Petit mot d'Arkel : Les exams c'est fini ! A moi la plage, les fics, les mangas et les jeux vidéos à consommer sans modération.

Je sais que j'avais dit (enfin par l'intermédiaire d'Armstrong) que cette fic serait courte. En fait tout dépend par ce qu'on veut dire par court. 10 chapitres c'est court ? L'histoire va s'avérer plus complexe que ce que je ne le pensais avant.

Yoda-Ben : Tu seras exaucée, on verra (un peu) Armstrong, parce que moi aussi je l'aime bien

LunaDream : Euh Christina avoir du bol ? Je ne pense pas… Ou peut-être qu'il y aurait quelqu'un derrière tout ça (nan c'est pas moi, enfin d'un certain point de vue oui…Bon la suite de la fic vous le dira) Il est question de bonne étoile dans ce chapitre mais je ne pense pas que ce soit ça.

Katsuke : Je suis trop contente que tu aimes. Moi aussi j'adore ce que tu fais Christina est très douée pour l'improvisation. Peter n'a pas fini d'en baver (ils font vraiment duo Don Quichotte et Sancho Pança)

Christina : Je suis pas aussi dingue !

Ed et Al (déguisés en moulins) : No comment !

Hawkeye : Le coup du gâteau en chocolat est un classique.

Je suis obligée de mettre tous les dialogues entre guillemets parce que les tirets ne s'affichent plus sur (la barbe) Pour ce chapitre on rigole toujours mais le ton commence à devenir plus sérieux. Je voulais que l'ambiance dans ce chapitre fasse un peu far-west et je pense que ça se verra. Ça lui irait bien à Ed l'habit de cow-boy non ?

Ed (en Clint Eatswood) : Cette ville n'est pas assez grande pour nous deux !

Mustang (en John Wayne) : C'est plutôt toi qui est petit !

Mouais (j'en connais deux ou trois qui ont dû baver en imaginant ces deux-là dans ce costume) Bon allez chapitre 3 : Chacun son trajet (ou c'est à Fullmetal Alchemist de vous faire préférer le train ou tous les chemins ne mènent pas forcément à Red Brick)

Chapitre 3 : Chacun son trajet

Les frères Elric avaient pu se trouver une place tranquille dans le train. L'épisode Christina Osmond, la journaliste dingue, était presque oublié.

« Nii-san, fit Alphonse. Cet Alchimiste qui se trouve à Red Brick, est-ce que tu as trouvé son nom ? »

« Tout ce qu'on sait, répondit Ed en regardant par la fenêtre, c'est qu'on l'appelait ''l'Alchimiste de l'Air ''. Il est devenu Alchimiste d'Etat il y a trente ans environ. Il paraissait que c'était un jeune prodige et qu'il a réussi son concours à 18 ans seulement. Cependant sa carrière dans l'Armée a été très courte, deux ans plus tard il démissionna. Son nom a été effacé des registres, seul est resté le nom de Red Brick. D'après les archives il faisait des recherches sur la Pierre Philosophale »

« Espérons qu'il soit toujours là-bas »

Vingt minutes s'étaient écoulées et Ed, bercé par le mouvement régulier du train, allait s'apprêter à piquer un petit somme. Au bout d'un temps, il ouvrit un œil. Quelque chose lui perturbait l'oreille. Un bruit. Une voix désagréable. Il finit par ouvrir la fenêtre et vit qu'une jeep suivait le train sur le chemin en ligne droite. Et dans cette jeep il y avait…

« Christina Osmond , s'écria Ed »

En effet, la journaliste était dans la voiture que le pauvre Peter conduisait à toute vitesse. La main sur son béret pour l'empêcher de tomber à cause de la grande vitesse, cela faisait au moins la quatrième fois qu'elle appelait pour attirer l'attention du jeune alchimiste.

« Hé le nabot, vous croyez que vous pouvez m'échapper , dit-elle en mettant ses mains en porte-voix »

« Christina… »

« La ferme Peter. Edward Elric, je vous retrouverai à Red Brick soyez-en certain ! »

« Chris…tina…On va trop vite »

« Continue à cette allure !… Personne ne m'échappe ! Et je veux qu'ils admettent leur défaire et qu'ils commencent à s'en mordre les doigts ! Mouahah !»

Ed et Al regardaient à la fenêtre l'air médusé.

« Cette… fille est vraiment tenace. Pire qu'une sangsue ! »

« Nii-san, qu'est-ce qu'on va faire ? »

Lorsque Christina finit de rire à plein poumons, elle s'aperçut que Peter commençait à perdre des couleurs.

« Qu'est-ce qu'il y a, Peter ? Tu es malade ? Tu peux ralentir maintenant ! »

« Peux pas… »

« Pourquoi ? »

« PARCE QU'ON EST BLOQUE A CETTE VITESSE ! »

« Hein ? Mais… Change toute de suite ! », s'écria la journaliste en s'acharnant sur le boîtier de vitesse

« Christina…un…un virage ! »

« Mais freine, abruti ! Freineeeeeeeeeeeeeeeeeee »

Les frères Elric, ainsi que les autres personnes du train, purent apercevoir au bout de quelques secondes une fumée qui montait au loin.

« Quels idiots ! »

« Tu crois qu'il sont… », fit Al.

« Tu sais, c'est tenace les sangsues. Avec un peu de chance, ils nous laisseront tranquilles »

A quelques mètres de là, les deux journalistes sortirent de la jeep, complètement renversée et fumante, en toussant et couverts de terre. Heureusement pour eux, ils n'étaient pas blessés. Enfin 'heureusement'…

« PETER, MA JUPE EST TOUTE SALE TU SAIS COMBIEN ELLE M'A COUTE ! »

« Ça suffit, j'en ai assez , finit par se révolter son collègue. Pourquoi c'est toujours MA faute ? C'est moi qui ai eu l'idée de les suivre alors qu'ils étaient dans le train ? Je n'ai pas envie de risquer ma peau pour un article sur un gamin ! »

« Peter, tu es vraiment idiot. Si on ne trouve pas un article qui fasse remonter les ventes, c'est le chômage qui nous attend ! Alors arrête de râler ! Récupérons nos affaires si elles ne sont pas cramées et partons. »

« Avez-vous une idée de la direction à prendre ? »

« Ne t'inquiète pas, fions nous à ma bonne étoile… Allons au Sud , dit-elle en montrant une direction »

« C'est le Nord que vous indiquez »

Chacun un sac à la main, ils prirent un sentier au Nord sous la chaleur qui se faisait de plus en plus écrasante.

« Fait chaud ! J'ai soif , ne faisait que répéter Peter, dégoulinant de sueur. C'est fichu, on est perdu, on va mourir ! »

« Arrête de pleurnicher. Et regarde là-bas »

« Un nuage de fumée ? Mais c'est une voiture ! Youpi, on est sauvé ! »

« Tu vois, je te l'avais dit que la chance était avec nous »

La voiture qui était également une jeep s'approchait de plus en plus. Il y avait à l'avant deux hommes en bleu. Celui qui conduisait était un homme ordinaire, le deuxième était un géant et baraqué à la moustache blonde. La joie des journalistes s'estompa très vite.

« Des militaires , s'écria Peter. Et vous avez dit que la chance était avec vous, hein ? »

Cette fois, sa collègue se fit toute petite.

« T'en fais pas. Je vais trouver une solution. Enfin j'espère que ça peut marcher »

La jeep s'arrêta devant eux. Lorsque le géant sortit, les pneus semblèrent soulager d'un grand poids et la voiture remonta de quelques centimètres.

« Bonjour à vous, salua le grand costaud. Je suis le major Alex Louis Armstrong. Nous sommes à votre recherche depuis un moment »

Les deux journalistes se regardèrent avec un air interrogateur.

« A notre recherche , demanda Christina.

« Oui Mademoiselle. Vous êtes les journalistes Christina Osmond et Peter Hutton à qui on a chargé de suivre les frères Elric »

« Suivre les frères Elric ? Nous voulions seulement…Mais comment avez-vous su ? »

« Nous avons nos informateurs, Mlle Osmond. Euh si je peux me permettre qu'est-il arrivé à votre voiture ? »

« Hé bien on a eu un petit incident hé hé ! Pouvons-nous savoir pour quelles raisons vous étiez à notre recherche ? »

« Pour vous mettre en garde Demoiselle. Suivre les frères Elric n'est pas vraiment une bonne idée. Vous risquez de tomber dans une sale affaire et de vous mettre en danger »

Peter se pencha à l'oreille de sa collègue et murmura : « Vous croyez qu'il est en train de nous menacer ? »

Christina ne répondit pas et resta sérieuse un moment avant d'afficher son arme ultime : son sourire charmeur.

« Oh Oh ! Messieurs les militaires, vous savez bien comment sont les journalistes ! Cher Major Armstrong, puis-je me permettre de vous demander une faveur ? »

Le second d'Armstrong devint rouge pivoine, tandis que celui-ci prit un air surpris.

« Que pouvons-nous faire pour vous ? »

« Comme vous le savez notre voiture est fichue, auriez-vous l'amabilité de nous conduire dans la ville la plus proche ? »

Armstrong se racla la gorge légèrement rougissant, le sourire de la journaliste aurait pu faire concurrence à ces petites étoiles roses. Elle n'avait pas répondu à ses recommandations et il voyait clair dans son jeu. Mais n'était-il pas un devoir de tout Armstrong d'aider les jeunes filles en difficulté ?

« Très bien, vous pouvez monter derrière ! », répondit-il simplement.

La voiture les laissa à un petit bourg à quelques kilomètres de là. Juste avant de partir Armstrong essaya de faire de nouveau entendre raison aux journalistes.

« Ce n'est pas pour vous faire peur des militaires que je vous ai dit cela tout à l'heure. Ils arrivent souvent aux frères Elric de se retrouver au milieu de gens dangereux et d'histoires qui dépassent l'entendement pour des personnes ne connaissant pas l'alchimie. C'est d'ailleurs pour cla que je me fais très souvent du souci pour eux »

« Nous avons compris, Major Armstrong. Merci pour tout et bon voyage ! », fit Christina qui continuait de sourire.

« Vous ne renoncerez pas si facilement, n'est-ce pas , comprit Armstrong en soupirant avant de répondre au sourire de la journaliste.

La jeune femme ne répliqua pas et se contenta de secouer la main pour dire au revoir.

Lorsque la voiture s'éloigna, Peter et elle partirent à la recherche de renseignement sur les trains allant à Red Brick. Malheureusement il n'y avait qu'un aller ou un retour une fois par semaine.

« Regardez Christina, fit Peter en dépliant une carte. Nous sommes ici et le train cette semaine ne s'arrêtera qu'auprès de ces forêts. Et si nous attendions que les frères Elric reviennent ? Ils seront obligés de passer par ici »

« Ils seraient encore capable de nous échapper. On ne peut pas se permettre d'attendre une semaine pour leur tomber dessus »

« Que proposez-vous alors ? »

« On prend le prochain train et on s'arrête à la dernière étape. Ensuite on ira en Red Brick à pied »

« Vous n'y pensez pas ! Seule une personne connaissant bien les lieux pourrait sortir de cette forêt. Elle est immense. Essayons de trouver quelqu'un pour nous guider »

« Tu oublies que je suis de la région Peter. Je connais bien cette forêt, je nous amènerai à Red Brick sains et saufs… »

« Depuis quand vous n'êtes pas revenue ici ? »

« Il doit bien y avoir sept ans », réfléchit Christina en comptant sur ses doigts.

« Sept ans ? Mais vous êtes sûre de vous souvenir du chemin ? »

« Puisque je te le dis ! Enfin je crois »

« Vous n'avez donc plus de famille là-bas ? »

A cette question, le visage de Christina prit une expression indéfinissable, un mélange de tristesse, de colère et de mystère. Peter s'en rendit compte et prit un air penaud.

« Allons Peter, fit la jeune femme qui avait retrouvé le sourire en lui tapant allégrement dans le dos. Une petit randonnée ça te dit pas ? »

Cependant, les frères Elric avait passé un bon moment dans le train avant d'enfin arriver à Red Brick. Ils apprirent avec stupeur que le prochain train ne repartait pas avant une semaine mais furent en retour soulagés de savoir qu'également aucun train n'arriverait dans la ville pendant cette même période, la forêt isolant la ville.

Red Brick portait bien son nom, les pavés de la route étant cuivrés. La ville, assez petite, était proche de mines extrayant des minerais de toute sorte. Cependant en arrivant ils eurent une surprise, et de taille. Les rues de Red Brick étaient incroyablement désertes. Les habitants étaient tous là évidemment mais alors que le jour commençait à décliner aucun ne mettait le nez dehors.

« Si on doit rester là pendant au moins une semaine, il faut se trouver un hôtel où dormir, dit Ed. On pourra commencer à chercher l'Alchimiste demain »

« Il n'y a pas d'hôtel dans le coin », fit une voix derrière eux.

C'était un employé de la gare qui passait le balai devant son bureau.

« Que dites-vous ? » demanda Al.

« Y'a pas d'hôtel ici , répéta l'employé. Personne ne vient pour visiter Red Brick. Les seules personnes qui prennent le train sont ceux qui ont de la famille. Mais vous pouvez toujours essayer de voir s'il reste une chambre de libre au bar de la ville. Vous devriez voir ça avec son propriétaire, Ruffio. Ma femme dit que c'est un lieu pas recommandable mais c'est parce qu'il y a des jolies serveuses. Ruffio est un brave gars, il acceptera sûrement de vous trouver un coin où dormir »

« Très bien, nous irons voir , répondit l'alchimiste au bras d'acier. Je pourrai juste vous poser encore deux questions ? »

« Wep ? »

« Pourquoi la ville est-elle si déserte ? »

« Ha ça, vous vous en rendrez bientôt compte mon garçon. Et la deuxième question ? »

« Vous connaissez une personne se faisant appeler l'Alchimiste de l'air ? »

« Connais pas non… »

L'employé refusa d'en dire plus sur la ville et leur indiqua où se trouvait le bar sur un bout de papier. Après avoir passé quelques rues, Ed et Al arrivèrent à leur but.

« Nii-san, c'est ça le bar ? Le 'Darling' ? »

« Ouais. Y'a un écriteau. 'Ce soir, spectacle magnifique. Notre magicien et ses tours incroyables et en complément nos jolies danseuses'… Euh me demande si la femme de l'autre gars aurait pas raison ! Tant pis, on a pas le choix. On rentre ! »

Ed poussa le battant de la porte, suivi de son frère. Ils arrivèrent dans une grande pièce, où se trouvaient des tables et des chaises ainsi qu'une estrade prévue sûrement pour la scène.

Deux serveuses étaient à une table et discutaient mollement. Elles étaient toutes les deux joliment habillées d'une robe en dentelles noire et blanche laissant leurs bras nus. Lorsqu'Ed Et Al arrivèrent, elles se levèrent d'un même bond.

« Tiens donc ! », fit la première toute surprise. Des clients !

« Un peu jeunes cependant ! », répliqua la deuxième.

« B… Bonsoir ! Nous cherchons…, commença Ed avant de se faire couper la parole par la deuxième serveuse.

« Bienvenue au 'Darling' ! Tes parents savent que tu es ici ? Je te préviens, on ne sert pas d'alcool aux mineurs tu le sais »

« Nous ne sommes pas venus pour… »

« Je ne t'ai jamais vu avant. Tu es de la région ? Tu es très mignon tu sais ! », s'y mit également la première jeune fille.

« Hé bien , fit une voix derrière eux. Nouchka ! Benedict ! Il ne faut pas déranger les clients. Servez leur donc du jus de fruit et laissez-les souffler un peu »

Une dame assez âgé était rentrée par une porte sur le côté. Elle portait la même robe en dentelle que les serveuses mais cela lui allait encore assez bien.

« Donna, toujours en train de nous réprimander ! », grogna Nouchka les mains sur les hanches.

« Il y avait longtemps qu'on n'avait pas des clients en journée…, dit la vieille femme avec un sourire moqueur. Cela vous fera travailler un peu toutes les deux. Toujours à flemmarder et à bavarder ! Benedict, sers donc ces messieurs et toi, petite râleuse, cette pièce aurait besoin d'un petit coup de balai ou sinon elle va être à l'affût des araignées »

Les deux filles obéirent sans pour autant arrêter de maugréer. Donna s'assit à la table des deux garçons et leur demanda si elle pouvait quelque chose pour eux.

« Nous cherchons le propriétaire, Ruffio, expliqua Ed. Nous n'avons pas d'endroit où dormir et à la gare on nous a dit qu'on pouvait être héberger ici »

« Nous avons toujours deux ou trois chambres de libre. Je pense qu'il n'y aura pas de problème. Mais il y aura de la musique assez tard tous les soirs. Si personne ne vient en journée, heureusement quelques mineurs passent le soir après leur travail »

« Evidemment nous aurons de quoi payer… »

« Ce ne sera pas de refus. A cause des récents événements, les affaires marchent assez mal »

« Quels récents événements ? »

Ed ne put entendre la réponse de Donna, des bruits avaient attirés son attention. Nouchka avait arrêté de balayer et ainsi que la deuxième serveuse elles parlaient à voix basse avec d'autres jeunes filles qui venaient d'arriver. Toutes regardaient Ed et Al en riant, les joues roses.

« L'est trop choupinet le petit bondinet ! »

« Moi je préfère le gars en armure »

« Il paraît qu'il vont loger ici ! »

Donna leur jeta un regard glacial et elles disparurent par la porte.

« Veuillez les excuser… Pour en revenir à Ruffio, il est derrière le bar dans la réserve avec les gars en train de charger des bouteilles. Vous pourriez aller lui parler »

Donna les guida dans le couloir, puis ils descendirent un escalier donnant sur la réserve. La fraîcheur de l'endroit était la bienvenue par rapport à la chaleur de la surface.

Un homme d'une cinquantaine d'années était en train de sortir d'un camion des tonneaux et des caisses. Il avait les cheveux noirs coupés courts et une machoire carrée. Ruffio était curieusement habillé : un pantalon noir et un haut rouge avec un col en V dévoilant une forte pilosité du torse. Les frères purent s'apercevoir également qu'il était grand et avait de fortes épaules sans pour autant le remporter sur la musculature d'Armstrong.

« Hé bien, Donna, fit Ruffio d'une voix joyeuse. Que m'amènes-tu donc là ? »

La vieille femme expliqua rapidement la situation.

« Très bien. Vous pouvez rester , affirma le propriétaire. Cependant, il y a des conditions. Même si beaucoup de mauvaises langues nous lancent des pierres, le 'Darling' est un établissement convenable. Il y a beaucoup de jolies jeunes filles qui travaillent ici alors que je n'en surprend pas un en train de les épier lorsqu'elles se changent c'est bien compris ? »

Ed et Al acquiescèrent de la tête en rougissant un peu. Une telle idée ne leur était même pas venu à l'esprit.

A ce moment, Ruffio aperçut la chaîne de la montre de l'alchimiste mais ne dit mot.

Pendant ce temps du côté de nos deux journalistes…

« Christina, vous savez où on va ? »

« Euh… »

« Ah c'était quoi ça ?… La nuit commence à tomber et on est perdu ! »

« Je crois que je reconnais ce chemin »

« Vous croyez, hein ? »

Dernier mot d'Arkel : c'est moi où ce chapitre fait long ? Je triche y'a beaucoup de dialogue. J'ai pas pu m'empêcher de faire une mini-self insertion : je suis la serveuse n°1 (ne vous inquiétez pas j'aurai aucun rôle dans l'histoire), ainsi qu'une autre personne qui se reconnaîtra.

On se retrouve pour le prochain chapitre !