Bonjour lecteurs de fanfictions !

Voici le premier vrai chapitre de L'Espoir fait vivre ...


- TOUT APPARTIENT À MADAME JOAN K. ROWLING hormis le personnage de Christa Parker et l'histoire.

- RATING : Indubitablement M pour les quatre premiers chapitres qui contiennent des scènes d'1 grande violence (physique et psychologique). Vous voilà prévenu ! ÂMES SENSIBLES, PASSEZ VOTRE CHEMIN ou commencez la lecture au chapitre 3… à partir de là, rating K+.


AVERTISSEMENT POUR CE CHAPITRE: Attention ! Contient une scène de viol assez explicite. Loin de moi de faire l'apologie de ce genre de pratique ou de verser dans le voyeurisme. Cependant, le passage en question me semblait nécessaire pour le bon déroulement de l'histoire… Donc je répète : ALERTE ROUGE ! ALERTE ROUGE ! Ne lisez pas ce qui suit si vous avez - de 16 ans et / ou êtes particulièrement sensible sur ce sujet ! Merci et sinon, ne venez pas vous plaindre...

Et maintenant : BONNE LECTURE !


L'ESPOIR FAIT VIVRE …


Chapitre 1 : CAPTIVE.


Christa venait d'être faite prisonnière… Comme tant d'autres ce jour-là, le jour d'avant, et probablement celui d'après… Depuis l'avènement de Voldemort à la tête de ses milliers d'adeptes, une chape d'airain s'était abattue sur le monde des sorciers.

Les Mangemorts avaient conduits leurs prisonniers dans les cachots du Manoir Seigneurial. Parmi eux, autour d'elle, Christa ne voyait que des visages qui lui étaient étrangers. À mesure qu'ils s'enfonçaient sous terre, un sentiment insurmontable de terreur et de solitude l'avait envahie, balayant toutes ses certitudes passées … Pourquoi elle ?

D'abord, Christa avait été interrogée. Est-ce qu'elle connaissait bien Arthur et Molly Weasley ? Et leurs fils : Bill et Charlie ? Les jumeaux Fred et George ? Faisaient-ils eux aussi partie de l'Ordre du Phénix ? Savait-elle où se trouvait le quartier général de l'Ordre ? Sur quel continent ?

Bien sûr ils l'avaient torturés. Comme elle ne révélait rien sous leurs endoloris répétés, ils avaient essayé certaines méthodes moldues. Pour s'amuser… Quand les aiguilles de métal étaient entrées sous sa peau, Christa avait crié. Quand ils avaient tiré sur ses ongles avec des tenailles chauffées à blanc, elle avait hurlé et ses hurlements s'étaient répercutés à l'infini contre les murs de pierres. Puis, la vue de son sang répandu et des mutilations infligées l'avait fait sombrer. À ce moment là, elle aurait tout avoué pour que cesse la souffrance.

Mais Christa ne savait rien des membres de l'Ordre du Phénix, ni d'une éventuelle participation de la famille Weasley à ce groupe. Elle était simplement une camarade de classe parmi d'autres de Ginny. Gryffondor, sixième année. Jeune fille normale, issue d'une famille adoptive de moldus sans histoires. Juste un peu plus intelligente que la moyenne, peut-être. Pourquoi elle ?

Finalement, son extrême jeunesse et sa fragile blondeur avaient excité le désir des Mangemorts.

Tandis qu'il entravait ses mouvements au moyen d'un sortilège puissant, le premier la pénétra de sa main, s'appliquant à fouiller, à déchirer les chairs sensibles du bas-ventre virginal avec ses doigts immondes. « - Nott ! Pourquoi fais-tu cela ? », lui avait demandé un autre Mangemort, étonné. « - Je préfère les ouvrir ainsi : je sens mieux ce que je fais » Et il était parti d'un rire ignoble. Puis brusquement, son poignet s'était raidi et son rire étouffé par le râle de sa jouissance.

Tous l'avaient prise à tour de rôle. Certains avec rapidité. D'autres avec brutalité. Toujours avec cruauté, tandis que celui qui se nommait Nott, la maintenait au sol, soumise aux assauts violents de ses camarades Mangemorts.

Christa avait supplié. Supplié. Supplié de toutes ses forces pour qu'ils arrêtent enfin. Mais cela les avait fait rire. Alors la jeune fille avait tenté elle-même de s'étrangler en resserrant sa gorge pour s'empêcher d'implorer leur clémence… (1) En vain.

À l'heure du repas, ils l'avaient laissés, ses vêtements défaits, le ventre souillé, son corps pâle ensanglanté par leurs coups de butor…

Seule, Christa avait pleuré. Sur sa douleur insoutenable. Sur sa honte aussi.

Pourquoi elle ?


(1) Merci àLunécume de m'avoir prêté cette ci jolie phrase !

NB à l'intention des éventuels lecteurs de cette fiction : si vous aimez les histoires bien écrites avec Severus Rogue dedans, je vous incite grandement à lire NÉRÉIS de la très formidable LUNECUME (le lien est dans mon profil).


La suite dans une semaine...