Un grand merci à mon UIDO, j'ai nommé Remus Lupin. Je ne le répéterai jamais assez, allez jeter un œil sur son site le Vif d'Or, le lien et dans ma bio, il est très bien fait et en plus, vous y trouverez quelques-uns de mes dessins ainsi que plusieurs news et interviews que je traduis à mes heures perdues.

Disclaimer : Toujours pareil, rien ne m'appartient, tout est à JKR. Je revendique cependant l'intrigue, Kiara Weasley et quelques autres.

Remus James Lupin : Et ben, c'est la der, quoi ! Mais ne te repose pas trop sur tes lauriers, j'ai un truc sur le feu… Bisous.

Angel's heart : Ah ben, c'est pas grave. On ne peut pas se souvenir de tout et surtout que je n'en reparle pas trop dans cette seconde partie. Pour le final, c'est juste en dessous. Bisous.

Julie : Tu es notoirement distraite, toi ! J'ai déjà expliqué plusieurs fois que le Sacrifice du Serpent, c'était pour Rogue qui accepte de se livrer à Voldemort pour sauver le père adoptif de sa fille et Tonks, par la force des choses. Bon, d'accord, il est sauvé mais son geste n'en reste pas moins un sacrifice puisqu'il savait que le Seigneur des Ténèbres le tuerait. Pour la fin, c'est juste plus bas. Bises.

Lem Black : La fin est là. Bisous.

Luce. Wiz : Qui suis-je pour résister au regard implorant du chat potté ? LOL. J'ai un truc en cours d'écriture alors patience. Merci pour le groupe. Il faut que je le mette entièrement à jour, j'y arrive gentiment, la vo corrigée du Lion et le Serpent est presque complète, je l'ai pas modifiée juste corrigée et remise en page. Après, j'y mettrai le Sacrifice. Je regrette juste qu'il ne s'y passe pas grand-chose et j'ai peu d'écho quand je donne le lien sur un truc ou deux que je vois sur le Net mais bon, ce groupe est encore jeune. Je vais voir si je peux mettre en place un chat préprogrammé, ce serait sympa. On verra. En attendant, voilà le dernier chapitre. Bises.

Vici Black : Merci d'aimer Rogue comme je l'ai fait, c'est un personnage que j'aime beaucoup. J'espère que tu vas aimer la fin que j'ai écrite même si mon correcteur la trouve un peu… enfin, tu verras. Bisous.

Alisa Adams : Tadam ! ça y est ! On y est ! Je crée une dépendance ? LOL. Allez, tu n'auras pas trop pas attendre, je reviens tout bientôt. En attendant, lis et laisse-moi un petit mot. Bises.

Melu9 : Merci pour ces compliments. Contente que tu aimes ce que je fais. La suite n'est pas d'actualité. J'ai un truc en cours mais il n'est pas trop long, ensuite j'attaque enfin la fic que je promets depuis presque un an. Pour la suite de L+S et du SdS, on verra mais franchement, je ne sais pas. Bisous.

Vif d'Or : Salut ma belle, comment ça va ? Alors, on y est, le dernier chapitre est là. Dis-moi ce que tu en penses, d'ac ? Bises.

Chapitre 49

- Pansy ! Qu'est-ce que tu fous ? On a rendez-vous dans moins d'une heure ! s'impatienta Milicent Bulstrode.

La jeune sorcière leva la tête.

- Ça ne se voit pas ? J'suis au fond de la mine, je pousse des wagonnets ! répliqua-t-elle, sarcastique. Qu'est-ce que je peux bien faire d'après toi ? Je termine le devoir de Rogue. J'aurai déjà dû le rendre hier. Je lui ai servi une excuse bidon pour expliquer mon retard. Il était tellement de mauvaise humeur que j'ai bien cru qu'il allait me coller mais il a simplement dit qu'il le voulait sur son bureau ce soir. Je ne vais pas pousser ma chance plus loin.

Elle griffonna encore quelques lignes au bas du parchemin puis le regarda, satisfaite.

- Voilà, dit-elle en soufflant sur l'encre humide pour activer le séchage.

Après s'être assurée qu'il n'y aurait pas de tâche, elle roula son devoir et rangea ses affaires.

- Je vais le lui porter de suite, Milicent. Prépare-toi. Je reviens.

§§§§§

Elle descendit quatre à quatre les marches qui menaient au sous-sol et atteignit rapidement la salle de classe. Elle frappa un coup mais personne ne répondit. Pourtant, elle était certaine d'entendre le murmure d'une conversation. Elle poussa la porte et entra ; de la lumière émanait du laboratoire. Elle s'avança encore un peu et reconnut clairement le timbre d'une voix féminine. Gardant son devoir à la main, qu'elle pourrait toujours invoqué comme excuse à sa présence si on la surprenait là s'en s'être fait annoncer, Pansy, rongée de curiosité et à l'affût du moindre ragot croustillant à répandre, s'approcha encore et tendit une oreille avide.

Ce qu'elle entendit la fit presque saliver tant c'était énorme.

- Ici, je suis bien. Il y a Drago, mes amis et vous, bien sûr ! dit la voix de fille.

Drago ? Mais c'est cette garce de Weasley qui parle !

- Je ne peux pas simplement oublier ce que vous êtes pour moi, Professeur. Je ne le veux pas ! Mais je ne veux pas choisir non plus entre vous deux. C'est impossible. Alors… alors, je me suis dit que je pourrai partager mon temps entre vous deux.

- Tu veux nous partager ?

Cette fois, c'était Rogue.

Quoi !

- Oui. Si vous… si tu es d'accord, bien sûr. A moins bien sûr que je me sois trompée sur toute la ligne. Peut-être que tu me considères toujours comme un boulet dans ta vie et que tu préfères jusqu'à oublier mon existence…

- Oh… Non ! C'est juste que je croyais… Peu importe. Tu veux vraiment qu'on… ?

- Oui ! Je veux qu'on reprenne le genre de relation qu'on avait établie. On s'entendait plutôt pas mal, non ? Et puis j'adore ce labo !

Rire de Rogue.

Relation ? Ils couchent ensemble ! Putain, c'est trop beau pour être vrai !

- C'est sûr qu'un tel enthousiasme pour mon laboratoire pèse fortement dans la balance ! Kiara, je suis d'accord.

- C'est vrai ?

- Oui. Mais, il faudra reprendre notre code de discrétion. Il fonctionnait bien. Tu n'es pas comme ces têtes de linottes qui oublient aussitôt ce qu'on leur dit.

- Aucun problème !

Il y eu un bruit de tissu froissé. Incapable de s'en empêcher, Pansy se pencha un peu et vit Rogue et Kiara enlacés.

Un horrible sourire déforma ses traits peu gracieux.

Cette fois, je vous tiens, toi la sale traînée et toi, le traître !

Elle recula doucement, sans faire de bruit, puis déposa son devoir sur le bureau de Rogue parmi d'autres en attente d'être corrigés et s'en alla sur la pointe des pieds.

§§§§§

Kiara, tout sourire, regagna la Tour Serpentard. Severus acceptait de l'inclure dans sa vie et son père avait recouvré la santé. Son séjour chez Arthur Weasley lui ferait le plus grand bien. Et puis, il aurait de quoi lire ; elle commencerait dès ce soir le récit de ses aventures avec sa rencontre avec Harry Potter.

Comme elle avait besoin de se changer, elle fit un détour par sa chambre avant de se rendre à la mansarde.

Dès qu'elle entra, elle vit Parkinson se lever. Cette dernière la toisa, les poings sur les hanches, d'un air triomphant et Kiara se dit que cette belle journée allait certainement être gâchée.

- Déjà de retour ? s'enquit fielleusement Pansy.

Kiara haussa un sourcil.

- Oui et alors ?

- Je sais où tu étais, Weasley et avec qui.

- Ah oui ?

- Maintenant si tu ne veux pas que j'ébruite votre répugnante petite liaison, tu as intérêt à rompre avec Drago. Il est à moi ! ajouta-t-elle rageusement.

Kiara se demanda si elle avait bien entendu.

- T'es dingue ou quoi ? Pourquoi je quitterai Drago ? Et puis de quoi tu parles ? Quelle répugnante petite liaison ?

- C'est ça, fais l'innocente, cracha l'autre avec mépris. Je vous ai vus, toi et Rogue, en train de vous embrasser. Sincèrement je ne sais pas comment tu fais et, après tout, je m'en fous. Mais ce qui est certain c'est que Rogue va perdre son boulot si je vais voir Dumbledore ; un éminent professeur qui couche avec ses élèves, quel scandale ! Quant à Drago, comment tu crois qu'il va prendre le fait que tu le partages avec la vieille chauve-souris, hein ?

Elle éclata d'un rire grinçant puis se dirigea vers la porte.

- Finalement, je me demande si c'est pas Rogue qui a lancé le Furonculus sur ce pauvre con de Finnigan, tu sais, histoire de refroidir les ardeurs de quelqu'un qui se serait un peu trop frotté à sa petite pute.

Kiara rougit sous l'insulte tandis que le sourire de Parkinson s'élargissait.

- Je suis magnanime. Je te donne jusqu'à demain soir. Passé ce délai, toute l'école saura que Rogue est un vicelard qui pervertit ses étudiantes et il sera viré sans sommation. Et, crois-moi, avec une telle casserole au cul, il ne devrait pas retrouver du boulot de sitôt. Sans parler que Dumbledore ne lèvera plus jamais le petit doigt pour lui…

Elle referma doucement la porte derrière tandis que Kiara s'effondrait sur le lit, atterrée.

§§§§§

A la grande surprise de Rogue, Kiara se représenta au laboratoire moins d'une demi-heure après l'avoir quitté. Elle était rouge et paniquée et parlait à toute vitesse. Rogue la fit asseoir et répéter son histoire plus calmement.

Une fois qu'il fut bien certain d'avoir bien compris les menaces que Pansy faisait peser sur lui, un rictus tordit sa bouche.

- Ainsi donc Parkinson croit pouvoir me menacer, moi ? Elle est persuadée que nous avons une liaison parce qu'elle nous a vus enlacés et elle pense pouvoir profiter de la situation ?

Kiara acquiesça sans un mot.

- Au fait, comment a-t-elle pu surprendre une telle scène ?

Il frotta pensivement l'arête de son nez en bec d'oiseau puis fronça les sourcils.

- Maintenant que j'y pense, il est fort possible qu'elle se soit trouvée dans cette classe il y a peu. Elle devait me rapporter son essai comme je l'avais moi-même exigé.

Il avait maintenant l'air très fâché contre lui-même.

- Qu'est-ce qu'on va faire ? demanda anxieusement Kiara. Je n'ai pas la moindre envie de faire ce qu'elle me demande. D'ailleurs, ça n'y changerait rien, elle parlera de toute façon et ça créera un scandale épouvantable dans l'école.

- Ne me dis pas que les commérages de Parkinson ont prises sur toi. Si elle va trouver le professeur Dumbledore, ce dont je doute fortement, elle risque de ne pas trouver une oreille aussi attentive qu'elle le souhaiterait en la personne du Directeur. Il n'accorde que peu de foi aux rumeurs et en ce qui nous concerne, il sait parfaitement ce qui nous lie. Concrètement, elle n'a rien pour me faire renvoyer.

- Ce n'est pas ce qui va l'arrêter. Elle va être folle de rage si Dumbledore ne la prend pas au sérieux et elle répandra les pires calomnies et blessera tous ceux auxquels je tiens…

Rogue fronça les sourcils et repoussa machinalement une mèche noire qui retombait sur son menton.

- Je pourrai toujours la convoquer dans mon bureau. On ne m'a jamais menacé impunément…

- Surtout pas ! Elle est capable d'aller dire que tu l'as rudoyée. Ce qui te ferait renvoyer aussi.

Elle se tapota la lèvre inférieure en réfléchissant à voix haute.

- Non, le mieux serait de trouver un moyen de la faire taire. Un moyen très persuasif… Comme de lui faire avaler à son insu une potion qui lui ferait perdre définitivement l'envie de déverser son fiel sur tout ce qui bouge et de pourrir la vie des autres …

Elle leva brusquement les yeux vers lui, ils brillaient d'anticipation.

- Oh… J'ai trouvé ! Je sais très exactement quelle potion conviendrait mais je ne saurai pas la faire seule. Tu veux bien m'aider ?

§§§§§

Le jour suivant était un dimanche. La Grande Salle résonnait d'un joyeux brouhaha. Le petit-déjeuner se prenait généralement de façon bon enfant. Pour plus de commodités, les elfes de maison préparaient un grand buffet de nourriture et chaque étudiant venait se servir à sa guise.

Kiara et Drago étaient arrivés tôt et s'étaient placés de façon stratégique. Il était hors de question qu'un mauvais timing leur fasse rater ne serait-ce qu'une miette du spectacle que Pansy allait leur donner bien malgré elle.

Kiara, placée entre Ginny et Luna, surveillait discrètement les élèves qui arrivaient encore.

Soudain, elle se redressa et fit un signe à Drago. Pansy et Milicent venaient d'entrer et se dirigeaient vers les Serpentard. Dès qu'elle remarqua que Kiara n'était pas aux côtés du sorcier blond, Pansy la chercha du regard. Quand elle la vit, elle lui adressa un sourire victorieux et s'approcha de Drago en roulant ostensiblement des hanches. Puis elle s'installa près de lui en minaudant.

Kiara leva les yeux au ciel tandis que Ginny et Luna, sans même se consulter, se mettaient un doigt dans la bouche et faisaient semblant de vomir. Harry, Ron et Neville avaient l'air franchement écoeuré par le comportement de la Serpentard. Seamus, quant à lui, darda sur elle un regard brûlant de haine.

- Quand vas-tu nous dire ce que tu as prévu de lui faire ? s'enquit Hermione.

Kiara leva la main pour endiguer le flot de questions qui ne manquerait pas de suivre.

- Patience, patience, ce ne devrait plus être très long. Quand ça arrivera, croyez-moi, ça va faire du bruit, promit-elle avec un sourire à faire froid dans le dos.

- Tu es sûre que ça va marcher ?

- Neville… franchement, le reprit Kiara avec une pointe de reproche, j'ai été supervisée par le meilleur.

- Mais comment tu as pu lui faire boire une potion sans qu'elle s'en rende compte ?

- Oh, ça, c'était encore le plus facile. Elle prend un anti-douleur périodique. J'ai simplement versé le concentré de potion - garanti totalement incolore et parfaitement inodore – dans la bouteille que Madame Pomfresh lui avait préparée.

- Et tu es certaine qu'elle l'a bue ?

- Je l'ai vue prendre son médicament hier soir, donc elle en a pris ce matin.

Hermione avait vraiment l'air intriguée.

- Alors, il a un effet retardé ?

- En quelque sorte. Ce qui va le déclencher, c'est l'absorption de jus de citrouille.

Cette dernière précision fut couverte par le cri aigu de Milicent qui s'était brusquement levée et montrait son amie d'un doigt tremblant. Un murmure stupéfait traversa la table des Serpentard et fit se retourner vers eux les autres élèves. Tous ceux qui ne voyaient pas ce qui avait provoqué une telle réaction s'étaient levés et regardaient avidement vers les Serpents. Il y eut d'autres cris d'effroi mais ils furent bientôt noyés par l'énorme éclat de rire qui secouait la Grande Salle.

- Oh mon Dieu ! s'exclama Neville, les yeux écarquillés. Le visage de Parkinson ! Il est… Il est… tout de travers ! Mais comment t'as fait ça ?

- Moi, je dirai plutôt qu'il ressemble étrangement à un tableau de Picasso, fit remarquer Hermione, plutôt impressionnée.

- C'est qui Picasso ? réussit à questionner Ron entre deux crises de rire.

- Un peintre moldu, précisa Kiara qui ne cherchait même pas à dissimuler sa satisfaction. Bien vu, Hermione.

- Wow, fit Harry qui avait ôté ses lunettes pour essuyer ses yeux larmoyants. Incroyable ! Rappelle-moi de ne jamais te menacer, Kiara.

- Pourquoi elle a une moustache ? demanda Luna avec un intérêt poli, la tête penchée sur le côté, une fois son hilarité calmée.

- C'est pas une moustache, Luna, répondit Harry en se mordant la joue pour réprimer un nouveau fou rire, je crois que ce sont ses sourcils.

- Mais si son nez est sur son menton, son œil gauche sur son front et son oeil droit sur sa joue, énuméra encore Luna assez cliniquement, où est sa bouche ?

- Oh, mais tu as raison, Luna, fit Ron. Elle n'a pas de bouche. Kiara ? Tu sais où est sa bouche ?

La jeune sorcière fit mine de réfléchir un bref instant puis haussa un sourcil et un sourire narquois se dessina sur ses lèvres pleines.

- Oh, j'ai bien peur que pour les trois prochains jours, Parkinson ne soit assise dessus…

EPILOGUE

Extrait de la Gazette du Sorcier, édition du 4 mars 1997.

Narcissa Malefoy : lavée de son crime !

« On connaît enfin l'issue du procès le plus médiatisé du moment. Narcissa Malefoy est libre.

Petit rappel des faits.

Le 8 janvier dernier, des Aurors se sont introduits au Manoir Malefoy, situé dans le comté du Wiltshire, domicile de l'accusée, pour interpeller un groupe de fidèles de Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom. Ils ont alors été témoins d'un acte inconcevable : Narcissa Malefoy tuant de sang froid son mari Lucius, 42 ans, en lui jetant le sortilège de mort. Arrêtée sur le champ, avec les Mangemorts présents, Madame Malefoy est conduite à l'hôpital Ste-Mangouste pour y recevoir des soins.

Sommée par le Procureur Sandford d'expliquer son geste, Madame Malefoy, représentée par Maître Diana Gabaldon, a reconnu les faits mais a immédiatement plaidé la légitime défense et le geste désespéré d'une mère pour sauver son fils.

En effet, il est apparu, au cours de l'enquête du Ministère de la Justice, sous la responsabilité d'Amelie Boot, que Lucius Malefoy était en train de soumettre son fils Drago, âgé de 17 ans, au sortilège Doloris au moment des faits.

Bien que totalement convaincu que Narcissa Malefoy avait longuement prémédité son geste et patiemment attendu son heure pour se venger de la position qu'exerçait son époux auprès de Vous-savez-qui, le Procureur a dû cependant s'incliner, faute de preuve.

Après les témoignages irréfutables des Aurors présents à ce moment-là et l'émouvante plaidoirie de Maître Gabaldon, Madame Malefoy a été immédiatement relaxée, libre de toutes accusations.

Alors ? Victime innocente ou habile manipulatrice ?

Telle est question… »

°°°§§§°°°

FIN

Merci d'avoir lu jusque-là.

Cette fic est terminée et comme je l'avais annoncé, elle finit bien. Enfin, pas pour tout le monde mais bon…

J'espère que ma petite vengeance sur Pansy vous a plu. D'ailleurs, j'en profite pour souligner que je n'ai pas inventé le sortilège Picasso, l'idée appartientà Barb, donc merci à son traducteur Smndi de me l'avoir fait connaître. Je rêvais depuis longtemps de l'adapter à ma sauce.

Je suis heureuse que Le Sacrifice du Serpent ressemble finalement assez à ce que j'avais prévu d'en faire, c'est-à-dire, une histoire essentiellement basée sur les relations Kiara/Rogue, Kiara/Perceval avec une petite intrigue qui, je l'espère, tenait la route.

Quelques remerciements…

D'abord aux lectrices et lecteurs. Merci d'avoir pris le temps de me faire part de vos impressions, sentiments et remarques tout au long de ce récit ; ces commentaires m'ont encouragée quand je me demandais parfois dans quoi je m'étais embarquée…

Et bien sûr, un merci tout à fait particulier à Remus James Lupin, qui a brillamment relevé le défi en devenant mon nouveau correcteur malgré des études prenantes et un emploi du temps surchargé.

Remus, merci de m'avoir trouvé une petite place même si parfois le délai des corrections était horriblement long . Cependant, je t'ai sans doute moins harcelé que je ne le pensais puisque non seulement, tu n'as pas démissionné du job mais qu'en plus, tu acceptes de garder ton poste pour les fics à venir…

Voilà, si vous aviez la gentillesse de me laisser un dernier petit mot, j'en serai ravie.

En attendant, celles et ceux qui ont la chance de lire l'anglais ou les courageux qui veulent tenter l'aventure malgré quelques hésitations linguistiques, Harry Potter & The half-blood Prince, c'est pour demain !

Je vous souhaite bonne lecture.

Les autres, ne désespérez pas, la version française est confirmée pour le 1er octobre.

J'arrête mon blabla, ça devient longuet.

Gros bisous à tous, je reviens bientôt.

Bye.

Falyla