Bon , voilà ma conception du sixième tome. Bonne lecture !

Septra Venus.

CHAPITRE I

Deux semaines seulement après le retour d' Harry à Privet drive , celui-ci éprouvait déjà une envie incroyable de retourner à Poudlard . Mais ce n' était pas la vie avec les Dursley qu' il détestait tant. Au contraire, Vernon, Pétunia et Dudley ne s'étaient jamais montrés aussi chaleureux avec Harry . (Cette chaleur se limitant toutefois à un « bonjour », à un « au revoir » et parfois même à un « as-tu bien dormi ? »). Non, ce qu'il haïssait tellement , c'était la sensation d'être épié sans cesse , de ne jamais être seul, et par dessus tout, de devoir donner des comptes rendus détaillés aux membres de l' ordre du phénix tous les trois jours . Bien entendu, il avait essayé de leur envoyer de simples messages , en leur confirmant que rien de fâcheux ne lui était arrivé. Mais non, les membres exigeaient tous les détails, jusqu'au plus infimes . Par exemple, lorsqu' Harry s'était fait mordre par le chien de la voisine quelques jours plus tôt , il avait été obligé de l'indiquer dans sa lettre.

Harry était assis sur le banc qu'il avait repeint 4 ans auparavant , et il contemplait l'allée monotone de Privet Drive. Rien ne semblait indiquer la présence de Voldemort dans les environs. D'ailleurs, depuis qu'il était revenu de l'école, rien ne s'était manifesté dans le quartier. Restait à espérer que cela dure. Remontant dans sa chambre, Harry se mit à refouler les idées noires qui lui empoisonnaient l' esprit depuis que son parrain était mort. En effet, après avoir longtemps réfléchi , il était convaincu d'être définitivement et irréfutablement le responsable de la mort de Sirius, et ce, malgré les paroles de Dumbledore. S' allongeant sur le dos, Harry perdit son regard dans des striures du plafond , s' imaginant quelle serait la meilleure façon d'apprendre à manipuler les sortilèges impardonnables. Car une chose était certaine. La prochaine fois qu'il croiserait Belatrix Lestrange, la meurtrière de Sirius, il les appliquerait avec tant de force qu'elle mourrait dans d'atroces souffrances. Ces derniers mots le firent rire sèchement ; « mourir dans d'atroces souffrances… ». C'étaient précisément les mots que Dumbledore avait prononcés pour la première fois il y a cinq ans , mettant en garde tous les élèves de l'école de sorcellerie Poudlard, de pénétrer dans la Forêt Interdite, bordant le parc de l'école. A cette époque, Harry était heureux . Il quittait les Dursley pour un monde de magie, dans lequel il se ferait des amis. Il ne connaissait dès lors pas Sirius, il n'avait jamais entendu parler d'une quelconque prophétie le liant à au plus grand mage noir de tous les temps, impliquant le fait qu'il serait un jour, soit tué, soit meurtrier. Il se doutait pas non plus que Lord Voldemort recouvrirait son pouvoir dans quelques années seulement, grâce à son propre sang qui coulait maintenant dans les veines du seigneur des ténèbres. Enfin, il n'aurait jamais imaginé possible , le fait qu'il ait un jour, lui, Harry Potter, l'envie d'en finir avec la vie . Cette idée était omniprésente dans son esprit depuis le début des vacances. Mourir. Pourquoi pas ? Une petite voix dans sa tête lui susurra que rejoindre son parrain dans les abîmes de la mort serait un bon moyen de le revoir, car a cause de lui, celui-ci n'était plus en vie. Il avait fallu que Harry joue les héros, comme l'avait si bien dit Hermione. Il avait fallu qu'il pénètre dans la pensine de Rogue, excluant ainsi toute possibilité d'avoir des cours d'occlumentie. Il avait fallu qu'il vive, pour provoquer la mort de ses parents. Il avait fallu qu'il touche la coupe du tournoi des trois sorciers , pour que Cédric Diggory meure, et pour que Voldemort renaisse. Harry aurait bien continué sur sa lancée, mais une autre voix, beaucoup plus forte cette fois, lui hurla dans les oreilles qu'il n'avait pas le droit de mourir après toutes les erreurs qu'il avait commises. Lui, un garçon de presque 17 ans, représentait « l'espoir de l'humanité ». Un terme parodique, mais tellement réel… Il ne pouvait pas mourir. Toujours plongé dans ses idées noires, un bruit de claquement retentit dans la chambre. Sortant de sa torpeur, Harry tourna la tête et aperçut un magnifique hibou brun et or, portant un pli assez important. S'empressant d' aller ouvrir la fenêtre, l'oiseau s'engouffra dans la pièce et déposa gracieusement la lettre sur le lit. Après quoi, il repartit sans un regard en déployant ses grandes ailes . Harry , qui n'avait toujours pas bougé, ferma la fenêtre d'un coup sec et se précipita vers l'enveloppe en la saisissant vivement. Il n'en avait jamais vu de semblable. Elle était bordée de légers fils dorés et elle était presque aussi grande que la main d'Hagrid. Soudain, Harry se souvint. Cette lettre contenait sûrement les résultats de ses BUSES. Comment avait-il pu les oublier . A cette pensée, l'image de Sirius passant derrière un voile noir rejaillit devant ses yeux, et il su précisément pourquoi il les avait oubliés. Se dépêchant de l'ouvrir, il en sortit une feuille dorée , dans laquelle était gravée ses résultats en grandes lettres.

METHAMORPHOSE (théorique) : OPTIMAL.

METHAMORPHOSE (pratique) : EFFORT EXCEPTIONNEL

DEFENCE CONTRE LES FORCES DU MAL (théorique) : OPTIMAL.

DEFENCE CONTRE LES FORCES DU MAL (pratique) : OPTIMAL + mention spéciale.

HISTOIRE DE LA MAGIE : SUFFISANT.

ASTRONOMIE : ACCEPTABLE.

SOINS AUX CREATURES MAGIQUES (théorique) : OPTIMAL.

SOINS AUX CREATURES MAGIQUES (pratique) : OPTIMAL.

DIVINATION : ACCEPTABLE.

SORTILEGES ET ENCHANTEMENTS (théorique): EFFORT EXCEPTIONNEL.

SORTILEGES ET ENCHANTEMENTS (pratique): EFFORT EXCEPTIONNEL.

POTIONS (théorique): OPTIMAL.

POTIONS (pratique) : OPTIMAL.

A cette dernière mention, Harry sursauta. Il relut plusieurs fois la note « optimal » et resta bouche bée pendant cinq bonnes minutes. Il se souvenait très bien de son examen, et il lui aurait semblé plus juste de recevoir la mention « effort exceptionnel ». Fouillant ses méninges à la recherche d'une quelconque explication à cette note surélevée, deux possibilités lui vinrent à l' esprit. La première, la plus vraisemblable, était que le ministre de la magie, Cornelius Fudge, aie voulu se faire pardonner de ne pas l'avoir cru en corrompant les juges. La deuxième était que le professeur McGonagall , qui s'était jurée de faire de Harry un Auror, s'était arrangée pour que l' adolescent reçoive la mention maximale à l'examen. L' effet de surprise qu'il avait éprouvé redoubla d'intensité lorsqu'il lu la note au bas de la page.

Cher monsieur Potter,

Après un entretien privé avec la directrice de votre maison, à savoir, le professeur McGonagall ,nous sommes convenu que vos études seront exclusivement consacrées à la carrière d'Auror dont vous bénéficierez compte tenu de vos notes. De plus, la mention spéciale que vous avez obtenue en défense contre les forces du mal vous donne accès à la section de Défense d'Elite, dans laquelle vous aurez le grand honneur d'être formé, cette section ayant engendré les plus grands aurores de tous les temps.

Etant donné la gravité du moment, une école préparatoire d' Aurors accueillera une fois par semaine les élèves ayant choisi cette section. L' établissement qui vous accueillera, à savoir, L' INSTITUT ATHAUBE, se situe dans un endroit secret qui vous sera communiqué personnellement lors de votre rentrée scolaire, ainsi que les moments où auront lieu ces réunions.

Passez d' agréables vacances,

Vandel Mirage,

Membre du conseil de l' école de sorcellerie Poudlard.

Il relut la lettre une bonne dizaine de fois pour bien assimiler le contenu de la missive. Il allait devenir un Aurore. Il allait pourchasser les mages noirs et leurs partisans. Mais mieux encore, il allait apprendre des sortilèges impardonnables. Il pourrait enfin venger Sirius, et c'était la chose la plus importante à ses yeux. Il déposa la lettre sur son bureau et s'étendit à nouveau sur son lit. Pourquoi se sentait-il si morne ? Il devrait au contraire combattre sa tristesse pour la remplacer par le courage. N'était-ce pas la qualité propre aux Gryffondors ? Sirius n' aurait jamais voulu qu'il devienne un légume , et puis, il resterait peut-être un espoir de le retrouver un jour. N' avait-il pas entendu des chuchotements derrière le voile ? Luna n'avait-elle pas dit qu'il était simplement caché derrière celui-ci ? Une petite lueur d'espoir s' alluma dans le cœur d' Harry, et pour la première fois depuis longtemps, un sourire lui effleura les lèvres.

Toujours joyeux Harry redescendit les escaliers, à l'appel habituel du dîner. Se demandant quelle infamie ils allaient encore devoir manger ce soir-là, l' adolescent entendit un cri aigu dans la cuisine. Il sursauta légèrement et se précipita à l'encontre du cri, imaginant déjà le pire. Arrivant au pas de la porte, Harry se figea. Tante Pétunia était là, assise à terre, avec une lettre verte en main . Elle sanglotait à chaude larmes, et le jeune homme remarqua que la fenêtre de la cuisine était béante, ouvrant un passage sur l'obscurité sinistre de Privet Drive. Harry alla la fermer, et se dirigea vers sa tante, encore toute tremblante. Lorsqu'il jeta un œil sur la lettre , un frisson incontrôlable parcouru l'échine du sorcier , et il du l'arracher des mains de sa tante pour pouvoir la lire. Il connaissait cette écriture, ou du moins, il savait à qui elle appartenait. Ce qui n'était guère difficile d' ailleurs ,compte tenu des lettres argentées et de la signature en forme de tête de mort. Cette signature , Harry ne la connaissait que trop bien . C'était immanquablement la marque des ténèbres … Si la seule vue de la lettre le pétrifia d'horreur, ce qu'elle contenait ne suffit qu'à accentuer sa terreur. En effet, son message était effrayant.

Ma chère et tendre Pétunia,

Tu ne devrais pas laisser tes affaires, aussi imposantes soient-elles, traîner dans les ruelles sombres… J'espère que tu seras plus prudente la prochaine, fois… Ho j'oubliais , il n' y aura pas de prochaine fois…

Salue Harry de ma part..

Lord Voldemort.

Harry relut la lettre plusieurs fois avant d'accepter son contenu. Dans un rugissement, il saisit Pétunia par le bras et hurla à Vernon de venir.

OU EST DUDLEY ? cria-t-il .

Chez ses amis, comme chaque vendredi mon garçon , répondit Vernon avec une lueur d'incompréhension dans le regard. Que veux-tu encore à ce garçon ? JE TE PREVIENS QUE SI C EST POUR FAIRE TU-SAIS-QUOI AVEC TA CHOSE JE…

Harry l'interrompit d'un regard mêlé de furie et d'inquiétude. Il n'avait jamais aimé son cousin, mais Voldemort disait clairement dans sa lettre qu'il lui était arrivé quelque chose, et Harry ne pouvait pas l'accepter.

-Venez avec moi, Dudley est en danger, hurla-t-il à l'adresse des parents pétrifiés.

-Mais qu'est-ce que tu…

-Pas le temps !

Les trois personnes ne précipitèrent hors de la maison, et Harry sortit sa baguette de la poche de son jean. Vernon et Pétunia eurent une moue de frayeur , et manquèrent de signaler à Harry que si les voisins les voyaient , leur réputations serait fichue, lorsqu'ils se rappelèrent qu'il était quand même là pour trouver Dudley. Le jeune homme scruta alors l'obscurité à la recherche d'un des membres de l'Ordre du Phœnix, mais aucun n'apparut. Ils n'étaient décidément jamais là quand il en avait besoin !Harry cria alors le nom de son cousin, en faisant sursauter ses tuteurs, qui ne manquèrent toute fois pas de l' imiter. Ils cherchèrent ainsi pendant plus d'une heure, sans aucun résultat, sans aucune aide. Le spectacle était triste à voir. Trois personnes dans le noir, qui poussaient des cris de désespoir. L'une d'entre elles pleurait de manière saccadée, une autre suppliait, quant à la troisième, elle hurlait de toute la force de ses poumons, en espérant de toute son âme, que ce n'était qu'un cauchemar, qu'un stupide cauchemar. La cacophonie du désespoir sévissait encore et de plus en plus intensément, lorsqu' Harry, Vernon et Pétunia arrivèrent à une pleine de jeux faiblement éclairée par quelques lampadaires. Harry se rendit alors compte que toutes les lumières sur leur passage avaient été éteintes. Il s'en voulut de ne pas l'avoir remarqué avant, car il prit alors conscience de ce qu'il venait de faire. Il était exposé lui et les Dursley à l'attaque des mangemorts , et ce à n'importe quel moment. Regardant soudainement autour de lui, comme s'il s'attendait à voir des têtes encagoulées surgit de nulle part, il brandit plus fermement sa baguette et ordonna aux Dursley de se rapprocher de lui . Pourquoi donc les membres de l'Ordre n'étaient-ils pas là. Etait-ce Mondingus qui avait sa garde ce soir là ? Etait-il à nouveau parti pour affaires ?Un silence pesant s' abattit alors sur la pleine. Tous trois étaient à l'affût du moindre bruit, lorsqu'un grincement strident se fit entendre. Sursautant tous ensemble, ils reconnurent très bien le bruit caractéristique d'une balançoire en mouvement , et ils se précipitèrent vers la source du bruit. Ce qu'ils virent eut l'effet d'une bombe qui explose. Tante pétunia poussa un hurlement affolant, Oncle Vernon se précipita vers la balançoire en pleurant comme il ne l'avait jamais fait de sa vie, et Harry tomba à genoux, les yeux écarquillés de frayeur. Sur la balançoire, se tenait celui qui autrefois avait été Dudley Dursley, et qui aujourd'hui se réduisait à un corps liquéfié, sans chaire aucune au niveau de la tête, se ce n'est celle d'un serpent, qui se baladait entre les mâchoires du défunt…

Une dizaines de sorciers habillés en moldus se trouvaient sur les lieux, posant des questions, effectuant des mesures, et auscultant le corps saccagé qui pendait encore à la balançoire. Des sortilèges de protection avaient été instaurés sur tout le périmètre, et des médicomages tentaient de calmer les Dursley du choc qu'ils avaient subi. Harry, de sont côté, se faisait vertement réprimander par Dumbledore , présent également sur les lieux du crime. Harry était fou de rage, mais il se contenait tant bien que mal . En effet, il n'avait jamais vu le directeur de Poudlard dans un état pareil. Il avait visiblement été réveillé en pleine nuit, il abhorrait un air fou d'inquiétude, de furie, et étonnement de remords. Pendant les vacances, Harry avait progressé en Occlumentie, décidé à ne plus occasionner des meurtres, et il pouvait dés à présent ressentir les sentiments des gens.

-COMMENT AS-TU PU OSER SORTIR DE LA MAISON? TU ETAIS SEUL ET SANS DEFENSE SI CE N'EST CETTE STUPIDE BAGUETTE ! MAIS QU'AVAIS-TU DONC EN TÊTE ! TU AURAIS PU….

Et ainsi de suite pendant plus de dix minutes. Lorsque enfin Dumbledore eut fini d'hurler, il fit une chose à laquelle Harry ne s'attendait vraiment pas. Il le serra dans ses bras, et l' adolescent, à sa grande surprise, se mit à sangloter. Les sanglots firent peu à peu place à des pleurs torrentiels, et Harry vida tout. Tout ce qu'il contenait depuis toujours. Toute sa haine, toute sa tristesse, toutes ses douleurs. Il hurla, pleura, et hurla à nouveau, dans les bras du mage qui le regardait d'un air triste et fatigué. Petit à petit, Harry se calma, et Dumbledore s'écarta.

Excuse-moi Harry , mais , tu sais qu'on ne peux pas te perdre, tu es notre seul espoir. t Et crois-moi, j'aurais aimé que cette maudite prophétie n'ait jamais existé…

Harry regarda autour de lui d'un air effaré, si quelqu'un les avait entendu, mais il constata avec soulagement et gratitude que Dumbledore avait aménagé une bulle de silence autour d'eux.

Je sais bien , mais lorsque je suis sorti, j'ai crié pour qu'un membre de l'Ordre vienne, et personne n'était là, personne…murmura-t-il

Il y avait bien quelqu'un Harry, mais je crains que Voldemort n'ait jeté sur toi un sort d'impassibilité qui nous empêchait de te voir et de t'entendre. Harry promet-moi s'il te plaît de ne plus jamais recommencer ce genre d'action héroÏ…

Dumbledore s'interrompit. Il avait manqué de rappeler à Harry la mort de Sirius, et de raviver ainsi sa culpabilité, qu'il sentait rayonner autour du jeune sorcier.

Mon oncle et ma tante tiennent- le cou ? demanda Harry, en ayant bien compris le silence soudain du directeur.

Pas vraiment non, ils vont avoir besoin d'une sérieuse cure de Déchoquisation. Ils vont être transférés à St mangouste tout à l'heure. Je suis désolé mais tu vas devoir revenir au quartier général cet été.

Harry grimaça , mais hocha la tête à l'affirmative. Au moins , il reverrait ses mais plus tôt que prévu , et il pourrait passer son anniversaire pour la première fois de sa vie avec des gens qu'il aimait.

Après l'avoir chaleureusement salué, Dumbledore transplana, et Harry rejoignit les membres de sa garde rapprochée, qu'il avait aperçus près d'un toboggan.

Je suis désolée, murmura une jeune femme aux cheveux verts, en le serrant dans ses bras. Si tu as besoin de quoi que ce soit, appelle moi d'accord ? c'est injuste ce qui t'arrive, tu n'aurais pas du perdre des êtres chers.

Merci Tonks, répondit Harry dans un souffle inaudible. Il lui était infiniment reconnaissant de lui parler également de Sirius, car Dumbledore ne l'avait pas fait, et son parrain comptait bien plus à ses yeux que Dudley. Merci beaucoup…

Un homme à l'aspect malade l'étreignit alors, et Harry le sentit sangloter . Il ne put s'empêcher de verser une larme, en pensant que lui Harry Potter, avait perdu la seule force capable de maintenir son moral en vie, et que Rémus Lupin, par la même occasion, avait perdu le dernier ami qu'il lui restait. Tous deux pleurèrent quelques minutes ensemble la mort de Sirius, et une idée horrible vint à Harry. Il n' y avait pas encore pensé, mais Dudley était un avertissement à son égard. Voldemort savait qui il aimait et qui il n'aimait pas. Il avait tué Dudley pour l'avertir des suivants en liste. Il le ferait souffrir petit à petit , pour finalement l' achever en beauté. Mais alors, Sirius n'était pas mort. Une vague d'espoir le submergea qui lui donna la nausée. Il serrait terriblement déçu de ses espérances, mais s'il fût une chose que l'on ne pût lui enlever, c'est bien l'espoir, car c'était lui, Harry Potter, qui devrait sauver le Bien en détruisant le mal. Et cette quête sans espoir, ne pourrait jamais survivre…

Ben voilà, elle est pas très très longue et pas géniale, mais bon laissez quand même des reviews !

Bisous à tous, Septra Venus.