'as pas été stupide ta réaction est normale.

Pourquoi vous vous acharné à me dire que c'est pas ma faute et que je ne suis pas stupide !

Parce que c'est la vérité.

Harry croisa alors le regard de son directeur et se demanda pourquoi avait-il été aussi long pour aller le voir alors que ça lui étais vitale d'avoir ce rapport avec Dumbledore.

je suis désolé, dit-il les larmes aux yeux.

Tu es pardonné Harry.

C'était sympa ce que vous avez dit à la rentrée. Merci.

Il n'y a pas de quoi… Harry, je suis prêt à entendre ce que tu as à dire, si tu as envie de parler…

C'est impossible, qu'il soit mort, je ne veux pas le croire…

Harry se demanda pourquoi il parlait de Sirius à Dumbledore alors qu'il avait refusé catégoriquement de lui en parler l 'année précédente.

professeur, demanda t-il, vous ne savez vraiment rien sur ce voile, et cette arcade ?

non Harry, malheureusement, personne ne sait rien.

Vous croyez vraiment qu'il est mort ?

Je ne sais pas du tout Harry, personne ne peut savoir Harry, sauf une personne.

Qui ?demanda Harry vivement.

Je ne peux pas te le dire, contre mon plein gré, pour la simple et bonne raison que ça ne concerne que cette personne et que je ne sais même pas si elle sait elle même qu'elle peut le savoir. Le seul indice que je peux te donner, c'est « trouve la lumière ». Toi qui adore jouer les détective, résout cette énigme.

Merci professeur.

Il se leva et se dirigea vers la porte du bureau.

merci Harry d'être venu me voir.

De rien.

Il sortit et sourit et se dirigea vers la grande salle où les élèves ont du commencer à se regrouper pour dîner. Dumbledore, annonça, comme prévu, les élèves blessés et tous le monde remarqua qu'aucun serpentard n'avaient été victime. Leïda lança un regard vers Malefoy qui avait un faible sourire narquois.

oh bien sûr profite-en Malefoy, dit Ron qui avait remarqué où le regard de son amis s'était dirigé.

Il m'intrigue, avoua Leïda.

Et pourquoi donc, dit hermione.

Tout le monde sait que c'est un future mangemort. Il est fou amoureux de la magie noire. Dit Harry.

Rogue est fou de ma magie noire il n'empêche qu'il est espion pour Dumbledore. Chuchota Leïda pour elle même.

De quoi ?

Non rien, répondit Leïda, je me demandais à quand est prévu l'évasion des prisonnier d'askaban.

Je suppose qu'il va attendre un peu, fit Harry, il voudra sûrement que ça se calme pour surprendre tout le monde.

Oui, confirma Ron, au faite Harry, qu'est ce que tu vas faire pour les vacances D'halloween ?

Je sais pas, avoua Harry, sûrement resté ici.

Ron, dit Hermione d'un ton mauvais, ce n'est que dans trois semaine.

Je sais, dit Ron agacé, mais enfin, j'avais pensé qu'on pourrait passé les vacances ensemble, au square…

J'en sais rien, dit Harry apparemment fatigué, on en reparlera plus tard, je suis crevé je vais aller me coucher.

Il se leva et partit en direction de la porte, Lavande se leva à son tour et alla le rejoindre. Leïda abandonna à son tour Hermione et Ron pour aller rejoindre son père dans son bureau.

Ce fut impatiemment que Ron, Leïda et Harry se dirigèrent vers la salle du cours sur les aurors, le mercredi suivant, afin de mettre au point le sortilège de révélation. Mais il sembla que le sort fut très difficile et que rare furent les élèves réussissant à faire sortir une vapeur violette de leur baguette, parfois, comme Ron, une vapeur sortait, mais elle était rouge sang au lieu de violette. Celle de Leïda était d'un violet pastel alors que celle de Harry était d'un violet très vif.

excellent, dit le professeur à Harry, 10 points pour Gryfondore. Bien, essayer alors de penser à quelques choses que vous voulez savoir, vous y pensez très forts et concentrez vous.

Harry pensa de nouveau à la lumière blanche, il se concentra « s'il vous plait, un seul indice, où la trouvée, pour Sirius », il récita l'incantation, décrivit un arc de cercle avec sa baguette. Il sembla à tout le monde que rien ne se produirait, mais soudainement, un grand flash blanc apparue et aveugla tout le monde. Puis ce fut de nouveau normale, Harry regardait tout le monde, sans comprendre, le professeur sourit.

je penses que vous avez compris la réponse à votre question Mr Potter.

La cloche sonna et il sortit accompagné de Ron et Leïda, la jeune fille essayait de ses montrer incomprise face à l 'événement passé, tout comme Ron le faisait naturellement.

tu as pensé à quoi ?demanda alors Ron.

Lumière blanche, bredouilla Harry.

Ils en parlèrent à Hermione, qui était en train de guider un premier année dans le château apparemment perdu, et celle ci eut une idée.

cela signifie peut-être, proposa Hermione, que celui ou celle qui sait où trouvé la lumière blanche, se trouvait dans la salle avec vous.

Sûrement, affirma Leïda.

Il y avait qui ?demanda Hermione.

Harry commença à lui dicter les élèves, Leïda se sentait mal, allait-il trouver, elle s'esquiva alors en s'excusant, partant rejoindre Seamus qui lui déposa un léger baiser sur les lèvres.

on est pas beaucoup, fini Harry.

Lorsque Leïda passa devant eux pour aller rejoindre Seamus, tout le monde pensa à la même chose.

Leïda, murmura Harry.

Non, dit Hermione, si elle savait quelque chose à propos de ça elle nous le dirait, j'en suis sûr.

Oui tu as raison, approuva Ron mais Harry resta silencieux.

Le vendredi soir la fin du cour de Potion arriva un peu trop vite pour Harry et lorsque la cloche sonna, ses amis l'abandonnèrent pour le laisser seul avec son professeur de Potion pour ses cours d'occlumencie.

bien Potter, dit-il de sa voix grisâtre. Je suppose qu'il est inutile de vous demandez si vous vous êtes exercé à vider votre esprit.

Non, avoua Harry avec une certaine appréhension à ce que Rogue allait dire.

Est ce que je peux en connaître la raison, continua son professeur en rangeant des ingrédients qui traînaient dans la salle.

D'autre chose en tête, dit le jeune brun en s'asseyant sur une chaise.

Quoi par exemple ?demanda l'homme au cheveux gras d'un ton cependant plus lent.

Je ne vois pas pourquoi vous posez la question vous le savez très bien !s'exclama Harry.

Ah oui je vois, vous n'avez donc pas changer Potter.

Vous non plus, toujours en train de me comparer à mon père, c'est vraiment…

Vraiment quoi Potter, dit Rogue en se tournant vers lui.

Vraiment stupide, acheva Harry.

Voilà qui est intéressant, je suis stupide, et vous ne l'êtes pas je présume.

Tout le monde est stupide. On est pas là pour faire de l'occlumencie.

Je ne peux pas vous faire ses cours Potter, affirma Rogue, si je ne sais pas ce qui se passe dans votre tête.

Vous ne me l'avez pas demandé l'année dernière !

Rogue ne répondit rien, se sentit gêné.

peut-être, continua Harry, que vous vous reprochez quelque chose professeur.

Et vous naturellement vous n'avez rien à vous reprocher !

Oh si, dit Harry regardant ailleurs que sur son professeur.

Ah oui, je serais vraiment ravi, dit Rogue souriant narquoisement, de savoir ce que peut se reprocher un Potter à part peut-être d'avoir sa réputation salie par sa propre faute.

Vous voulez quoi au juste ! que je vous dise que je suis désolé d'avoir fouiller dans votre pensine l'année dernière !

Par exemple, reprocha Rogue le teint cramoisi.

Et pourquoi devrais-je m'excuser devant un tel truc, qui m'a moi même tracasser toute l'année alors que vous, vous avez passer votre année à reprocher à un homme, forcé à rester coincé dans une maison qu'il détestait, de ne rien faire d'utile !

Rogue tourna la tête, puis le dot à Harry, il ne savait pas quoi dire.

je refuse de suivre des cours d'occlumencie avec vous tant que vous n'arrêterais pas de me comparer à mon père et à sa façon d'agir lors de sa scolarité à Poudlard. Et je compte bien les suivre ses cours !Alors oubliez un peu votre rancœur !il est mort !et tout le monde pense que Sirius aussi !alors quoi !vous aurez la conscience tranquille que lorsque Rémus sera mort lui aussi !

arrêtez Potter !cria Rogue.

Il semblait honteux, ému et énervé.

au revoir professeur !

Il partit du bureau énervé, mais soulagé, il se rendit à la salle commune retrouvé ses amis. Il y trouva Hermione et Ron, à sa grande surprise en train de jouer aux cartes près de la fenêtre, Leïda, regardait par celle-ci, l'air triste.

tu attends du courrier ?demanda Harry à Leïda.

Non…c'est …la pleine lune.

Oh, dit Harry, ça ne doit pas être facile…

Pas trop non, avoua Leïda.

Mais, essaya Harry, toi…tu…enfin, ce n'est pas à la pleine lune ? ou alors il n'y a rien du tout ?

Le lendemain de la pleine lune, dit Leïda, je n'assisterais pas aux cours Lundi…

D'accord, dit Harry n'insistant pas de peur de s'engueuler de nouveaux avec elle.

Mais je participerai à l'entraînement de quiddicht, continua-t-elle.

En parlant d'entraînement, dit Harry, je vais accélérer le rythme, les matchs ne vont pas tarder.

La semaine fut passé, Leïda n'avait pas participé aux cours du lundi comme elle l'avait signalé et était venu le mardi, très fatigué, elle avait refusé de parler à quelqu'un malgré l'inquiétude de ses amis. Le cours d'auror du mercredi arriva alors et au bout d'une heure, tout le monde arrivait à pratiquer le sortilège de révélation et le professeur entama un nouveau cour. Harry ne cessait de lancer des regards à Leïda qui semblait de nouveau en forme et s'entendait à merveille avec Ron. Ils rigolaient sans cesse et Hermione et Harry se demandaient ce que la jeune fille pouvait bien faire pour le faire rire ainsi. La jeune fille évitait soigneusement de regarder Harry, de peur qu'il vienne la voir, lui poser des questions ou quoique ce soit d'autre.

le sortilège que nous allons étudier , commença le professeur Firou, est beaucoup plus facile, c'est le sortilège de l'âme sœur. Il ne vas pas, comme son nom l'indique vous faire trouver l'âme sœur. Non. Il vous aidera, lors d'événement particulièrement stressant, paniquant, horrible ou plein d'autre chose, à trouver de l'aide dans votre quête, et il se trouve que l'aide que vous avez besoin vous suit tout au long de votre vie, comme votre ombre, ou comme votre âme sœur. Pour lancer ce sort, il faut, comme pour le sortilège de révélation, penser à ce que vous chercher, de l'aide. Pointez votre baguette sur vous et prononcer « exive amorossa ». Vous serez aujourd'hui noté sur votre façon de vous exercer !allez !exive amorossa.

Les élèves s'y mirent donc, chacun pensa à quelque chose. Leïda en fut ravi et se demanda si quelqu'un pourrait l'aider, quelqu'un a qui parler. Et a sa grande surprise, lorsque l'incantation fut prononcé, sa baguette lui échappa des mains et vola vers la fenêtre.

il y a peut-être un signe dehors, Miss Lupin.

Leïda se dirigea vers la fenêtre, ramassa sa baguette et regarda dehors, elle vit alors, sans vraiment comprendre se que cela signifiait, l'équipe de quiddicht de serpentard s'entraîner. Elle revint au milieu de la salle et recommença, mais cette fois ce fut Harry qui se prit la baguette en plein dans le ventre. Leïda ouvrit la bouche, ne sachant quoi dire et Harry la regarda sans comprendre. Elle se hâta de reprendre sa baguette et d'observer les autres élèves. La baguette de Ron cependant faisait quelque chose d'étrange, elle s'envolait et faisait comme si elle écrivait dans l'air, mais au bout de deux lettre que personne n'arrivait à déchiffrer, elle tombait à terre. Harry fut frustré et énervé de ne pas y arriver. « concentre toi » se dit il. Il vit Leïda rire avec Seamus, il se concentra et se demanda qui pourrait l'aider à résoudre l'énigme de la lumière.

exive amorossa, prononça t-il.

Il réussit, cependant il ne comprit pas ce qui se passa tout de suite. De nouveau il y eut un grand flash qui éblouit tout le monde, il sentit sa baguette quitter ses mains, et lorsque tout le monde revit à nouveau personne ne vit tout de suite où se trouvait la baguette de Harry. Levé dans les air à la hauteur des yeux de Leïda, pointé sur elle. Leïda regardait Harry, son cœur battant la chamade, et celui ci s'avança vers elle, et compris. Elle savait où trouver la lumière. Mais alors qu'il reprit sa baguette la cloche sonna et la jeune fille parti en courant vers le bureau de son père.

elle n'est pas venu ici, dit Hermione à Harry lorsque celui ci lui raconta tout, dans la salle commune.

Elle sait !elle sait et elle refuse de dire !

C'est peut-être dur pour elle, tenta Ron.

Et alors, elle n'est pas toute seule. Faut que je la trouve ! elle se doit de m'expliquer !

De toute façon, elle va bien venir dîner !dit Hermione. J'ai fait des recherche sur ce qu'elle pourrait être, en tant que fille de loup garou. Mais on en sait pas assez de chose. Il faudrait savoir si sa mère en était une aussi, ou si elle était normale.

Et si, sa mère n'était pas un loup garou, mais n'était pas normale, dit Ron, comme une vélane, ou une autre …truc…

C'est possible, affirma Hermione.

La seule qui peut nous dire ça, c'est elle, dit Harry très énervé.

Harry tu devrait te calmer avant d'aller la voir tout à l'heure, ça risque de mal tourner si…

Comment veux tu que je me calme !elle sait peut-être quelque chose sur Sirius !et elle nous dit rien !

Harry se leva d'un bond et parti de la salle commune, à la recherche de Leïda.