Bonjour ! Me revoilà avec une vraie histoire cette fois-ci... Pas une one- shot qui ne m'a pris qu'une journée à écrire... Bon, trêve de bavardage, je vous laisse à votre lecture car de toute façon, je sais très bien que personne lis les notes de l'auteur en début de chapitre. Juste une dernière chose... C'est l'fun de SAVOIR quand quelqu'un nous lit et apprécie notre boulot (pas que je touche le moindre salaire pcq ceux qui pensent ça se mettent le doigt dans l'œil) Je sais pas si vous avez compris mais ce que je voulais dire c'est : Review, review review...
Disclaimer : Ben oui, cette fois je l'ai pas oublié ! lol Tout est à J.K. Rowling. Rien n'est à moi à part peut-être quelques perso à venir dans l'histoire. Même si j'aimerais bien ça, ça ne m'appartient pas (même pas mon petit Drakychounet (air suppliant) snif snif)
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Chapitre 1 ; Incident à bord du Poudlard Express
Pendant l 'été, Hermione avait changé, autant physiquement que psychologiquement. La mort de ses parents, l'année précédente, l'avait beaucoup affectée. C'était à ce moment qu'elle avait commencé à changer. Elle avait commencé à faire attention à sa coiffure, défrisant ses cheveux à l'aide d'un sortilège. Elle se maquillait aussi, chose qu'elle n'avait jamais faite auparavant. Au début, le maquillage était discret, c'était à peine si on le voyait mais, peu à peu, il s'était fait plus présent...
Mais en ce premier septembre, c'était l'apogée. Hermione était vraiment ... sexy!! Elle s'était teint magiquement les cheveux en noir et elle avait des verres de contacts turquoise. Elle portait une minijupe (Mais vraiment mini...) noire avec une camisole bleue poudre qui dévoilait un piercing au nombril en forme de dauphin. Elle était tout simplement méconnaissable.
Tandis qu'elle cherchait Harry et Ron, ne regardant pas où elle allait, elle entra en collision avec un beau jeune homme blond de son âge, soit 17 ans. Elle s'étala sur le sol, renversant au passage sa valise et le panier de Pattenrond.
- Excuse-moi, je ne t'avais pas vue. Tu dois être nouvelle à Poudlard, je ne t'ai jamais remarquée, dit-il et pour se faire pardonner, il l'aida à se relever.
- Qu'est-ce qu'il est mignon, pensa Hermione.
- Euh, non, je ne suis pas nouvelle... Tu dois être à Serdaigle, on a aucuns cours en commun.
- Ben... Non, je ne suis à Serdaigle, je suis à Serpentard !
Soudain, l'engrenage s'enclencha... Ces cheveux blonds platine qui lui tombaient élégamment dans les yeux, de si beaux yeux gris.
- Malfoy ! Ôte tes sales pattes de sur moi ! s'écria-t-elle car il la tenait encore par le bras.
- Mais... que... quoi...
Une lueur de compréhension s'alluma alors dans son regard glacé. Une seule fille osait lui parler sur ce ton...
- Granger... Notre Sang-de-Bourbe préférée !
Mais Hermione ne perdait pas son sang froid, ce qui énerva grandement Draco.
- Excuse-moi mais j'ai mieux à faire que d'écouter tes piètres insultes, dit- elle.
Elle monta dans le train et se dirigea vers l'avant, plus précisément, au compartiment réservé aux préfets-en-chefs.
Draco la suivait silencieusement, priant intérieurement pour qu'elle ne soit pas ce qu'il craignait.
Ses peurs se matérialisèrent quand il la vit tourner dans la tout premier compartiment du train.
Hermione entra dans le compartiment des préfets-en-chefs. Elle resta bouche bée. Les lieux étaient vraiment superbes. Des causeuses de cuir blanches étaient disposées autours d'une petite table d'ébène.
Elle pris place et se plongea dans la lecture d'une revue de mode. Quelques instants plus tard, son homologue masculin vint la rejoindre. Elle leva les yeux vers lui...
- Malfoy ! Qu'est-ce que tu fous ici ? C'est le compartiment des préfets-en- chefs je te signale !
- Mais je le sais bien!! Tu n'as pas l'exclusivité de ce titre, Granger !
- C'est pas vrai... ajouta-t-elle d'une voix presque implorante. Tu es préfet- en-chef toi aussi ?
- Tout juste, Auguste !
Hermione, découragée se replongea dans sa revue de mode tandis que Draco prenait un livre.
Environ une heure plus tard, Ron et Harry. Qui n'avaient pas vu Hermione de l'été, entrèrent en coup de vent dans le compartiment.
- Euh... désolé de vous déranger... on ne voulaient surtout pas déranger un couple... c'est que... commença Ron.
À ces paroles, Draco haussa un sourcil mais Hermione, qui n'avait rien écouté de ce que le rouquin avait dit, était déjà en train d'étouffer Harry. Puis vint le tour de Ron. Pourquoi c'est pas moi qu'elle sert dans ses bras comme ça ? pensa amèrement Draco. Attend ! Tu n'es quand même pas en train de fantasmer sur... GRANGER!! Arrête ça tout de suite!!
Mais une voix le ramena à la réalité.
- Hermione ? C'est bien toi ? demanda Harry. C'est incroyable, tu as tellement changé !
- En bien, j'espère, lui répondit son amie avec un sourire franc. C'est ma best coté moldus, Marilyne qui m'a persuadé de renouveler ma garde-robe.
- C'est super, elle a bon goût ! Mais c'est quoi ce truc qui pend à ton nombril ? questionna le dernier des frères Weasley.
- Ben, euh... c'est une barbelle !
- Et ça mange quoi en hiver ?
- C'est la boucle d'oreille spéciale qu'on met dans les piercings de nombril... répondit Harry, qui, jusque là, ne s'était que très peu mêlé à la conversation.
Il observait Draco, qui lui, observait Hermione avec insistance. Harry se lança donc dans la (très) longue explication du « Pourquoi les moldus ont l'idée étrange de se percer le corps à l'aide d'aiguilles ? »
Ils en parlaient encore quand la voix du contrôleur retentit :
- Chers élèves, nous vous avisons que nous arrivons dans un peu moins d'un quart d'heure.
Ron et Harry partirent donc se changer dans le compartiment qu'ils partageaient avec Neville, Dean et Seamus. Hermione resta donc seule avec Draco...
- Hum... Malfoy, vas-tu sortir le temps que je me change ? demanda-t-elle
- Ouais, j'ai pas envie de voir une Sang-de-Bourbe en petite tenue.
Il sortit de la cabine et partit faire un tour. Il revint cinq minutes plus tard et resta ébahit devant le spectacle que lui offrait Hermione.
Son portable(téléphone cellulaire) ayant sonné au moment où elle allait enfiler son uniforme, elle s'était vue obligée d'y répondre. Donc, quand Draco entra, c'est Hermione vêtue d'un soutien-gorge et d'un string en dentelle rose pâle (très féminin) qu'il aperçut...
- Ouais Mary. On se revoit sur le quai à Noël ? ... D'ici là on s'écrit ? ... En tous cas, à plus...
Elle raccrocha et c'est à ce moment seulement qu'elle vit Draco qui la jugeait d'un œil critique.
À dix-sept ans, Draco Malfoy avait eu plus d'une fille dans son lit. Tandis qu'il observait la jeune Griffondor, il se surprit à penser qu'elle était l'une des plus belle qu'il n'ait vu. Mais une voix stridente le tira de ses pensées :
- Malfoy ! Sort d'ici tout de suite ! hurla Hermione, rouge de colère et d'embarras.
- Hey Granger, tu oublies que c'est aussi mon wagon... Et tu oublies aussi que je dois me changer et que toutes mes choses sont ici ...
Sous le regard ébahit de la jeune fille, il sortit son uniforme de sa malle, ôta tous ses vêtements, sauf son caleçon noir (on ne bave pas sur son clavier !!!) et enfila sa chemise et son pantalon.
- Oua!!! Il est vachement canon notre Serpentard adoré. Par Merlin, t'as vu ces muscles ! Le quiddich, ça fait effet... songea Hermione.
- Mmm... Granger ?
- ...
- Ferme ta bouche, tu vas avaler une mouche !
Elle suivit le conseil de son ennemi, non sans en être très gênée.
Et il sortit, en lui jetant un regard malicieux. Il ne revint pas des cinq minutes qui restaient et Hermione sortie seule du train.
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Avec Draco
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C'était vrai que Draco avait souvent l'air d'un bloc de glace, mais il en était tout autrement. Ce garçon était une vraie tornade d'émotions. Il passait souvent de la joie à la peine sans raisons apparente. Mais son père lui avait tellement bien appris à être comme lui, froid et distant, qu'il savait très bien cacher la morosité qui l'envahissait au souvenir de sa famille.
Oui, le choixpeau avait voulu l'envoyer à Griffondor, tout comme il avait voulu envoyer Harry à Serpentard, mais Draco l'avait supplié d'aller à Serpentard. Il savait très bien à quelle correction il aurait droit s'il était envoyé dans la maison des lions.
Mais c'était vrai qu'il avait toutes les qualités de Salazar Serpentard ; la ruse, l'absence de remords quand il faisait appel à la magie noire... Mais il restait que Draco n'avait et n'aurait jamais de maître. Il était son propre maître. Son père voulait à tout prix le voir servir Voldemort mais lui n'accepterait jamais. Plutôt mourir !!
Draco sortit du train et rentra dans une des calèches sans chevaux...
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De retour avec Hermione
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Elle ouvrit la portière et monta dans la calèche. Quelques instants plus tard, elle fut rejointe par ses deux meilleurs amis.
Mione ? dit Ron. Ça va ? Tu as l'air pâle... Oui, oui. Tout va bien ! Oui, tout va bien à part que Malfoy vient de me voir à moitié nue et qu'il s'est changé devant moi ! pensa-t-elle amèrement. Tu pensais à tes parents ? demanda Harry, doucement. Ouais, mentit-elle. Tu veux en parler ? Non... D'accord.
Les deux garçons s'assirent sur la banquette et la portière s'ouvrit à nouveau, les faisant tous sursauter violemment. Ginny et Luna montèrent à bord et prirent place aux cotés d'Hermione. La calèche démarra.
Salut Ron. Salut Harry. Salut Mione, lança Ginny. Ça va ? Ouais, répondirent-ils en chœur. Et vous, demanda Hermione. Oui, dit Ginny. Mmm... baragouina Luna, perdue dans ses pensées, comme à l'habitude. À quoi tu penses ? la questionna Hermione. Je songe à ce qui va se passer après... Après quoi ? Après que vous soyez partis de l'école... ça va faire vide... Ne t'inquiète pas, nous nous verrons souvent.
Ginny pris Luna dans ses bras. Harry (Hermione évita de leur raconter l'anecdote du train) raconta comment s'était passé le voyage et, trop vite à leur goût, ils durent descendre de la calèche chaude pour se retrouver dans l'atmosphère froide et pluvieuse de l'automne.
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C'est fini pour le premier chapitre ! J'espère que vous avez aimé. Je me rends compte que c'est beaucoup moins bien écrit que les fics des auteurs plus âgés. Ben oui, j'ai juste 13 ans, faut me pardonner...
Pour la suite (pour ceux qui la veulent), JE NE SAIS PAS ENCORE QUAND ELLE ARRIVERA. Vous voyez, on fait beaucoup de rénovation chez nous ces temps- ci alors je suis très prise.
Par contre, je me réserve le droit d'arrêter la fic quand je veux si je n'aime pas la tournure qu'elle prend mais je vais vous en avertir à ce moment là.
Bizous aux fromage
Ariane