Réponses aux reviews…

Sahada : Oui, Dray est un Dieu deu sexe… Mais il lui a fallu un prof pour tout maîtriser… Prof que tu connaîtras dans ce chapitre. Merci, pour ta review, et n'hésites pas à réécrire pour faire part de tes remarques…

Mily Black : Comme cela tu as une vague idée… Et ben , si tu continues ta lecture, tu pourras être fixé sur ce point dans ce chapitre… Sadique, hein ? Ne gâchons pas toutes nos munitions, j'en réserve encore…

Yochu : Ahhh… Te voilà… Comment cela, tu n'aimes pas le partage des critiques ? Pourtant, je le trouve équitable, moi. Voici la suite de cette superbe fic. Ce sera du Don Pérignon, pour moi…

Nytshade : voilà, voilà… Une suite toute chaude… Mais qu'est ce que vous êtes affamés… Contente que cette histoire te plaise.

Vert émeraude : Les quiproquos, il y en aura encore… Rassures-toi… Merci pour ta review, je ne pensais pas avoir un tel succès…

Onarluca : chef, oui, chef… J'ai décoché la fameuse case, vilaine pas belle, qui interdit des reviews anonymes… Et merci pour tes encouragements. J'espère que ce chapitre te plairas…

Serpentis-Draco : voilà… Tes désirs seront, je l'espère, comblés… Merci de tes réactions.

Winnie-Spike : Rouler un patin à Draco ? Heu, si tu veux, faut lui demander, à lui, personnellement… Moi, je ne suis qu'un simple auteur… Et voici la suite, petite impatiente. PS : je suis ravie que l'histoire te plaise…

Et maintenant, place à l'histoire….

Chapitre 2

Harry guettait ses proies depuis déjà quelques semaines… Il avait souvent vu Draco et ses amis s'évaporer après le dîner pour se rendre Merlin sait où.

Dans un lieu resté inconnu à ce jour.

Une chose était sûre : Ils ne revenaient pas à leur salle commune, il les y avaient attendu de nombreuses fois, dissimulé sous sa cape d'invisibilité. Il avait également tenté de les filer à plusieurs reprises, mais avait fait chou blanc : Soit Hermione le traînait à la bibliothèque pour un devoir urgent à rendre, soit Ron lui rappelait qu'un entraînement de Quidditch était prévu, soit un de ses camarades réclamait sa présence pour une séance de travail spéciale AD… Et pendant ce temps, la bande d'affreux en profitait pour disparaître corps et âmes pendant des soirées entières.

Des nuits mêmes.

C'était idiot, mais Harry en était contrarié…

Et le nombre de nuits blanches commençait à se faire sentir sur son attention en cours et sur ses devoirs….

En revanche, les visages de Draco et de ses amis rayonnaient de plus en plus. À tel point que même Ron l'avait remarqué. Car les attaques perfides et les paroles acides avaient cessé.

-Qu'est-ce qui leur arrive, aux Serpentards ? Miracle, même Malfoy devient fréquentable… Pourvu que cela dure…

Et les deux maisons rivales s'étaient rapprochées. Leurs membres ne s'insultaient plus. Sans aller jusqu'à la franche amitié, une camaraderie commençait à s'installer insidieusement. Harry avait même surpris Pansy et Hermione échangées des informations à propos d'un devoir de potion. Les deux jeunes filles ne s'étaient pas crêpées le chignon. C'était incompréhensible.

Et c'était très agaçant.

Et puis, cette gentillesse soudaine de Malfoy à son égard était troublante. Elle était certes feinte, mais troublante.

Car il ne savait pas comment réagir à cela.

Et Harry supportait beaucoup de choses, mais il n'aimait pas qu'on se paie sa tête sans qu'il puisse répondre quoi que ce soit. Sa colère grondait dès qu'il apercevait des cheveux blonds argentés dans ses parages. Il en devenait même grossier, et à la grande surprise de tous, Ron et Hermione avaient pris la défense des serpentards, arguant du fait qu'ils ne faisaient rien de mal. Harry leur avait presque ri au nez, mais il s'était retenu de justesse… Il leur expliquerait, plus tard. Quand Malfoy et sa bande avec le fameux mage, seraient jetés à Azkaban… Mais il devait s'avouer qu'ils étaient plus rusés qu'il le pensait. Mais cette nuit, oui, cette nuit, il les suivrait jusqu'au bout, et alors…

Draco était sans conteste le plus heureux étudiant de Poudlard. Et il le devait à une personne merveilleuse. Son cher professeur… Dire qu'il l'avait snobé, méprisé, même pas regardé pendant ces cinq précédentes années… Que de temps perdu, vraiment… Ses amis s'étaient montrés beaucoup plus intelligents que lui. Ils étaient allés le trouver, avaient pris la peine de le connaître… Et s'étaient vus offrir les clés d'un paradis sexuel inimaginable.

Car ce professeur était un Dieu du sexe.

Et les Dieux, c'est pourtant bien connu, prisent beaucoup les déguisements. Draco se souvenait avec émotion de leur première vraie rencontre. Oh, il s'était montré si stupide cette nuit-là. L'orgueil, son maudit orgueil lui avait fait dire des horreurs. Il en rougissait encore de honte… Blaise, Vincent et Greggory, l'avaient entraîné dans un couloir poussiéreux. Il avait protesté, plus pour la forme, que par peur véritable.

-Dumbledore nous a interdit d'aller par là… C'est dangereux…

Blaise avait alors posé un bras rassurant sur son épaule.

-Mais non… En fait, il n'y a pas de quoi fouetter un chat…

Comme s'il n'avait attendu que cela, un chat s'était mis à miauler comme un désespéré. Ou plutôt une chatte. Miss Teigne. L'animal de compagnie de Rusard. Son radar à élèves désobéissants… Draco avait sursauté, cherchant du regard un endroit où se dissimuler. Les coins d'ombre ne manquaient pas. Il fut surpris lorsqu'il constata que ses amis, non seulement, ne fuyaient pas, mais encore, regardaient avec attention la chatte. D'ailleurs, l'attitude de cette dernière était étrange. Elle avait cessé de miauler et se frottait lascivement sur les jambes des jeunes gens. Puis, elle s'était détournée pour avancer dans un couloir rendu invisible par l'obscurité des lieux. La voix de Blaise s'éleva alors en un doux murmure.

-Nous pouvons y aller, la voie est libre…

Le jeune homme en était resté comme deux rond de flan.

-Qu'est ce que… Mais vous êtes dingues ! On va se faire choper par Rusard. Pourquoi vous suivez ce chat ?

Ses compagnons n'avaient pas daigné lui répondre et l'avaient entraîné à leur suite, jusque dans une grande pièce éclairée par des flambeaux. Et là, il vit le mystérieux professeur. Blaise s'était d'ailleurs jeter dans ses bras et l'embrassait à pleine bouche, tout en lui chuchotant des mots tendres.

Et Draco faillit détaler à toutes jambes devant ce spectacle… Heureusement, Vincent et Greggory l'avaient retenu et poussé vers leur enseignant préféré. Blaise avait éclaté de rire devant l'effroi du sorcier blond, avant de regarder amoureusement son Homme.

-Il est un peu timide… Mais cela va lui passer… Et puis, il ne te connaît pas. Enfin, pas comme cela. Faut lui pardonner…

Une voix douce et ironique s'éleva alors, stupéfiant Draco sur place.

-Un peu timide ? Comme toi à tes débuts. Tu te souviens ? Oh, Blaise, tu étais si mignon. Tu tremblais et tu voulais me fuir. Pourtant quand j'ai ouvert la porte tu es resté…

Le jeune sorcier brun souriait avec tendresse, tandis que l'homme se tourna vers son nouvel « élève ».

-Et bien, Draco Malfoy… Pourquoi êtes-vous venu me voir ?

Le sorcier blond essaya de reprendre ses esprits le plus vite possible. Cet homme merveilleux dont on lui chantait les louanges, c'était lui ? Lui, le jaloux, le sadique au fouet, le cracmol… Il n'osait pas y croire. Il était en train de cauchemarder et allait se réveiller en sueur dans son lit… Pourtant, même si les flambeaux n'éclairaient pas toute la salle, il pouvait reconnaître ces traits usés, cette bouche dédaigneuse avec ce pli amer qui la tordait… Et en même temps, le visage était plus… Doux ? non… Humain, attentif, rieur … Oui, cet homme était bien le même que celui qui houspillait les élèves à longueur d'années. Et en même temps, ce n'était plus vraiment lui. Rusard se tenait devant eux, le corps droit comme un i , les écrasant tous de sa majesté.

Et Draco avait éclaté de rire… Le concierge de Poudlard ne s'en formalisa pas, il serrait toujours contre lui son cher Blaise. Vincent et Greggory contemplaient, intrigués, leur jeune « chef » en proie à un fou rire inextinguible… Pourtant, cette voix qui montait… Cela ressemblait plutôt à…

Ils n'eurent pas le temps de penser davantage, car Rusard avait délaissé Blaise pour se rapprocher rapidement de Draco. Saisissant son visage, il l'avait giflé assez durement. Le rire aigu cessa enfin de retentir.

-Désolé, petit, mais tu nous faisais une crise de nerfs en règle… Trop d'émotions, sans doute.

Le blond recula vivement, blessé par le contact de ce cracmol. Ses amis étaient devenus fous, sinon, comment expliquer cette allégeance envers cet individu qui ne possédait pas l'once d'une énergie magique dans son corps ?

-Ne me touchez pas… Vous êtes… Répugnant !

Vincent et Greggory avaient poussé un hoquet de surprise, rapidement calmé par Blaise. Rusard, lui, s'était contenté de sourire doucement.

-Ainsi je te dégoutte… Mais pourquoi es-tu venu jusqu'à moi ?

Draco rougit, très gêné. Il avait besoin du concours de cet homme pour faire succomber le survivant, fleuron de la tour rouge et or. Aussi, il marmonna dans sa barbe…

-Pourquevousm'aidiezà séduirePotter

Rusard tendit l'oreille pour avoir une chance d'entendre son jeune rebelle.

-Allo ? Excuses-moi, je n'ai pas bien entendu…

-Pour que vous m'aidiez à séduire Potter

Un silence lui répondit…

-On dit, s'il vous plaît…

Blaise éclata de rire, suivi par Vincent et Greggory. Rusard s'autorisa un bon sourire avant de continuer devant la mine déconfite du nouveau venu.

-En fait, tes petits camarades m'ont déjà parlé de toi et de tes ennuis… Tu veux entraîner Potter dans ton lit. C'est possible, mais il te faudra te soumettre à mes conseils… Et aux travaux pratiques.

Draco déglutit avec difficultés. Le professeur entrait dans le vif du sujet et touchait un point très sensible. Rusard se tourna vers les trois autres étudiants et leur fit signe de s'éloigner. Docilement, ils passèrent dans une seconde pièce pour commencer leurs jeux. Le concierge les regarda disparaître un à un. Il voulait connaître les motivations de Malfoy avant de décider quoi que ce soit

-J'ai besoin de savoir… Tu l'as déjà fait avec un garçon ?

Hochement négatif de la part de l'adolescent.

-Es-tu réellement attiré par les hommes ou est-ce juste un jeu ?

-Non. Je crois… Pansy a dit… Et puis dans le train, Blaise a… Cela m'a plu… Je ne sais pas.

L'homme soupira. Blaise. C'était vrai que ce dernier s'amusait bien avec ses camarades. Mais jusqu'ici, ceux qu'il avait ramenés étaient tous convaincus d'être 100 gays. Le jeune sorcier avait un jugement très sûr. Mais il pouvait toujours se tromper, après tout…

Il ramena son attention sur la nouvelle recrue. Un Malfoy. C'était très délicat. Il ne devait pas lui faire peur, mais gagner sa confiance petit à petit. Et lui laisser un peu de temps. En fait, c'était au jeune homme de fixer les limites, et lui observerait son comportement. Malfoy serait-il un soumis ou un actif ? cela aussi, il le saurait bien assez tôt. Et les questions lui servaient de thermomètre : le jeune sorcier ne s'était pas enfui. Il l'avait plutôt agressé verbalement (mais c'était un Malfoy)…Et il était perdu. Et maintenant, au travail.

Draco s'était détendu maintenant qu'il se retrouvait seul avec le concierge… Le professeur. Les questions n'étaient pas dérangeantes, et il avait l'impression d'être vraiment écouté, pour la première fois de sa vie. Il en ressentit un immense soulagement, et de la joie. Oui, il n'avait jamais été aussi… Bien dans sa peau.

Il ne protesta pas lorsque Rusard lui demanda de venir près de lui.

-Draco… Tu es libre de faire ce que tu veux. Préfères-tu qu'un de tes camarades assiste à tout, ou veux-tu être seul avec moi pour partenaire ? Ou préfères-tu partir ?

Le jeune homme ne réfléchit même pas, mis en confiance par la voix chaude de cet homme qu'il traitait comme du poisson pourri l'instant d'avant. Il ne voulait pas quitter ce lieu et il voulait être seul avec lui.

-Très bien, dans ce cas… Si tu veux à un moment ou à un autre, que j'arrête tout, tu me le dis. C'est toi qui mène la danse. Moi, je ne suis que ton guide. Choisis un code, pour que je sache que tu veux vraiment arrêter.

Le jeune homme réfléchit un moment. Quel mot pourrait-il lancer pour que son (futur) partenaire sache qu'il ne voulait pas aller plus loin ? Ah oui…

-Basilic sera le mot. Si je le lance, vous vous arrêtez, n'est ce pas ?

Rusard eut un sourire de confirmation. Et entreprit de commencer la première leçon.

-Je vais maintenant t'apprendre la grammaire…

Il l'entraîna vers un coin de la pièce, où un grand lit à Baldaquin siégeait majestueusement. Doucement, Rusard y assit Draco et il commença à le dévêtir avec patience, en le calmant de temps à autre d'une caresse et ponctuant l'opération de tendres baisers sur les lèvres et le visage. Il se débarrassa simplement de sa tenue grise. Draco fut sidéré de voir un torse pâle finement musclé et délié, mis en valeur par un pantalon de cuir noir moulant à la boucle argenté. Le jeune homme eut un recul lorsque les mains du concierge commencèrent à parcourir son corps souple, caressant ses cheveux avant de descendre vers ses fesses tendres qu'il malaxa avec lenteur et soin. À sa grande surprise, son corps répondit positivement aux stimulations de cet homme qu'il exécrait un quart d'heure auparavant. Les sensations étaient étranges, plaisantes… Il ne voulait pas que cela cesse.

Devinant un changement d'attitude de la part de son jeune amant, les lèvres de Rusard se rapprochèrent alors de ce cou blanc et vierge qu'elles convoitaient depuis déjà un moment et se posèrent dessus avec légèreté. L'homme lécha et mordilla cette chair offerte, avec délices, irritant légèrement la peau douce de sa barbe de trois jours et savourant les soupirs qu'il arrachait à ce jeune noble imbu de lui-même… Hummm. Il adorait cet instant ou il sentait basculer ces fiers sorciers. Il aimait les entendre le supplier de les contenter et de les noyer de plaisir. Celui-ci n'y échapperait pas…

Draco était à moitié fou de désir. Ce dernier montait par vague, exigeant, lui ôtant ses dernières inhibitions. Il lui en fallait plus, encore plus, beaucoup plus. Ses gémissements se firent plus âpres, sonores… Une main légère lui bâillonna la bouche. Il poussa un soupir d'exaspération, mécontent. Mais il fut entendu… Les lèvres apaisantes de son cher professeur glissèrent vers ses tétons rosés, dressés d'excitation. Il sentit les mordillements tendres… Rusard était tout à l'écoute des ondulations de son amant. Le jeune sorcier réprima à grand peine un tremblement et senti son sexe se durcir, tandis qu'il laissait ses mains explorer à leur tout, timidement, le corps de son partenaire. Bientôt, son corps se tendit pour solliciter plus d'attentions et il gémit plus sourdement, se mordant légèrement les lèvres, écartant inconsciemment les jambes pour permettre à son professeur un meilleur accès à son intimité… Sa verge était tendue, gorgée de sang, impérieuse. Les hanches du jeune homme roulèrent tandis que les lèvres de Rusard se positionnèrent juste à l'extrémité du gland, en un très léger frôlement. Draco agrippa fermement le drap, tandis que la langue expérimentée du concierge entreprit de lui lécher à petit coup, l'extrémité humide de son sexe… Il se souleva pour offrir sa verge tendue douloureusement.

-S'il vous plaît… Argus… Je t'en…Prie…

Un rire amusé retentit…

-D'accord, petit prince, j'arrive…

Enfin, un doux fourreau humide vint prendre possession du jeune membre impatient. Le corps de Draco s'arqua, alors que ce dernier essayait vainement d'étouffer ses cris derrière la main fraîche de son bien aimé cracmol… Cela dépassait tout ce qu'il avait imaginé… Même avec les filles qu'il avait eues, il n'avait jamais ressenti une telle félicité. Son corps s'abandonna totalement aux sensations nouvelles prodiguer par ce maître inconnu… Il haleta de plus belle lorsqu'il sentit sa semence se déverser dans la bouche de son initiateur… Après un dernier soubresaut, son corps se détendit et il resta sur le matelas, pantelant… Rusard se dégagea rapidement avant de remonter vers le visage de son nouvel amant. Il l'embrassa passionnément avant de s'allonger à ses côtés.

-Fin de la première leçon… Demain, si tu le désires… On approfondira.

Draco se sentit rougir en entendant ces propos. Il ne se sentait pas près à cela… Il voulait que cela soit unique, avec une personne qu'il aimait vraiment… Rusard du sentir la réticence puisqu'il continua

-À moins bien sûr, que tu te réserves… Dans ce cas, ce sera à toi de me donner du plaisir. Car pour en recevoir, il faut savoir d'abord en prodiguer… Tu comprends ?

Le jeune sorcier hocha la tête, un peu penaud et vint se blottir contre l'épaule de son maître. Il fut réveillé rudement par Blaise, Vincent et Greggory en pleine forme et très contents d'eux. la soirée avait dû être plaisante.

-Alors ? C'était bien ?

Le rougissement du blond répondit mieux que des mots. Blaise éclata d'un rire heureux… Greggory regarda sa montre et murmura

-Dépêche toi de te lever. C'est bientôt l'heure du petit-déjeuner. Il ne faut pas qu'on le loupe si on veut que les autres ne remarquent rien.

Draco se leva en maugréant et constata qu'Argus n'était plus là. Il s'habilla rapidement et suivit le joyeux trio…

Et depuis cette fameuse nuit, il retournait régulièrement prendre des leçons particulières. De l'avis de tous, il faisait des progrès spectaculaires et son cher professeur l'encourageait dans cette voie…

Aujourd'hui il se sentait fin prêt à passer en mode séduction.

Les choses sérieuses allaient commencer. Il lui tardait d'appliquer ses connaissances toutes neuves sur son joli lionceau. Car en y réfléchissant, Potter était vraiment mignon. Sans ses binocles. Cela gâchait son regard d'émeraude fondue. Au fait, son Harry (Pas touche, cuvé réservée au propriétaire. Lui, Draco Malfoy, serait le seul et unique Tombeur du Survivant), devenait bien agressif à son encontre depuis quelque temps. Et puis, il n'arrêtait pas de le regarder fixement, avec hargne.

N'était-ce pas de l'amour ? Sûrement…

Et lui, Draco Lucius Malfoy, saurait lui faire avouer ses sentiments pour lui…