J'ai pris note de vos commentaires et j'espère que vous apprécierez la suite…
Désolé je ne connais pas les vrais noms des sœurs de Shaolan.
L'arrivée d'une LI
Elle attendait avec impatience dans l'entrée de l'aéroport de Tomoéda. Comment pouvait t'il ne pas être là à l'attendre ? Stéphanie aurait t-elle manquer de courage et oublier volontairement de prévenir Shaolan ? Quel que soit l'histoire, elle en avait vraiment assez d'attendre comme une idiote. Elle prit ses valises et se dirigea vers un homme en habit de travail qui se dirigeait vers la sortie.
Shefa – Excuser moi, travailler vous pour l'aéroport ?
Homme – En effet, mais j'ai terminer ma journée alors je m'en vais vous pouvez obtenir de l'aide au comptoir.
Shefa – Ce ne sera pas nécessaire puisse que vous partez, je viens avec vous.
Homme – Vous ne comprenez pas, je rentre chez moi !
Shefa – Pas de problème vous n'avez qu'à me déposer à cette adresse.
Homme – Je ne suis pas un taxi, je veux rentrer rapidement chez moi.
Shefa – Ça ce serait plus rapide si vous arrêter de discuter et que nous partions.
L'homme exaspéré soupira de mécontentement et lui fit signe de le suivre. Elle serait bientôt auprès de son petit frère.
Thomas n'en pouvait plus. Après une journée épuisante, il devait trimballer à travers la ville une voyeuse capricieuse jusque chez elle. Le pire c'est que cette peste n'était même pas sur son trajet. De plus, elle ne cessait jamais de bavarder ou de chantonner. Elle aurait facilement rivaliser avec Samantha, il espérait seulement qu'elle n'irait pas au même lycée. Ces deux là réunis le rendrait rapidement complètement fou. Celle-ci était toutefois très jolie, mais mon dieu faite qu'elle se taise se dit t'il tout au long du trajet. Lorsque enfin il arriva à l'adresse indiqué, elle ne bougea pas le moindrement et continua son monologue.
Thomas – Je crois que vous êtes à votre destination.
Shefa – Parfait, si vous voulez bien monter mes valises.
Thomas – Je crains de ne pas être à la hauteur alors au revoir.
Shefa – Ce n'est pas grave, je ne suis pas pressé. Nous n'avons plus à attendre qu'un domestique vienne les prendre.
Thomas – Vous avez un portier dans cet immeuble ?
Shefa – Non.
Furieux, il sortit chargea les valises sur son épaules et suivit la jeune femme. Arrivé à l'étage, il déposa le tout sur le seul.
Shefa – Je vous remercie de vous avoir proposer pour me rendre service. J'ai été heureuse de vous rencontrer.
Thomas – Moi, je vous serais reconnaissant de ne plus jamais vous revoir.
Shefa – Alors, je suppose que ce n'est pas un à bientôt.
Thomas – Surtout pas.
D'un pas rageur il descendit l'escalier alors qu'un rire moqueur retenti. Cette peste l'avait drôlement manipulé avec un peu de chance il ne la verrait plus jamais.
Shaolan eut à peine le temps de déverrouiller la porte qu'il fut projeté au sol. Un véritable ouragan s'engouffra dans l'appartement et se jeta sur lui. Un flot de parole ininterrompu auquel il ne prêta aucune attention. Son cauchemar était arrivé. Une furie chinoise qui avait l'intention inavouée de l'étrangler selon lui.
Shaolan – Shefa, moi aussi je suis heureux de te voir mais je t'en prie laisse moi respirer.
Shefa – Heureux de me voir ? Pour que tu dises une tel chose s'est que tu vas vraiment mal.
Shaolan – Euh… pas tout a fait, en faite c'est Stéphanie…
Shefa – quoi ? Elle n'est pas malade au moins. Shaolan dit moi se qui se passe.
Shaolan – Non, elle n'est pas vraiment malade, mais elle a un problème de cœur et tu sais moi…
Shefa – Mais je croyais que c'était toi qui avait des ennuis avec Sakura.
Shaolan – Oh ça, c'est réglé depuis longtemps. Par contre Stéphanie va avoir besoin de ton soutien.
Shefa – D'accord, je vais tellement m'occuper d'elle qu'elle sera sur pied rapidement tu verras.
J'en suis sûr, ce dit Shaolan, aucunement gêner de mentir ainsi à sa sœur aînée. Stéphanie devra supporter ce qu'elle a attirer comme ennuie en communicant avec sa famille. Avec un peu de chance, le séjour de Shefa se révélera très divertissent.
Shaolan – Au faite comment es tu venu jusqu'ici ?
Shefa – Sûrement pas grâce à toi ! J'ai réussis à trouver une âme charitable.
Shaolan – Shefa !
Shefa – Bon je l'admets, j'ai forcé la main à un homme que j'ai rencontré à l'aéroport. D'ailleurs il n'était pas commode du tout.
Shaolan – Tu ne changeras jamais, j'espère pour toi que tu ne le verras pas à nouveau. Il pourrait vouloir se venger des supplices que tu lui as fait subir.
Shefa – Tout de même Shaolan, je ne suis pas si pire que cela ! Je l'ai à peine enquiquiné le monsieur Kinomoto.
Shaolan – Que viens tu de dire ?
Shefa – Son badge indiquait qu'il s'appelait Kinomoto, pourquoi ?
Shaolan – Absolument rien.
Shaolan se retient tant bien que mal d'éclater de rire. Depuis son arrivé, c'était la première fois qu'il sentait la joie l'envahir. Thomas avait fait la connaissance de sa chère Shefa, s'était vraiment trop drôle. Une douce vengeance pour le nombre de fois ou celui-ci l'avait appelé « morveux ».
