Genre : triste, bizarre, OOC d'Heero je crois, et nouveauté dans cette fic, du DELIRE !
Disclamer : Je possède les G-boys et leurs armures . . .
G-boys : LEEEEEEEEEEEEEEEEN !!!!!!!!
Leen : oui oui, bon, je ne possède RIEN !
G-boys: Ouuuuf.
Leen: SAUF Vince!
G-boys : Qui c'est ça?
Leen #sourire innocent#
yaonne-san : Bah pour savoir, va falloir lire, mais aussi patienter. --' Je hais le manque de motivation. Bisous !
Luinil Azuretoile : Prend bien de l'aspirine, parce que je sens que tu vas en avoir besoin ! mais laisses-en à Quatre, c'est encore pire que toi . . . Pour la prise de tête, c'est le cas, et je suis concernée par cette prise de tête. Mais dans quoi je me suis lancée moi ?
Je m'excuse humblement pour tout ce que je vais dire, mais j'ai pas tellement vu d'épisodes de Gundam Wing, et je n'ai quasiment rien compris au conflit qui est entre les colonies et OZ. Pas ma faute si les fics ne m'avancent pas plus que ça.
Si jamais vous pouviez m'apporter plus d'informations, je les accepte avec plaisir !
.
.
Chapitre 7: Danse en trois temps.
Je me réveille
Doucement mais sûrement
Où?
Où suis-je?
Je l'ignore
Je veux ouvrir les yeux
Des voix
Que disent elles?
Je l'ignore
Je veux écouter
Je flotte
Où? Comment?
Je l'ignore
Je veux bouger
Il y a des mouvements près de moi
Ou alors un peu plus loin?
Je ne sais pas, je ne vois pas, je n'entends pas, je ne bouge pas
Qui?
Qui est là?
Je ne sais pas
Ou je ne me souviens pas
Du pareil au même
Trop d'ignorance
Trop peu de certitudes
Pourquoi je suis là?
Pourquoi j'ai ce sentiment en moi?
Comment le nommer?
La peur?
L'inquiétude?
La détermination?
Je n'ai pas la force de chercher
Je n'ai pas la force de me réveiller
Il le faut
Ou il le faudrait?
Je crois que c'est ça . . .
Des souvenirs qui me reviennent
Flous
Présents mais troubles
Dans le néant où je suis
Une seule certitude
Maison . . .
Je veux rentrer à la maison!!
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Tout est calme
Ils ne m'ont pas encore eu, ni même repéré. C'est fou comme un quelconque nom peut faire les choses.
Bon, c'est vrai que ma famille avait travaillé avec Heero Yuy.
C'est vrai que grâce à elle je jouis d'une bonne réputation
Mais il n'a jamais été dit que je servirais les colonies.
J'en connais qui doivent se retourner dans leurs tombes.
Enfin bon, je les ai tués, mais c'est ma faute si j'étais censé être avec les colonies et que je le suis pas?
Ma famille a toujours travaillé pour elles.
Mais les traditions familiales se perdent, non?
Mon nom?
Vince Anderson, pour vous servir!
Ou plutôt pour servir OZ . . .
Vous voulez savoir ce que je fais là?
Alors suivez moi!
Ce que je fais pour l'instant . . . quelque chose de très ennuyeux croyez moi! J'ai vérifié le fonctionnement ce cette armure environ trois fois, et elle fonctionne! Mais par contre, ce serait pas mal si . . .
-Vince!
Je me penche en arrière, histoire de voir qui m'appelle.
-Oui professeur J?
-Descend un peu de là qu'on discute!
Faut pas que je m'inquiète, faut pas que je m'inquiète, ce cher vieux professeur fait toujours ça! Puis il a aucune preuve contre moi . . . enfin je crois! Je redescend de l'armure que j'étais en train de réparer, et à son pied, le vieux croulant au bras de fer est en train de m'attendre, comme si la base allait prendre feu ou un truc du genre . . . trop compliqués à comprendre ces mads!
-Vous vouliez me voir professeur?
-Hm suis moi, me dit-il avec sa voix éraillée.
Peu à peu, ce vieux J m'entraîna à travers les couloirs peu occupés. Pfffff . . . c'est pas croyable comme cette base est mal sécurisée! Là! La caméra fait un angle mort de 11 secondes! Et ce garde là! On dirait qu'il est même pas réveillé! Mais bon, c'est pas moi qui vais m'en plaindre. Bon, là on arrive devant une salle. Le gâteux m'y fait rentrer, mais y sont tous déjà là. Tête de champignon, Blacknose, T'ites moustaches, et Grand Balourd. Le quintet des cerveaux! De poids chiches oui, y ont même pas vu que j'étais pas avec eux . . . mais j'y pense, nan, ils savent pas que c'est moi??? Si?
-Vince, nous voudrions te féliciter de ton travail, me fait G.
Oubliez ce que j'ai dit.
-Depuis le temps où tu es ici, tu nous as permis d'avancer dans notre travail, continue O.
Oui, oui, jetez moi des fleurs. Du moment que vous ne me jetez pas quand vous saurez que je j'ai une longueur d'avance sur vous. Mais autant jouer le rôle jusqu'au bout.
-Oh vous savez, vérifier les armures c'est pas grand-chose . . . dis-je en rougissant habilement.
-Mais nous aider à apporter des amélioration ce n'est pas rien.
Me regardez pas comme ça, faut bien que je passe le temps aussi !
-Enfin je suppose que ma famille aurait voulu que je vous aide tout comme elle a aidé les colonies.
Oui bon, faut bien que je me défende aussi non ?
-Et ça a été une aide précieuse, rajoute O. Avec cela nous allons pouvoir avancer d'un pas dans la guerre contre OZ.
Un petit pas pour les colonies, un grand pas pour OZ . . . ou alors c'est pas ça. Mais j'en entendu ce truc où moi déj ?
-Et j'en suis heureux, répond-je avec un graaaaaaaaaaand sourire hypocrite (attention, ça se voit pas, hein !?)
Les mads semblent satisfaits de ma réponse. Je vous vois venir : « Ils sont nuls, font gaffe à rien, etc, etc. » je vous contredis tout de suite, ils sont pas si nuls que ça . . . . . C'est moi qui suis tout simplement excellent comédien. Non, merci, mes chevilles vont bien. Bon, c'est pas tout ça, mais je voudrais bien avoir des nouvelles de la base . . .
BIIIIIIIIIIIP BIIIIIIIIIIIIIIIP
Dieu écouterait-il mes humbles prières ?
Fungus man se dirige vers la magnifique bécane qui a produit ce doux son. Il pianote un moment. Je suis sur qu'il fait style « je sais ce que je fais et je le fais bien . . . » Attention, allez pas croire que je les sous estime, au contraire, je les prend totalement au sérieux ! Qui a dit « On te crois tous ? ». Il revient vers nous, l'air grave.
-Messieurs, j'ai quelque chose à vous annoncer. De très important.
Les cinq scientifiques se regardent sérieusement, puis c'est vers moi que H se retourne.
-Mon garçon, pourrais-tu retourner à tes occupations ?
Naaaaaan !!! Je veux savoir !
-Bien sur.
Alors je sors, laissant traîner mes oreilles (façon de parler, je suis pas un tas de chair qui a la volonté de se démembrer à volonté, non mais !), au cas où un petit détail croustillant me viendrait sous la dent, ou à l'oreille. Une fois un peu plus loin, j'enclenche le mini transistor que j'ai réussi à caser dans le bureau. Vous voyez l'avantage avec ces vieilles technologies, c'est qu'elles sont indécelables. Sans rire, on se casse tellement la tête de nos jours qu'on en oublie les vieux principes, et les vielles technologies. Ces chers détecteurs, si perfectionnés, ne reconnaissent pas des éléments de la Post-colonisation. Et vu que ça marche . . . pourquoi se priver ?
J'enclenche le petit écouteur qui se trouve, et c'est parti pour les news du jour !
J : Alors ?
G : On a un problème.
Chouette !
O : Lequel ?
G : Il semblerait que l'un de nos pilotes ne soit plus avec les autres
Oh oh, là ça devient intéressant . . .
J : . . . . . . . Lequel ?
Bonne question !
G : Je l'ignore.
Non, mais c'est quoi ce travail ??
H : Comment sais-tu ça ?
G : On n'a signalé que seules quatre personnes n'étaient parties de la base.
. . . . . . Mais il sait ça comment celui l ?
S : Hm hm.
J : . . . . . alors que fait-on ?
Quoi, c'est ce vieux croûton qui demande ? C'était pas censé être le cerveau du groupe ? . . . . . . . . Naaaaaaan.
O : Je te vois venir J. Pas question de le remplacer.
J : Il faut pourtant que les missions continuent . . .
G : Mais on ne peut pas faire savoir que l'un des pilotes s'est fait avoir.
Trop tard mes chers profs . . .
H : Ca ruinerait des mois de travail !
J : Des années plutôt . . . on doit garder le secret.
Promis, y'aura que OZ et vous qui saurez.
G : Et agir comme de rien n'était.
S : C'est le mieux . . .
J : Alors autant continuer notre travail.
Grands silence . . . je me demande ce qu'ils font . . . en tout cas, je sais maintenant que les efforts de ma chère patrie, cette chère OZ ont porté leurs fruits. Reste à voir si j'ai gagné mon pari . . . mais ça je le saurais qu'une fois rentré. Chhhhhhh Vince ! Ca reparle là dedans !
J : Oui, on va faire comme si de rien n'était . . .
S : Le plan tiens toujours alors ?
H : Oui, on va continuer par cette base . . . c'était laquelle déj ?
G bruits de fouille : La Rochelle, la . . .
Base souterraine, oui, je la connais bien celle l !
S : Tous ?
Grand blanc.
J : Tous.
Je coupe la transmission. Je crois que cette petite visite aura été forte intéressante . . . Je repart dans les couloirs qui ne sont occupés que par quelques soldats . . . cette base est vide, sans vie, sans intérêt pour quelqu'un qui ne sait pas creuser sous la surface . . . et rare sont ces personnes. OZ sait que cette simple base a de l'intérêt. Il sait aussi que c'est ici que tout se décide . . . J'avoue que c'est par hasard qu'on l'a trouvée, mais ça en valait la peine.
J'errais sur L1, j'avais pas de but précis . . . et c'est là qu'on m'a trouvé. H. Tel mentor, tel pilote vous me direz, je suis sur qu'il est lié au pilote 04, celui qu'on dit le plus fragile . . . mouaip. Mais c'est pas mon avis, on devrait toujours se méfier des têtes d'anges . . . enfin bon, j'étais pas en train de parler ça ! Je disais donc . . . j'errais comme ça, sans but précis, puis je suis tombé sur un drôle de mec . . . petit, un peu costaud avec des moustaches . . . il m'a demandé ce qu'un Anderson faisait sur L1 . . . bon, c'est vrai, sur le moment, j'ai flippé. Mais bon, mon nom est pas censé être connus de tous. Et mon visage encore moins.
Enfin bon voilà quoi, un café plus tard et j'étais engagé chez les mads en tant que technicien sur les armures. C'était . . . cool ! J'avais mes propres sous-chefs, des personnes à ma disposition, et tout le baratin ! Un vrai rêve . . . mais le rêve a pas duré quand j'ai su que c'était eux les constructeurs de gundam . . . par un grand hasard ! Oui bon d'accord, c'est pas bien d'écouter aux portes, mais depuis tout petit, je fais ça. On ne change pas du jour au lendemain . . . pas même en vingt-trois ans !
Là j'ai commencé à penser à mon départ . . . mais quand on a quelque dans les mains, on ne veut pas le laisser partir. J'ai pas pu tout quitter . . . alors j'ai pensé à autre chose. Pourquoi ne pas garder ce pouvoir qu'on m'offrait, et en même temps aider à ce que je voulais encore plus : la destruction et l'assouvissement des colonies. Je ne les aime pas. C'est clair et net. Elles ont appauvri la Terre, tirant de ses sols tout ce qui a fallu pour construire ces pays de fer . . . Elles ont ruiné la terre de nos ancêtres, et le continuent encore. Et pour ça je les hais.
Alors j'ai fait ce que je pensais être le mieux, je suis allé trouver OZ. Et je leur ai racont qui j'étais. J'ai même rencontré Treize Kushrénada en personne ! Vous ne vous rendez pas compte à quel point j'apprécie ce qu'il fait. Il veut diriger les colonies . . . je sais qu'il leur fera payer ! Oh oui . . .
Et voilà comment je me retrouve à servir OZ afin d'anéantir ces rebelles qui osent affronter OZ et le pouvoir terrestre.
Je me rends vers mon bureau. Bah oui, mon bureau à moi, et comme je suis très prudent, j'ai réussi à totalement le couper du reste de cette base. Je peux y faire ce que j'y veux sans que personne ne le sache . . . un grand avantage quand on veut donner quelques infos à ses supérieurs. Allez, on s'assoit au bureau et on donne tout ça précieusement. Le nom de la prochaine cible, leur dire de préparer tout ça . . . le plus vite possible . . . ha oui ! Il me faut un chiffre ! Allez, au pif . . . je ferme les yeux, et laisse mon doigt sur un chiffre au hasard du clavier. Le 3 . . . ok ! Va donc pour celui l ! En espérant que ça marche . . . Allez, entrée, envoyer, et c'est parti ! Voilà une bonne chose de faite . . .
Je m'étire et me relève de ma chaise. Je crois que j'ai mérité un bon repas après tout ça ! Direction la porte pour sortir, et ensuite . . .
-Aie !
Non mais quel est l'abruti qui reste planté au milieu du couloir comme ça ??
-Ca va Vince ?
Je relève la tête pour faire face à une armoire à glace . . .
-Maître O ?
-Je te demande si ça va.
-Ah, oui oui, vous inquiétez pas pour moi.
Allez, je file en vitesse avant qu'il ne pose de questions. Mais au fait . . . qu'est-ce qu'il faisait la ?
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Trouve le !
Ces mots résonnent dans ma tête. J'arrive pas à croire ce que j'ai fait ! Pour la première fois de ma vie, j'ai osé tirer sur une personne que je suis censée protéger ! . . . j'avoue que j'avais déjà tiré sur Réléna auparavant, et que Duo a du s'en mordre les doigts pour m'en avoir empêché . . . aujourd'hui, j'espère qu'elle aura clairement compris qu'il ne faut plus s'approcher de moi.
Je continue de courir vers là où Duo est parti. Le connaissant, il a du se réfugier dans un endroit où il se sentait en sécurité. Et ces lieux ne sont pas nombreux, surtout quand on se trouve dans un coin perdu, où il n'y a personne à part soi à des kilomètres à la longue. Mais lui sait toujours où aller . . . Duo, j'espère que tu es là bas !
J'arrive enfin au petit ruisseau que nous avions trouvé il y a peu de temps. Si je continue de le suivre, je vais tomber sur . . . le voil ! Assis sur ce petit coin de mousse, à l'abri des arbres qui bordent le ruisseau, et prostré sur lui-même. Oh Duo . . . je n'aime pas te voir ainsi . . .
Je m'approche doucement, en essayant de ne pas faire de bruit pour ne pas qu'il me remarque. Manque de chance pour moi, il m'entend et relève la tête aussitôt.
-Hee-chan ?
Je le regarde dans les yeux . . . ses yeux si remplis de peine. J'avance doucement, je veux essayer d'arranger les choses . . . Mais est-ce que je serais capable de le faire ? On ne me l'a pas enseigné, et j'ai été refermé sur moi-même.
-Laisse moi.
Ces mots me clouent sur place alors qu'il enfouit sa tête entre ses genoux. Pourquoi ne veux tu pas que je t'aide ? Je sais que Réléna a été loin cette fois, mais j'ignore pourquoi . . . je n'ai pas été présent durant toute la scène, et pour moi, le mystère est encore là. Qu'est-ce qui s'est passé pour que tu me refuse ?
-Duo, mais qu'est-ce qui se passe ?
-C'est . . . c'est à cause de moi si . . .
Je m'approche un peu plus. Je sais que je peux l'aider . . . seulement s'il me racontait ce qui s'était passé.
-Si Wufei est . . .
Alors c'est ça ? Elle a osé l'attaquer là-dessus ? Cette fois ci Réléna, ne t'avise plus de croiser ma route, ou bien tu sauras qu'il ne faut pas jouer avec les gens. Je m'agenouille à côté de Duo, alors qu'il n'ose toujours pas me regarder. Je . . . je ne sais pas quoi faire . . . on ne m'a jamais entraîné à consoler les gens . . . bien au contraire, je devais les tuer ou leur soutirer des informations. Mais là ce n'est pas le cas. Alors . . . je devrais tenter quelque chose ?
-Qu'est-ce que je t'ai dit à ce sujet ?
Je n'ai pas pu m'empêcher de parler froidement, en bon soldat que je suis. Mais quel baka !
Duo au contraire, relève la tête.
-Que c'était pas le cas.
-Alors pourquoi est-ce que tu écoutes plus cette pimbêche que moi ?
Ces yeux s'écarquillent quand il entend comment j'ai nommé Réléna. Je le pense vraiment, et là, plus rien ne me fera changer d'avis à son sujet.
-Oui mais . . .
Il se mord la lèvre, comme pour s'empêcher de parler et réfléchir. Il est si adorable quand il fait ça. J'ai le droit de la mordiller cette lèvre moi aussi ? . . . . . . . faut vraiment que j'arrête de penser comme ça, ça en devient inquiétant. Le temps que je sorte de mes pensées et je m'aperçois qu'à présent il m'observe avec ses grands yeux couleur lavande . . . . . On peut se noyer dans un océan améthyste ? Parce que moi c'est ce qui m'arrive en cet instant.
-Mais à cause de moi . . . . tu as perdu un avantage de taille.
Puis il rebaisse immédiatement la tête, comme honteux de ce qu'il venait de dire.
-Je ne comprend pas . . . que veux tu dire par l ?
-Si je n'avais pas fait cette erreur, tu aurais pu réussir à la mission que tu t'étais donn ! La paix !
Il avait subitement crié contre moi, laissant sa rage et son amertume sortir de lui. L'écho de ses paroles continua de sonner encore quelques secondes dans la forêt, et dans mon esprit. Quelques oiseaux s'envolèrent, effrayés par le soudain bruit que les paroles de Duo avait provoqué. Je restais là, face à lui, comprenant enfin, je pense, ce qui s'était passé. Duo continue de me regarder, les dents serrées par la rage, et il n'ose plus dire un seul mot, des larmes perlant au coin de ses yeux.
Je . . . Je crois que je sais quoi faire. Je m'approche de lui, doucement et le prends contre moi, pour enfouir sa tête contre mon torse, dans un geste totalement protecteur, comme on protègerais un enfant. Duo se laisse faire, toutefois un peu surpris.
-Tu te trompes . . .
- . . .
-Bien sur que Wufei était important dans la mise en place de la paix . . . mais jamais je ne vous considèrerais . . . comme de simples « pions » m'aidant à mettre la paix . . .
-Je . . .
-Laisse moi finir. Je sais que je peux paraître froid . . . bon, d'accord, je SUIS froid. Mais je vous considère beaucoup . . . plus que jamais comme mes amis.
Ca c'est de l'aveu . . . jamais je crois que j'aurais osé dire ça il y a quelques temps. Mais . . . . oui j'ai changé. Et en bien je crois.
-Et cette paix . . . je ne la construirais pas tout seul.
Je le relève devant moi. Je veux qu'il comprenne bien . . .
-On la construira tous ensemble. Même si on est séparés, même si on est seuls.
Les yeux de Duo s'éclairent à nouveau, d'une lueur que je ne saurais définir. Mais en tout cas, je peux voir qu'à présent il va mieux.
-Merci Heero.
Le petit sourire qu'il m'adresse me fait fondre, même si je ne le montre pas. Parce que c'est la plus belle chose qu'il puisse m'offrir . . . . . . . . . . . ce sourire.
Leen : Et je coupe la !
Wufei : J'aime pas quand on parle de moi alors que je suis pas là.
Leen : Rhhhôôôô, mais au moins on t'oublie pas !
Duo : Heu . . . . . . Leen ?
Leen : Vi ?
Duo : Pourquoi je passe pour quelqu'un de fragile ?
Leen : De quoi tu te plains ? Tu vas te câliner dans les bras d'Heero !
Heero : Me dis pas que ça te plais pas ??? #mine toute déçue#
Duo : Mais mais mais j'ai jamais dit ça ! . . . . . . Si même Heero se met contre moi . . .
Quatre Trowa : Et pourquoi on est pas dans le chapitre ????
Leen : J'ai d'autres chose pour vous. #rire sadique#
Quatre Trowa : On retire ce qu'on a diiiiiiiiiit !!!!!
Leen : Ca mérite une petite review tout ça onegai ?