Lundi 29 septembre :

On l'a cherché dans tout le collège avant de le trouver, sous un arbre, en train de lire, comme à son habitude, un de ses ouvrages douteux.
On a été gentil on l'a interpellé :
salut ! snivelli. Alors, tu lis encore un de ces affreux livres.
Potter ! Pour changer… Encore là, sale morveux prétentieux et sans talent.
tarentallegra, on s'écria Sirius et moi.
Ses jambes se mirent à danser sans s'arrêter, mais il resta lucide et marmonna une formule incompréhensible. Sirius s'écroula par terre, le souffle coupé, se tenant le ventre.
Expelliarmus ! Je m'exclama alors. Snivelli fit un vol plané et je le ligota d'un coup de baguette magique mais en le laissant debout, les pieds légèrement décollés du sol. Sirius était toujours au sol.
Finite incantatem.
Je m'avançais vers lui mais Sirius se releva :
Laisse moi le faire ! rugissa t-il Un bon nombre d'élèves étaient déjà rassemblé et regardait la scène. Sirius fit avaler la substance noire à snivelli, et il se produisit quelque chose de bizarre : il s'éleva un peu plus et commença à suffoquer. Puis il s'effondra au sol, se tenant le ventre et hurlant comme un dément. Tout les élèves riaient et un prof finit par arriver ; pas de chance ce fut Mc GONAGALL qui dit d'un ton sans réplique :
tout les deux ! (Elle nous montra du doigt) vous etes collés pour deux autres journées, filez maintenant et que je ne vous revoie plus !
Aidée par un élève de serpentard, elle l'emmena à l'infirmerie. Je ne sais pas ce qui s'y passa, mais on m'a dit ne fin de journée que ses boyaux avaient en partie fondus !

Mardi 30 septembre :

En effet, ce fut confirmé aujourd'hui, ses boyaux avaient bien en partie fondus ! le pauvre… Je fut BOULEVERSE de l'apprendre.
Le professeur Mc GONAGALL nous appris que nos heures de colles était lundi et mardi prochain, une mauvaise nouvelles… mais on s'en moquait !
Nous fimes encore une séance pour devenir des animagus et Peter avait presque réussi, il était à moitié transformé, ça faisait quelque chose d'horrible et c'était meme pas descrptible, tellement c'était… bizarre.

Mercredi 1er octobre :

Un mois est passé, déjà ! Je ne l'ai pas vu passé, mais en y repensant, il s'est déjà produit certaines choses même si je suis assez déçu de ne pas m'être rapproché beaucoup de Lily. Cette même Lily qui hante mon corps, mon esprit, qui occupe mes pensées, j'en arrive même à oublier ou je suis, avec qui je suis et qui je suis… Car quand elle est là, je ne suis plus rien, d'ailleurs c'est ce qui s'est passé aujourd'hui :
Je m'amusais à lancer des sorts sur tous les insectes et élèves qui passaient à proximité de moi, ça nous amusait, Patmol et moi. Mais quand elle est apparut, j'ai tout de suite arrêté et je l'ai regardé passer, la bouche mi-ouverte, avec une sensation proche de l'extase. Mais pourquoi me rejette t-elle ? Pourquoi m'ignore t-elle ? Devrais-je dire… Car c'est ce qu'elle fait et l'ignorance ainsi que le dédain pour une personne peuvent lui faire plus de mal que les insultes franches et ouvertes. Je l'apprends à mes dépends, et faire des bêtises, ce que je veux ne m'enchante même pas, car elle est loin de moi. Si je dois faire ce sacrifice, je le ferais ; car je l'aime, et, je le sais, je le sens, elle est la femme e ma vie… Aaaahhh, Lily, reine de mes nuis, ange de ma vie… Me revoilà dans mes pensées et je me demande encore pourquoi j'écris dans ce carnet… Et en même temps, il me soulage, c'est un confident qui ne peut se confier et dont le silence m'est plus plaisant que les sarcasmes dont j'aurais été victime si je m'étais confié à Sirius. Pourtant, il sait que je l'aime mais ne doit pas se rendre compte que cet amour à allumer en moi un feu, un feu qui ne peut s'éteindre et mon but, à présent, est de la séduire, coûte que coûte !

Jeudi 2 octobre :

Aujourd'hui, tout m'est passé par dessus, j'étais encore dans mes pensées…
Ce soir, nous avons enfin réussi ! Peter pouvait se changer à volonté en rat. Nous l'annonçames a Remus qui fut enchanté, il n'allait plus être seul les soirs de pleine lune ! Pleine lune qui approche dangereusement d'ailleurs J'ai croisé Lily et lui ai dit bonjour, elle m'a répondu et je lui ai glissé un mot dans son sac en même temps :
« Lily, ne devrions nous pas faire la paix, non ? J'en ai marre, qu'on se fasse la gueule et surtout qu'on s'ignore à ce point. Nous sommes quand même dans la même maison et dans la même classe, des liens devraient se former, pas se couper. Qu'en penses tu ? et réponds moi vite.
James »

Vendredi 3 octobre :

Lily m'a répondu : « je suis d'accord, faisont la paix. » Un peu mince mais tant pis, c'est déjà ça. La journée est passée on ne peut plus vite et bizarrement, il n'y a eu aucune trace de servillus, personne ne l'a vu en dehors des cours.
Cette nuit, nous avons décidé d'aller faire un tour du coté de la forêt, et même nous y sommes entrés. Nous avons rencontré les centaures mais ils ne sont vraiment pas causant. Au retour, il devait être trois heures du matin, nous rentrons. Mais nous ne pûmes arriver au château, même pas au parc ! Du moins pas tout de suite. A la lisière de la forêt, nous tombâmes dans un piège, un piège sadique à cause duquel nous sommes resté dehors une demi-heure de plus. Nous fumes emprisonné dans une énorme boule pour hamsters moldus et nous dûmes roulé pendant vingt minutes jusqu'au saule cogneur. Là, le saule cogneur nous a à son insu, libéré de la boule en l'envoyant valser contre le mur du château et en la faisant exploser par la même occasion.
Nous sommes donc montés nous coucher.
En me glissant dans mes draps, je sentis une odeur pestilentielle mais tant pis ce ne devaient pas être grand chose, juste une de mes amis qui avaient du lacher un pet discret.

Samedi 4 octobre :

Le SALAUD !
Me suis-je écrié ce matin. Le SALAUD !
La puanteur était telle le matin dans le dortoir qu'elle nous a suivi toute la journée, cinq putois avaient été glissé dans le dortoir cette nuit et je sais qui en est à l'origine : servilo ! Je vais le tuer, c'est décidé, il va payer, le collège nous a mis en autarcie, tellement c'était immonde, et personne n'a réussi à faire partir l'odeur, nous dûmes affronter sev :
Alors Potter, c'est un tout nouveau parfum ? C'est à tomber.
Tais toi servilo ! Tu veux pas que je m'énerve.
Oooohhh ! Et tu vas faire quoi ? Me souffler à la gueule ? Il me dévisagea férocement.
Je sortis ma baguette, Sirius aussi et le menaça :
Encore un mot servillus et je te ferais regretter être venu au monde.
Et là, ce salaud fit ce qu'il ne fallait pas faire : partir. Il m'avait mis hors de moi et il était parti ! Je n'avais plus personne pour passer mes nerfs…
Ce fut la pire journée depuis longtemps, mon état de fureur ne me quitta pas de la journée.

Dimanche 5 octobre :

L'odeur était toujours là malgré les nombreux bains de la veille et je n'ai toujours pas décoléré de la journée. Celle-ci à d'ailleurs encore mal commencé, au réveil, la chambre était dévastée et quelque chose me léchait le visage. Je croyais que c'était une blague de Sirius mais quand j'ouvris les yeux, je découvris le dortoir dévasté par… un niffleur !
Quelqu'un, et je suis sur de son identité, avait glissé un niffleur dans le dortoir, ma haine s'étends. Tout le dortoir était dévasté, les cours à moitié mangé…
Nous ne le croisâmes malheureusement pas et je craignis qu'il prépare encore quelque chose.
Ceci ne nous préoccupa trop car demain, c'était la pleine lune…

Lundi 6 octobre :

J'ai croisé Lily et on a parlé de tout et de rien, pour changer ! Mais je ne pu empêcher mon cœur de battre à tout rompre. C'était merveilleux !
Des qu'elle eu prit congé de moi, je cherchai serlilo mais ne le trouva toujours pas ; Il allait me le payer !
A 18H, nous vîmes Remus partir avec Mme POMFRESH et nous ne pûmes le suivre. Il nous fallut aller faire notre retenue qui se déroula à merveille. Nous rejoignîmes Peter, qui, sous sa forme de rat, actionna, la racine et nous arrivâmes au bout du tunnel, ou nous vîmes un Remus totalement transformé et défiguré. Nous passâmes la plus grande partie de la nuit avec lui à faire les fous dans la cabane !
Quand nous rentrâmes au château, à l'aube, nous nous précipitâmes dans notre lit, savourant et repensant à notre soirée

Mardi 7 octobre :

Etant donné que nous avions peu dormi, nous avons eu la tète dans le c toute la journée, Quel bonheur !
J'en oubliais même servillus, mais tout me revins à l'esprit quand je l'aperçut près du lac en train de lire un de ses nombreux livres.
Accius livre, m'écriais-je.
Il se retourna aussitôt, et se mit à hurler :
Potter, rends-moi ça, ton esprit si peu éclairé n'y comprendrait rien.
Tout le monde venait de se retourner ce qui me réjouit. Je lança un expelliarmus et il s'en alla atterrir dans le lac et dès qu'il essayait d'en sortir nous le reprojettions à tour de rôle Sirius et moi. Malheureusement Lily est arrivée et repartie dans une colère noire après nous avoir engueulé chacun notre tour. Sirius voulu répliquer mais je le fit taire en lui écrasant les pieds et je partis à la de Lily après l'avoir envoyé une nouvelle fois voler dans le lac.
Elle ne voulu m'adresser la parole et je du abandonner lorsqu'elle me menaça de m'envoyer à l'infirmerie ou pire, a sainte mangouste, en pointant sa baguette sur moi. Je remontai donc dans le dortoir sans parler à mes amis.
Ce soir, il y eu aussi la retenue, je la fit toujours désespéré sans répondre à Sirius qui me harcelait avec le miroir.

Mercredi 8 octobre :

Encore une fois je me fis, avec Sirius, viré du cours de divination mais on s'en moquait, du moins, surtout moi, ce qui s'était passé hier n'était pas encore dissipé.
Nous ne croisâmes pas servilo et nous le soupçonnâmes de préparer une de ces potions ou livre un de ces nombreux livres et je le maudis à voix haute ce qui fit rire Sirius de m'entendre ainsi parler tout seul. Nous en avons profité pour ravager, avec l'aide de peeves, une partie du château avant d'aller faire un tour du coté de la foret interdite. Sans hésiter nous rentrâmes dedans, le sourire aux lèvres mais quelqu'un, dont nous n'ignorons pas l'identité car seul lui pouvait faire ça, nous avait dénoncé et Hagrid du nous ramener, hors de lui. Nous nous fîmes engueulé et par miracle, nous avons échappé à une retenue.

Jeudi 9 octobre :

Je l'ai trouvé et je lui ai fais subir d'atroces souffrances, Sirius et moi nous sommes arrêter que lorsqu'il est tombé évanoui. Nous sommes ensuite partis, le laissant souffrir en paix et satisfait. Enfin une bonne chose, ça faisait longtemps.

Vendredi 10 octobre :

Nous y sommes allés un peu trop fort, Snape était à l'infirmerie et blessé gravement, ils avaient même hésité à l'envoyer à sainte mangouste et quand ils l'ont retrouvé, il était secoué de spasmes et au bord du chaos. Mais il était vivant et nous allons pouvoir continuer à sa sortie de lui infliger une leçon. Aussi, on a apprit que ce n'était pas lui qui nous avait dénoncé mais une élève de serdaigle. J'ai d'ailleurs eu, quelques secondes pitié de servillus.
Je m'en voulais mais mon orgueil me disait qu'il l'avait mérité… mais on a failli le tuer ! Nous ne pûmes aller le voir à l'infirmerie, ce qui ne me chagrinai pas le moins du monde, je voulais juste l'achever mais ça attendra.
Je chassa cette idée en me disant que la guerre n'était pas finie et que c'était tant mieux.
Aussi, la journée à pré au lard approchait c'est samedi prochain ! Quel bonheur !

Samedi 11 octobre :

Cool, c'est le week-end, plus qu'une semaine avant d'aller à pré au lard. Nous avons stupéfixié l'élève de serdaigle avant de la jeter dans une vieille armoire, comme ça, on était vengé.
Servilo est toujours à l'infirmerie et Lily refuse toujours de me parler ; je décide de lui écrire à nouveau une lettre :
« Cher Lily, je me suis laissé emporté, je n'aurais pas du, je suis désolé. Ne m'en veux pas, il nous avait provoqué, tu sais bien qu'on attaque pas les gens pour rien quand même fais-moi confiance, je vais faire de mon mieux pour me contrôler et ne plus jamais le toucher. Pardonne-moi encore. » Je ne pensais pas ce que je venais de dire mais elle, pouvais le croire et si des promesses superflues pouvaient me permettre de la récupérer, du moins comme ami, cela serait merveilleux.

Dimanche 12 octobre :

Aucune, réponse. Et si elle ne veut pas me répondre, je fais comment.
Juste après le repas, je cours dans les couloirs pour la retrouver et enfin je la vois. Apres avoir couru un quart d'heure dans le château je l'aperçois dans le couloir des enchantements. Je lui cours après mais arrivé au bout du couloir je ne vois plus personne. Elle a disparu !
Je n'ai pas fait part de cet événement a Sirius mais je lui ai raconté comment j'ai surpris rogue qui lisait en marchant -pour changer. J'ai craqué son sac et répandu ses affaires un peu partout et avant qu'il n'ai pu me jeter un sort, je l'ai tout simplement stupéfixié-ce dont je regrette énormément (mdr.)