Rarrrrrrrrrrrrrrr

Mellyna Yanou : Ahah ! Pour savoir comment ils vont réussir, il faut lire toute l'histoir qui n'est pas encore écrite, mais la suite va te montré qui est Naëhi et qu'elle a son petit caractère.

Uruviele : N'aies crainte, j'ai bien l'intention de continuer

Nimrodel de la Lorien : et bien ta curiosité va être satisfaite, car voila la suite.

Plumette : Je ne vais pas me gêner et te la donner tout de suite .

Bon ben, les Rarrrrrrrrrrrrrrrrrr sont terminées, je vous souhaite bonne lecture.

Chapitre 1

Voyant les belles plaines d'Arda rougis par le sang de toutes ses créatures, il poussa un soupir de désespoir.

Voyant les forêts et les vallées ravagées par les armées noires, il pleura.

Voyant les montagnes souillées, il ragea...

Il déclencha une tempête et ordonna une réunion d'urgence afin de répondre à la dernière supplique de Radagast. Eonwë transmit l'information sur tout le territoire de Valinor. Avant la fin du jour, toutes les créatures étaient au courant et s'étaient regroupées autour d'Ezollahar la colline aux deux arbres morts. Manwë les surplombant de toute sa taille, sa puissance et sa prestance leur dit d'un ton calme et ferme :

-Arda est détruite, le mal a vaincu. Tous les anciens royaumes qu'ils soient elfiques, nains, hobbits ou humains ont été anéantis.

-NON PAS LA COMTÉ ! Hurlèrent 3 hobbits qui pleurèrent à l'idée que leur merveilleux pays ne soit plus que ruine et destruction.

Un elfe aux longs cheveux blonds et un nain aux cheveux et à la barbe rousse leurs remontèrent le moral. Manwë poussa un autre soupir de désespoir rageur, puis s'esclama :

-Radagast avant de périr de la main même de Sauron, a fait la supplique de sauver Ereinion Gil Galad afin de changer l'avenir d'Arda. Et c'est ce que je compte faire, car telle est la volonté d'Iluvatar. Y – a – t – il un volontaire pour être mon envoyé sur Arda et effectuer cette périlleuse mission ?

Avant que quiconque ait pu parler, une voix claqua dans le silence comme le tonnerre sur la montagne :

-MOI, je suis volontaire.

Tous se tournèrent vers l'origine de la voix et virent une jeune femme assez grande, le corps souple et nerveux, les cheveux noirs et les yeux bleus glacier. Manwë s'exclama étonné :

-Naëhi ! Es – tu sûr de ton choix ?

-Oui, majesté !

-Bien, fille d'Olorin. Tu partiras ce soir. Soit prêtes !

La jeune femme accepta d'un signe de tête, puis dans un gracieux mouvement de robe, la jeune femme fit demi – tour, rentra chez elle afin de se préparer. Là – bas, elle retrouva son père qui lui ordonna :

-Tu n'iras pas là – bas, je te l'interdit !

-Et pourquoi t'obéirais – je ?

-Je suis ton père, cela m'en donne le droit !

-Tu n'es pas mon père, tu n'es que mon géniteur ! Où étais – tu quand ma mère c'est fait violer, éventrer et DÉVORER PAR LES ORCS ? OÙ ÉTAIS – TU QUAND MON FRÈRE C'EST FAIT TORTURER ET VIOLER PAR SAURON ! ... NON !Tu n'es pas mon père !

Olorin eut un mouvement de recul devant toute la haine que lui portait sa propre fille, puis fit demi – tour et sortit de la petit maison, l'attendant assit sur un rocher réfléchissant à ses erreurs du passé. Naëhi s'habilla d'une armure en mithril faite par Aulë en personne, légère et indestructible. Elle ferma sa cape par une broche représentant les armures de sa famille maternelle. Ensuite, elle plaça son épée elfique, galanath à son côté avec un respect immense, cette épée qui lui venait de son grand – père Celebrimbor. Quand elle fut prête, que toutes ses affaires furent proprement rangés dans un sac à dos, elle tira son épée et passa avec une certaine tendresse son pouce sur sa lame acérée. Elle posa sa joue sur le métal tiède et murmura :

-Gali, à nouveau je te tire et ta lame va s'abreuver du sang de nos ennemis. Notre vengeance va enfin s'achever par la destruction de notre ennemi Sauron. Enfin, justice sera faite !

Elle remit son épée dans son fourreau et sortit, puis ferma la porte de sa maison. Son père, Olorin appelé aussi par les hobbits et les hommes Gandalf la regardait panser son cheval avec tristesse. Il ne pensait pas que sa fille était aussi agressive et aigrie. Naëhi sans le regarder commença à harnacher son cheval Alagos. Le cheval, noir comme la nuit avait mauvaise réputation, mais comme sa maîtresse il avait un coeur d'or. Quand son cheval fut prêt, elle ressortit Gali et se mit à l'affuter en réfléchissant à la meilleur façon d'effectuer sa mission. Elle devait tuer Sauron, mais pour le reste...

Elle sursauta quand elle entendit une voix derrière elle qui n'appartenait pas à son père :

-Tu dois laisser Isildur prendre l'anneau, cette partie de l'histoire ne dois pas changer.

Elle se retourna et vit Manwë près d'Olorin la regarder avec un autorité un peu inquiète.

-Tu es vraiment sûr de vouloir le faire ?

-Oui, je le suis.

-Bien alors, je m'incline. Pour que tu aies plus de chance de réussir ta mission, je vais augmenter les pouvoirs que t'a transmit ton père.

-Merci, ô Manwë ! Je vous promets de réussir cette mission.

-Je te fais confiance jeune fille. Mais je penses que tu vas avoir des problèmes avec les elfes de l'époque.

-Si j'ai vaincu des orcs, les elfes ne me font pas peur.

-Je l'espères jeune Naëhi, je l'espères. Es – tu prêtes ?

-Oui.

-Alors monte sur ton cheval et sois prête à une secousse.

Naëhi rengaina son épée, grimpa sur son cheval et attendit en respirant de plus en plus rapidement,. Elle prit une grande respiration, puis dégaina Gali d'un geste ample et gracieux. Elle pointa la lame vers le ciel puis suspendit son geste, tout son corps tendu, prêt aux combats mortels qu'elle devra faire. Manwë la salua d'un signe de tête, puis avec une petite explosion, elle disparut. Olorin sentit une larme couler le long de sa joue alors que sa fille qu'il avait toujours adoré venait de partir pour une mission quasi suicidaire. Manwë posa sa main sur le bras du maia et murmura :

-Va Naëhi, tu portes l'avenir et le destin du monde sur tes épaules... J'espère simplement qu'elle ne va pas trop changer le passé.

-Comme massacrer Sauron et détruire l'anneau unique ? Dit Olorin.

-Je dirai plutôt comme massacrer Isildur. Dit Manwë avec un petit sourire. Laissez – lui le temps de réfléchir et elle vous reviendra.

-Je m'en veux tellement. J'aimais sa mère et son frère. Mais je n'ai même pas pû les protéger.

-Vous ne pouviez le faire sans dévoiler à Sauron qu'il restait votre fille.

7000 ans auparavant, un elfe aux cheveux sombres et aux yeux gris hurla à ses troupes :

-Tangado haid! Leithio i philinn!

Tous les elfes bandèrent leurs arcs au maximum tandis que les armées des orcs leurs foncèrent dessus. Soudain, le silence se fit, les elfes voyaient bien les orcs hurler, mais pourtant le son n'arrivait pas à leurs oreilles. Certains regardèrent leurs chefs qui fronçaient les sourcils ne comprenant pas non plus ce qui arrivait quant aux Numenoreens, ils ne faisaient pas attention, leurs sens omnubilés par cette gigantesque armée qui leur fonçait dessus. Les hommes tirent leurs épées quand brusquement au milieu de la plaine, sur le seul carré de verdure encore visible, l'herbe fut secouée comme si une tornade était dessus. Une onde déferla sur les armées en présence, puis une lumière d'une blancheur insoutenable même pour les elfes apparu les éblouissants tous. Quand cette lumière disparu, tous virent un cavalier l'épée levée monté sur un cheval noir comme la nuit faisant face à l'armée des ténèbres. La silhouette rugit avec un joie morbide :

-MAN I MERETH HERIA !

La silhouette abattit son épée et 10 orcs eurent leurs tête tranchés. Et pourtant, ils étaient à plus de 50 mètres du cavalier. Le cheval hennit puis le cavalier et sa monture chargèrent les armées de Sauron en tranchant de son épée l'air qui paraissait s'ouvrir comme les orcs et autres créatures qui se tordaient dans les derniers affres de l'agonie. Les armées du Mordor voyant ça furent complètement affolées et s'enfuirent ne désirant pas rencontrer cette créature. Mais le cavalier ne s'arrêtait pas et continuait son oeuvre de destruction jusqu'au moment où son cheval commença à broncher sous la fatigue. Pendant ce massacre, les elfes et les hommes enfin certains d'entre eux baissèrent leurs armes époustouflés par le culot et la puissance de ce guerrier si puissant. Le roi des Noldor les rattrapa en hurlant :

-Ne baissez pas vos armes !

Les hommes et les elfes lui obéirent instantanément pour désobéir 5 mn plus tard quand le cavalier attaqua un troll et le tua en un clignement de paupière. Même les rugissements de Sauron ne pouvaient retenir les orcs qui fuyaient devant ce démon. Sauron en grinçait les dents, noir de colère, mais il ne connaissait pas cet être et ne désirait en aucun cas le croiser. Le cavalier sentant la fatigue de son cheval, décida d'arrêter la chasse et fit faire demi – tour à son cheval et ordonna d'une voix assez, en fait trop aigu pour un homme :

-Qui est Ereinion Gil Galad ?

Un elfe avec une armure doré et bleu s'avança et dit d'un ton hautain :

-C'est moi.

Le cavalier s'avança vers lui et dit au souverain des Noldor :

-Et bien, se sera plus facile que je ne le pensais.

Il rengaina son épée, se rapprocha encore plus d'Ereinion Gilgalad, grand roi des Noldor et du Lindon, fils de Fingon, petit - fils de Fingolfin, arrière – petit – fils de Finwë qui se retrouva en travers de la selle comme le plus vulgaire des sacs à patates. Il était tellement choqué, qu'il ne disait rien, regardant ses hommes eux - aussi effarés, quant aux humains, certains trouvaient l'incident très amusant. L'étalon l'encolure blanchie par la sueur traversa silencieusement et gracieusement la marée de soldat qui s'ouvrait devant lui, puis quand il arriva dans le camp des elfes, son cavalier jeta brutalement le roi des Noldor à terre sans aucun égard envers sa royal personne. Puis, le cavalier descendit de cheval et entraina le roi dans une des tentes qui s'averait être celle du roi des Noldor. Ereinion commençait à fulminer, il était fou de rage. Il se leva avec l'intention de démolir le portrait de cet elfe, mais un coup de poing en pleine poitrine lui ôta momentanément toute volonté de combattre. Le souffle coupé, Ereinion s'assit sur le lit et ne put que regarder le cavalier qui se tenait devant lui. Les yeux s'écarquillèrent de surprise quand le cavalier retira son casque libérant une masse de chevelure noire qui encadrait un visage féminin d'une froideur égale au bleu de son regard.

Naëhi n'appréciait guère les hommes qu'ils soient elfes ou humains et le pauvre roi elfique récoltait au centuple ce qu'il n'avait jamais semé. Il se releva en grimaçant un peu de douleur et demanda :

-Mais qui êtes – vous ?

-Je me nomme Naëhi.

-Cela ne m'aide pas pour vous connaître.

-Je suis la fille d'Elistë et pour mon malheur d'Olorin.

-Le Maia ! S'exclama le souverain éberlué.

-Non, le lâche ! Celui qui préfère sauver des chiens errants que sa propre famille. Pour ma part, il n'est pas mon père.

Le souverain était effaré de toute la haine et la rancoeur que la jeune elfe pouvait ressentir envers son père. Il lui demanda :

-Que me voulez – vous ?

-Ordre des Valar, je dois vous protéger et vous sauver la vie. Alors vous allez rester avec moi et ne plus aller sur les champs de bataille !

-KWOA ! Mais il est hors de quest...

Il se tut quand l'épée noircie par le sang des orcs se retrouva sous son nez.

-Vous disiez ! Demanda Naëhi sadique.

-Je disais qu'il était hors de question que je reste à l'arrière des lignes ! Gronda – t – il de plus en plus énervé face à cette semi – maia qui osait lui ordonner de se cacher comme un lâche.

-Vous ferez ce que je dirai !

-Hors de question !

-Si.

-Non.

-Si.

-Non.

-Si.

-Non.

Elrond apparu alors qu'ils se disputaient face à face d'une voix grondante, aussi têtu l'un que l'autre. Pour Naëhi, c'était la première fois depuis longtemps qu'un homme la défiait ainsi. Et pour Ereinion, c'était la première fois qu'une femme le traitait aussi bizarrement et ça l'énervait de plus en plus. Elrond s'écria :

-Qui êtes – vous femme ?

Naëhi folle de rage l'attrapa par le col et le propulsa hors de la tente. Le bras droit du roi des Noldor percuta un numenoreen et tous les 2 furent complètement assomés. Enfin pour Elrond, car l'homme fut tué sur le coup. Tous les hommes regardèrent Elrond tenter de se relever tandis que leur Roi Ar – Pharazon gisait sur le sol la nuque brisé. Les hommes se mirent à pleurer, jusqu'au moment où Naëhi sortit de la tente ayant remit son casque et hurla :

-LA FERME BANDE DE MAUVIETTE. VOTRE ROI EST MORT ET BIEN BON DÉBARRAS !

Certains humains brandirent leurs épées et se retrouvèrent à l'autre bout du camp et comme Elrond se retrouvèrent sonnés. Ereinion se mit à gronder et devant les hommes et les elfes, sa patience vola en éclat et il hurla sur Naëhi :

-COMMENT OSEZ – VOUS PARLER DE LA SORTE D'UN HOMME VALEUREUX.

-Ar Pharazon était un trou du cul, et il aurait causé la chute de Numenor, l'abruti.

-MAIS IL NE L'A PAS FAIT !

-C'est normal, il est en train de bouffer les pissenlits par les racines. Ricana Naëhi.

-MAIS C'EST ATROCE CE QUE VOUS DITES ! Hurla le souverain fou de rage.

-Bon toi, tu commences vraiment à me courir sur le champignon. Grogna Naëhi de mauvaise humeur.

Tous les soldats regardaient le cavalier avec horreur. Il venait de tutoyer le souverain des Noldor comme 2 amis de longues date. Et encore, on ne tutoie pas un roi. Ereinion n'y croyait pas, il rêvait, non. Il cauchemardait, cela ne pouvait être qu'un cauchemard, il allait se réveiller et voir qu'il se trouvait sous sa tente seul.

-AHHH ! Fait chaud, faut dire que je me suis bien amusée !

Naëhi retira son casque et tous virent que le cavalier était une cavalière.

-AMUSÉE ! S'exclama le roi effaré.

-Ben oui, un bon orc est un orc mort et de préférence massacré avec Galamarth. S'exclaffa la jeune femme avec un grand sourire.

-Galamarth ! Mais c'était l'épée de Celebrimbor qui lui venait de Fëanor. Rétorqua Elrond suffoqué par le choc.

-Oui, c'est l'épée de mon grand – père Celebrimbor.

Elle fit demi – tour et retourna dans la tente suivit par Ereinion et Elrond qui voulaient plus la connaître. Ereinion demanda :

-Celebrimbor a eut un fils ?

-Non, une fille, illégitime avec une numenoreenne du nom de Silmarien.

-KWOA ! Mais alors, vous êtes héritière du trône de Numenor ! S'exclama Elrond.

-Non, je n'irais jamais sur cette île, ma grand – mère a abandonné ma mère et l'a refilé à son amant qui la reconnu et lui a appris à se battre. Il lui a donné son épée quand elle c'est marié avec mon père. Quant à moi, je suis le résultat de l'union d'un maia et d'une semi – elfe. Bon si je suis là, c'est pas pour faire la visite du Mordor, mais pour vous sauver la vie. Alors maintenant, je suis votre garde du corps. Altesse. Cracha Naëhi de plus en plus de mauvais poil.

Elle ressortit de la tente pour aller soigner son cheval, mais elle était toujours suivit par les 2 elfes. Ereinion avait toujours les sourcils froncés et à l'entrée de la tente, il lui dit rageur :

-Et si je dit non ?

-Et bien, vous rentrerez chez vous avec un oeil au beurre noir. On m'a ordonné de vous ramener sauf dans votre royaume, et non sain. Alors un coup ou 2 ça ne me fait ni chaud, ni froid !

Ereinion fronça encore plus les sourcils et dit d'un ton sec :

-Bien, je vois que je n'ai pas le choix.

Il se rapprocha lentement de la jeune femme, attrapa une épée et attaqua Naëhi dans le même geste. Avant d'avoir compris ce qui lui arrivait, la jeune femme était assise sur son bassin l'épée sous sa gorge. Il lui demanda époustouflé :

-Comment avez – vous fait ?

-Entraînement mon cher, avec moi, vous ne risquerez pas d'être massacré.

-Bien, j'accepte votre service.

Naëhi devint rouge de colère et son poing percuta violemment l'oeil du roi qui poussa une expression de douleur.

-Je... ne... suis... pas...une... de... vos... DOMESTIQUE. EST – CE CLAIR ! Rugit la jeune femme.

-Oui ! Souffla le roi souffrant de son oeil.

La jeune femme se leva d'un bond et dit :

-Alagos viens, on va se reposer avant le prochain carnage. Et cette fois – ci, je tuerais Sauron et notre vengeance sera faite et nos familles vengées.

Le cheval enscença tandis que les elfes tremblaient devant la lueur démoniaque de la jeune femme.

Elle pansa tendrement son cheval puis quand celui – ci fut propre et endormi, elle commença à nettoyer puis aiguiser son épée.

-Tu vois Gali, personne ne peut nous vaincre. Notre vengeance va bientôt être accompli et nous allons pouvoir vivre enfin normalement.

L'épée scintilla comme pour lui répondre. Ereinion un magnifique bleu sur son oeil la rejoignit et lui demanda :

-Pourquoi haïssez – vous autant votre père ?

-Parce qu'il aurait pû sauvez ma mère et mon frère, mais au lieu de cela, il a préféré sauver 3 nains et un homme. Il a sacrifié sa famille pour 3 nains et un homme. Je le hais. Et ce n'est pas lui qui est venu me sauver, c'est un rôdeur du nord. Je l'ai maudit ce jour – là et tous les jours qui ont suivi.

-Comment sont – ils morts ?

-Ma mère a été dévoré par des orcs et mon frère a été tué par Sauron en personne. Tous les 2 ont été violé par les orcs et par Sauron.

-Quelle horreur. Je comprends mieux votre colère et votre haine. Toutes mes condoléances. Dit – il sincèrement peiné.

Cette gentillesse toucha Naëhi qui pourtant ne montra rien trop habituée à cacher ses sentiments. Elle ne lui dit qu'un vague merci, puis l'emmena de force dans la tente, s'assit sur le sol et commença à monter la garde. Une garde farouche, personne ne pouvait entrer et personne ne pouvait sortir. Le roi au bout de 3 jours commençait vraiment à en avoir marre et plus d'une fois de violentes disputes éclatèrent entre eux. Les hommes pouffaient de rire et disaient qu'ils ressemblaient à un vieux couple marié ce qui faisait pousser des hauts cris aux elfes. Mais bizarrement, personne ne le répètait à Naëhi, peut être de peur de se retrouver empaler sur la branche d'un arbre ou pire devenir une femme. La jeune femme avait en 3 jours acquis la réputation d'être un véritable démon et qu'il valait mieux ne pas la croiser le soir au coin d'un bois surtout quand elle venait de rater un orc ou pire quand elle venait de rater Sauron, et là, il ne fallait pas faire le moindre bruit au risque de passer un sale ¼ d'heure ce qui arriva au fils de feu l'ancien roi,qui mourut en s'écrasant contre un arbre et eut tous les os du corps brisé. Les hommes étaient paniqués quand ils la voyaient arriver. Mais ils savaient qu'elle était la pire ennemie de Sauron, donc leur allié.

A suivre