La Rose Noir
Écrit par : Yuyu'L'Ayu
Sujet : Harry Potter
Chapitre 1
- Mais tu vas me lâcher oui !
- Pourquoi le ferais-je ?
- Parce que… parce que… Je suis ton ennemi et tu en as pas le droit !
- Ah, vraiment ? Répondit le blondinet en croisant les bras contre son torse.
- Oui.
- Donc, si je suis ton ennemi, pourquoi est-ce que tu m'as laissé te suivre depuis bientôt 2 heures ?
Le garçon s'arrêta brusquement, comme si la terre avait cesser de tournée autour de lui, comme si les gens couraient de plus en plus dans les rues en ne s'excusant au moindre choc causé. Une perte vitale à son esprit s'était enfouie, s'était perdu dans le plus profond de sa boîte crânienne où il n'arrivait à prononcer un simple mot. Son corps et ses yeux étaient pourtant bien éveiller, sans la moindre fatigue, mais il ne parvenait à respirer ou laisser franchir une simple brise venant de ses poumons à l'extérieur de ses lèvres. Loin d'être ahuri, il était tout simplement choqué par les paroles de son interlocuteur, des paroles sûr et « fraîche ».
- J'ai cru que c'était une petite fillette qui voulais mon autographe.
- Ton autographe ?
- Oui !
- Tu n'es même pas célèbre !
- Si!
- Non… Se moqua le grand blond.
- Si!
- Même pas en rêve.
Harry se retourna subitement vers cette personne qui ne cessait de le suivre depuis un certain temps, comme il en avait été convenue de la part de l'homme face à lui. Un sac de plastique à la main, l'adolescent semblait revenir d'un magasin en pleine hivers, bien que la neige n'était pas encore tombé sur la ville. Vêtu d'un manteau en suède redoublé de fourrure à l'intérieur, d'une tuque noire et de petit gars foncé d'où on y voyait le bout de ses doigts. Ce qui ressemblait gravement à un exemple de pauvreté. Harry croisa les bras, rabattant son sac de plastique contre ses hanches et son foulard qui voletait légèrement dans la brise. Il se permit de froncer les sourcils en regardant l'homme face à lui ; Un grand blond platine avec un peu plus de classe en vêtement.
- Ce n'est pas bien de prendre ses fantasmes pour la réalité, Potter.
- Je ne prends pas fantasmes pour…
- Et si on parlait de ton point fondu face à Emmanuel lorsque…
- Bah… heu… Non… heu.. Ferme-là ! Hurla Harry qui venait de se faire prendre à son propre jeu.
- C'est ce que je croyais.
Le brunet jeta un regard noir à son interlocuteur et ne s'empêcha pas de lui flanquer un coup de sac dans le ventre. Ce qui eu pour plaire au grand blond qui gloussa devant l'air abattu d'Harry et n'y cacha même pas son amusement par de lourd rire aux oreilles du garçon.
- Qu'est-ce que tu veux ? Demanda le brunet en haussant les sourcils.
- Moi ? Rien.
- Alors pourquoi tu passes ton temps à marché derrière mes pas HEIN ?
- Parce que…
- Je le savais ! Tu ne sais plus quoi dire ! Ah ah ah ! J'vais appeler les flics..
- Parce que j'habite dans cette rue.
- Même pas vrai !
- Si.
Avant que le jeune homme ne réplique un super hurlement hystérique, il fut saisi d'un soubresaut lorsque le grand blond leva une main vers lui. Sur le coup, Harry prit panique, mais ce ne fut que quelques secondes avant qu'il ne constate que son interlocuteur lui montrait sa maison. Sous un rire moqueur, Harry se détourna vers le blondinet.
- Tu vas essayer de me faire croire que tu habites dans cette rue à quelques pas de chez moi ?
- Oui.. Enfin non ! C'est la vérité c'est tout.
- Bien sûr. Je connais ta réputation Malefoy et tu n'es pas le premier qui c'est déjà essayer à ce petit jeu sur moi.
- Même Emmanuel ?
- Oui… Non ! Pourquoi tu me parles de lui ? Ne te mêle pas de ma vie privée et arrête de me suivre. C'est tout ce que je veux.
Pratiquement désespéré par ce brunet, Draco soupira légèrement puis ce fut un intense soufflement qui sortie de ses lèvres avant qu'il n'empoigne Harry par le bras et qu'il l'amène avec lui. Même sous les protestations du garçon, le richissime ne ralentit pas la manœuvre sans tout de même déserrer son étreinte à son bras, ce que Harry prenait bel et bien pour une agression derrière ses paroles lourdes et ses hurlements hystériques.
- Tu es vraiment désespérant ! Je me demande bien comment tu fais pour vivre dans ce monde avec tous ces amis qui rôde autour de toi comme des vautours !
Au dernier instant que Draco s'arrêta sur le trottoir en face d'une petite maison de brique à l'ancienne, une habitation totalement chaleureuse et digne d'un grand riche. Enfin, peut-être pas l'extérieur de la maison qui paraissait plutôt normal aux côtés des autres, mais Harry savait bien qu'à l'intérieur ce n'était pas seulement des petits meubles en bois et d'un foyer détraquer qui ne chauffait presque plus. Il était sûr que devant Malefoy, sa maison devait être recouverte de truc presque et simplement massif. Quand il entendit les paroles du blondinet, Harry cessa de se débattre spontanément. Comme si ce saleté de riche savait comment il avait d'amis ? Il avait complètement tord. Harry n'avait aucun amis en particulier, surtout depuis qu'il s'était disputer avec Ron et Hermione, ils ne les avaient jamais revu depuis.
Les seules personnes qui lui parlaient dans la vie de tout les jours étaient : Son patron, quelqu'un d'assez froid et antisociale. Quelqu'un qui lui donnait la moitié de son salaire sous menaces qu'il serait viré. Quelques personnes avec qui il ne faisait que se plaindre ou de parler contre la direction et le syndicat du travail. Il y avait aussi quelques personnes qu'il rencontrait tout les jours dans les magasins d'aliments et enfin lorsqu'il se pointait le soir au club de la ville sud. Harry y allait très souvent et peut-être à dire tous les jours. Ce pourquoi il y dépensait sa paye et ainsi pouvait se saouler sous des délires fous. En y réfléchissant, le brunet n'avait qu'une amie sur qui il avait su compter et qu'elle lui avait apporter son aide : Maya. Une jeune orientale ravissante et attendrissante qui travaillait au supermarché du coin. Un emploi qui ne lui allait pas très bien puisque derrière toutes ses qualités, elle aurait pu se gravir un meilleur avenir.
Bref, Harry la retrouvait souvent au club, là où ils déliraient tous les deux. Puis, cessant toute pensée, le brunet fut saisi d'un flash-back. Les derniers mots de Draco, le ton qu'il avait aborder lui eu parut froidement. Comme si les gens autour d'Harry l'énervait, comme si lui ne pouvait ou n'en faisait pas partie. Laissant perler ce moment dans son crâne un court instant, Harry se secoua en levant ses yeux émeraude vers le grand blonds, ce moment où il s'était sentit désoler de ne pas avoir crut le richissime, puisque s'était sa véritable maison.
- Désoler. J'aurais du te croire, mais selon nos relations qui ne sont pas super, j'ai cru une tactique du célèbre Malefoy !
Leurs regards se croisa une fraction de seconde, pendant lequel le regard émeraude du brunet se mélangea malicieusement à celui d'un gris-miroitant de Draco qui celui-ci se racla la gorge.
- Je ne veux pas de t'es excuses. Tant que tu sauras aussi obséder et détraquer par les méfaits de ma famille, je ne mérite aucune de t'es excuses. De toute façon c'est dit, toi, Potter, n'a jamais été très rassurant.
- Quoi ? Moi ! Mais je suis très…
- Pas du tout. Tu fais tellement de « truc » louches!
- C'est pas vrai !
- Hum hum…
- Finalement, c'est même pas ta maison saleté de Malefoy!
- C'est comme tu veux, tu n'as qu'à entrée je te la ferais visiter.
- Quoi ? Jamais ! Espèce de manique!
Offusquer, l'adolescent flanqua un nouveau coup de son sac de plastique où il traînait quelques repas surgeler. Draco le reçut une seconde fois, mais il parvint malicieusement à bloquer le second du brunet et tenu fermement l'autre extrémité du sac. Malgré toutes les protestations d'Harry, Draco ne l'écouta pas, du moins, pour l'instant.
- Lâche mon sac de plastique !
- Non.
- Si tu ne lâches pas mes affaires, j'hurle au viol.
- Je ne t'agresses même pas!
- Et alors, sa va attirer l'attention plus vite.
- Je m'en fou un peu tu sais ?
- J'crois pas, les flics vont venir te ramasser.
- Pas si je suis dans ma maison avant qu'une personne se décide de sortir dans la rue dans cette noirceur et alors qu'il fait frisquet.
Après le grondement du brunet, Draco soupira et abandonna systématiquement son petit jeu. Il ne voulait pas faire de mal à Harry et encore moins l'embêter. Alors pourquoi agissait-il de cette façon ? Sans doute un ancien gêne de Malefoy qui le dégoûta subitement et il relâcha le sac du jeune homme. Cependant, tout s'écroula sur le trottoir. L'avait-il vraiment voulu ? Draco ne le savait pas, mais il se pencha tout de même pour aider son interlocuteur qui s'était mit à jurer. Une grande première de la part de Potter.
- J'ai pas besoin de ton aide !
- Mais c'est moi qui a tout renverser, avoir je me dois de t'aider, il fait tout de même froid à cette heure.
Soupirant, Harry releva la tête vers le blondinet, quelques mèches brunâtres s'écroulait sur son front et contre ses lunettes et il regarda de nouveau les yeux gris de Draco, cette fois-ci avec une certaine haine appartenant au passé et d'une voix ferme il répondit ;
- Qu'est-ce que tu me veux à la fin ! Je vie ma vie très bien sans toi, alors je n'ai pas besoin de t'es petites apparitions à tour de rôle autour de moi !
- Très bien Potter. Je conviens à affirmer que c'est de ta faute tout sa ! Et ne viens pas pleurnicher que je te harcèle, car c'est totalement faux…
- J'en ai marre ! Tu vas accoucher oui ?
- Ce paris que nous avons fait l'autre soir au club, lorsque nous étions pratiquement saouls, tu t'en souviens ?
Le brunet ne prit même pas la peine de réfléchir où dit repenser, même à sa, sa mémoire n'était peut-être pas assez grande pour retourner jusqu'à cette soirée. Mais il fit mine que non de la tête et détourna légèrement les yeux. Un moment que Draco le vit à mentir…
- Je ne vois pas de quoi tu parles Malefoy.
- Tu as perdu notre paris, donc c'est moi qui a gagné et j'avais choisie de faire plus connaissance avec toi. D'apprendre plus de toi et non de toujours me chamailler et de me battre contre toi comme dans le passé.
- Tu oublies peut-être que le passé nous rattrape toujours et que je ne veux même pas rien savoir de toi. Ton amitié et ton bla-bla tu sais où te la mettre ?
- C'est un paris qu'on a fait Potter !
- Hé bien, on peut dire que je me fou de se paris et je veux que tu me foute là paix. Je ne t'aime pas, je ne t'ai jamais aimé et tu ne mérites même pas mon amitié.
Sous le ton mesquin et froid d'Harry, Draco ferma légèrement les yeux en se raclant la gorge, chose que le brunet ne prit même pas la peine de remarquer. Draco souffrait de ses paroles. Déposant le dernier repas congeler dans son sac de plastique, le jeune homme se releva brusquement en jetant un dernier regard au grand blond puis détourna les yeux en prenant le trottoir qui conduisait à son appartement.
- D'accord, si tu insistes tant, j'irai voir ailleurs. Et pourquoi pas Emmanuel ? C'est un très gentil garçon tu ne trouves pas.
Harry s'arrêta net, grinçant les dents et serrant les poings, il se retourna vers le blond toujours à genoux sur le sol et n'eut aucune conscience de pitié. Plutôt de la satisfaction de voir Malefoy à genoux sur le sol, à le « supplier »
- Ah ah ! J'en étais sûr ! Tout ce que tu veux Malefoy c'est de la sexualité ! Tu ne changeras jamais, c'était ton pensée, c'était les « lois » de ta famille et tu es toujours le même. Tu n'auras pas ce plaisir de m'avoir, ne compte pas là-dessus. Et s'il ne t'arrivait qu'une seul fois de toucher à Emmanuel, tu ne pourras pas filer facilement.
À cet instant, Harry flanqua un coup de pied sur le trottoir et quelques petites roches virevoltèrent vers Malefoy qui ne fit rien. Et dans un dernier regard de fureur, le brunet s'éclipsa dans l'ombre de la nuit pour rentrée chez lui. Laissant un Draco seul sur le trottoir, à quelques pas de sa maison…
- Pourquoi es-tu si incompréhensif Harry…
---------------------------------------------------------------------------
Déposant son manteau sur un crochet de l'entrée, il enleva ses souliers fougueusement et jeta son foulard ainsi que sa tuque sur le sol avec colère. Ses yeux émeraude n'exprimaient plus du tout la joie, mais plutôt une tristesse éloignée et une fureur torride qui se mélangeait à son cœur. Harry détestait plus que tout au monde Malefoy. Il ne l'avait jamais sentit, il ne l'avait jamais aimé et ce n'était qu'un homme détestable tout comme sa famille ! Oh, comme Harry haïssait les Malefoy. Personne ne pouvait savoir à quel point il les maudissait et ne demandait que leurs morts. Cette famille n'avait été qu'un trouble autour de lui et contre lui. Lucius n'était qu'un pauvre lâche ayant donner ses gênes et ses hormones à son fils… Le saleté de Draco… Lui qui cherchait temps Harry, qui le suivait partout, qui rejetait toute ses idées… Draco qui lui maudissait sa vie !
Furieux, le brunet lança son sac de plastique sur le comptoir de la cuisine dans un fracas lourd, ce qui eu pour geste d'un hurlement et d'un coup de bâton venant du plafond. Le jeune homme commença une jolie engueulade avec son voisin du dessus, mais cessa bientôt sous les reproches que son voisin descendrait lui foutre une raclé.
- J'en ai marre de cet appartement ! J'en ai marre de tous ces gens ! J'en ai ma claque de cette ville MERDE ! Vous êtes tous contre MOI ET VOUS FAITES CHIER !
De nouveau, des coups de bâton retentirent et Harry cessa de hurler. Il aspira profondément en fermant les yeux. Comme sa vie était un enfer aujourd'hui. Pourtant il n'avait rien fait pour mériter de telle chose… Alors qu'il rouvrit les yeux, il aperçut une jeune femme en face de chez lui, de sa fenêtre, elle leva son t-shirt pour montrer sa poitrine. Quelques choses qui dégoûta subtilement Harry de sa maison. Les joues rouges de colère, il ferma le rideau de sa fenêtre de cuisine et tira ses repas congelés dans le frigo furieusement avant de prendre les pas vers la salle de bain.
- Allez… du calme Harry ! Calme-toi. Tu es chez toi et tout va bien, ne penses plus à cette espèce de…
Avant que le brunet n'échappe un hurlement, il se tue en ouvrant le robinet et se mouilla rapidement le visage en se regardant dans le miroir.
- Quel pauvre mec je fais…
Dans ce miroir, il voyant un jeune homme aux yeux émeraude semi-gonflé par la fatigue, des cheveux noirs d'ébène totalement ébouriffée et entremêler. Une coiffure qu'il aimait bien auparavant. Un gilet vert terne, à vrai dire kaki et des pantalons déchirer à quelques endroits. Se frottant les yeux, il détourna la tête du miroir, une personne qu'il détestait regarder à présent. Harry avait les mains tremblantes, mais il ne pouvait savoir si c'était par la tristesse au fond de lui, par la solitude ou par sa misérable vie. S'ouate, il ouvrit le robinet de la douche et y laissa coulé l'eau un certain moment puis il se dévêtit en laissant retomber ses vêtements sur le sol et entra sous le jet chaud. Une sensation qu'il appréciait en-dessous de cette intense chaleur.
- Tout ira mieux, c'est promis. Demain sera un autre jour et je n'y penserai plus… Marmonna-t-il sous le jet de chaleur et perdu dans la buée de la salle de bain.
Les yeux remplis de larmes, il ne pu s'empêcher de fondre dans sa douche qui ne lui faisait plus du tout de bien. Il était si malheureux, si seul dans ce monde et jusqu'à la fin de sa pénible vie. Il devait vivre comme sa, rien ne changerait jamais… Lâcha quelques gémissements en même temps que les larmes et l'eau chaude qui perlait ses joues, il s'écroula maladroitement dans la douche…
- Je vous déteste… Gémit-il.
Après une bonne vingtaine de minute à passé sous la douche, Harry en ressortie nue et se dépêcha d'ouvrir les tiroirs pour se trouver une serviette, mais il en avait plus aucune.
- Mince ! Où sont-elles toutes passés ?
Passant toujours sans vêtements dans son appartement, il se dépêcha d'atterrir dans sa chambre et pris sa serviette qui datait du matin. Et s'essuya rapidement avant d'enfiler un pantalon et un t-shirt. Ses cheveux encore trempés laissaient quelques gouttelettes s'éloigner de sa chevelure et glisser sur son gilet blanc qui devenait peu à peu transparent. Faute de s'avoir essuyer si rapidement qu'on y voyait maintenant ses formes par ce t-shirt maintenant légèrement trempé. Harry se secoua la tête et s'assit sur son lit, regardant sa chambre au passage avant de caché son visage entre ses mains.
Il leva la tête et lâcha un soupir. La femme du voisin du dessus ne cessait de hurler, tandis que le plafond et ses meubles tremblaient légèrement. Il en avait assez ! Il ne pouvait plus en supporter d'avantage !
- Vous allez arrêter oui ! Je ne m'entends même plus marmonner !
S'écria Harry. Mais malheureusement, rien ne se fit. Les hurlements de sa femme ne se firent que de plus en plus fort et sans retenu. Changeant de pièce, le brunet sortit un repas du frigo et l'ouvrit à la suite de le jeté dans le four, mais un bruit d'écho retentit à ses oreilles. Un bruit habituel dont le refrain était toujours le même chaques fois… Il y avait quelqu'un à sa porte.
Harry resta silencieux un long moment, faisant semblant de ne pas être dans son appartement, mais les lumières allumées trahissait sa présence.
- Qu'est-ce que tu me veux Malefoy ! Je t'ai dit que je ne voulais plus te voir ! Rentre chez toi.
De nouveau, on cogna à sa porte mais aucune voix ne se fit entendre.
- Je t'ai demandé de fiché le camp Malefoy !
Mais en vain. La colère à sa voix, Harry sortit de la cuisine et se dirigea brusquement jusqu'à sa porte d'entrée et lorsqu'il hurla à Malefoy de quitter sa porte, un cognement le fit sursauter une seconde fois. Le brunet ferma les yeux et prit une grande inspiration et décrocheta le verrou et ouvrit la porte…
- Malefoy qu'est-ce que tu…
- FERME-LÀ ET ENTRE À L'INTÉRIEUR !
- Mais, qu'est-ce que vous me voulez je…
- ENTRE JE T'AI DIS ! S'écria un homme vêtu de noir et d'un capuchon sombre qui lui cachait la tête.
Harry venait pour répliquer, mais il reçut un fusil contre la tempe, ce qui l'obligea à se taire et de faire quelques pas vers l'arrière afin de laisser l'inconnu armé entré chez lui. Violemment la porte fut refermer et l'inconnu frappa Harry qui s'écroula sur le sol.
- Arrêter ! S'il vous plais… je… je vais vous donner mon argent..
- Ce n'est pas ce que je veux ! Allez lève-toi !
Le brunet reçu un coup de pied en plein ventre, ce qui l'obligea à se recroqueviller douloureusement en lâchant quelques gémissements. Puis, l'inconnu leva Harry par le bras et le traîna jusque dans ce qui ressemblait à la chambre du brunet et le lança sur le lit brusquement, sans toujours lâcher son arme.
- Tu vas te taire et fermer ta grande gueule ! Si tu restes calme, tu ne risqueras pas d'être blesser. C'est promis.
Harry déglutis sous les paroles de l'inconnu et celui-ci détacha son pantalon et se jeta sur le brunet en y déchirant son t-shirt. Son agresseur eu un soudain rire macabre, ce qui pour fait d'apeurer le jeune homme qui essayait de se débattre de façon soudaine et rapide. Mais le bandit plaqua Harry plus férocement dans le lit et commença à titiller voracement sa peau…
À suivre…
---------------------------------------------------------------------------------
Bon, j'ai peut-être couper très sec à la fin, mais c'est tout à fais normal XD Puisque le chapitre deux est plus important, bah... en fait il est plus accès sur la suite du viol de Ryry et ce qui s'y passera avec Dra... J'me tais! j'parle trop là! Donc lisez à la place
Voilà pour le premier chapitre de ma deuxième fic HP. Du moins, pour un premier début j'espère qu'il vous plairas et que vous serez nombreux à me laisser quelques petits mots de toute sorte. Bref, je vous fait le chapitre 2 pour demain ! Du moins je vais essayer…
P.S. Pour ceux qui m'auront donné des reviews, je vous répondrez dans le prochain chap. Ce seras comme sa à toute les nouvelles reviews en fait XD
Touka, Merci beaucoup d'avoir lu mon premier chap !
