Chapitre 2 : Perdu entre joie et peine

Harry dormait paisiblement quand il sentit des picotements dans son cou. Il

resta couché tentant de se rendormir mais comme les picotements devenaient de plus en plus forts il se décida finalement à allumé sa petite lampe de chevet. IL découvrit alors Coq, le hibou de Ron, à côté de lui et deux grands hiboux derrière la fenêtre. Harry se demanda d'abord comment Coq était rentré puis il se rendit conte qu'il avait laissé la fenêtre entre ouverte, juste assez pour qu'il puisse s'y glisser. Il regarda l'heure, 23 h 59, dans une minute se serait son anniversaire. Après les avoir fait rentré il regarda les deux hiboux. Il reconnut celui d'Hermione et l'autre venait sans doute de l'école. Soudain Harry se sentit triste, il réalisa qu'il manquait un hibou, celui de son parrain. Et il ne pu s'empêcher de repenser à la façon dont il était mort. Il en voulait terriblement à Voldemort pour avoir d'abord tuer ses parents puis son parrain, la seule famille qui lui restait. Et Harry ne pouvait s'empêcher de culpabiliser,

ils étaient morts tout les trois pour le protéger. Bien sur Harry savait que son parrain ne lui en voulait pas car il avait aimer Harry comme son propre fils et qu'il lui était reconnaissant de l'avoir cru. Harry savait tous ça car Sirius lui avait écrit une lettre que Dumbledore lui avait remise à la fin de l'année précédente :

« Cher Harry

Si tu lis cette lettre c'est sûrement que je suis mort. Mais je t'en supplie il ne faut pas que tu te sentes coupable. Grâce à toi j'ai retrouvé goût à la vie. Même si je sais que le monde entier ne croira jamais en mon innocence, je sais que toi, Harry Potter, mon neveu, tu y crois et cela me suffit largement. Grâce à ta confiance j'ai surmonté mes moments de doutes. Je sais que tu accompliras de grandes choses car tu es le digne fils de Lily et James Potter et je sais aussi que tu parviendras à vaincre Voldemort

Sincèrement

Sirius »

Harry avait du lire et relire cette lettre pour s'en persuader. Mais les

paroles de Dumbledore lui revenait en tête. Il lui avait parlé de la prophétie et du lien qui l'unissait à Voldemort. Mais il se souvenait surtout de la dernière phrase de la prophétie « L'un devra mourir de la main de l'autre car aucun d'eux ne peut vivre tant que l'autre survit » Et Harry savait très bien se que cela voulait dire. Soit il tuerait Voldemort, soit c'est Voldemort qui le tuerait. Harry fut tiré de ses pensées par le réveil qui lui indiqué qu'il était minuit et que c'était donc son anniversaire. Il se décida finalement à ouvrir ses cadeaux. Il commença par celui de Ron. Il lut d'abord la lettre :

« Cher Harry

Joyeux anniversaire ! Cette année je ne t'ai pas vraiment acheté de cadeaux

(Désolé !) mais je t'envoie un assortiment de bonbons sorcier pour te rappeler notre premier voyage à bord du Poudlard express. Tu m'en avais offert et j'avais accepté volontiers. Aujourd'hui nous sommes les meilleurs amis du monde ! Je te

propose de venir à la maison tout le mois d'août. Mione est là depuis une

semaine et Fred et Georges on t pleins de choses a te montrer (d'après se que

j'ai compris !). Si tu es d'accord renvoie-moi vite Coq on viendra le plus

rapidement possible

Très amicalement

Ron »

Harry décida de lui répondre immédiatement car il n'avait aucune envie de

rester une semaine de plus chez les Dursley.

« Cher Ron

J'ai bien reçu ta carte et ton cadeau et je t'en remercie. Comme tu dois

sûrement t'en douter j'ai très envie de venir chez toi pendant le mois d'août.

J'attends ta confirmation.

Amicalement

Harry »

Harry se relut et étant satisfait de ce qu'il avait écrit il donna la lettre à

Coq et lui demanda de l'apporter à Ron. Il décida d'ouvrir tous ces cadeaux

avant de goûter aux bonbons de son ami. Il continua donc avec celui d'Hermione

« Cher Harry

Tout d'abord je te souhaite un très joyeux anniversaire ! Je sais que l'on va

se voir ce mois-ci car j'imagine que tu vas venir chez Ron et que j'y suis déjà.

Il me tarde car tu m'as vraiment manqué. Ici sa va, sauf que je crois que Mme

Weasley pète un câble depuis que Fred et Georges ont ouvert leur magasin. Car

maintenant ils ont une bonne raison de faire leurs expériences stupides ! GAGNER

LEURS VIES !

Très amicalement

Hermione

PS : J'espère que mon cadeau te plaira. Je sais que c'est un cadeau moldu mais

je n'ai pas eu l'occasion d'aller dans le monde sorcier ressemant ! »

Harry se demanda se qu'Hermione avait bien pu lui acheter et il décida que le

meilleur moyen de savoir était d'ouvrir le cadeau. Il le déballa donc et y

découvrit un superbe survêtement de sport adidas. IL était simple, blanc avec la

marque adidas en bleu, mais il le trouvait superbe ! Il voulut l'essayer tout de

suite. Incroyable ! Il lui allait parfaitement, Harry ne savait pas comment

Hermione avait trouvé sa taille mais elle ne s'était vraiment pas trompée. Et il

finit par le hibou de l'école qui apportait deux lettres. Harry ouvrit la

première et fut heureux de découvrir qu'elle venait d'Hagrig :

« Harry

Joyeux anniversaire ! Il ne te reste plus que deux ans à Poudlard et quand tu ne

sera plus là tu me manqueras vraiment. J'espère que les Dursley ne t'embête pas

trop sinon tu sais où me trouver !

Sincèrement

Hagrid »

Il prit la deuxième lettre et y vit les résultat de ses BUSE ainsi qu'un mot de

McGonagall.

« Cher Mr Potter

Voici les résultats de vos BUSE ainsi que les fournitures dont vous aurez

besoin. La rentrée aura lieu comme chaque année le 1er septembre.

Veuillez croire, cher Mr Potter, en l'expression de nos sentiments distingués

Minerva McGonagall

Directrice adjointe

potions : optimal

divagation : mauvais

botanique : bon

défenses contre les forces du mal : optimal

métamorphose : optimal

histoire de la magie : assez bon

Astronomie : optimal

sortilège : optimal

soin aux créatures magiques : optimal »

Harry était ravi de ses notes. Il savait que si il le voulait il pouvait

arrêter les potions malheuresement il en avait besoin pour devenir adjointe ainsi

que des sortilèges, de la métamorphose et de la défenses contre les forces du

mal. Harry se décida donc à ouvrir les bonbons de Ron pour se remonter le moral.

Il prit un chocogrenouille et la grenouille s'échappa par la porte qui était

resté ouverte. Harry qui avait la flemme de lui courir après ne bougea pas. Quand

il entendit son cousin hurlait ! « Au nom cet imbécile va réveiller Vernon et

Pétunia pourquoi cette fichu porte n'était pas fermé ! » Et comme pour confirmer

ce qu'il pensait il entendit l'oncle Vernon l'appeler :

V : » HARRY, VIENS ICI ! Beuglat-il. Harry se traîna jusqu'à la chambre de son

cousin

H : Quoi ? Quesqu'il se passe ?

V : Comment sa quesqu'il se passe ? Quesque cette chose fait dans la chambre de

ton cousin ? demanda-t-il plus furieux que jamais

H : Cette chose comme tu dis c'est un bonbon ! Et c'est un AMI qui me l'a

envoyé car aujourd'hui c'est mon ANNIVERSAIRE tu sais ! Et elle n'aurait fait

aucun mal à cet imbécile » Harry sentait lui aussi la colère montait en lui mais

essaya de se contrôler. Il le devait jusqu'à ce qu'il aille chez Ron. Ce fut

Pétunia qui lui répondit d'un air dédaigneux

P : Alors dans votre monde vous mangé des grenouilles ! C'est bien se que je

disait vous êtes vraiment des monstres. » Harry avait de plus en plus de mal à

contrôler sa fureur

H : Ce n'est pas une VRAI grenouille c'est un chocolat qui a été ensorcelé et

on attend qu'elle redevienne en chocolat avant de la manger tu sais » Pétunia

allait ajouter quelque chose mais Harry ne lui en laissa pas le temps. Il se

tourna vers l'oncle Vernon et demanda :

« Est ce que je peut retourner dans ma chambre maintenant ? » Vernon poussa un

grognement qui voulait sûrement dire oui. Après être arrivé dans sa chambre

Harry s'étendit sur son lit puis s'endormit fatigué pas se qui venait de lui

arriver.