ATTENTION !!! S'il y a des problèmes de lecture de ce chapitre (par exemple des petits carrés ou des points d'interrogations à la place de certaines lettres) sachez que c'est complètement indépendant de ma volonté ( J'EN AI MARRE QUE CA PLANNNTTTEEE BOOOOOOOOOUUUUUUUUUUUUHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! désolé c'est pas la fauteuuuhh !! sniiff)
Kikou voila la suite !!!!
Vous inquiétez pas, on dirait que le début n'a aucun rapport avec le chapitre 1, mais si ! vous verrez bien ;-)
CHAPITRE 2
La nuit nuageuse abritait le jeune homme, accablé par la chaleur étouffante qui régnait dans Paris. De longs cheveux auburn cachaient son petit visage maigre, illuminé par deux fragiles saphirs reflétant une profonde détresse. Ses vêtements de laine, usagés, étaient bien trop chauds, mais il n'en avait pas d'autres.
L'adolescent était âgé de seize ans, et vivait dans la rue depuis déjà deux ans. Il songeait au temps où il habitait encore chez ses parents, dans les beaux quartiers, et menait une vie heureuse et sans histoire. Jusqu'au jour où un nouvel élève arrivait au lycée. Son regard, d'une couleur reflétant la forêt, mettait en valeur la douce chevelure, blanche comme le lys, qui encadrait une figure dont la candeur évoquait les joies perdues de l'enfance. Le jeune roux succomba rapidement à son charme juvénile, et les deux garçons découvrirent ensemble les plaisirs voluptueux de l'amour. Les amants connurent un bonheur intense mais éphémère, détruit par le père de l'enfant aux cheveux de neige lorsqu'il surprit un de leurs baisers passionnés.
La colère, suivit de la honte, tomba comme la foudre sur les deux respectables familles. L'adolescent aux yeux émeraude fut envoyé dans un sévère pensionnat catholique où il mourut de désespoir trois mois plus tard ; et son amant à la chevelure enflammée fut chassé de chez lui, condamné à la misère de la rue. Il connut la violence et la violence et vécut dans la peur et la souffrance.
De chaudes larmes coulaient le long de ses blanches joues, aux souvenirs de son amour disparu, lorsqu'il entendit des bruits de pas qui le sortir de ses douloureuses réflexions. Effrayé à l'idée d'une nouvelle agression, il tenta de s'enfuir, mais ses jambes étaient trop faibles pour courir. Il se retourna, et découvrit un couple à la peau d'albâtre qui paraissait briller dans la nuit sombre. Un jeune homme à la longue natte et un asiatique dont les cheveux détachés flottaient au vent telle une nuée d'oiseaux des ténèbres le fixaient, les transparentes améthystes et les opaques joyaux noirs étincelant dans l'obscurité.
Les vêtements rubis que portaient le pâle chinois contrastaient avec la tenue de velours noir de son amant, et semblaient le sanglant présage du crépuscule de la vie de l'adolescent aux lapis-lazuli. Il sombra dans l'hébétude quand ses meurtriers aux visages de neige le vidèrent de sa source écarlate, et lâchèrent le corps inerte dont l'expression de béatitude laissait croire qu'il n'était qu'endormi.
Comme chaque soir depuis l'inoubliable nuit où Wufei avait renoncé pour l'éternité à la lumière du soleil, les anges noirs se séparèrent, après avoir étanché leur soif. Le garçon aux mers de lilas partait séduire les mortels attirés par sa grâce de vampire, tandis que son amour aux perles de jais succombait à son besoin de solitude et s'isolait dans le manoir déserté par son compagnon. Il aimait consulter les nombreux ouvrages qui ornaient la bibliothèque, recherchant les livres qui pourraient l'éclairer sur la race à laquelle il appartenait désormais. Absorbé par son travail, il dérangea considérablement ses lieux si ordonnés. Caché derrière de vieux volumes poussiéreux, il trouva un magnifique coffret d'ébène, dans les minutieuses sculptures témoignaient des longues heures de travail de l'artisan qui l'avait crée quelques siècles auparavant. Une serrure argentée scellait le précieux objet, mais ce n'était pas une barrière pour les pouvoirs d'un immortel, même novice. A l'intérieur, quelques bijoux d'un temps lointain recouvraient le portrait d'un jeune homme, dont le regard violacé brillait d'une lumière irréelle.
Wufei reconnut son créateur, mais il semblait étrangement différent. Ce n'était pas le ténébreux vampire d'aujourd'hui qui était représenté, mais le mortel éclatant de vie qu'il était autrefois. Sa peau, maintenant aussi blanche et froide que l'hiver, était teintée de rose, ce qui soulignait sa fraîcheur. Ses cheveux, couleur de l'automne, étaient déjà coiffés en une longue tresse. L'adolescent affichait l'insouciance due à son jeune âge ainsi que le charme rendait encore plus envoûtant encore par le don obscur.
La miniature datait du 12e siècle, mais la technique employée était inconnue de l'époque. De nombreux détails, comme les petits trous sur les vieux vêtements beiges, haillons disgracieux qui pourtant n'enlevaient rien à sa beauté naturelle, prouvaient que le tableau était l'œuvre d'un buveur de sang. Un minuscule Z ornait le coin inférieur droit, seul marque de l'artiste inconnu.
Sous le portrait se trouvait une ancienne photographie en noir et blanc, prise à la fin du 19e siècle. L'obscur Duo dans ses sombres vêtements se tenait aux cotés d'un autre jeune homme également vêtu de noir, et dont le visage d'albâtre était à demi caché par une longue mèche qui ne découvrait qu'un seul des étincelants joyaux de son impénétrable regard, qui restait captivant malgré l'absence de couleur. Les deux vampires semblaient liés pour l'éternité dans cet instant à jamais figé sur un mince morceau de papier.
« -Mon fier chinois, le noble Wufei fouillant dans mes affaires comme un vulgaire voleur ! La curiosité est un bien vilain défaut qui pourrait te coûter cher…Mais je te pardonne mon amour, car qui résisterait à ma si gracieuse figure ! »
Le jeune asiatique sursauta au son de la voix de son amant, qui s'extasiait sur son propre portrait. Il n'avait pas remarqué le châtain qui se trouvait derrière lui et rougit de s'être fait ainsi prendre.
« -Tu as traversé tant de siècle… »
Au tremblement de la voix de son novice, l'immortel aux éclatantes améthystes sentit son désir de comprendre comment, un adolescent sortit du Moyen-Âge, avait pu devenir l'être merveilleux avec qui il partageait son éternité. C'est alors qu'il prit la décision de lui conter son existence.
« -Je suis un enfant du 12e siècle, né dans un petit du nord de l'Angleterre, dernier fils d'une nombreuse famille de paysans. Ma mère était morte en couche, laissant mon père seul avec son chagrin et le bébé qui avait volé la vie de sa femme. Il ne me pardonna jamais, et tant que je vivais avec lui, je souffrais de sa vengeance perpétuelle, subissant ses coups dés qu'il rentrait, ivre, de la taverne où il tentait de noyer sa tristesse. Nous vivions dans la misère, et notre petit lopin de terre ne suffisait guère à nous nourrir, malgré notre travail acharné. La fin et le souffle mortel de l'hiver emportèrent quatre de mes sept frères, mais je survécu, amaigri et chétif, endurant chaque soir la colère de mon père.
Il y avait au village un vieillard qui me prit sous sa protection. C'était un ancien ménestrel, et j'aimais l'entendre chanter les chansons d'autrefois, rêvant, au son de sa douce voix, aux exploits des anciens chevaliers. Il me transmit tout son savoir, et j'appris vite à jouer du luth à la perfection, en fredonnant les vielles ballades qui captivaient les enfants et les frêles jeunes filles qui ne pouvaient résister à mon charisme de séducteur.
Cet homme m'offrit l'affection que je n'avais jamais eue, et devint le père que mon cœur réclamait. Mais, un soir tragique de l'hiver 1152, je retrouvai son cadavre étendu dans sa misérable chaumière, la vieillesse et le froid ayant triomphé de son ardeur de vivre. Rongé par le chagrin, je rassemblai les quelques instruments qui étaient sa seule richesse, et partis sur les routes sans un regard au village de mon enfance. J'avais treize ans et pour la première fois, je me retrouvais seul.
Le métier de ménestrel me plaisait, et je parcourais l'Angleterre, ma voix mélodieuse séduisant les seigneurs des nombreux châteaux que je visitais. Je gagnais ainsi ma vie pendant trois ans, jusqu'au jour où j'entrai dans le domaine d'un comte étranger. Ce soir-là, ma musique eut le succès espéré, et je m'endormais dans l'écurie où l'on m'offrait l'hospitalité, quand j'aperçus une silhouette qui m'observait. Je reconnu le maître des lieux, mme si je l'avais à peine vu lors de ma prestation, les bougies ayant peu éclairé son visage. Sa longue chevelure de miel reflétait les pâles rayons de l'astre lunaire, et sa peau d'albâtre illuminait la nuit, mettant en valeur ses vêtements de velours d'un violet sombre. Il me prit dans ses bras sans que je puisse lui résister, et m'emporta dans l'intimité de sa chambre, dont le seul mobilier était un lit richement drapé, et un chevalet encerclé par les nombreux pots de peinture qui jonchaient le sol. Je serais son modèle, décréta-t-il, et il m'ordonna de rester immobile tandis qu'il étalait les touches de couleurs sur la toile immaculée. J'aurais voulu fuir, mais mes membres ne m'obéissaient plus, et je restais figé à contempler la froide beauté blonde dont les pinceaux dessinaient une frêle esquisse où l'on pouvait déjà reconnaître mes traits. Il peignit de longues heures durant, et le portrait fut achevé peu avant que l'aube ne montre son regard doré. Alors, il m'offrit son baiser de vampire, et m'abandonna exsangue sur le lit, laissant les premiers rayons du soleil réchauffer mon corps inconscient.
Lorsque je m'éveillai, à la nuit tombée, il était assis à mes cotés et me contemplait dans mon sommeil innocent. Sans même me parler, il m'étreignit de nouveau et me laissa aux portes de la mort. Il se mordit le poignet et le plaqua contre mes lèvres, m'obligeant à boire le sang bouillonnant qui coulait de ses veines. Je ne raconterais pas l'extase que tu as déjà ressentie lorsque je t'ai offert le don ténébreux, ni l'émerveillement à la découverte de nos nouveaux sens de vampires.
Pendant que mon maître regardait ma mort et ma renaissance, un étrange sourire transformait le masque de marbre de son visage angélique dont les canines acérées révélaient son aspect démoniaque. Ma métamorphose achevée, il fit venir une jeune servante et m'ordonna de la tuer. Prisonnière de mon enlacement, ses grands yeux de jais imploraient ma pitié, et les larmes ruisselaient sur ses joues roses, cachées par sa longue soyeuse chevelure d'ébène. Mais la Soif fut plus forte que ma conscience, et c'est sans remord que je savourait mon premier meurtre, mettant fin prématurément à sa courte vie.
A l'approche du lever du jour, nous allâmes nous réfugier dans une crypte non loin du château, et je m'endormais avec lui dans l'obscurité réconfortante de son cercueil. Ma première nuit de vampire s'achevait dans la douceur du satin et la volupté des caresses de mon maître à la chevelure ambrée.
Ainsi commença ma vie d'immortel, et chaque soir était une nouvelle découverte. Mon seigneur, Zechs, m'emmenait souvent visiter les villes inconnues des pays lointains, où, ensorcelants amants à la peau de neige, nous chassions nos victimes, âmes perdues qui avaient le malheur de croiser notre chemin. Parfois, il ramenait dans notre chambre d'auberge de jeunes mortels séduits par son charme surnaturel, et aimait peindre une dernière fois leur fraîches figure avant de les accompagner dans l'au-delà.
Deux siècles passèrent, durant lesquels nous voyions la vieillesse et la mort frapper impitoyablement riches comme pauvres, tandis que nous restions les mêmes somptueux immortels, aussi froids que la glace, couple maléfique au baiser fatal.
Mais les années écoulées ne firent que détruire la fascination que nous éprouvions l'un pour l'autre, et nos nuits ne devinrent que silence. Un soir, je m'éveillai seul et je sus qu'il ne reviendrait pas. Je parcourus le monde et traversait les époques, captivant les mortels de mon regard enchanteur avant de les plonger dans les ténèbres éternelles. Ici s'achève mon histoire ; je suis l'amant de la mort et la mort ne m'atteint pas. »
Le jeune asiatique, fasciné par le récit de son amour, était emporté dans les temps lointains aux cotés de son natté aux perles violacées. Cependant, il était perturbé par une question restée sans réponse.
« -L'autre vampire, sur la photo… »
Le visage de Duo, qui jusqu'ici exprimait son insouciance et sa bonne humeur habituelle, se durcit subitement sous l'effet d'une colère difficilement retenue.
« -L'aube approche, dit-il. Je rejoins mon cercueil, et tu devrais faire de même, je ne tiens pas à devenir l'amant d'un vulgaire tas de cendres. »
Et il laissa là le chinois ébahi, dont l'expression de stupeur trahissait sa totale incompréhension devant le brusque changement d'humeur du vampire au regard améthyste.
A SUIVRE…
Voila, voila, l'enfance de Duo fait très Rémi Sans Famille (« JJJJEEEEE SUIIS SANS FAMILLLEEEUUHHHH !!!!!!! JJJJJJEEE M'APPELLE REMIIIIIIIII !!!!!!!!!! ET JE ME BALADEEEEEEEEEUUUHH AVEC TOUTMES AMIIIIIIIS !!!!!!! ), je sais mé bon .
Duo est très Lestatien ossi : bavvveee !!! )
Micci Vovo qui a encore du souffrir à copier ma fic (supervovo :mé sirien mon ami g tte la suite en avant premiere nananananèèèèreeeeuhhhh !!!! ZE VEUX TROWAAAAAAAAAA !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!)
Mé vi il viendra, il é déjà sur une foto, en plus c mon préféré, dc c OBLIGER kil vienne !
REPONSES AUX REVIEWS :
From: kamara( kamara9online.fr )
Vivement la suite Duo semble cruel mais je l'aime bien..
Vive Anne Rice..
Kisu
Kamara
Voila la suite !
Viii vive Duoooooooo, REVIVE ANNE RICE !!!! (surtt lestatttttttttttttt !!!!!!!!!!)
From: drianna ( )
Waou!Un 2x5!Et vampirique en plus!J'adoreuh!Duo en seigneur de la nuit cruel (et pervers, je me
trompe? Enfin, il me donne sa comme impression...Parrait
que les vampire, c tout le temps des hentais de toute
façon...niek niek, je
devait être une vampire dans une autre vie!) , héhé!Il
est trop bien!Et puis, il fait trop penser à Lestat(et
j'ai comme l'impression que c'était pas un hasard, n'est-ce pas?)!Et aussi,
j'imagine trop wufei en vampire...J'ai vraiment trop
l'image dans ma tête!Et pis dans ma tête, il est bo(mais wufei,
que se sois dans ma tête ou en dehors, il est toujours beau !)!dridri qui bave
'fin bref, j'aime vraiment beaucoup ta fic!Faut quand même dire que y'a un 2x5,
et c'est mon couple préféré !Et pis en plus, c'est une histoire de
vampire!!J'aimeuh!Vite la suite!
Grosse biz
Drianna
Viiiiiii wufei il é trop bo ! (surtt tt en rouge avec les cheveux détachés ! bavvee !)
Duo pervers ? oui comme moi !
Bave bave !!!
Duo class Lestat class Duo lestatien trotrotorotortorotororrroooo clllaaaaaaaasssss !!!!
BAVVVVVEEEEE (ki a di ke j'aV aucun vocabulaire ? ')
C vrai que déjà que Wufei et Duo sont class alors Trowa…vava sur le point de tomber dans les pommes GLOUPS ! BAVVVVVVVVVEEEE !!!
Gros bisouuuusss
From: SuperVovo ( )
kikou
é vi g penC a te reviewé, miracle! ma mèmoire serait-elle revenue?
dc je reli
(depui l'tps g oublié moi)
l'ottomane! mdr vive les liaisons dangereuse;-)
ské bien avec toi c kon é
tt de suite ds l'ambiance, clas
duo bave clas
et en il li ds c penC : LA CLASS!
"la béatitude de l'éternel instant"
"amour" ca fé trè spikien lol
povree wufi ki pleurree bouhou!
o Duostat! ou THE DUO LESTATIEN et sa mort misériordieuse!
TROWA !! OU CA OU CA OU CA!
VIVE TROWA
c vrai kil manké a cet fic!
vivement la suitte
ze vx voir mon trotro
vampire moi
supervovo fan de toi!
kom c bien di chapo!
"au regard de nuit " "aux cheveux
d'automne " keske c clas!
franchement tu décri tro
bien la vampirisation!!
c trè anne
ricien;-)
Méeuh ! g le droit de faire d référence o liaisions dangereuseuuhh ! (vu tt le temps ke g paC a l'étudié..)
Supervovo fan de moi ? c normal je sui Ayame, je sui le plus class (note de supervovo :Vava se prend pour Ayame, c normal, fo pa chercher, il est trè lestatien, keske vous voulez…--')
A c gentil ke dise ke j'écrive bien, je sui émue…
Mé oui tu va voir ton trowa ne t'inkiète pas !
voila
From: Kirin-tenshi( )
Ah, franchement j'adore, en plus je suis passionnée par les vampires, j'aime vraiment beaucoup la façon dont tu as décrit les morsures, le vampires ... vraiment très beau . On en pleurerait . J'ai vraiment hate que tu fasse la suite, c'est tellement émouvant . En bref, j'aime beaucoup . je te souhaite bon courage . P.S. si tu connais Inuyasha, j'ai fait une fic ou les deux héroïnes sont des sortes de vampires, cela n'apparais pas encore mais tu peux toujours la lire si tu as le temps, je serais honorée d'avoir ton avis dessus .
J'ai pa pu la lire (vu ke g pa d'ordi) mé je la liraii !!
Ca fait plaisir kon veuille avoir mon avis, c normal je sui Ayame, je sui si parfait !!!!! (re-note de Supervovo : Vava é complétement Schizo, et é possédé par l'esprit d'Ayame dans fruits basket, cherché pa…)
Vive les vampires c trop biiiiiiiiiiiieennnnn
Si jamais ds un cas trè improbable tu ne connaitra pas Anne rice et ses chroniques des vampire (Entretient avec un vampire, Lestat le vampire…ect) IL FAUT ABSOLUMENT KE TU LES LISSSSSSSSEEE !!!!!!!!!!!!!!!!!!
Et voillllaa
Merci pour tes encouragements ça fé bcoup trè plaisiiiirrr !!!
Valia de lioncourt di Supevava
