Harry Potter et SG1
Chapitre 2 : Départ, chemin de traverse et destination inconnue.
Lorsque Harry se réveilla le lendemain matin, il remarqua qu'il n'était que 8 heures, sa famille allait se lever d'ici une trentaine de minutes. Il prit la décision que pour sa dernière journée ou plutôt matinée, il pouvait faire le petit déjeuner. Il s'habilla en vitesse, descendit dans la cuisine, prit tous se dont il avait besoin et commença à tout préparer. Lorsque les Dursley descendirent dans la cuisine, ils remarquèrent que le petit déjeuner était prêt, l'Oncle Vernon regarda Harry, suspicieux il lui demanda :
- Pourquoi avoir préparé le petit déjeuner, hein! Morveux ?
- Pourquoi ? Eh bien, parce que, je vais partir pour m'entraîner, c'est tout, lui répondit Harry
- Oh non, mon petit, répliqua sèchement l'oncle Vernon, tu vas rester ici, on ne veut pas que tout ces immondices viennent dans la maison.
- Désolé mon oncle, mais mon choix est prit fait, ne tant fait pas, je vais écrire une lettre pour eux et leurs expliquer ainsi pourquoi il a fallu que je parte.
Sur ce Harry qui avait finit de manger, monta dans sa chambre, vérifia une dernière fois qu'il n'avait rien oublié, puis se dirigea vers la porte d'entrée. Soudain son oncle lui barra le passage et lui dit :
- TU RESTE ICI, MORVEUX, J'AI PLUS QU'ASSEZ DE TOUTE TES BIZZARRIES.
- Mon oncle, vous me laissez passer, sinon vous goûterez de ma baguette, puisque j'ai reçu le droit de l'utiliser comme bon me semble, dit calmement Harry.
- NON, TU VAS FAIRE CE QUE L'ON TE DIT, LES TIENS VEULENT QUE L'ON TE GARDE AVEC NOUS, ALORS NOUS ALLONS TE GARDER AVEC NOUS JUSQU'A CE QUE TU RETOURNE DANS TON ECOLE DE MALADE, EST-CE-CLAIRE ? lui cria Vernon, en lui postillonnant dessus.
-ALORS LA, C'EST TROP, TU VAS ME LAISSEZ PASSER, ESPECE DE GROS PORC EMBULANT, EST-CE BIEN COMPRIS, J'EN AI PLUS QU'ASSEZ DE VOUS, MALGRE LES AVERTISSEMENT DE DUMBLEDORE, VOUS CONTINUEZ DE PRENDRE POUR UN CHIEN, cria Harry, puis il reprit calmement, je vais vous dire une bonne chose, le vieux fou, qui m'a forcé à habiter ici, je n'en ai plus rien à foutre, il m'a trahi, il m'a caché des choses très grave, alors ne venez pas m'emmerder.
- Quel genre de choses ? demanda la tante Pétunia
Sa tante était la seule à parler à Harry de cette façon, car elle trop peur des gens de son monde, ou du moins, ceux qui les avaient averti, que si il ne traitait pas mieux Harry, alors il fallait qu'ils s'attendent à des représailles. Bien que, Harry devait l'avouer, les Dursley l'avait mieux traité cet été. Il leur répondit :
- Oh, juste de petites choses sans signification, comme une certaine prophétie, qui va faire de moi, une victime ou un meurtrier, et que je suis l'héritier des cinq plus grand sorcier de tout les temps.
- Tu est l'héritier de ce vieux fou, lui demanda Dudley.
-Non Big D, le suis le descendant des quatre fondateurs de mon école, mais aussi celui de Merlin.
- Merlin l'enchanteur, dit bêtement Vernon.
- Oui, celui-là même, rétorqua Harry, bon je dois y aller, au revoir.
- Attends, donne nous les lettres, nous leur remettrons, lui proposa l'oncle Vernon.
- Oups, merçi, j'avait complètement oublié de les faire.
Ils se dirigèrent vers la cuisine, puis Harry sorti du parchemin et des plumes avec son encre. Il commença à les écrire, puis en donna deux à l'oncle Vernon. Harry se dirigea par la suite vers la sortie, puis remarqua, qu'il y avait deux membres de l'ordre du phœnix. Donc, il retourna à la cuisine, et dit à son oncle :
- Je suis désolé de se que je vais faire, mais il y a deux personne qui me surveille, mon oncle, pourriez-vous ne pas leur dire que je sais déjà transplaner, sinon, il me retrouverait trop facilement. Dites-leurs que je suis parti dans la nuit et comme vous ne saviez pas comment les prévenir, vous n'avez rien fait ? Merçi.
A ce moment-là, son oncle s'apprêta à lui dire quelque chose, mais dans PLOP retentissant, caractéristique du transplanage, son neveu avait disparu. Soudain, des hommes du ministère de la magie arrivèrent de la même façon que leur neveu, avait disparu.
Pendant ce temps-là, Harry était apparu sur le chemin de traverse, jusque là son plan marchait comme sur des roulettes, il devinait que sa famille devait être aux prises des gens du ministère, ainsi que les membres de cet ordre complètement trouillard. Pourquoi trouillard, me direz-vous, eh! Bien, tout simplement parce que la plupart d'entre eux avait une frousse immense de Voldemort. Qui n'en a pas peur, c'est vrai, tout le monde, ou presque, mais l'essentiel c'est de pouvoir prononcer au moins son nom (nan, mais c'est vrai quoi, comme dit toujours Hermione, Avoir peur d'un nom, ne fait qu'accentuer la peur de la chose elle même, enfin bref), mais ils avaient trop peur de le prononcer de peur qu'il ne viennent les tuer par la suite, ridicule, se dit-il. Cet un ordre qui n'est composé que de mauviette, mais tout cela va bientôt changer. Harry se dirigea tout doucement vers Gringotts, la banque des sorciers, elle était dirigée par des gobelin, des créatures qui ne vaux mieux pas contrarié. On disait aussi de la banque que des dragons garderaient la salle des coffres, mais il n'avait pas vraiment besoin de ses bestioles, puisque les sous-sol de la banque était un labyrinthe et qu'il s'enfonçait très profondément, les coffres en eux-même était protéger par des enchantements très puissants, qui enfermait la personne à l'intérieur, les gobelins ne vérifiait les coffres que tout les 10 ans. (Enfin bon , revenons plutôt à l'histoire qui doit plus vous intéressé que les protections de ce lieu de bénédiction). Lorsqu'il entra dans la pièce il n'y avait que les gobelins à l'heure là, Harry se dirigea donc vers celui qui semblait être le maître comptable, puisque qu'il avait un gros cahier (mais qu'est-ce que je raconte, on sans fout complètement, nous on veux l'histoire et non ce qu'on les ces choses ou ces gens !!!!d'accord comme vous voudrez, mais vous ratez quelque chose). Donc comme je le disait, avant d'être grossièrement interrompu par ces gentils lecteurs, Harry se dirigea vers le gobelin et attira son attention en toussotant (ça ne vous rappel pas Ombrage), celui-ci leva la tête et lui demanda :
- Bonjour monsieur, que puis-je faire pour vous ?
- Bonjour, j'aimerait faire un retrait important, mais ma bourse n'est pas assez grande pour cela, lui répondit Harry, n'y aurait-il pas un moyen pour retirer de l'argent plus facilement, comme une carte bancaire ?
- Si bien sûr, mais pour cela, il faut que vos parents soit là, je suis désolé.
- Je ne peut pas mes parents sont mort quand j'avait l'âge de 1 an.
Tout en disant ça, il avait relevé les mèches rebelles qui cachait sa cicatrice. Le gobelin comprit alors qu'il avait fait une erreur, il lui demanda pardon et le pria de le suivre vers l'un des bureaux. Une fois entrée dans celui-ci, le gobelin lui dit :
- Monsieur Potter, je m'appelle Gripsou, c'est un honneur de vous revoir.
- Merçi, mais j'aimerait savoir pourquoi vous amener ici, et si mon compte est surveillé par Dumbledore ?
- Pour répondre à votre première question, je vous amener dans ce bureau, pour vous fournir une bourse spéciale, elle vous permettra de pouvoir retiré la somme que vous voulez, elle n'obéira qu'à votre voix, et enfin pour la seconde question, oui, le professeur Dumbledore surveille votre coffre, seulement à partir de 1500 gallions, répondit d'une traite le pauvre Gripsou.
- Bien, je vais prendre alors la bourse, puis-je vous demander un service, s'il vous plaît ?
- Oh oui, monsieur, tout ce que voudrez, répondit-il avec un élan de fierté, visible dans sa voix.
- J'aimerait que vous ne disiez rien au professeur Dumbledore, si je retire beaucoup plus que 1500 gallions, et aussi que vous taisiez mon passage ici. Oh, j'allait oublié, faite vous la même chose, mais pour l'argent moldu.
- Oui bien sûr, attendez moi là, je vais demander à ce que votre coffre ne soit plus surveillé, et préparer aussi une carte bancaire relié à votre compte, je reviens dans cinq minutes.
Gripsou parti faire ce qu'il avait à faire, pendant ce temps-là, Harry réfléchit aux différents endroits où il devait se rendre, il y avait tout d'abord la librairie Fleury & Bott, puis l'apothicaire, car il voulait recommencer toutes les potions qu'il avait apprise et en apprendre d'autres, il devait aussi passer à la ménagerie magique, et se rendre au magasin de prêt-à-porter pour sorcier, il voulait s'acheter une nouvelle robe de couleurs cette fois pour ce rendre dans l'allée des embrumes. A ce moment-là, Gripsou revint avec le directeur de la banque qui lui demanda :
-Bonjour Monsieur Potter, puis-je savoir pourquoi vous voulez que le professeur Dumbledore ne doit pas être mis au courant de vos retrait.
- Bonjour, monsieur le directeur, voilà j'aimerait pouvoir effectuer plusieurs achats qui vont me coûter très cher, le professeur Dumbledore n'est pas au courant de cette sortie, puisque je veux pouvoir m'entraîner afin de vaincre Voldemort, une bonne fois pour toute.
- Oui je comprend, je vais immédiatement accéder à votre requête, mais sachez que nous les gobelins nous avons toujours su que vous aviez raison à propos de son retour, si vous avez besoin d'une quelconque aide, alors n'hésiter pas à faire appel à nous, au revoir Monsieur Potter.
Puis le directeur parti dans son bureau, Gripsou fit signer à Harry toute sorte de formulaire, et lui remit la bourse qu'il activa en donnant le son sa voix, puis lui tendit aussi la carte bancaire avec le code secret. Harry parti en remerciant chaleureusement Gripsou qui l'avait beaucoup aider. Mais alors qu'il allait partir, le vieux gobelin le rattrapa et lui dit de le suivre, ce qu'il s'empressa de faire, puis une fois arrivé dans le même bureau et la porte du bureau fermée, Gripsou lui dit :
-Monsieur, il faut que vous le sachiez, vos ancêtres on un compte ici le coffre n1, cette argent vous appartient, il y a aussi des livres très anciens, qui peuvent vous être utile, voulez-vous y allez maintenant ou préférer attendre.
- Je veux bien y aller maintenant, comme ça je pourrait les prendre, et serait-il possible de rattaché les deux ensembles, s'il vous plaît ?
- Oh mais bien sûr il est tout à fait possible de les rattaché ensemble, suivez moi, je vais vous conduire là-bas.
Harry suivit Gripsou jusqu'au wagonnet, il détestait ces engins mais n'avait pas vraiment le choix, alors il y monta et ils commencèrent une descente folle pendant près d'une heure. Lorsque enfin le wagonnet ralenti, il arrivèrent et Gripsou lui dit :
- Monsieur Potter, à l'origine vos ancêtres avaient chacun un coffre, mais Merlin leur à conseillé de tout entreposé dans ce coffre, pour que l'élu d'une ancienne prophétie viennent rechercher la connaissance en ce lieu. Vous devez poser votre main sur la porte, si vous êtes l'élu, alors elle s'ouvrira.
Harry fit ce que le gobelin lui avait dit, il posa sa main droite sur la porte, soudain celle-ci ce mit à luire d'une couleur d'un blanc encore plus pure que celui des licornes, il dut fermé les yeux tellement celle lumière était aveuglante. La porte s'ouvrit, et ce qu'ils virent était époustouflant, se coffre était plus grand que de la grande salle à poudlard, tout au fond du coffre, il y avait une bibliothèque, qui était facilement 20 fois plus grande que celle de poudlard, dans le reste de la pièce, il y avait des montagnes et des montagnes d'or, d'argent et de bronze, avec ça Harry pouvait facilement vivre un millénaire sans travaillé, il y avait aussi des bijoux qui avait appartenu à ces ancêtres. Il commença à avancer dans la pièce, quand soudain, cinq fantômes apparurent devant leurs yeux, Gripsou était venu le rejoindre, l'un des fantôme, s'avança et se présenta :
-Bonjour, jeune héritier, tu est donc l'élu, je me présente, je me nomme Merlin, à ma droite, voici Salazar Serpentard et sa femme Helga Poufsouffle, et à ma gauche, Godric Gryffondor et Rowena Serdaigle. Puisque tu est ici, nous allons te révéler la prophétie qui lie ton destin, écoute et pose tes question après, d'accord ?
Harry ne put qu'acquiescer. Merlin commença à parler :
Lorsque le mal, de la planète sera vaincu,
L'élu de l'ancienne prophétie devra
Devenir le sorcier le plus gradé
Il devra devenir un ancien
Il devra vaincre le mal des autres planètes
Mais, il devra d'abord combattre le mal des autre planètes
Et ce faire des alliés
Pour vaincre le mal qui détruit sa planète,
Seulement après il pourra détruire le seigneur des ténèbres
Du peuple de la Tauris
Et devra détruire en 20 ans
Les mal des autres planètes
Sans quoi l'univers sombrera dans le chaos à jamais.
Harry était bouche bée, il ne pouvait rien dire, parce que sinon, il se serait mis à crier, puis le fantôme de Salazar prit la parole :
- Eh bien, tu n'avait pas l'air de t'attendre à ça, n'est-ce pas ?
- Merlin, Serpentard, n'est-il pas un mage noir, ce qui signifierait que je suis l'héritier d'un mage noir, demanda Harry, effrayé à cette perspective.
- Non, Salazar n'a jamais été un mage noir, et sache que la chambre des secret est une protection du château, bien que je l'ai désapprouvé.
- Alors pourquoi tout le monde le dit, dans c'est qu'à là ? questionna Harry.
- Ce sont des rumeurs qui fait de lui un faux mage noir. Mais, nous allons devoir bientôt partir, donc il faut que tu sache qu'il faut que tu mettent nos bijoux, pas tous je te rassure, mais certain, tu doit prendre aussi une malle que tu voit là-bas et que tu y mette tout les livres, pour ça, tu n'a qu'à prononcer la formule, Failamalleauxlivres, je sais c'est long, mais efficace, nous devons à présent te laisser. Au revoir, jeune héritier.
Harry aurait voulut rester avec eux plus longtemps, mais ils étaient déjà parti, il fit donc ce que lui avait dit Merlin, il prononça la formule, après avoir ouvert toute les malles, il vit aussi une petite note, qui disait :
Cher héritier,
Tu trouveras ici toute les livres des sorts, de potions, ou d'autres domaines de notre époque, mais tu devra quand même acheter les livres de ton époque. Nous nous reverront lorsque ta mort sera arrivé, mais dans très longtemps.
Tes ancêtres
Godric, Rowena, Helga, Salazar et Merlin.
Harry mit quelques bijoux, puis une fois que les cinq malles furent remplis à ras bord, il les ferma, et se dirigea par la suite vers la sorti après les avoir réduits, il les mit dans sa poche en remarquant qu'elle ne pesait rien du tout. Il prit aussi les autres bijoux et les mit dans une autre malle, et fit le même manège qu'avec les deux autres. Il sorti et remonta dans le wagonnet, une heure après, il sorti de la banque en remerciant chaleureusement Gripsou.
Harry se dirigea par la suite vers une boutique de montre, puisqu'il n'en avait plus, il s'acheta une montre en or massif, pour le prix de 150 gallions. Après être sorti du magasin, il se dirigea vers la librairie, une fois entré dans la boutique, un groupe se tourna vers lui, Harry reconnut les membres de l'ordre, ainsi que Ron et Hermione, un homme se dirigea dans sa direction , Harry le reconnut comme étant Rémus Lupin, dernier maraudeur, mais aussi son ancien professeur de défense contre les forces du mal, il le prit dans ses bras et lui dit :
- Harry, tu ne devrait pas être là, tu doit rester chez les Dursley, tu le sais pourtant. Mais au fait, d'où te viennent tous ces bijoux, tu ne les a pas volé au moins.
- Mais non, je ne l'ai est pas volé, se sont les bijoux de mes ancêtres, et je suis là pour acheter des livres donc Rémus, si cela ne te dérange pas, j'aimerait pourvoir faire mes achats, j'ai encore beaucoup de choses à faire.
Sur ce Harry s'éloigna, prit un chariot, et se dirigea vers les innombrables étagèrent. Il commença dans la section scolaire, dans celle-ci prit les livres des deux dernières années, que ce soit en DCFM, ou en métamorphose, potions, sortilèges et enchantements, ou les matières, il prit même ceux dont il n'avait pas de cours, mais les prit tous, même ceux de divinations.
Il se dirigea par la suite dans la section défense et attaque, il fit le même manèges, il prit un exemplaire de chaque livre. Il fit pareille, avec les autres sections, en prenant la métamorphose, les potions, ainsi que les soins aux créatures magiques et les autres formes de magie, genre magie sans baguette, magie elfiques, magie des nains, magie ancestrales et anciennes, il prit les livres de soins. Ses amis le regardait comme si il avait perdu la tête, il se disait que jamais Harry ne pourrait payé tout cela.
Pourtant il le virent se rendre vers la caisse, le marchand le regarda et lui dit :
- Jeune homme, je suis désolé, mais jamais vous ne pourrez payé tant de livres, et puis vous êtes trop jeune pour la plupart de ses livres. Allez les reposer, s'il vous plait, je ne veux pas perdre mon temps par de telle balivernes.
- Je peux payé, allez-y, ne vous en faite pas, mon porte monnaie n'en souffrira point.
- Bien, puisque vous insisté, mais je vous préviens que si jamais vous me faites perdre mon temps, vous allez avoir des problèmes.
Harry en eut assez de toute remarque pleine de sous entendu, il releva ses cheveux, et montra sa cicatrice à l'homme, qui en voyant qui il avait menacé, bafouilla des excuses. Il commença donc à encaisser tous les livres, Hermione vint le voir pour lui demander comment il allait, et Harry lui répondit :
- Bien Hermione, tout va très bien, deux prophéties me lie à faire encore plus de bataille, j'apprend que je suis l'héritier des cinq plus grand sorcier de tous les temps, rien ne peut me faire aller mieux.
- Je suis désolé Harry, je voudrait tant pouvoir t'aider, lui répondit Ron, qui les avait rejoint peux après.
- Non, les amis, je doit le faire seul, je ne veux pas qu'il y ai plus de blessées qu'il n'y en a déjà, déclara Harry.
- Harry, je vais te ramener chez les Dursley, après que tu est fait toute tes courses.
- Alors là, tu peux toujours courir, Lunard.
- Mais Potter, enfin soyez raisonnable, vous ne pouvez pas rester dehors comme ça, Voldemort vous veut mort, si vous persistez dans cette voie-là, vous le serez dans 2 jours, lui dit Maugret Fol Oeil.
- Harry, tu as parlé de deux prophétie, mais il n'y en qu'une.
- Eh non, il y en une seconde, celle-là je suis le seul à la savoir, et personne ne la saura, désolé.
Soudain, le vendeur lui déclara qu'il devait 2000 gallions, il prit donc sa bourse magique, dit le montant, et le renversa sur le comptoir. Hermione regardait la jolie bourse avec curiosité (Herm, la curiosité est un vilain défaut.), elle s'approcha et demanda à Harry ce que c'était, il lui répondu volontiers. Puis il sorti sa baguette et dit :
- Failamalleauxlivres.
Tout les clients le regardèrent en disant, qu'il n'était pas des chiens, Harry se demandait pourquoi sa ne marchait pas, il vit qu'il avait oublié de sortir une malle vide du coffre de ses ancêtres, Il en prit une et lui rendit sa taille normale, il l'ouvrit et constata qu'elle était pleine de livres, il en prit donc une autre et fit le même manège mais il trouva le même phénomène, il continua ainsi jusqu'à trouver la bonne malle, et prononça la formule, tous ces nouveaux livres virent se rendre dans une seule et unique malle, il les réduisit toute et les rangea dans sa poche où aucune malle ne se trouvait. Tout les clients le regardait comme si il était dieu, puisqu'il venait de faire un sort que personne ne semblait connaître. Le vendeur qui avait put voir le titre de certain de ses livres, demanda à Harry :
-Excusez moi, monsieur Potter, pouvez me dire où vous avez des livres qui n'existent plus de notre temps.
- Je suis désolé, mais je ne peut rien vous dire pour le moment.
Puis Harry ce tourna vers ses amis de toujours, et leur dit si il voulait venir avec lui, seul tous les trois, le retour du trio, mais Harry savait que cela ne durerait que le temps d'une journée. Malheureusement, ils avaient fini tous leurs achats et devait rentré au quartier général de l'ordre, donc il se séparèrent, mais Lunard, lui resta avec Harry, car il avait besoin de parler avec lui. Il lui proposa d'allé manger une glace, chez Florian Fortarôme, une fois rendu là-bas, il commandèrent chacun leur glace, puis Rémus en ayant assez de ce silence, décida de le rompre :
- Harry, tu n'est pas conscient du danger que tu encourt
- Si Rémus je t'assure que j'en suis conscient, mais je vais devoir m'absenter pendant quelque temps, pour m'entraîner.
- Mais je peux le faire moi, si tu veux, le professeur Dumbledore m'a de nouveau engagé, on trouvera une salle et on s'entraînera pendant nos heures de libres, qu'en dit-tu ? lui proposa Rémus.
-Non, je suis désolé Rémus, mais je doit m'isolé entièrement, je doit monter en grade, et faire mes propres batailles, je doit apprendre des sorts, que tu ne peut connaître, puisque même Dumbledore ne les connaît pas, je doit le faire, pardonne moi.
Harry regarda sa montre et constata qu'il était plus de midi, il dit à Lunard qu'il devait partir, car il avait encore plein de choses à faire, il lui dit aussi qu'il devait se rendre dans l'allée des embrumes, en entendant cela Rémus était sur le point d'éclater mais comprit que c'était ce qu'il devait faire. Ils se séparèrent donc, Harry se dirigea vers l'apothicaire, pour faire le plein de d'ingrédient pour potions, il prit tous les ingrédients possible et imaginable pour les potion de magie blanches. Une fois cela fait, il se rendit à la ménagerie magique, lorsqu'il entra, toutes les bêtes se turent, la vendeuse le regardait avec stupections, Harry regarda un peut autour de lui, les animaux le regardait avec un profond respect encré dans leur yeux, lorsqu'il passait devant ils s'inclinaient, Harry les comprenait, mais n'osait parler, de peur d'effrayer la jeune vendeuse, il lui demanda ce qu'était cet oeuf qu'il devant lui, elle lui répondit que c'était un oeuf phœnix, mais qu'il était très de pouvoir en faire naître, Il décida de le prendre avec lui, il prit aussi un serpent, un hippogriffe, un aigle, un chien et un chat. Il paya la jeune vendeuse, après avoir prit de la nourriture pour tout ces animaux. Il se dirigea ensuite vers l'allée des embrumes en revêtissant la cape qu'il avait prit dans le coffre de ses ancêtres.
Une fois là-bas, il décida de se rendre, à la librairie de magie noir, elle aussi grande que celle du chemin de traverse, il fit donc le même manège en prenant tous les livres en un seul exemplaire. Il se dirigea ensuite vers la caisse, puis lorsque le vendeur refusa de les lui vendre, Harry lui répondit :
- Le maître ne sera pas content du tout, il nous a demandé d'acheter les livres, pour pouvoir mieux le servir, par la suite.
L'homme effrayé préféra les lui vendre plutôt que d'avoir des ennuis avec son maître, il lui demanda juste 100 gallions, et lui dit dire au maître qu'il avait très généreux. Par la suite, Harry se rendit dans la boutique d'ingrédients de potions de magie noire. Ensuite, il alla dans une boutique d'arme blanche, il prit plusieurs dagues, des couteaux et deux épées, il trouva aussi un livre sur la fabrication d'une arme blanche, il se dit qu'il pourrait la fabriqué lui même. Par la suite, il retourna vers le chemin de traverse, avoir des lentilles, et non plus ses vieilles lunettes qu'il cassait à presque aventures, il se dirigea vers un opticien magique, arrivé là-bas, il demanda si serait possible d'avoir des lentilles, qui lui permettrait de voir dans le noir et à travers les choses, il se fit servir directement, il paya la somme de 50 gallions, pour finir il voulait avoir une nouvelle coupe de cheveux, il se dirigea donc vers, un coiffeur qui le prit immédiatement, Harry les demanda court, très court, une fois cela finit, il paya, et sorti pour transplaner, vers sa prochaine destination.
Il se dirigea vers un coin de la rue, qui lui paraissait, calme et à l'abri des regard indiscret. Mais, il vit l'un de ces camarades d'école, Drago Malefoy, un serpentard, qui était son pire ennemi à poudlard, celui-ci l'avait visiblement vu aussi, puisque se dernier se dirigeait vers lui, il lui dit d'un méprisant :
- Alors Potter, tu change de coupe, pour mieux montrer ta cicatrice.
- Non, Drago, je veux pouvoir tout simplement combattre plus facilement, maintenant si cela ne te dérange pas trop, je doit partir, lui dit Harry calmement.
- Ah oui, et comment dit moi, nous t'encerclons, lui répondit malicieusement le serpentard.
En effet, Harry venait de remarquer, qu'il était effectivement encerclé. Il lui dit tout simplement :
- Oh mais je peut juste transplaner.
- Non, puisque tu n'a pas ton permis, et tu ne sait même pas le faire, donc tu ne peut pas nous échapper, lui répondit un autre garçon de la bande des serpentard.
Soudain, ils entendirent plusieurs bruits de transplanage, alors, Harry se tourna vers l'origine du bruit, et remarqua que des mangemorts, le regardait, comme, si il était un rat prit au piège. Sans prévenir, l'un d'eux se lança sur lui et lui enfonça un poignard dans les côtes, Harry fut de obliger de transplaner, sans savoir où il allait vraiment atterrir. Lorsque qu'il apparut devant des militaires, Harry s'écroula, à cause de la douleur faite par le poignard que lui avait enfoncer, ce satanée mangemort, il avait l'impression de subir un doloris, tellement la douleur lui arrachait les entrailles, il se senti partir vers les ténèbres, mais eut tout la sensation que quelqu'un le bougeait et le transportait à l'intérieur.
A suivre !!!!!!!!!!!!
Je vais mettre, le prochain chapitre, jeudi prochain ou le week end, prochain, voilà.
Réponse aux reviews :
VACA ET CATASTROPHE : Merçi, pour ta review, je sais que se n'est pas la peine de tout rappeler, mais je fait, pour les gens, qui ne connaisse pas Harry ou alors pour ceux qui n'ont pas lut un tome. Quand à la tante Pétunia, j'au expliqué pourquoi elle était si gentil avec lui. Voilà.
GEOBABAULT : Merçi à toi aussi, et j'espère que j'ai un plus développé, les émotions, dit le moi.
DRAGO MALEFOY :Merçi pour ta review, oui je suis d'accord, avec toi, mais, ce que veut en fait Dumbledore, c'est pouvoir manipulé le survivant, et pour le nom des deux autres écoles, désolé pour les fautes, mais je n'avait mes livres avec moi, ils étaient à l'internat. Voilà, donne tes autres impression.
MIKELKEL : Ouais, je sait, c'est bizarre comme mélange, mais j'aime bien, l'idée me trottais dans la tête depuis un bon moment.
MILESLERENARD : Eh bien voilà la suite, à plus.
J'attend vos autres reviews.
