Bonjour à tous ! Alors, avant de vous répéter que oui, je prends du retard, je sais, mais c'est pour que cette fic vous plaise encore plus, voici les résultats tant attendus de mon sondage :

Sur 15 reviews (hiiiiiiiii !) : 8 n'ont pas voté, 1 a voté C (un nouveau prince charmant pour Elena), 1 a voté B (Elena-Sirius) et 5 ont voté A (Elena-Remus). Si vous voulez ça en pourcentages, ça nous fait environ 33 de la population votante fan de Remus, contre 6,5 fan de Sirius et encore 6,5 qui veulent un peu de nouveauté, avec plus de 53 d'abstention. Et personne ne pense qu'Elena va finir seule et déprimée.

Ces résultats m'ont beaucoup surprise, à vrai dire. Heureusement ou non, je ne vous le dirai pas encore :) mais sachez que je n'ai en fait rien changé à mes plans. Cependant, vous pouvez continuer à voter, ça me fait toujours plaisir d'avoir vos avis.

Chapitre 4 : Révélations et illusions :

Les jours passèrent, apportant toujours plus de courants d'airs glacés entre les murs du château de Poudlard. Malgré les efforts d'Elena - rarement très motivés, il est vrai - Keira Portman ne s'était toujours pas décidée à sortir avec Sirius Black. Le jeune homme comblait son impatience en parlant des heures durant de « sa belle Keira », or la seule personne assez patiente pour écouter ces beaux discours n'était autre qu'Elena. Pour être honnête, elle se concentrait plus sur le visage du Gryffondor que sur ses paroles, ne murmurant que de réguliers « hum, hum » approbateurs.

Seulement, dès que l'anesthésiante vision du beau brun s'évanouissait, toutes les douleurs du cœur d'Elena se réveillaient, et c'était alors que le nouveau soutien de Remus devenait nécessaire. Que de larmes la malheureuse Serdaigle avait versé dans les bras du loup-garou ! Bien sûr, elle avait enfin réussi à s'attirer l'attention de Sirius, mais l'univers entier semblait disparaître pour lui dès qu'il pensait à Keira. Quant à Remus, il disait se contenter de ses rôles de confident, d'ami, de consolateur et de monstre, ce qui semblait à ses yeux amplement suffisant. Lorsqu'il avait déclaré ça Elena, celle-ci lui avait rétorqué, en souriant amèrement, que généralement le rôle d'amoureux s'imposait sans qu'on ne lui ait rien demandé. Néanmoins, elle était pour l'instant bien heureuse que Remus soit disponible dès qu'elle avait besoin de lui. C'est-à-dire souvent.

Une seule ombre voilait pourtant cette amitié. Le secret d'Elena se faisait plus pesant chaque jour, en parler devenait un besoin aussi essentiel que celui de parler de Sirius. Or, de tous ses nouveaux amis, Remus était le seul à pouvoir se montrer compréhensif, étant donné qu'il avait traversé les mêmes épreuves avant que James et Sirius ne découvrent sa lycanthropie.

— Remus, il faut que je t'avoue quelque chose.

Un jour, après le déjeuner, les deux amis s'étaient retrouvés dans la chambre d'Elena pour travailler un essai de Métamorphose. Bien évidemment, la conversation avait vite dérivé sur les sujets existentiels habituels : comment persuader Keira de répondre aux avances de Sirius, comment persuader Sirius qu'Elena était en réalité la femme de sa vie, comment expliquer à Snape l'usage d'un shampoing ...

— Oui, qu'est-ce qu'il y a ? avait répondu Remus.

— Avant tout, je voudrais que tu saches que je te dis ça parce que je suis sûre que tu pourras me comprendre, et que je peux avoir confiance en toi, quoique je te dise. Non ?

— Bien sûr que si. Continue.

— En fait, je pense que j'aurai peut-être dû t'en parler plus tôt, mais je n'osais pas, je croyais que ce n'était pas la peine. Mais depuis un moment, j'ai besoin d'en parler alors ... Bref, ce qu'il y a c'est que je ... Je veux dire, je ... je suis une ...

— ... une vampire.

— Non, une demie-vampire, et ...

Elena fit soudain une pause, comprenant ce que Remus venait de dire nonchalamment.

— Attend une minute. Tu es au courant ?? s'étrangla-t-elle.

— Non, je fais des pronostics : j'ai parié que James était un géant et Sirius une sirène, mais j'ai perdu. Je suis content, pour une fois que j'ai raison.

— Euh ... Tu plaisantes, j'espère ?

— Mais évidement que je suis au courant !

— Je suis si peu discrète ? Qui d'autre sait ? demanda Elena, soudain blême.

— Personne, je suis le seul de cette l'école à avoir des sens surdéveloppés et à être doué d'une naturelle perspicacité particulièrement impressionnante. Au moins, je suppose que tu sais ce que moi je suis ?

— Oui, je vous ai vus sortir, James, Sirius et toi. Les deux autres sont des Animagi, c'est ça ? Et ils ne savent rien sur moi ?

— Non, je n'allai pas le leur dire sans ta permission !

— Je préférais que tu évites le sujet encore un peu.

— Bizarrement, je ne comprends pas DU TOUT pourquoi.

— Arrête de te moquer de moi, loupiot.

— Tu sais ce qu'il te dis, le loupiot ? s'énerva le susceptible Gryffondor.

— Ouaf ouaf ! Grrr ...

Remus se jeta sur Elena qui riait aux éclats, et la cloua rapidement au sol.

— Ah ! s'exclama-t-il d'un ton satisfait. On m'avait toujours dit que les loups-garous étaient infiniment supérieurs aux vampires, je peux enfin le confirmer.

— Ça n'a rien à voir, c'est juste que tu es un grand garçon méchant et bête, et que je suis une délicate jeune fille.

— Pff, je mets James au tapis en dix secondes.

— Potter n'est pas une référence.

— Ton Siri d'amour tombe en cinq secondes, lui. C'est une meilleure référence, ça ?

— Ne l'insulte pas, sinon ...

— Quoi, tu vas me mordre ?

Elena attendit patiemment que Remus ait fini de rire à sa dernière blague.

— Pitoyable ...

— Grrr ... Attention, je suis un méchant monstre sanguinaire !

— Cool ! Moi aussi ! On devrait s'associer.

— Je suis d'accord. Que dirais-tu de Association des Méchants Monstres Sanguinaires de Poudlard ?

— Quelle folle originalité, t'es allé chercher ça où ?

— Dans les méandres brumeux de mon génial cerveau.

— La brume, c'est la poussière ?

— Tais-toi, sinon je vais mettre de l'ail dans ton lit.

— Tu peux toujours essayer ! Je suis une demi-vampire : je peux vivre au soleil, supporter l'ail et me regarder dans un miroir. Et en plus, je n'ai aucun effort à faire pour me changer en un aigle majestueux. Classe, non ?

— Merveilleux.

La cloche retentit à ce moment-là, mettant fin à cette mémorable conversation, qui eut pour effet de sceller définitivement une amitié sincère.


— Mr. Black, fit la voix sévère de Mac Gonagall, me ferez vous l'honneur de participer à mon cours ? Ou bien vos activités personnelles ont-elles suffisamment d'importance pour vous en dispenser ?

Sirius, qui venait de se faire prendre en flagrant délit de conversation manuscrite avec James, releva la tête et sourit, arrachant quelques soupirs à la gente féminine de la classe.

— Excusez-moi professeur, répondit-il de l'air le plus innocent du monde, mais je ne faisais qu'interroger James pour mieux saisir toute la subtilité de votre enseignement.

— Faites-moi donc passer le papier sur lequel vous écriviez, au lieu de dire n'importe quoi.

D'unWingardium Leviosa, le parchemin voleta jusque dans les mains de Mac Gonagall, qui le lut à voix haute :

«-James, pourrais-tu me préciser quel est exactement le mouvement de baguette nécessaire à la réalisation efficace du sortilège de Désillusion ?

-Voyons Sirius, je t'avais bien dit que tu aurais mieux fait d'étudier ta Métamorphose au lieu de passer ta soirée à aider ces 17 petits de 1ère et 2ème années à faire leurs devoirs. Ta nature chevaleresque et généreuse finira par te jouer des tours.

-Je sais, James, mais ... »

Mac Gonagall regarda les deux garçons d'un air suspicieux.

— Alors comme ça, vous aidez les plus jeunes, Mr. Black ?

— Bien sûr, professeur.

— Intéressant ... Bon, puisque la cloche va bientôt sonner, notez que pour la prochaine fois vous me ferez trente centimètres de parchemin sur le sortilège de Désillusion et ses usages.

La cloche retentit en effet à la fin de ces mots, et les élèves quittèrent la classe en maugréant contre la perspective d'un nouvel essai à rendre. Elena regardait avec consternation plusieurs filles demander en roucoulant à Sirius s'il voulait bien les aider, elles aussi, à faire leurs devoirs, quand soudain Remus fendit la foule de ces admiratrices pour tendre fièrement la main à son ami.

— Mes félicitations, Sir', c'était très beau.

— Tout le mérite revient à James, ce merveilleux Charme d'Illusion est son œuvre.

— Vraiment ? Bien joué Jamesie, alors.

— Oh, ce n'était rien ...

Keira sortit à cette instant de la salle de classe et, tournant la tête vers Sirius, lui fit un charmant sourire avant de s'éloigner. Le beau brun lui répondit par un clin d'œil, puis resta un long moment à contempler rêveusement le couloir par lequel Keira était partie.

— J'adore son parfum ... finit-il par murmurer. Dis, Wild, tu ne saurais pas lequel c'est, par hasard ?

— Non, désolée, répondit sèchement Elena, vexée que Black ne l'appelle que par son nom de famille.

— Eh, Roméo ! s'exclama James, tirant son ami de ses rêves.

— Quoi ?

— Reviens parmi le commun des mortels, s'il te plaît, et dépêche-toi de régler un petit détail ...

Sirius regarda James un moment sans comprendre, puis s'anima soudain et sortit vivement un parchemin et une plume de son sac. Alors qu'il grattait rapidement quelques mots dessus, Remus se pencha vers lui, l'air curieux (James, quant à lui, venait juste de voir Lily Evans rire à une blague d'un garçon de Serdaigle, et semblait momentanément déconnecté de la réalité).

— Qu'est-ce que tu fais ?

Trop occupé, Sirius ne répondit pas avant d'avoir fini d'écrire puis fait disparaître le papier.

— J'ai envoyé un mot dans la Salle Commune, expliqua-t-il, pour prévenir tous les petits que s'ils disent à Mac Gonagall que je fais du soutien scolaire, ils gagneront dix Mornilles chacun !

— Et si Mac Gonagall voit le mot ?

— Aucun danger, elle ne vient jamais dans la Salle.

— Hum ... Oui, c'est vrai, mais tout de même ... Elena, attends !

S'interrompant, Remus se précipita derrière Elena qui s'était déjà éloignée discrètement.

— Où tu vas ?

— En cours, j'ai Etude des Runes et les profs aiment rarement qu'on arrive au milieu de l'heure.

— Mais tu aurais pu nous dire au revoir !

— Vous aviez l'air occupés.

« Et de toute façon, Black et Potter n'auraient même pas remarqué mon absence » se dit-elle sombrement.

Néanmoins, elle fut touchée du fait que Remus, au moins, s'en soit soucié, et l'en remercia en l'embrassant brièvement sur la joue avant de filer à son cours.

Le jeune homme rejoignit ensuite ses amis ; eux n'avaient plus cours de la matinée et pouvaient donc faire ce qu'ils voulaient jusqu'au déjeuner. Ils se dirigèrent donc vers la Salle Commune. Mais sur le chemin, Remus fronça les sourcils en s'apercevant que ses deux amis lui jetaient sans arrêts des coups d'œil étranges, malicieux et conspirateurs.

— Qu'est-ce que vous avez, tous les deux ?

— Nous ? Rien, rien.

— C'est ça. Et en considérant le fait qu'on est ensemble 24h/24 depuis 5 ans, ça donne quoi ?

— Rien, Rem', je t'assure, répondit James.

— Vous ne savez toujours pas mentir, vous deux !

— Mon petit loupiot, voyons, s'insurgea Sirius, comment oses-tu insinuer une chose pareille ?

Remus soupira en traversant le portrait de la Dame Rose, à la fois pour le surnom stupide et pour le manque total de crédibilité de ces deux-là. Il monta au dortoir au bougonnant pour prendre ses livres, puis redescendit et trouva les deux complices complotant autour d'une partie d'échecs.

— Sérieusement les gars, dites-le moi maintenant au lieu de vous prendre la tête à inventer des stratagèmes à deux Noises !

— Mais Remus puisqu'on te promet ...

— Vous devenez sincèrement fatigants, vous savez ? Bon, faites comme vous voulez, je m'en fiche après tout.

Il se plongea alors dans l'étude des derniers cours de Potions ; la pleine Lune était venue récemment, et le loup-garou avait manqué deux jours de cours à cause d'elle. Mais cette fois-là, si Patmol et Cornedrue l'avaient comme d'habitude accompagné la nuit, c'est le doux visage d'Elena qu'il avait vu à son réveil. Plus sympathique que la simple contemplation d'une Cabane ravagée, sans compter la douleur de sa métamorphose, qu'une agréable infirmière était enfin venue apaiser.

Enfin, quand les deux acolytes, l'air gourmand, vinrent s'asseoir de chaque côté du canapé qu'occupait Remus, le pauvre garçon se dit que sa période de répit allait s'achever, et se prépara mentalement à l'interrogatoire qu'il allait sûrement subir.

— Vous désirez ?

— Dis-nous, petit Rem', commença Sirius, on a beaucoup réfléchi, Jamesie et moi.

— Quel événement ! Je comprends que vous teniez à venir me l'annoncer ! railla Remus.

Mais les deux autres l'ignorèrent.

— On s'est dit que comme le sieur Black n'allait plus mettre bien longtemps avant de rendre la miss Portman esclave de ses charmes ténébreux ...

— Et que, bien que James ici présent allait quant à lui mettre une éternité à attirer le moindre regard de la belle Lily, il n'allait pas pour autant penser à aucune autre fille pendant environ les vingt prochaines années ...

— Chut ! le coupa James.

Le pauvre venait de voir ladite Lily descendre du dortoir et tremblait qu'elle n'ait entendu ce que disait Sirius.

— Jamesie, quand comprendras-tu enfin que tout le monde SAIT que tu es fou d'elle ?

— Je ne suis pas du tout fou d'Evans, marmonna James.

Sirius et Remus éclatèrent de rire.

— Aaah ! s'exclama ce dernier, bonne blague Jamesie ! Tu nous en ressortiras, des comme ça ?

James se renfrogna encore davantage et ne répondit rien (bizarrement).

— Bref, reprit Sirius, étant donné la situation ...

— Nous avons pensé ...

— Qu'il était de notre devoir ...

— D'aider notre loupiot préféré (c'est-à-dire toi, Rem') ...

— À ...

— Briser le cœur d'un sixième de Poudlard et mettre fin à son célibat !

— Autrement dit à se trouver une nouvelle petite amie.

— Qu'est-ce que tu en dis ?

— Pitié ... gémit Remus, tout sauf ça ! Vous n'avez rien après depuis Ashley ?

Ashley Potter, une lointaine cousine de James que Remus avait rencontrée deux ans auparavant pendant un été au soleil, avait à force de patience et surtout grâce à l'aide de James et Sirius, réussi à conquérir le cœur et la confiance du jeune Gryffondor. Ils étaient restés ensemble de juillet à décembre, jusqu'à un soir d'hiver où, alors que Remus avait invité la jeune fille à passer Noël et son Bal à Poudlard, il avait également décidé d'être enfin franc avec elle. Dès qu'Ashley avait appris que son petit ami était un loup-garou, elle avait totalement paniqué et était repartie chez elle avant l'aube. Une courte lettre avait officiellement mis fin à leur relation une semaine plus tard.

Depuis, Remus avait renoncé à se laisser gagner par autre chose que des sentiments purement amicaux ; il avait été sincèrement amoureux d'Ashley, et sa réaction stupide lui avait brisé le cœur.

— Tiens, remarqua Sirius, je n'avais pas du tout pensé à elle. Et toi, James ?

— Difficile de l'oublier, c'est quand même ma cousine ...

— Mais bon, en tout cas Rem' cette fois tu ne seras pas déçu par celle que nous t'avons choisie !

— C'est pas vrai, parce qu'en plus je n'ai même pas le droit de régler ça tout seul ?

— On sait ce que ça donne, sans notre aide : tu deviendrais un célibataire endurci sans nous.

— Imagine comme ça ferait grimper le taux de suicide !

— En même temps, ça pourrait le rendre plus attirant ... Comme un défi à relever : qui brisera le terrible cœur de pierre de Remus Lupin ?

— Peut-être, mais rendre les filles jalouses est une valeur plus sûre.

— Tu as raison, Jamesie, reconnut Sirius. Dommage, c'est quand même moins drôle.

— Ça a son charme aussi, assura James.

— Bref, pour en revenir à notre cas précis ... Remus ? Qu'est-ce que tu fais ?

Le jeune homme s'était levé et se frappait la tête contre un mur, l'air atterré par le formidable débit de stupidités qu'avaient ses deux meilleurs amis.

— Vous êtes désespérants ... Bon, finissons-en puisque ça vous amuse, qui est la malheureuse victime ?

Les deux garçons firent rasseoir Remus. Sirius, se rapprochant de lui, murmura :

— Voyons, Rem', ne fait pas semblant de croire que nous n'avons rien remarqué.

À ces mots, Remus se sentit blêmir. Comment pouvaient-ils ... ?

— Qu'est-ce que vous voulez dire ? demanda-t-il faiblement.

— Je crois qu'on a touché juste, Sir', fit James avec un grand sourire.

— Mais de quoi est-ce que vous parlez ?

— Bon, écoute Rem', je dis ça comme ça mais ...

— Sir' et moi avons remarqué que depuis un certain temps ...

— Tu avais l'air de porter une attention particulière à une certaine ...

Remus déglutit difficilement.

— Elena Wild ! acheva James triomphalement.

Et Remus fut pris d'un énorme fou rire.

Alors ? Interprétez cette dernière phrase comme vous le souhaiterez ... mais reprenons les sondages :

Pour sauver Remus, tapez A

Pour sauver Sirius, tapez B

Pour du nouveau, tapez C

Pour dire à l'auteur que, malgré ses sondages à deux Noises comme diraient certains, vous l'aimez bien et sa fic aussi, tapez « Submit review ».

Gros bisous à tous, je vous adore, vous êtes les plus géniaux reviewers de ce siècle.

RAR :

Zoé 2 : que de reviews, encore une fois ma petite zoé ! alors pour répondre à tes questions : LA fille trop canon est blonde parce que « gentlemen prefer blondes » (c'est dit dans Marilyn). Portman a un (joli) prénom : elle s'appelle Keira. C'est très important. Et Elena ne peut pas devenir la reine de l'école, c'est insupportable d'avoir tte la journée des groupies à tes basques. Pourquoi est-ce que l'on ne tombe jamais amoureux de la personne qui faut (lol, ça me fait bien triper comme question !!) : parce le cœur a ses raisons que la raison ne connaît pas, et je n'ai aucune raison. Mourir avec des os de rats dans les cheveux ? Charmante perspective, en effet. Enormes bisous !

Alpo :kikou ! que dis-tu de cette fin de chapitre ? Merci de ton enthousiasme pour l'instant inébranlable ;) et à bientôt (j'espère !). Bye.

Lapis lazuli : j'adore ton pseudo ! merci bcp d'avoir répondu au test, t'es même pas obligée de t'arrêter là. Bye.

Jaelle : tes pronostics m'ont intéressée ... Les chapitres sont trop courts ? J'en suis désolée, mais c'est pour poster plus vite, euh, moins lentement en fait :) Si tu veux plus de longueur, va lire mes autres fics, je pense que tu seras satisfaite !

Kitou :sadique de couper là ? hihi ! j'adore faire ça ! et puis je suis obligée, sinon vous n'auriez plus envie de continuer ... merci pour tout

Elizabeth Turner : coucou ! réponses :

- oui, Sandy Olsson de Grease (bizarre, personne d'autre n'a remarqué)

- ne cherche pas à comprendre VRAC

- moi, sadique ? jamais voyons !

- moi, classe ? hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! merci !!!

voilà, ça m'a pas trop fatiguée, mais dommage que t'ai pas participé au test. N'oublie pas la prochaine fois stp.

Milla :salut ! j'adoooore les réactions que tu as eues en lisant la fin du dernier chapitre ! ça m'a trop fait marrer, autant que toi dvt ma fic je suppose :) voilà la suite qui arrive enfin, j'espère que tu ne seras pas déçue.

Vici Black : argh, revoilà la folle et ses reviews de 200 kilomètres :D t'as vu qu'on a eu trois nouvelles reviews ? c'est la fête ! depuis le temps qu'on stagnait ... Désolée pour le coup des plantes-papillons. Tu es pour Remus, toi ? Tu oses trahir Ssiiiiirriiiuuuuusss ?????? je te renie ! que va-t-il se passer, donc entre lui et Elena ? Ben forcément un truc super tordu et j'espère inattendu que le cerveau brumeux de moi a inventé en cours de français (encore, oui !). Tu peux fonder le fan-club d'Elena, je t'y engage même. « comment les gens de Pré-au-Lard se plaignent pas qu' un vampire vienne leur sucer le sang la nuit? C juste pour t'embêter... » Argh oui là en effet tu m'embêtes. Ecoute, la réponse va être : déjà qu'ils ont la chance et le privilège de vivre uniquement aux milieu de sorciers, il faut bien qu'ils en aient les conséquences, c'est-à-dire la visite de petites créatures fort sympathiques comme un loupiot dans une vieille cabane, ou une vampire ds leur chambre. Bisous !

MLT :BBBBBBBBBBBBBBBBBBBBB !!!! comment ça, à mort les manteaux noirs et violets ? pff, t'es vraiment méchante. Mais non en fait je t'adore, je te l'ai déjà dit ? Merci pour tes corrections, je gratte le carnet autant que je peux. Une troisième fic entièrement consacrée à Remus, ça aurait été ... non, je peux pas encore le dire. Désolée ! Tiens, plein de bisous pour te consoler : smoooutch !

Clem : une allusion au VRAC ? où t'a vu ça toi ? (ange incarné) et puis tiens, merci d'avoir voté ça m'a bien fait marrer ta petite exception de celui qui veut un nouveau prince charmant (tiens ... ça fait PC ... ML, t'as vu ? appelle ta sœur Clem' stp. Oui, « Astrid, ta gueule », je sais, je sais ... ;)) bisous mon p'tit clem

Maamlily :non je déprime plus pr l'oral d'éco, c'est bon maintenant ! c'est dommage que t'ai pas répondu au test ... mais tu peux toujours te rattraper ! merci pr les encouragements, le soutien, et tout le tra la la qui fait que les reviews, c'est chouette.

Nonora :c'est marrant, on dirait qu'on a plein de points communs : tu as été la seule à voter pour Sirius, mais moi aussi je l'm ! les vampires, ça m'envoûte. Et puis amour et mystère, c'est un rêve pour écrire une fic ! Il faudrait que Remus se trouve une petite amie ? T'inquiète, c'est prévue. Je ne dis pas si c'est Elena ou une autre, tu verras ça je pense dans le prochain chapitre. Merci pour tout ! Bisous