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Alors, nous sommes le 4 mars, après, j'espère que le temps que je vais mettre pour écrire mon chapitre sera moins long que ce à quoi j'ai pu vous habituer !
Pour l'instant, je remercie Melepha (même si je l'avais déjà fait sur le chat !!!), Csame qui a commencé à lire la fic, Bane, Edith, Flo, Csame qui a fini de lire mes chapitres !, et Ccilia ! J'ai pas eu de questions pour l'instant sur ce chapitre (et s'il y en a qui arrivent, je les mettrai à la fin du chapitre), mais je veux quand même faire une remarque suite à un commentaire d'Albane et à Edith : à part Círdan, mais c'est parce que je n'avais pas d'idée de nom, aucun elfe n'appartient à Tolkien ! Donc, arrêtez de croire que je ne suis obnubilée que par eux (quoi que . lol ! Non, y a aussi Draco !). Et message pour Edith, Lego' n'apparaîtra pas dans la fic (normalement !), mais comme beaucoup le savent, je me laisse souvent emporter par la plume (comme maintenant !!!)
Disclaimer habituel : Tout appartient à Rowling : enfin, là, y a plus grand chose ! Elle n'a plus que Sirius, Durmstrang et les noms ! Les autres sont à moi, ou appartiennent en partie à certaines personnes existant bel et bien : Oleg, Mikhaïl, Max. Et enfin, le nom Kivilev, pour le cycliste décédé cette semaine pendant le Paris-Nice (j'avais pas d'idée de nom, et adorant le cyclisme, j'ai voulu lui rendre hommage à ma manière.)
Maintenant, le CHAPITRE tant attendu !
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C'est donc le visage ruisselant de larmes que j'atterris là avec mon grand- père. Dépourvu de tout mobilier, ce bureau ne contient en tout et pour tout que deux fauteuils dans lesquels nous prenons place, et une table basse. Mon grand-père tente vainement de me réconforter ; et pour cause ! Quand je lui confie ce qui me tracasse, il ne trouve rien de mieux à faire qu'éclater de rire. Dans les paroles qu'il prononce, je ne comprends que quelques bribes de phrases, tellement c'est incompréhensible : « pas s'inquiéter », « va revenir », « nous font tous ce coup là », .
Mes larmes ne coulent plus, et seuls mes yeux rouges peuvent témoigner de la scène qui s'est passée, il y a quelques minutes seulement, car sitôt que mon grand-père a entendu un bruit de pas dans le couloir, il s'est calmé, et a repris son expression imperturbable. Une porte de bois noir se dessine sur le mus, situé en face de nos fauteuils. Quand celle ci s'ouvre, un homme brun, de haute stature nous fait signe de le suivre. Nous avançons en silence dans des couloirs toujours aussi blancs, ce n'est pas possible ! Nous n'avons pas atterri à Durmstrang, mais à Sainte Mangouste, ma parole ! Ce sont mes pensées jusqu'à notre arrivée devant une lourde porte de bois noirs ou sont sculptés dix Dragons. Nous sommes bien à Durmstrang finalement ! La porte laisse place à un luxueux bureau, mais l'atmosphère est lourde, pesante, distante. Les fauteuils, malgré leur confort relatif, nous placent dans une désagréable sensation d'infériorité face au bureau de l'homme. Dans un anglais hésitant, c'est lui qui débute la conversation, avec un étrange accent au slave qui massacre littéralement son discours.
_ Je suis Sergueï Petrovich Motcharov, directeur de l'école de Durmstrang. J'imagine que vous ne connaissez rien de notre école, je vais donc essayer de résumer en quelques mots ce qu'il vous faudra savoir, si vous avez des questions, ce sera après, nous dit-il d'un ton ne souffrant pas la moindre réplique. L'école masculine a été créée en 1146, une année où il y eut de grands troubles à l'époque des Grands Ducs de Kiev car Vsevolad II créa un décret visant à interdire la magie sous peine de tortures ; c'est d'ailleurs étrangement cette année où il est mort (pas du tout ironique le mec !). Celui que l'on connaît à présent sous le nom du Sauveur Faiseur de Miracles (un ancêtre du pote Gilderoy ?) entreprit de créer une école permettant aux jeunes sorciers d'étudier et de pratiquer la magie sans la moindre crainte de représailles de la part du gouvernement moldu. Il donna une 'Ecole' à chacun de ses dix fils avec pour consigne de s'installer à tous les coins du Royaume Central de Sorcellerie de l'époque, qui comprenait ce que l'on appelle désormais Union Soviétique, la Scandinavie et quelques provinces.
Aujourd'hui encore, Durmstrang est divisé en dix parties que nous appelons 'Ecoles', tout comme Poudlard est divisé en quatre 'Maisons'. Les études s'effectuent en sept ans : chacun des sept niveaux de chaque école est appelé 'classe'. Ces classes sont composées de quatre élèves, où ils ont tous une fonction bien spécifique. A la fin des études dans notre établissement, en plus de recevoir un Diplôme de Sorcellerie Supérieure, on se voit également attribuer les titres de Maître des Potions, Maître des Sortilèges et Enchantements, Maître de Métamorphose ou Maître du Dressage, ainsi que tous les prix et récompenses que vous avez pu gagner durant votre scolarité. Vous aurez un seul professeur, expert dans chacune des matières enseignées, c'est à dire les quatre que je viens de citer plus Activités Physiques, Logique et Analyse, et évidemment les options que vous devrez choisir à partir de l'an prochain. Vous suivrez donc chacun de ces cours avec en plus 3 heures par semaine minimum un cours avancé de votre spécialité. »
Il fait une pause (ce qui m'arrange bien pour donner un peu d'espace à mon texte ! lol).
« Je crois que j'ai tout dit, maintenant Mr Black, nous allons remplir votre fiche d'inscription avant de procéder à votre évaluation. »
« Nom complet : Sirius Gaël Black,
Parents et leur lieu d'études : Iphiucius Cérès Black, à Durmstrang et Joan Agatha Aylmer, à Poudlard.
Date et lieu de naissance : 12 Juin 1960, à Londres,
Nationalité : Anglaise,
Lieu de résidence ? (.) Et enfin, la dernière question : Comptez vous prendre Magie Noire ou Forces Sombres comme option à partir de l'an prochain ? : Bien sur que non. »
« Maintenant, Mr Black, veuillez poser votre main sur le bureau, paume vers le haut. » Il pose un parchemin étrange, très lourd sur ma main, qui épouse parfaitement sa forme. Un elfe de maison vient chercher l'empreinte obtenue par le moulage et se fait aboyer dessus par Motcharov : « Rudolph Morgan ». Il marmonne pour lui-même « ces êtres si pathétiques » avant de se tourner vers nous et de nous expliquer : « Morgan est l'un des rares sorciers encore vivants à savoir lire les empreintes magiques. Il nous est très utile pour répartir équitablement nos élèves ; c'est lui qui voit quelles sont vos facilités, vos compétences et vos points à renforcer. »
A cet instant, un vieil homme au sourire édenté (Vous voyez le mec pour la pub : « Tant que vous avez des dents, mangez des pommes ? Et bien c'est lui !!!) entre dans la salle et murmure quelques mots à l'oreille du directeur avant de se retirer. « Vous m'étonnez Mr Black ! Sur les 280 élèves que compte notre établissement, vous êtes seulement l'un des trois 'premiers Métamorphose' comme nous les appelons ici. Vous allez donc être réparti comme tel, mais vous devez savoir que vous êtes un Second Sortilèges, et un Second Dressage et un Quatrième Potions ; s'il avait manqué des effectifs en Sortilège par exemple et que la Classe de Métamorphose était surchargée, vous auriez pu être changé de spécialité, vous comprenez ? ( Ben oui !! Il est pas con mon ptit Sirius !). Avant que vous ne rejoigniez votre école, peut être avez vous des questions ? ».
_ Oui, j'en ai deux qui me viennent à l'esprit pour le moment. Alors pour la première, où se trouve mon école ? En ensuite, comment vais-je faire avec la langue ? Je ne parle ni Russe ni aucune autre langue que l'anglais.
_ Ce sont deux questions pertinentes. Pour la première, je ne peux que vous répondre dans le Nord de la Scandinavie, pour des raisons évidentes de sécurité. Pour la seconde, votre professeur vous l'expliquera. Maintenant, j'aurais moi-même une requête à formuler ; je ne suis directeur de Durmstrang que depuis deux ans, et je n'ai, pour le moment, jamais vu de '1er Métamorphose' à l'?uvre. Si vous acceptiez de bien vouloir me montrer . en changeant ce livre en plume par exemple.
En me souvenant des conseils de McGonagall, je me concentre sur les deux objets, les réunit, corrige les dernières erreurs et . j'ouvre les yeux ! Le tout en « 4 minutes, 13 secondes ! Bravo Sirius », s'enthousiasme mon grand-père. Le directeur semble éberlué devant une plume d'aigle plutôt bien réussie, je peux l'admettre. En reprenant ses esprits quelques secondes plus tard, il me dit :
_ C'est le moment Mr Black, vous allez maintenant rejoindre votre école. En arrivant, demandez Max Omatos. Ah ! J'allais oublier, prenez cette amulette en attendant de pouvoir recevoir le sort constant.
Au moment où j'attache l'amulette autour de mon cou, je me sens happé dans un tourbillon qui me donne mal au c?ur. J'atterris dans une petite salle aux murs d'une couleur bleu roi. Ne voyant rien d'autre dans cette salle qu'une porte, je passe par celle-ci, et me retrouve dans un long couloir éclairé par de grandes vitres qui donnent sur l'extérieur, c'est à dire une forêt de sombres résineux, au-dessus laquelle se couche un soleil rougeoyant. Pendant que j'admire le spectacle, une cloche sonne et le couloir est bientôt envahi de garçons de tout âge. Ceux-ci discutent bruyamment, mais je ne comprends pas la langue qu'ils utilisent. Pourtant je m'approche d'eux, je ne vais pas passer la nuit dans le couloir !
Intimidé, je leur demande s'ils savent où je peux trouver Max Omatos. Les élèves me regardent avec des yeux ronds ; visiblement, ils n'ont pas compris un traître mot de ce que je viens de dire. Un garçon blond d'une quinzaine d'années je pense me dit quelque chose qui ressemble à « Vasa ? » que j'interprète comme un « quoi ? » alors, je répète ma phrase en accentuant exagérément sur « Max Omatos ». Là, il semble comprendre car il acquiesce et me fait signe de le suivre puis, il me dit : « Anländ. Jag heter Magnus Holson. »
Là, je ne comprends vraiment rien, je hausse les épaules et nous continuons à marcher en silence. Il frappe à une porte, une femme ouvre ; il prononce quelques mots, elle répond en désignant de la tête une autre porte, d'où parviennent des éclats de voix. Finalement, sort, tête baissée un garçon brun qui doit avoir mon âge, et il a du se faire passer un sacré savon ; pourtant quand il me croise, il me fait un clin d'?il et j'ai le temps d'apercevoir un sourire malicieux qui essaie de passer inaperçu. Je suis la femme ; dans la salle suivante, elle se met à parler avec un homme que je ne vois que de dos. Il porte un pull à col roulé noir ; jusque là, il paraît ordinaire, mais ses cheveux ne le sont absolument pas : du coté gauche de sa tête, ils sont d'un blond presque blanc, mais la couleur se dégrade jusqu'à atteindre le noir de jais du coté droit.
La conversation dure depuis bientôt cinq minutes et je m'impatiente : je déteste qu'on parle de moi sans que je ne puisse donner mon avis, mais là, c'est encore pire, je ne comprends pas ce qu'ils disent. Enfin l'homme se retourne. Je réprime un sursaut en voyant son visage. La couleur qui se dégrade n'est pas seulement pour ses cheveux mais aussi pour son visage : du coté blond, il est très pâle, et de manière imperfectible, il devient très mat du coté brun. L'impression d'étrangeté qui émanait de cet homme était, en plus, renforcée par ses deux yeux : l'un étant d'un vert très foncé l'autre d'un bleu très clair.
Il interrompt mon observation en entamant la conversation dans un anglais impeccable.
« Bienvenue à Durmstrang, Sirius ! Je suis Max Omatos, ton professeur, et je le resterai jusqu'à la fin de ta scolarité ici. Donne-moi ton amulette, je vais te lancer deux sortilèges constants qui te permettront d'une part d'accéder quand tu le désireras au bureau de Motcharov et d'autre part qui te permettra de parler, comprendre, lire et écrire russe et Suédois. Ici, je pense que cela vaut mieux ! »
Après avoir activé les deux sortilèges ( Translatio et Accesso ), il reprend : « Pour le moment, tu es le troisième élève de ta classe, j'espère que le dernier ne tardera pas trop. Car nous devons attendre que nos classes soient complètes pour véritablement commencer l'année, mais certains cours ont déjà lieu. Tu demanderas à tes camarades, ils t'expliqueront ça. Tu es notre élève de Métamorphose, Mikhaïl Kivilev est notre élève de Potions, et Oleg Tolstoï est celui de Sortilèges. Tu as d'ailleurs du remarquer ce dernier, il est sorti de mon bureau il y a quelques minutes. D'ailleurs, pendant que j'y pense, pour l'emploi des patronymes, je sais que certains préfèrent, mais je ne les emploie pas. Vu que tu es Anglais, ça ne doit pas te déranger, je pense, mais je préfère quand même te prévenir. Je crois que c'est tout, tes affaires sont dans ta chambre et les quelques cours qui ont eu lieu aujourd'hui sont terminés. Pour tous les équipements spécifiques à Durmstrang, tu viendras demain matin, dès ton réveil les chercher ici. »
_ Merci Mr Omatos.
_ Appelle-moi Max ! Tu vas devoir me supporter pendant les sept prochaines années, alors, autant ne pas s'encombrer de choses pareilles ! Et de toute façon, je te raccompagne, j'ai encore deux trois choses à dire à Oleg.
En marchant, nous continuons à discuter : « Motcharov t'a tout expliqué concernant l'école ? »
« Oui, je pense. »
« Même ce qui se passe demain ? »
« Euh, non, je ne crois pas. Il se passe quelque chose de spécial demain ? »
« Un peu oui ! Mais, tu ne le sauras pas avant les autres si tu ne le sais pas maintenant ! »
Devant une porte sur laquelle danse une forme indistincte, Max me fait signe de le précéder. Je la franchis et j'accède ainsi à un grand salon : quatre fauteuils et un grand canapé encerclent la cheminée où ronfle un grand feu. Deux tables de taille moyenne se trouvent dans le milieu de la pièce, et les murs sont couverts de livres. Ca me fait un peu penser à la maison de mes grands-parents. « Les quatre tableaux que tu vois là représentent votre matière principale ; derrière chacun d'eux se trouve une chambre individuelle, mais les murs peuvent facilement disparaître selon votre envie » m'explique Max « j'ai oublié de te dire que la magie est autorisée en dehors des cours, tant que ça reste dans votre quartier. »
Le garçon que j'ai croisé tout à l'heure, Oleg je crois, est affalé sur le canapé, mais il suit Max, à contre-c?ur visiblement. J'entends un « Installe-toi bien » avant que la porte ne se referme sur eux deux. Près de la fenêtre est adossé un autre garçon ; Max m'en a parlé tout à l'heure, mais je ne me souviens pas de son nom. Je m'approche autant pour faire connaissance que par curiosité : ce qu'il regarde à travers la vitre semble l'émerveiller.
En effet, le spectacle est stupéfiant ! Un sorcier s'apprête à chevaucher un dragon. Celui-ci s'envole dès que son cavalier se met en selle. Comme par hasard, ils passent tous deux à proximité de l'endroit où nous sommes et je peux donc l'observer en détail : le dragon est énorme et gris métallique. Son cavalier semble minuscule sur son dos ; il est pourtant dressé de toute sa taille sur l'animal afin de le maîtriser parfaitement. Ils font trois fois le tour de ce qui semble être un terrain adapté avant se poser lentement, les ailes balayant le sol de sa poussière par leur puissance. Le sorcier qui était sur son dos descend et est félicité par d'autres personnes qui l'observaient.
Mais le spectacle est terminé ; je retourne mon attention vers le garçon et je m'aperçois qu'il est en train de me fixer, d'un air intrigué.
_ Je suis Mikhaïl Evguenievitch Kivilev. Mais tu peux m'appeler Micha si tu veux.
_ Moi, c'est Sirius Black. Mais tu peux m'appeler Sirius si tu veux !
Il rit, nous sommes sur la même longueur d'ondes. Je ne serai pas tout seul j'ai l'impression, et mon c?ur se fait moins lourd quand je pense que j'ai quitté Poudlard ce matin même.
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Quelques notes d'explications et surtout de traduction !
1/ Vasa ? : Quoi ?
2/ Anländ : Viens
3/Jag heter Magnus Holson : Je m'appelle Magnus Holson.
Chic ! J'ai eu plein de reviews pour le chapitre d'avant !
Melepha, je suis contente que ça t'ait plu, même si le chapitre n'était pas très long. Celui ci, doit être encore plus court, je pense ! Alors, merci pour ta review, et j'espère que continueras à suivre tout ça !
Pour Csame, qui m'a mis deux reviews ! Merci de tes encouragements et de tes félicitations ! Par contre, pour le concours, je suis désolée, je n'arrive plus à accéder à tes fics, alors, je comprends pas ce qui se passe. Encore merci, et @+
Pour Bane : Même si tes compliments me vont droit au c?ur, j'ai un doute ! Mais, je sais que tu l'aimes bien, grâce à ta fic ! lol (Moi, je fais de la pub ? Non !!! Allez voir Les Korndrov !). Mais c'est vrai que le Seigneur des Anneaux et nos fics ont une sacrée part dans nos discussions !!!
Ensuite, une partie de mon fanclub sud-africain qui se décide à mettre des reviews ! J'ai nommé Edith, Flo et encore Flo !!! Edith, comme je te l'ai dit, c'est pas Lego' mais d'accord, c'est un elfe ! J'ai quand même réussi à me contrôler sur le passage où ils en parlent (quoi que ! Sirius n'était pas censé en rencontrer ce jour-là, mais tant pis !). Pour Flo, comme on l'avait dit l'autre fois, les commentaires de tout le monde sont les bienvenus ! Et encore merci !
Pour Ccilia : Merci pour la review, je suis contente que tu apprécies.
Et pour Ptite Fleur la Fée : Merci pour le compliment, et je te rassure : « le chat d'la Mère Michèle n'est pas perdu ! ». Enfin, on le reverra un de ces jours, mais je sais pas encore trop quand.
En tout cas, continuez à mettre des reviews, j'adore ça !
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Alors, nous sommes le 4 mars, après, j'espère que le temps que je vais mettre pour écrire mon chapitre sera moins long que ce à quoi j'ai pu vous habituer !
Pour l'instant, je remercie Melepha (même si je l'avais déjà fait sur le chat !!!), Csame qui a commencé à lire la fic, Bane, Edith, Flo, Csame qui a fini de lire mes chapitres !, et Ccilia ! J'ai pas eu de questions pour l'instant sur ce chapitre (et s'il y en a qui arrivent, je les mettrai à la fin du chapitre), mais je veux quand même faire une remarque suite à un commentaire d'Albane et à Edith : à part Círdan, mais c'est parce que je n'avais pas d'idée de nom, aucun elfe n'appartient à Tolkien ! Donc, arrêtez de croire que je ne suis obnubilée que par eux (quoi que . lol ! Non, y a aussi Draco !). Et message pour Edith, Lego' n'apparaîtra pas dans la fic (normalement !), mais comme beaucoup le savent, je me laisse souvent emporter par la plume (comme maintenant !!!)
Disclaimer habituel : Tout appartient à Rowling : enfin, là, y a plus grand chose ! Elle n'a plus que Sirius, Durmstrang et les noms ! Les autres sont à moi, ou appartiennent en partie à certaines personnes existant bel et bien : Oleg, Mikhaïl, Max. Et enfin, le nom Kivilev, pour le cycliste décédé cette semaine pendant le Paris-Nice (j'avais pas d'idée de nom, et adorant le cyclisme, j'ai voulu lui rendre hommage à ma manière.)
Maintenant, le CHAPITRE tant attendu !
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C'est donc le visage ruisselant de larmes que j'atterris là avec mon grand- père. Dépourvu de tout mobilier, ce bureau ne contient en tout et pour tout que deux fauteuils dans lesquels nous prenons place, et une table basse. Mon grand-père tente vainement de me réconforter ; et pour cause ! Quand je lui confie ce qui me tracasse, il ne trouve rien de mieux à faire qu'éclater de rire. Dans les paroles qu'il prononce, je ne comprends que quelques bribes de phrases, tellement c'est incompréhensible : « pas s'inquiéter », « va revenir », « nous font tous ce coup là », .
Mes larmes ne coulent plus, et seuls mes yeux rouges peuvent témoigner de la scène qui s'est passée, il y a quelques minutes seulement, car sitôt que mon grand-père a entendu un bruit de pas dans le couloir, il s'est calmé, et a repris son expression imperturbable. Une porte de bois noir se dessine sur le mus, situé en face de nos fauteuils. Quand celle ci s'ouvre, un homme brun, de haute stature nous fait signe de le suivre. Nous avançons en silence dans des couloirs toujours aussi blancs, ce n'est pas possible ! Nous n'avons pas atterri à Durmstrang, mais à Sainte Mangouste, ma parole ! Ce sont mes pensées jusqu'à notre arrivée devant une lourde porte de bois noirs ou sont sculptés dix Dragons. Nous sommes bien à Durmstrang finalement ! La porte laisse place à un luxueux bureau, mais l'atmosphère est lourde, pesante, distante. Les fauteuils, malgré leur confort relatif, nous placent dans une désagréable sensation d'infériorité face au bureau de l'homme. Dans un anglais hésitant, c'est lui qui débute la conversation, avec un étrange accent au slave qui massacre littéralement son discours.
_ Je suis Sergueï Petrovich Motcharov, directeur de l'école de Durmstrang. J'imagine que vous ne connaissez rien de notre école, je vais donc essayer de résumer en quelques mots ce qu'il vous faudra savoir, si vous avez des questions, ce sera après, nous dit-il d'un ton ne souffrant pas la moindre réplique. L'école masculine a été créée en 1146, une année où il y eut de grands troubles à l'époque des Grands Ducs de Kiev car Vsevolad II créa un décret visant à interdire la magie sous peine de tortures ; c'est d'ailleurs étrangement cette année où il est mort (pas du tout ironique le mec !). Celui que l'on connaît à présent sous le nom du Sauveur Faiseur de Miracles (un ancêtre du pote Gilderoy ?) entreprit de créer une école permettant aux jeunes sorciers d'étudier et de pratiquer la magie sans la moindre crainte de représailles de la part du gouvernement moldu. Il donna une 'Ecole' à chacun de ses dix fils avec pour consigne de s'installer à tous les coins du Royaume Central de Sorcellerie de l'époque, qui comprenait ce que l'on appelle désormais Union Soviétique, la Scandinavie et quelques provinces.
Aujourd'hui encore, Durmstrang est divisé en dix parties que nous appelons 'Ecoles', tout comme Poudlard est divisé en quatre 'Maisons'. Les études s'effectuent en sept ans : chacun des sept niveaux de chaque école est appelé 'classe'. Ces classes sont composées de quatre élèves, où ils ont tous une fonction bien spécifique. A la fin des études dans notre établissement, en plus de recevoir un Diplôme de Sorcellerie Supérieure, on se voit également attribuer les titres de Maître des Potions, Maître des Sortilèges et Enchantements, Maître de Métamorphose ou Maître du Dressage, ainsi que tous les prix et récompenses que vous avez pu gagner durant votre scolarité. Vous aurez un seul professeur, expert dans chacune des matières enseignées, c'est à dire les quatre que je viens de citer plus Activités Physiques, Logique et Analyse, et évidemment les options que vous devrez choisir à partir de l'an prochain. Vous suivrez donc chacun de ces cours avec en plus 3 heures par semaine minimum un cours avancé de votre spécialité. »
Il fait une pause (ce qui m'arrange bien pour donner un peu d'espace à mon texte ! lol).
« Je crois que j'ai tout dit, maintenant Mr Black, nous allons remplir votre fiche d'inscription avant de procéder à votre évaluation. »
« Nom complet : Sirius Gaël Black,
Parents et leur lieu d'études : Iphiucius Cérès Black, à Durmstrang et Joan Agatha Aylmer, à Poudlard.
Date et lieu de naissance : 12 Juin 1960, à Londres,
Nationalité : Anglaise,
Lieu de résidence ? (.) Et enfin, la dernière question : Comptez vous prendre Magie Noire ou Forces Sombres comme option à partir de l'an prochain ? : Bien sur que non. »
« Maintenant, Mr Black, veuillez poser votre main sur le bureau, paume vers le haut. » Il pose un parchemin étrange, très lourd sur ma main, qui épouse parfaitement sa forme. Un elfe de maison vient chercher l'empreinte obtenue par le moulage et se fait aboyer dessus par Motcharov : « Rudolph Morgan ». Il marmonne pour lui-même « ces êtres si pathétiques » avant de se tourner vers nous et de nous expliquer : « Morgan est l'un des rares sorciers encore vivants à savoir lire les empreintes magiques. Il nous est très utile pour répartir équitablement nos élèves ; c'est lui qui voit quelles sont vos facilités, vos compétences et vos points à renforcer. »
A cet instant, un vieil homme au sourire édenté (Vous voyez le mec pour la pub : « Tant que vous avez des dents, mangez des pommes ? Et bien c'est lui !!!) entre dans la salle et murmure quelques mots à l'oreille du directeur avant de se retirer. « Vous m'étonnez Mr Black ! Sur les 280 élèves que compte notre établissement, vous êtes seulement l'un des trois 'premiers Métamorphose' comme nous les appelons ici. Vous allez donc être réparti comme tel, mais vous devez savoir que vous êtes un Second Sortilèges, et un Second Dressage et un Quatrième Potions ; s'il avait manqué des effectifs en Sortilège par exemple et que la Classe de Métamorphose était surchargée, vous auriez pu être changé de spécialité, vous comprenez ? ( Ben oui !! Il est pas con mon ptit Sirius !). Avant que vous ne rejoigniez votre école, peut être avez vous des questions ? ».
_ Oui, j'en ai deux qui me viennent à l'esprit pour le moment. Alors pour la première, où se trouve mon école ? En ensuite, comment vais-je faire avec la langue ? Je ne parle ni Russe ni aucune autre langue que l'anglais.
_ Ce sont deux questions pertinentes. Pour la première, je ne peux que vous répondre dans le Nord de la Scandinavie, pour des raisons évidentes de sécurité. Pour la seconde, votre professeur vous l'expliquera. Maintenant, j'aurais moi-même une requête à formuler ; je ne suis directeur de Durmstrang que depuis deux ans, et je n'ai, pour le moment, jamais vu de '1er Métamorphose' à l'?uvre. Si vous acceptiez de bien vouloir me montrer . en changeant ce livre en plume par exemple.
En me souvenant des conseils de McGonagall, je me concentre sur les deux objets, les réunit, corrige les dernières erreurs et . j'ouvre les yeux ! Le tout en « 4 minutes, 13 secondes ! Bravo Sirius », s'enthousiasme mon grand-père. Le directeur semble éberlué devant une plume d'aigle plutôt bien réussie, je peux l'admettre. En reprenant ses esprits quelques secondes plus tard, il me dit :
_ C'est le moment Mr Black, vous allez maintenant rejoindre votre école. En arrivant, demandez Max Omatos. Ah ! J'allais oublier, prenez cette amulette en attendant de pouvoir recevoir le sort constant.
Au moment où j'attache l'amulette autour de mon cou, je me sens happé dans un tourbillon qui me donne mal au c?ur. J'atterris dans une petite salle aux murs d'une couleur bleu roi. Ne voyant rien d'autre dans cette salle qu'une porte, je passe par celle-ci, et me retrouve dans un long couloir éclairé par de grandes vitres qui donnent sur l'extérieur, c'est à dire une forêt de sombres résineux, au-dessus laquelle se couche un soleil rougeoyant. Pendant que j'admire le spectacle, une cloche sonne et le couloir est bientôt envahi de garçons de tout âge. Ceux-ci discutent bruyamment, mais je ne comprends pas la langue qu'ils utilisent. Pourtant je m'approche d'eux, je ne vais pas passer la nuit dans le couloir !
Intimidé, je leur demande s'ils savent où je peux trouver Max Omatos. Les élèves me regardent avec des yeux ronds ; visiblement, ils n'ont pas compris un traître mot de ce que je viens de dire. Un garçon blond d'une quinzaine d'années je pense me dit quelque chose qui ressemble à « Vasa ? » que j'interprète comme un « quoi ? » alors, je répète ma phrase en accentuant exagérément sur « Max Omatos ». Là, il semble comprendre car il acquiesce et me fait signe de le suivre puis, il me dit : « Anländ. Jag heter Magnus Holson. »
Là, je ne comprends vraiment rien, je hausse les épaules et nous continuons à marcher en silence. Il frappe à une porte, une femme ouvre ; il prononce quelques mots, elle répond en désignant de la tête une autre porte, d'où parviennent des éclats de voix. Finalement, sort, tête baissée un garçon brun qui doit avoir mon âge, et il a du se faire passer un sacré savon ; pourtant quand il me croise, il me fait un clin d'?il et j'ai le temps d'apercevoir un sourire malicieux qui essaie de passer inaperçu. Je suis la femme ; dans la salle suivante, elle se met à parler avec un homme que je ne vois que de dos. Il porte un pull à col roulé noir ; jusque là, il paraît ordinaire, mais ses cheveux ne le sont absolument pas : du coté gauche de sa tête, ils sont d'un blond presque blanc, mais la couleur se dégrade jusqu'à atteindre le noir de jais du coté droit.
La conversation dure depuis bientôt cinq minutes et je m'impatiente : je déteste qu'on parle de moi sans que je ne puisse donner mon avis, mais là, c'est encore pire, je ne comprends pas ce qu'ils disent. Enfin l'homme se retourne. Je réprime un sursaut en voyant son visage. La couleur qui se dégrade n'est pas seulement pour ses cheveux mais aussi pour son visage : du coté blond, il est très pâle, et de manière imperfectible, il devient très mat du coté brun. L'impression d'étrangeté qui émanait de cet homme était, en plus, renforcée par ses deux yeux : l'un étant d'un vert très foncé l'autre d'un bleu très clair.
Il interrompt mon observation en entamant la conversation dans un anglais impeccable.
« Bienvenue à Durmstrang, Sirius ! Je suis Max Omatos, ton professeur, et je le resterai jusqu'à la fin de ta scolarité ici. Donne-moi ton amulette, je vais te lancer deux sortilèges constants qui te permettront d'une part d'accéder quand tu le désireras au bureau de Motcharov et d'autre part qui te permettra de parler, comprendre, lire et écrire russe et Suédois. Ici, je pense que cela vaut mieux ! »
Après avoir activé les deux sortilèges ( Translatio et Accesso ), il reprend : « Pour le moment, tu es le troisième élève de ta classe, j'espère que le dernier ne tardera pas trop. Car nous devons attendre que nos classes soient complètes pour véritablement commencer l'année, mais certains cours ont déjà lieu. Tu demanderas à tes camarades, ils t'expliqueront ça. Tu es notre élève de Métamorphose, Mikhaïl Kivilev est notre élève de Potions, et Oleg Tolstoï est celui de Sortilèges. Tu as d'ailleurs du remarquer ce dernier, il est sorti de mon bureau il y a quelques minutes. D'ailleurs, pendant que j'y pense, pour l'emploi des patronymes, je sais que certains préfèrent, mais je ne les emploie pas. Vu que tu es Anglais, ça ne doit pas te déranger, je pense, mais je préfère quand même te prévenir. Je crois que c'est tout, tes affaires sont dans ta chambre et les quelques cours qui ont eu lieu aujourd'hui sont terminés. Pour tous les équipements spécifiques à Durmstrang, tu viendras demain matin, dès ton réveil les chercher ici. »
_ Merci Mr Omatos.
_ Appelle-moi Max ! Tu vas devoir me supporter pendant les sept prochaines années, alors, autant ne pas s'encombrer de choses pareilles ! Et de toute façon, je te raccompagne, j'ai encore deux trois choses à dire à Oleg.
En marchant, nous continuons à discuter : « Motcharov t'a tout expliqué concernant l'école ? »
« Oui, je pense. »
« Même ce qui se passe demain ? »
« Euh, non, je ne crois pas. Il se passe quelque chose de spécial demain ? »
« Un peu oui ! Mais, tu ne le sauras pas avant les autres si tu ne le sais pas maintenant ! »
Devant une porte sur laquelle danse une forme indistincte, Max me fait signe de le précéder. Je la franchis et j'accède ainsi à un grand salon : quatre fauteuils et un grand canapé encerclent la cheminée où ronfle un grand feu. Deux tables de taille moyenne se trouvent dans le milieu de la pièce, et les murs sont couverts de livres. Ca me fait un peu penser à la maison de mes grands-parents. « Les quatre tableaux que tu vois là représentent votre matière principale ; derrière chacun d'eux se trouve une chambre individuelle, mais les murs peuvent facilement disparaître selon votre envie » m'explique Max « j'ai oublié de te dire que la magie est autorisée en dehors des cours, tant que ça reste dans votre quartier. »
Le garçon que j'ai croisé tout à l'heure, Oleg je crois, est affalé sur le canapé, mais il suit Max, à contre-c?ur visiblement. J'entends un « Installe-toi bien » avant que la porte ne se referme sur eux deux. Près de la fenêtre est adossé un autre garçon ; Max m'en a parlé tout à l'heure, mais je ne me souviens pas de son nom. Je m'approche autant pour faire connaissance que par curiosité : ce qu'il regarde à travers la vitre semble l'émerveiller.
En effet, le spectacle est stupéfiant ! Un sorcier s'apprête à chevaucher un dragon. Celui-ci s'envole dès que son cavalier se met en selle. Comme par hasard, ils passent tous deux à proximité de l'endroit où nous sommes et je peux donc l'observer en détail : le dragon est énorme et gris métallique. Son cavalier semble minuscule sur son dos ; il est pourtant dressé de toute sa taille sur l'animal afin de le maîtriser parfaitement. Ils font trois fois le tour de ce qui semble être un terrain adapté avant se poser lentement, les ailes balayant le sol de sa poussière par leur puissance. Le sorcier qui était sur son dos descend et est félicité par d'autres personnes qui l'observaient.
Mais le spectacle est terminé ; je retourne mon attention vers le garçon et je m'aperçois qu'il est en train de me fixer, d'un air intrigué.
_ Je suis Mikhaïl Evguenievitch Kivilev. Mais tu peux m'appeler Micha si tu veux.
_ Moi, c'est Sirius Black. Mais tu peux m'appeler Sirius si tu veux !
Il rit, nous sommes sur la même longueur d'ondes. Je ne serai pas tout seul j'ai l'impression, et mon c?ur se fait moins lourd quand je pense que j'ai quitté Poudlard ce matin même.
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Quelques notes d'explications et surtout de traduction !
1/ Vasa ? : Quoi ?
2/ Anländ : Viens
3/Jag heter Magnus Holson : Je m'appelle Magnus Holson.
Chic ! J'ai eu plein de reviews pour le chapitre d'avant !
Melepha, je suis contente que ça t'ait plu, même si le chapitre n'était pas très long. Celui ci, doit être encore plus court, je pense ! Alors, merci pour ta review, et j'espère que continueras à suivre tout ça !
Pour Csame, qui m'a mis deux reviews ! Merci de tes encouragements et de tes félicitations ! Par contre, pour le concours, je suis désolée, je n'arrive plus à accéder à tes fics, alors, je comprends pas ce qui se passe. Encore merci, et @+
Pour Bane : Même si tes compliments me vont droit au c?ur, j'ai un doute ! Mais, je sais que tu l'aimes bien, grâce à ta fic ! lol (Moi, je fais de la pub ? Non !!! Allez voir Les Korndrov !). Mais c'est vrai que le Seigneur des Anneaux et nos fics ont une sacrée part dans nos discussions !!!
Ensuite, une partie de mon fanclub sud-africain qui se décide à mettre des reviews ! J'ai nommé Edith, Flo et encore Flo !!! Edith, comme je te l'ai dit, c'est pas Lego' mais d'accord, c'est un elfe ! J'ai quand même réussi à me contrôler sur le passage où ils en parlent (quoi que ! Sirius n'était pas censé en rencontrer ce jour-là, mais tant pis !). Pour Flo, comme on l'avait dit l'autre fois, les commentaires de tout le monde sont les bienvenus ! Et encore merci !
Pour Ccilia : Merci pour la review, je suis contente que tu apprécies.
Et pour Ptite Fleur la Fée : Merci pour le compliment, et je te rassure : « le chat d'la Mère Michèle n'est pas perdu ! ». Enfin, on le reverra un de ces jours, mais je sais pas encore trop quand.
En tout cas, continuez à mettre des reviews, j'adore ça !
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