Lundi 15 septembre :

Avant le cours de potions, patmol et moi suivîmes servilus et jetâmes dans son sac, le botruc pendant qu'il allait aux toilettes, le laissant devant sa cabine.
Arrivé au cours de potions, il ouvrit son sac pour en retirer un livre et poussa un cri de douleur, le botruc venait de lui griffé à sang son bras, il s'en débarrassant en le projetant contre le mur de pierre et en l'écrasant. Le pauvre, le craquement de ses os me suivirent toute la journée. Mais nous étions débarrassés de lui pendant le cours de potions. On ne l'aperçut qu'au dîner, le bras plein de bandages.
La séance de quidditch fut ennuyeuse, étant donné que le vif d'or était d'une simplicité enfantine a attraper.

Mardi 16 septembre :

Journée normale, tout simplement, nous n'avons même pas croiser servilus, c'est a croire qu'il nous évite.
Aussi, Lily m'a regardé tout de cours de botanique, j'étais fou de joie. A coté de moi, Sirius, Peter et Remus étaient mort de rire mais je m'en moquais. Elle vint même me voir en fin de cours, mon cœur s'est arrêté de battre quand elle m'a dit : « tu devrais faire attention ou tu vas, tu as des oreilles plus grandes que celle des elfes de maison ». Puis elle est partie. Je me suis tournée vers mes amis et je compris aussitôt la cause de leur fou-rire. Sirius m'avoua que je m'étais inconsciemment jeté le sort en rentrant en cours, lorsque j'ai marmonné des paroles en rentrant en cours, ce dont je ne me rappelais pas du tout.

Mercredi 17 septembre :

Nous passâmes une journée exécrable, notamment parce que ce s de servilo nous prit chacun notre tour en embuscade, nous faisant apparaître à tous dans le hall des oreilles géantes et nous faisant subir les railleries des autres élèves. C'est à ce moment la que je compris que c'était ce même sortilège qui m'avait frappé la veille en botanique. Apres être allé à l'infirmerie, nous jurâmes tous de nous venger, a part Remus qui insistait à dire que nous l'avions mérité, mais je sentis dans sa voix qu'il ne le pensait pas, et qu'il ne disait cela que parce qu'il était préfet.

Jeudi 18 septembre :

Pendant le cours de potion, durant lequel on travaillait sur une potion d'enflure spéciale, qui faisait, en plus de faire grossir les parties du corps, changeait la couleur de peau d'une personne constamment sans repos.
Les cours de potions avaient lieu avec les serpentards, comme tous les ans et bien sur, snivelo était malheureusement présent. Avec Sirius, on a passé le cours à s'amuser à envoyé toutes sortes d'ingrédient dans son chaudron mais il parvenait toujours à annuler leurs effets. On a essayé de la changer en potion d'allégresse ou de somnolence ; on a même essayé le philtre d'amour mais, rien n'y fit. Alors, à la fin du cours, j'ai envoyé des pétards de chez zonko et sa potion lui explosa en plaine figure. C'était hilarant, avec son corps qui quintupla de volume (il fallut 10 minutes pour le faire sortir de la classe) et son teint qui passa par toutes les couleurs. Notre professeur de potion dut même le faire rouler dans le château car il ne tenait pas debout !
Mais ce n'était qu'un avant goût de ce que l'on peut lui infliger, voir sa tête m'est plus qu'insupportable.
Queudver ne fit d'ailleurs aucun progrès pour devenir animagus, alors que moi et Sirius pouvons nous changer à volonté.

Vendredi 19 septembre :

Je ne trouva pas Lily dans le château, la seule chose qui s'est produite c'est la terrible erreur qu'a fait ce fayot de rogue, il est passé à cinq mètres de nous ! Ce qui était trop près à mon goût, alors je ne put m'empêcher de lui lancer :
Alors servilus, on se promène ?
Fous-moi la paix, me répondit cet abruti en cachant son livre.
Sirius eu, au même moment, la même idée que moi :
Accio livre ! nous criions à l'unisson Rend moi ça Potter, c'est bien trop intelligent pour toi. Et il a sorti sa baguette cet imbécile, en plus.
expelliarmus, tenta t-il. Des élèves se rapprochèrent et je criai :
Protego ! Impedimenta ! Le pauvre il a voltigé, sa baguette retombant hors de son atteinte, ensuite je l'ai ligoté d'un autre coup de baguette magique et j'ai pu lire son de quoi parlait son livre. Je fut dégoûté, il n'y avait que des sorts comme « comment démembrer vos adversaires » ou « listes des sorts les plus humiliants et les plus noirs .
Je lui lança le livre d'un air méprisant. De la magie noire ! Je n'y croyais pas ! Pas dans l'école, devant tout le monde !
Je ne te dis pas merci, Potter, un jour tu me payeras tout ça, je te le promets.
Ce fut sa seconde erreur, je vidai son sac dans le parc, éparpillant ses affaires. Je pris le soin de lui délivrer les mains pour qu'il puisse attraper ses affaires, mais pas ses pieds. Nous avons bien rit, car dès qu'il s'apprêtait a prendre un cahier ou un stylo, il lui fallait le temps d'y arriver car ses pieds ligotés le faisait parfois tomber, nous l'éloignions ou lancions un sortilège cuisant a notre ami. Peter était euphorique et Remus nous regardait, amusé.

Samedi 20 septembre :

Nous avons vu sur le tableau que la prochaine sortie a pré au lard serait le mois prochain, ce qui nous enchantait mais ce que j'attendais le plus était le premier match de quidditch qui devait avoir lieu samedi prochain. Cette année, il est tôt, je trouve.

Il est 22H, mes compagnons dorment mais pas moi. On m'a offert ce carnet à Noël dernier et jamais auparavant je n'aurais pensé l'utiliser. Mais en ce moment j'écris dans, pourquoi ? Si j'ai un soucis, je peux parler à Sirius ou Remus. Pourquoi est ce que je sens cette force qui me pousse à écrire ? Ais je besoin d'immortaliser cette année plus qu'une autre ? Ais je besoin de me parler par l'intermédiaire de bouts de papiers ? Pourtant j'écris, j'écris tout depuis le début de l'année, mes désirs, mes plaisirs, mes soucis. Un jour peut être saurais-je le but de mon entreprise. En tout cas j'écris et j'ai l'impression de me vider le cœur, ça fait du bien, et Lily… me voilà encore à penser à elle, va t'elle m'aimer ? Je ne sais mais si quelqu'un tombe sur ce carnet et le lit… Lit ce que je pense… Lit ma vie… Mes angoisses… Se serait dur à accepter Car il est… MOI. Mais je ne peux pas non plus l'abandonner, pas maintenant.

Dimanche 21 septembre :

La journée fut paisible. Nous nous sommes promenés, et Lupin nous a fait part que le devoir de métamorphose approchait, ce dont je ne m'inquiétais pas du tout.
Nous n'avons croisé aucun ami particulier, juste quelques élèves de notre maison. En effet, nous avions décidé de passer la journée près des serres, ou peu d'élèves allaient et nous pûmes entrer dans la serre numéro 4 qui nous est interdite en forçant la porte.
En entrant nous ne vîmes rien de particulier mais tout s'enlisa lorsqu'une des plantes attrapa la jambe de Remus. Nous ne la connaissions pas et dûmes utiliser de nombreux sortilèges avant de trouver le bon : un sortilège de réduction. A ce moment la plante émit un horrible bruit de succion et d'autres plantes la rejoignirent. Malheureusement, elle devait être nocive car la jambe de lunard prit une teinte verdâtre et gonfla. Il avait mal mais les plantes nous bloquaient le passage. Apres un combat acharné entre nos sortilèges de réduction et les coups des plantes frappés avec leurs tentacules, nous pûmes enfin sortir de la serre. Nous étions légèrement amochés et exténués mais tout allait bien, contrairement aux qui, de toute évidence et s'entretuaient maintenant. Nous nous dépêchions d'aller à l'infirmerie emmener Lunard et queudver qui s'était bêtement fait surprendre par une des plantes. Heureusement, mme POMFRESH ne pose pas beaucoup de question et nos deux amis furent sortis le soir même. Sirius et moi avons soigné nos égratignures qui ne saignaient quasiment plus avec de l'essence de murlap, très utile pour ce genre de blessure.
Bref, une journée paisible.

Lundi 22 septembre :

Pendant le cours d'astronomie, avec Sirius, on a taquiné Remus mais il a vite râlé et, pour le coup nous nous sommes rabattus sur le reste de la classe. Notre professeur nous montraient les planètes sur un énorme écran, et, avec Sirius, on s'amusait à les faire bouger ou faire apparaître deux plutons… Mais on s'est fait choper et on s'est fait viré du cours avec deux jours de retenues, ça commençait déjà. Nous sommes donc remontés au dortoir, stupéfixiant les quelques premières de serpentards que nous avons croisé. Nous avons retrouvé Peter et Remus au repas, mais je ne leur aie pas trop parlé car j'avais entraînement de quidditch. J'ai cependant retrouvé Sirius après et il m'a dit qu'après notre départ de la salle, nos deux acolytes avaient continué de faire bouger les planètes, mais beaucoup plus discrètement.

Mardi 23 septembre :

Ce matin, le professeur Mc GONAGALL est venue nous annoncer que notre retenue avait lieu jeudi et vendredi soir, à partir de 20H.
En botanique, j'ai vu Lily et surtout, elle m'a regardé : J'ai croisé son regard, je lui ai fais... un sourire et… elle… me la…RENDU ! J'étais tellement heureux que je n'ai pas vu que j'écrasais mon frelard (petit animal genre scarabée mais servant d'engrais) ! Sirius me le fis remarquer, mais c'était trop tard, le liquide dont il était remplit me coula sur les doigts. Et ce liquide a un effet particulier sur la peau : elle ternit et devient très sèche, trop sèche meme. Je dus quitter le cours et aller à l'infirmerie pour que mme POMFRESH répare les dégâts.
On a aussi surprit Servilo qui nous suivait et devait préparer quelque chose, nous nous en sommes débarrassés en ensorcelant sa robe pour qu'elle se relève et s'obstine à cacher sa monstrueuse tête. Il courut ainsi dans tout le château en essayant de l'enlevé et se prit beaucoup de piliers. Bien fait pour lui, il n'a pas à s'approcher à moins de cinq mètres de nous.
Peter n'a toujours pas réussi à se métamorphosé mais des moustaches lui sont apparus sur la figure, ce qui était signe de progrès.

Mercredi 24 septembre :

En divination, nous avons fait de nombreuses prédictions issues des boules de cristal mais je crois qu'elle n'a pas été convaincue. Pas étonnant, Sirius a dit qu'il voyait un visage horrible, avec deux cercles gigantesques de chaque cotés avec des cheveux qui ressemblaient plus à de la paille séchée teinte en rouge. Il a mit quelques secondes avant de s'apercevoir qu'il s'agissait de la prof ! Moi, j'ai aussi essayé mais j'ai cru voir une sorte d'oiseau qui planait sur de nombreuses têtes et déversait sur eux ses excréments par la même occasion. Elle m'a lancé un regard sévère avant de s'éloigner voir d'autres élèves. J'ensorcelai sa robe mais je m'interrompis lorsque je croisa le regard de Remus qui me faisait comprendre que j'en avais assez fait ces derniers jours. Je lança un regard furtif a Sirius qui me dit que Remus n'avait pas entièrement tort mais son regard le contredisait. Je laissa donc retomber sa robe de sorcier doucement avant de retourner à ma boule de cristal. Mais dans ce geste, j'ai furtivement vu Lily et je fus persuadé qu'elle me regardait un instant auparavant.

Jeudi 25 septembre :

La journée fut très ennuyeuse mais le pire était à venir : la retenue !
Nous dûmes repousser notre leçon pour devenir des animagus et quand j'intercepta Marc ESPAGAN pour lui dire que j'étais en retenue le lendemain soir et que donc, je ne pourrais assister à la séance d'entraînement, il poussa un profond soupir et me dit : « Tu trouve toujours le moyen de te faire coller lorsqu'il ne faut pas ! Samedi on joue contre poufsouffle, tu as intérêt d'être en forme ! »
Sirius et moi avons fait notre retenue séparés, pour changer ! Lui m'a dit qu'il était allé nettoyer les coupes et les écussons de la salle des trophées et moi je dut récurer tous les chaudrons des cachots, dont tout ceux de notre classe qu'on avait discrètement salit exprès pour faire rager Rusard. Mais la retenue fut moins ennuyeuse qu'elle ne le paraît. En effet, nous avons, avec Sirius créés un système pour se parler : Des miroirs ensorcelés. On riait pendant des heures en même temps qu'on travaillait. On ne pouvait même pas appeler cela travailler car Rusard venait nous guetter chacun notre tour et, le temps qu'il fasse le chemin et qu'il observait l'autre, nous utilisions nos baguettes magiques pour nettoyer et la carte du maraudeur pour savoir ou il était. D'ailleurs, on devrait le remercier, il nous a ainsi apprit à ses dépends nombre de passages secrets du château.

Vendredi 26 septembre :

Nous croisâmes snivelli, mais avant d'avoir pu faire quoi que ce soit, le professeur flitwick était apparu à l'angle du couloir et se dirigeait vers nous. J'entendis murmurer servillus : « alors Potter, on passe des mauvaises soirées ? Fais gaffe, tu sens encore le produit nettoyant de Rusard et Lily n'aime sûrement pas ce genre de parfum. » Avant qu'on ne puisse répliquer, flitwick était à notre hauteur et je ne pus que le regarder s'éloigner, réjoui, avec une terrible envi de le tuer. Je devais malheureusement chasser cette idée de ma tête.
La retenue du soir fut aussi plaisante : Sirius dut nettoyer toute la grande salle et moi le hall. Rusard ayant beaucoup moins de trajet à faire entre nous deux, nous ne pûmes nous parler un certain temps mais je réussis à convaincre Peeves de mettre le bazar dans le couloir des enchantements. Il se hâta d'obéir, avec la promesse que je lui fournisse dix kilos de bombabouses en rentrant du prochain séjour à pré au lard. Rusard, furieux, se hâta d'y aller et, d'un coup de baguette magique on ensorcela les balais et autres ustensiles pour tout faire à notre place. A son retour, tout essoufflé, on put enfin aller se coucher.

Samedi 27 septembre :

Ca y'est le jour est arrivé, c'est aujourd'hui que débute réellement la saison de quidditch. J'arrive sur le terrain, l'équipe de poufsouffle est en face de nous. Les deux capitaines se serrent la main, et moins d'une minute après, c'est parti ! Je m'envole et vois l'attrapeur adverse, qui commence déjà à chercher le vif d'or, le pauvre, dans cinq minute il sera dégouté (c'est ce que j'ai pensé). Au bout de cinq minutes, gryffondor gagne 80 à 50, c'est assez serré, je me mets pour de bon à la recherche du vif d'or, mais je ne le vois pas. L'autre attrapeur non plus. J'entends hurler, je jette un coup et nous menons 90 à 50. Tout à coup je le vois, près des buts adverse et je fonce dessus, l'attrapeur adverse ne parvient pas a me rattraper et j'attrape le vif d'or.

Dimanche 28 septembre :

Ce samedi, nous ne sommes pas retournés dans la serre numéro 4, mais nous sommes aller nous amuser avec le calmar géant, gentil démon du lac de pouddlard, très très gentil mais qui s'énerve dès que l'on récupère sa sorte de poison, tout noir. Et c'est ce que l'on fit, il n'était pas content et Hagrid apparut en courant pour le calmer. Il nous a pourchassé mais nous avions déjà atteint le hall d'entrée et la foule qui s'y pressait, sortant du déjeuner. Mais il nous le fallait, on voulait expérimenter ses effets sur snivelli, mais on ne savait pas comment le lui faire avaler. De force nous semblait, à Patmol, Queudver et moi une excellente idée. Lunard était, lui, plus réservé sur ce sujet et l'on prit l'absence de réponse pour un oui. On a malheureusement pas croiser son chemin mais on est patient, on le chopera bien un jour.
Ce soir, nous avons encore aidé Peter à devenir un animagus, il avait encore du mal mais avait considérablement progressé : en plus des moustaches, la queue du rat lui avait poussée.

Dimanche 28 septembre :

Ce samedi, nous ne sommes pas retournés dans la serre numéro 4, mais nous sommes aller nous amuser avec le calmar géant, gentil démon du lac de pouddlard, très très gentil mais qui s'énerve dès que l'on récupère sa sorte de poison, tout noir. Et c'est ce que l'on fit, il n'était pas content et Hagrid apparut en courant pour le calmer. Il nous a pourchassé mais nous avions déjà atteint le hall d'entrée et la foule qui s'y pressait, sortant du déjeuner. Mais il nous le fallait, on voulait expérimenter ses effets sur snivelli, mais on ne savait pas comment le lui faire avaler. De force nous semblait, à Patmol, Queudver et moi une excellente idée. Lunard était, lui, plus réservé sur ce sujet et l'on prit l'absence de réponse pour un oui. On a malheureusement pas croiser son chemin mais on est patient, on le chopera bien un jour.
Ce soir, nous avons encore aidé Peter à devenir un animagus, il avait encore du mal mais avait considérablement progressé : en plus des moustaches, la queue du rat lui avait poussée.