Oui, c'est moi. Non, vous ne rêvez pas. Oui, je suis encore vivante. Non, vous n'avez pas le droit de me tuer.

J'ai du interrompre momentanément la publication de la fic….examens oblige!

(En passant j'ai passé PHYSIQUE!)

Ben maintenant que je suis de retour…..hé bien…profitez!

Disclaimer : Tout à notre tueuse préférée. Celle qui va augmenter son capital de quelques millions, voir des milliards, la semaine prochaine quand HP and the HBP sortira. Y'a rien que l'intrigue que je tiens.

NdC : C'est ma correctrice qui s'est permis des petites notes pendant la correction:D

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Au plus profond de nos souvenirs

Sixième Chapitre : L'Ordre du Phoenix

L'évasion de Hadrien Potter avait fait la une des journaux.

Puis, peu à peu, on oublia. Bien sûr, on finit par oublier un jour ou l'autre.

Mais pas totalement.

L'évènement reste là, enfoui au plus profond de nos souvenirs, parmi tant d'autres, toujours prêt à servir à un moment où à un autre. « Vous vous rappelez la fois où Hadrien Potter s'est échappé…. » « Cet incident est identique à ce jour où Potter Senior…. »

Des bêtes assoiffées de potins, de nouvelles sanglantes, de meurtres, risquant leur vies, leur dignité, pour un semblant de vérité. Et dès qu'ils voient une autre nouvelle bien délicieuse, ils laissent tomber la première. Et ainsi de suite. La plus infidèle des maîtresses. Ou la plus fidèle.

Hadrien avait été la proie de ces médias pendant presque une semaine. Ils avaient même tenté d'approcher son fils à Poudlard. Ses gestes furent épiés, analysés, interprétés. On passa en revue sa carrière, ses coups, les bons et surtout les mauvais, on disserta, on conclut. Et comme rien ne semblait venir de lui, on l'abandonna tranquillement, sans pour autant le lâcher des yeux.

Hadrien retourna au travail et peu à peu, sa vie reprit un cours normal.

Il finit même par presque tout oublier.

Presque.

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L'orage grondait au loin. Présage d'une nuit sans sommeil.

Jana se leva en frissonnant. Un frisson qui en disait long. Un frisson de colère, de frustration, de résignation. Un frisson de peur. Un frisson de désir refoulé. Un frisson comme tant d'autres.

Elle descendit à la salle commune. Ça ne servait à rien de s'obstiner à vouloir dormir alors qu'elle savait qu'elle n'y arriverait pas. La lumière que dégageait le feu lui apprit qu'elle n'était pas seule dans la salle commune. Elle ne voulait même pas se donner la peine de savoir qui c'était. Elle s'affaissa sur un fauteuil près de la fenêtre.

Le grondement se rapprochait.

La jeune fille se roula en boule. Position qui lui procurait un semblant de sécurité. Un semblant, rien qu'un semblant. Comme d'habitude.

Un soupir de colère, de frustration, de résignation.

L'affrontement avec Bellatrix la veille lui avait laissé un arrière-goût très amer dans la bouche. Elle était à la fois furieuse et déçue. Une amitié si profonde soldée par un fiasco total. Malgré tout les serments et les pactes qu'elles avaient faits. Elles n'étaient rien que des gamines, fichtrement innocentes…et malgré tout l'innocence était restée. Et puis se leurrer dans un espoir absurde ne servait à rien. Jana ne le savait que trop bien. Elle avait depuis longtemps tracé une croix définitive sur ce passé, sur cette ancienne amitié et sur Bellatrix elle-même. Pourtant, à chaque confrontation, elle ne pouvait s'empêcher d'avoir un pincement au cœur.

Comme une trahison.

C'était absurde, mais parfaitement humain.

Un soupir de peur.

Est-ce que ça se reproduirait? Est-ce que Lily ne lui tournerait pas le dos comme Bellatrix l'avait fait? Non jamais…Lily ne ferait jamais une telle chose, elle avait sa complète confiance. Ne faisais-tu pas confiance à Bellatrix aussi?, fit une voix dans sa tête.

Non.

Elle n'avait pas le droit.

Le poison de Voldemort s'insinuait à nouveau répandant la peur et le doute. De quoi serait fait le futur? Sa mère…une noble et très belle femme…et son père…homme influent du monde magique, qui serait sûrement resté inconnu d'elle si elle n'avait pas surpris ce secret à sa mère. Il ne se doutait probablement pas de cette paternité, l'enfoiré, puisqu'il avait fini par refaire sa vie ailleurs.

Le salaud.

Typiquement Malefoy.

Est ce qu'elle aussi finirait comme sa mère. Belle femme, nouvellement Aurore…riche, puissante, redoutable, mais froide. Et terriblement seule. Quand elle y pensait, elle avait la chienne NdC : expression québécoise, avoir la trouille pour nous autres français! ;-).La peur de se retrouver à son tour seule. Sans Lily, Sirius, James, Peter et…

Un frisson de désir.

…Remus.

Les émotions sont toujours si complexes. En pensant à lui, elle ne pouvait s'empêcher d'avoir une bouffée d'amour, de désir et d'envie. L'envie de le toucher, de le faire bander, de le faire jouir. L'envie qu'il la regarde amoureusement, avec cette lueur dans les yeux propre aux amoureux. L'envie de le faire gémir sous ses caresses, l'envie de crier son nom…et qu'il crie le sien!

Mais aussi l'envie de le gifler, de le battre. Pour qu'il se réveille et qu'il cesse cette guérilla qu'il menait contre lui-même depuis bien trop longtemps.

Une envie poignante, tordante, presque maladive.

Mais une envie n'est toujours qu'une envie.

Et Jana mettait les siennes sur le compte de ses règles, de la fatigue, de ses hormones d'adolescente et alouette.

Il pleuvait à présent, l'orage était à son comble. Les éclairs déchiraient ce ciel nuageux et défiaient quiconque de s'aventurer è l'extérieur. Fichu début de février.

Parfois, elle avait envie de disparaître. Ne rien ressentir. Ne plus avoir à craindre. Fini la peur et le remords. Le néant. Mais c'était lâche. Et elle détestait par dessus tout la lâcheté.

Mine de rien, en plus de l'arrière-goût amer dans sa bouche, Jana crût y déceler un goût de sel.

Le goût des larmes.

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Flash Back

Les larmes menaçaient à présent de couler.

« Je t'en parle James parce que je crois que tu dois savoir. Et pour éviter que mademoiselle Evans ne fasse des bêtises en cherchant à en savoir plus. Et puis…

- Comment se fait-il que je ne me rappelle de rien? », l'interrompit James.

Le Directeur cilla. Il semblait chercher les bons mots.

« Tu sais mon garçon, il y plusieurs façon de faire oublier à quelqu'un des évènements malheureux… », dit-il doucement

L'idée derrière ces paroles prit un temps avant de se frayer un chemin vers sa conscience.

« Vous…je…comment…avez…vous…osé…un…Oubliettes c'est ça, articula James

Le ton était dur, sans appel.

« Tes parents…tes parents ET moi avons pensé que ça serait la meilleure chose pour toi.

- La meilleure chose pour moi, explosa-t-il, la meilleure chose pour moi? Tout le monde prend des décisions pour moi. Et moi dans tout ça? Est-ce que vous vous êtes demandé qu'est ce qui serait le meilleur pour moi, SELON MOI? »

Dumbledore soupira. James avait bel et bien mûri. C'était un homme qu'il avait devant lui.

« Et maintenant qu'est-ce que je fais? Je continue à la voir jour après jour, lui mentir et lui cacher la vérité, continuer à l'entendre raconter ses cauchemars, la réconforter. Tout en sachant ce qui c'est réellement passé. Je ne peux pas…c'est mon amie, je ne peux pas lui mentir.

Sa voix se brisa et les larmes refirent surface.

« Je suis sincèrement désolé James. Pour avoir effacé ta mémoire et pour te mettre devant une telle situation. Un vieil homme prend parfois des décisions qui doivent satisfaire tout le monde, et qui ne sont toujours les meilleures. Et j'ai parfois d'étranges réactions, tout comme tes parents. Mais je peux essayer de t'aider à te rappeler. Te souviens-tu de ceci, dit-il en sortant un vieux journal de son bureau, »

Le cahier n'avait sûrement pas été utilisé depuis longtemps. La reliure craquée par endroit, vraisemblablement en cuir, laissait présager beaucoup. Une casette était attachée au cahier par un ruban noir. James sentit un frisson le parcourir.

« Oui, balbutia-t-il, non, enfin, ça me dit quelque chose.

- Un journal...que tu tenais avec Lily, pour vous amuser. Un journal magique. Et cette casette aussi. Je ne sais pas ce qu'ils contiennent, mais j'espère que cela pourra vous servir, à vous deux. Si jamais tu as des questions, n'hésite pas, ma porte t'es grande ouverte. Fais bien attention à Lily. »

Fasciné par le cahier, James n'entendait qu'à moitié. Il ne releva la tête que lorsqu'il senti que le directeur le fixait.

« Encore une fois, pardon James… »

C'est fou à quel point, en une demi-heure, un homme peut vieillir.

Fin Flash Back

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Un simple cahier.

Vestige d'un passé inconnu pour Lily et méconnu pour James. Des feuilles reliées entre elles formant un cahier d'une centaine de page. Mais que pouvait-il contenir?

La discussion avec le Professeur Dumbledore lui trottait dans la tête depuis les vacances. Des bribes lui venaient de temps à autres, surtout quand il voyait Lily. Il lui arrivait de se perdre dans ses pensées en cherchant dans sa mémoire un souvenir auquel se raccrocher. Quelque chose qui pourrait lui prouver que Dumbledore se trompait.

Ou le contraire.

Ses amis c'en étaient rendus compte, mais gardaient le silence, sentant que le sujet était encore trop frais, trop délicat.

Rien qu'un cahier?

La peur lui vrillait l'estomac à chaque fois qu'il imaginait qu'il l'ouvrait. Et à chaque fois, il se demandait quelle serait la réaction de Lily. Il aurait tant voulu en parler. À n'importe qui. Se défaire de ce secret qui l'étouffait de plus en plus à chaque jour. Mais il sentait qu'avant tout c'était une affaire entre lui et Lily. Même quelqu'un à tout cela lui semblait inapproprié. Il ne savait pas trop comment se servir de la cassette, ce qui fais que le cahier prenait toute la place dans ses pensées. Il appréhendait ce qu'il pourrait apprendre. Comment un simple cahier pourrait-il lui montrer ce qu'il avait été et à priori, ce qu'était Lily. Malgré la curiosité, il avait décidé d'attendre. Non seulement le moment où il serait prêt, mais aussi attendre Lily.

Alors, il avait placé le cahier et la casette dans une valise pour ne plus y penser.

Mauvaise décision, il y pensait tout le temps.

Oui mais quel cahier!

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(Quelque part dans Poudlard, à une heure très avancée de la nuit)

On aurait pu croire tout Poudlard endormi. Mais deux personnages discutaient en marchant. Le vieil homme, visiblement le maître des lieux, était accompagné d'une femme de 35 à 40 ans, bien mise, habillée d'un tailleur sobre. Elle dégageait une aura de puissance qui défiant quiconque de se frotter à elle.

« …C'est étrange n'est ce pas Albus? Je suis infiniment redevable à cet homme de m'avoir ramené mon mari sain et sauf, mais je ne peux m'empêcher de me méfier. Qui dit que nous ne sommes pas tous tombés dans un piège? Qu'est-ce que cet homme voudra en échange de la vie de mon mari? Je ne sais pas Albus…je ne sais plus…votre conseil?

- Je comprends tout à fait votre inquiétude. Elle est tout à fait légitime. Mais Hector a trahi Voldemort pour sauver Hadrien. Je saisi pas ce qui à pu le pousser à un tel acte, mais son jeune fils, Sirius, pourrait bien en être la cause. Que ne ferions-nous pas pour nos enfants? Il se passe d'étranges choses dans cette famille. Les Black ont toujours appuyé les actions de Voldemort sans pourtant rejoindre ses rangs. Mais Andréa a toujours été une femme très ambitieuse. Ça ne m'étonnerai pas si j'apprenais qu'elle a poussé son mari à recevoir la marque. Comme elle le fera sûrement avec ses deux fils. Hector a misé gros en aidant votre mari. Alors, si il cherche la rédemption auprès de nous, de vous, je ne peux la lui refuser. C'est un risque que nous devons tous prendre.

- Tout est si compliqué Albus. J'ai peur de faire confiance à qui que ce soit. J'ai même des doutes quant à la fidélité de certains Aurors. On ne sait plus à qui se fier. On ne sait plus à qui demander de l'aide. Malgré ma soi-disant assurance, j'ai peur. Pour mon mari, pour mon fils, pour mes amis, pour vous, pour tout le monde, pour notre monde. C'est invivable Albus. Vous êtes là, mais pour combien de temps encore? Ce n'est pas vous le problème Albus, mais nous devons nous structurer, sinon, nous courrons à notre perte. »

Un lourd silence se fit. Puis, le vieil homme posa une main bienveillante sur l'épaule de la jeune femme.

« J'ai eu une idée, il y a fort longtemps. Je ne sais pas si ça peut toujours fonctionner. On pourrait former un groupe de résistants. Des gens loyaux, en qui nous aurons totale confiance. Ainsi nous pourrons mener notre propre combat contre Voldemort, sons pourtant dépendre du ministère ou des Aurors à la fidélité douteuse.

- Oui, mais, à qui accorder une telle confiance?

- Mmmmm….bonne question. Commençons par le tout début. Il y a bien évidemment vous, Hadrien et moi. Puis, Angela Lupin, Christianne de La Grange et Alastor Maugrey. Des Aurors exemplaires, des sorciers puissants. J'entretiens une correspondance régulière avec eux. Je leur confierai ma propre vie et toutes celles de Poudlard si c'était nécessaire et je suis sure qu'elles me reviendraient intactes.

- Ça fait déjà six…

-Et je n'ai pas terminé. Nous pouvons aussi compter sur Minerva et Stinz. Ils ont eux aussi mon entière confiance. Romy Schneider est une voyageuse, elle n'est que de passage à Poudlard pour une affaire importante. Mais elle pourra nous être utile à l'étranger.

- Nous voilà neuf. Je proposerai Arthur et Molly Weasley. Bien qu'ils soient un peu jeunes et nouveaux mariés, ils ont à maintes fois prouvé leur fidélité à notre camp. Athur projette de travailler au ministère l'an prochain, ce qui sera un atout, et Molly est une infirmière hors pair.

- Excellent, excellent. Neuf membres à part entière et 2 sur demande. Nous verrons si l'idée marche, puis, nous aviserons. Pour commencer je crois que ça sera suffisant. Je me chargerai des professeur pouvez vous contacter les autres?

- Bien sur Albus. J'irai les voir dès demain.

- Aussi, je compte tout naturellement sur votre discrétion.

- Ne vous inquiétez pas. »

Un long silence. Le directeur perça le silence nocturne du château.

« Que dites vous de l'Ordre du Phoenix?

- Pardon?

- Que dites vous de l'Ordre du Phoenix? Pour le nom de notre ''groupe''.

- Vous avez toujours eu une passion pour les Phoenix. D'aussi loin que je vous connaisse.

- C'est un symbole de résurrection, d'immortalité et de force vitale. (NdC : et d'espoir…)

- Bien, soupira-t-elle. Allons-y pour l'Ordre du Phoenix. D'ailleurs ça sonne bien! Fumseck en sera ravi!

- Autre chose. Ne vous en faites pas pour Hector Black. Je projette d'avoir une petite conversation avec lui. Histoire d'en avoir le cœur net.

- Merci infiniment Albus.

- C'est tout naturel. J'ai entendu dire que deux Aurors étaient tombés au combat. Les connaissiez-vous?

- Aurors Aaron McJens, 30 ans, d'origine australien. Sans femme, ni enfants. Sans famille immédiate. Et l'Apprenti Kyle Doored. 27 ans, tout juste sorti de l'université. Beaucoup de potentiel, il aurait pu aller loin. Il…il était le père d'une magnifique enfant de 2 ans et sa femme devrait accouche d'ici deux mois », récita-t-elle comme elle aurait fait un rapport à son patron. Mais elle ne put empêcher sa voix de craquer sur les derniers mots. Tant de vies perdues!

« Je suis désolé Mercédès.

- C'est pas grave. Il faudra s'y faire. »

Ils étaient à présent rendus devant les grandes portes.

« Avant que vous partiez. Je dois vous parler de James.

- James? Qu'est ce qu'il a encore…

-Non, non, il n'a rien fait. J'ai…je lui ai donné le journal que vous m'aviez remis l'été dernier. »

Un faible « Oh » lui échappa alors que sa main se posa sur le haut de sa poitrine, comme un réflexe.

« Albus, nous avions dit…mon bébé

- Ne vous en faites pas Mercédès. James a beaucoup mûri. Tous ces mensonges, toutes ces demi-vérités…c'est assez Mercédes. Nous parlons de notre confiance envers les autres…mais que dire de la confiance des autres envers nous. Je suis fatigué de tout cela… »

Oui il était fatigué. Terriblement fatigué.

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Voilà!

J'ai maintenant un mini sondage pour vous :

« Vous voulez voir Sirius….

aux garçons

aux filles

à moi et à personne d'autre! (hehehehe)

Vous pouvez décider, moi sincèrement j'en ai aucune idée…

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Merci à… Ma charmante Bêta-readeuse-correcteuse….que ferais-je sans toi? NdC : je me le demande, je me le demande…;-)

Au sujet de cette fic : Quand j'ai commencé à écrire le premier chapitre je savais pas qu'il y en aurait un second. Ensuite, quand j'ai écrit le second, je savais que j'allais continuer, mais j'étais pas trop structurée. Tant pis pour moi, j'ai continué. Et avant d'écrire ce chapitre, j'en avais écris un autre qui avait lieu des années plus tard. J'aurais fait un truc du genre… « Cinq ans plus tard… ».

Mais finalement ça collait pas, j'y arrivais pas…et soudainement l'inspiration est revenue. Alors j'ai pu écrire ce chapitre. (NdC : heureusement! On l'attendait tous avec impatience!D'ailleurs j'espère que tu auras pleins de reviews pour ce chapitre, je l'adore!)

Juste pour vous dire que basiquement….l'histoire est écrite. Il ne me reste qu'à ajouter des chapitres pour faire la transition.

Par ailleurs je me met dans la traduction d'une fic de Red Writing Hood : « A Secret worth Keeping ». C'est une fic merveilleusement bien écrite…je suis tombée en amour…c'est une Severus/Hermione. Elle est merveilleuse cette fic, je le répète. Si vous comprenez l'anglais allez la lire, sinon dans quelques jours vous aurez le premier chapitre en français. :D

Merci à tout ceux qui m'ont laissé une review la dernière fois…ZE VOUS Z'AIMEUH

………………………..et merci pour les Z'anonymes!

Milles milliards de bises, bon été, et profitez bien de Half-Blood Prince.

NdC : moi aussi je vous fait de gros bisous, bon été et vivement HP6! (et le prochain chapitre de cette fic bien sûr!Alors bonne inspiration Sass!).