Titre : été noir
Résumé : Le cœur des vampires est fait de pierre. Ils tuent pour le plaisir de voir les autres souffrir. Mais un vampire va être l'exception à la règle. Il se retrouvera assailli par de nouveaux sentiments. Des sentiments qu'il ne connaît pas et qu'il ne sait pas gérer. La personne responsable de tout ça ? Hermione Granger, bien sûr !
Disclaimer :Rien n'est à moi, tout à Mme Rowling. Je compte bien me l'est faire offrir à Noël ! °croise les doigts°
Spoilers : euh… les 4 premiers tomes. J'ai été un peu déçu du cinquième. :(
Auteur MOUA ! bee orchid ! (héhéhéhéhé !)
Avertissements : J'ai pris mon inspiration dans trois films : Underworld (pour les costumes surtout) et La reine des damnés (que j'ai adoré). Il y a aussi Van Helsing qui m'a inspiré ! Et bien sûr, les célèbres livres de Anne Rice… Bien que jamais mes idées ne pourront égaler les siennes ! ;)
Rating : R, on n'est jamais trop prudent mais je pense que se sera un petit R, une ou deux scènes ici et là !
Note de l'auteur je vous mets ce chapitre 8 heures avant de monter dans l'avion. Je suis très en retard, je devais aussi publier un nouveau chapitre de la cage aux cœurs. Mais voilà, j'ai eu une semaine horrible, avec de gros problèmes familiaux. J'étais à deux milles lieues de penser aux fics, et encore maintenant, je n'ai pas de temps à y accorder. Seulement, ce chapitre est écrit depuis près de deux semaines, et je trouve injuste d'en plus de vous imposer son retard. Evidemment, les rar ne sont pas faites. Je suis vraiment désolée mais je n'ai ni le temps, ni le courage. J'espère que vous comprendrez les problèmes auxquels je suis actuellement confrontés. Je part en vacances aujourd'hui jusqu'au 1 août. J'espère que quand je reviendrais, ça ira mieux. En tout cas Merci pour vos gentilles reviews, elles sont très motivantes… Bisous à tout le monde et encore désolée pour ce retard prolongé:)
OoOoOoOoOoOoOété noir
OoOoOoOoOoOoOChapitre 8 :
Pourquoi avait-elle accepté un tel chantage ? A quoi croyait-elle s'attendre ? Un jeu ?
Elle savait de quoi était capable Draco, elle savait que les vampires étaient des créatures fourbes et malines. Elle savait tout ça.
Mais voilà, elle était attirée par lui. Sa force, son immortalité, sa présence, ses yeux et même ses minuscules canines la troublaient.
Elle aurait du avoir peur, elle était fascinée.
Elle aurait du le craindre, elle en était attirée.
Tout n'allait pas comme il le fallait.
Son cœur ne suivait plus. Ses mains, ses lèvres non plus. Elle ne savait pas ce qui se passait, elle se laissait seulement emporter dans ce tourbillon de sensations.
Elle se sentait belle, voluptueuse mais aussi vulnérable avec lui. Draco la faisait agir non pas avec sa tête mais avec son corps. C'était son corps qui répondait à sa proximité.
Et il le savait. Oh, oui, il le savait. Il s'en délectait même, usant de ce pouvoir qu'il avait sur elle.
Draco n'était pas un saint.
C'était un vilain petit démon. Un irrésistible vilain petit démon.
Hermione le lui dit, il sourit.
-vas-y, dis le encore, oh oui, dis-moi comme je suis mauvais, murmura Draco contre ses lèvres.
-Tu es fou, chuchota Hermione.
Il l'embrassa. Ses lèvres étaient froides.
Hermione oublia qu'à la base, elle ne voulait pas de ça, qu'elle voulait juste des renseignements. Mais en réalité, peut-être s'était-elle attendue à tout ça, en le provoquant.
Peut-être qu'elle voulait que Draco se fâche, peut-être qu'elle voulait qu'il la punisse, comme l'autre soir en boîte.
Oui, c'était ça.
-c'est toi qui es folle, chuchota Draco, plongeant son regard dans le sien.
Hermione trembla, incapable de soutenir ce regard trop brillant pour être humain.
Elle posa sa tête contre son épaule, la bouche à la hauteur de son oreille :
-prend moi un peu de sang, comme l'autre fois, Draco…
Le vampire eut un frisson interdit. D'un geste mesuré, il écarta ses cheveux de son cou. Il sentit la respiration de la jeune fille s'accélérer.
Sa main entoura délicatement sa gorge, son autre main posée sur sa taille, la rapprochant de lui.
Il allait boire son sang. Il le savait. Il le voulait. Depuis le soir dernier, il y pensait. Et là, elle s'offrait sur un plateau d'or.
Pour lui seul cette fois-ci.
D'un mouvement rapide, il planta ses crocs dans la chair tendre de Hermione.
Il faillit défaillir.
O la douce chaleur du sang qui envahissait son palais. Le goût était métallique et amer. Chaque battement de cœur de la Griffondor expulsant un peu de liquide vital dans sa bouche.
Lentement, il avala. Ses propres cellules à lui se réveillèrent, s'actionnèrent. Il ne semblait vivre que lorsque qu'il buvait.
Hermione se rapprocha de lui, collant sa poitrine contre son torse.
Draco n'avalait pas, il se délectait.
C'était mille fois plus sensuel et érotique que tout ce qu'avait connu la jeune fille.
Draco quitta son cou dans un bruit de succion et posa ses lèvres sur son menton, ses paupières et son nez. Elle avait un peu mal là où il l'avait mordue, mais elle ne s'en soucia pas.
Enfin, il embrassa Hermione. Sa bouche avait le goût du sang, son sang.
Ce n'était pas désagréable : métallique, salé.
Toujours assise sur les genoux du vampire, elle entoura son cou et fit mine de vouloir elle aussi le mordre
Il gloussa, et l'éloigna un peu de lui.
Hermione gémit, mais le regard de Draco la dissuada de vouloir se rapprocher. Il prit le temps de retirer son tee-shirt qu'il posa lentement à côté de lui et ce, sans la quitter du regard.
Hermione rougit, face à toute cette étendue de chaire.
Draco avait un torse lisse d'une blancheur irréelle. Aucune irrégularité ne marquait sa peau, on aurait dit un Dieu, un Dieu de marbre.
D'un geste tremblant, elle approcha sa main qu'elle posa en son centre.
Sa peau paraissait presque brune, sur cette poitrine imberbe et glacée. La dureté incongrue de son torse l'effraya un peu. Tremblant légèrement, elle fit glisser sa main sur son ventre plat, la remonta pour tracer les contours de ses mamelons.
Le buste de Draco bougea légèrement.
Elle leva les yeux vers lui. Draco fut troublé par son regard perdu et ses joues rouges.
Il leva les bras et l'attira contre lui. La peau du vampire la brûla malgré sa froideur évidente.
Une nouvelle fois, il l'embrassa. Un baiser un peu plus sauvage, un peu plus violent.
Hermione en fut haletante. Puis la respiration saccadée, elle le vit lever la main et caresser sa joue.
Elle ferma les yeux, fort. Son cœur battait à vive allure.
Elle les rouvrit alors brusquement lorsqu'elle ne sentit plus la main de Draco.
Et ce qu'elle vit manqua la faire défaillir.
Draco avait mis son doigt, qui, quelques instants auparavant était posé sur sa joue, dans sa bouche et devant elle, il le suçotait doucement. Hermione fronça les sourcils, très confuse et un peu gênée.
Elle ne pût se poser de questions plus longtemps car Draco tendit son doigt vers la bouche d'Hermione.
Bizarrement, il en traça le contour, parant ses lèvres d'un liquide rouge et chaud.
Hermione comprit alors que Draco s'était mordu et que son sang de vampire ornait maintenant ses lèvres.
Draco quant à lui, gémit presque de voir la jeune fille le regarder naïvement, les lèvres écarlates et brillantes de son sang, le souffle court. Son cœur cessa de battre quand il vit la petite langue rose de la brune darder et passer rapidement recueillir le sang.
Il vit Hermione fermer les yeux et il sourit.
L'étudiante attrapa alors sa main et porta tout de suite son doigt à sa bouche.
L'ambroisie des Dieux.
La boisson suprême.
Le sang de Draco n'était pas comme le sien : plus riche, plus fort, plus doux… Hermione ne voulait pas perdre une seule goutte de cette précieuse liqueur, un alcool fort, une boisson maudite. C'était bon, et puissant… et puis si différent.
Si le sang de Draco avait ce goût, elle le lècherait jusqu'à qu'il n'en ai plus.
A contre cœur, elle sentit le jeune homme retirer sa main, afin de la couvrir de sa bouche. Hermione ne savait plus ni comment elle s'appelait, ni ce qu'elle faisait.
-J'en veux plus, Draco, s'il te plait, murmura-t-elle, la voix rauque.
-Non, ce n'est pas bien.
-juste un petit peu, gémit la jeune fille en se plaquant contre lui.
-Tu en as déjà eu, c'est bon pour aujourd'hui.
Mais Hermione ne l'entendait pas de cette oreille. Il lui avait fait goûter à l'enfer, et elle en voulait encore.
D'un violent mouvement, elle mordit Draco à la base du cou. Celui-ci sursauta.
Il savait que sa peau était bien trop résistante pour céder aux petites dents de la jeune femme.
Mais il s'amusa à la voir s'acharner sur lui, faisant rougir le carré d'épiderme.
Draco ricana.
Hermione, très vexée, se rembrunit et geignit dans son oreille.
-un tout petit peu plus, s'il te plait… Draco…
Le vampire frissonna.
-Non.
Trop de sang de vampire lui donnerait trop de pouvoir. Elle ne serait pas vampire mais posséderait quelques facultés pendant une à deux heures.
Et il ne le voulait pas.
Surtout pas.
Il se leva brusquement, faisant glisser à terre Hermione. Et sans un mot, il s'engouffra dans sa chambre à la vitesse des vampires, c'est à dire que Hermione ne vit pratiquement rien.
Hermione, bouche bée, les yeux prêts à se remplir de larme, bégaya.
Elle était humiliée.
Elle était vexée.
Elle voulait Draco, là tout de suite. Pourquoi était-il partit ? Il n'avait donc pas vu comme il l'avait ensorcelée ? Mais qu'il vienne ! Elle n'en pouvait plus !
Le salop !
Son cœur pesait, sa gorge était nouée…
Quel sale petit prétentieux.
Pudiquement, elle rabaissa sa jupe sur ses jambes et c'est en tremblant qu'elle referma les deux boutons de son chemisier. Non, non, non, Hermione, ne pleure pas. C'est bien fait, tu n'avais qu'à pas jouer aux… gourgandines !
Et qu'est ce qu'il lui avait pris aussi ? Jamais elle n'aurait fait une telle chose ! Jamais.
Elle ne put empêcher un sanglot s'échapper de sa gorge. Le poing dans la bouche, elle s'efforça, au moins de pleurer en silence.
Autant préserver le peu de dignité qui lui restait.
Elle se releva en tremblant.
-Qu'est ce que tu attends ?
Hermione relava la tête surprise. Draco la regardait, un sourire en coin.
-Hein ? Fit la jeune femme.
-Qu'est ce que tu attends pour venir me rejoindre ?
-Je ne… je pensais que…
-que je t'avais abandonnée ! Draco ricana. Au début c'est ce que je voulais faire, mais en entendant ce sanglot de désespoir je me suis dit que tu faisais pitié.
Hermione fut outrée.
De rage, elle fit mine de tourner les talons. Mais elle s'arrêta à mi-chemin. Elle voulait le rejoindre, elle voulait ce qu'il allait lui donner, sans même savoir ce que c'était, mais elle le voulait.
Cependant, elle était fière et lui trop arrogant. Elle désirait lui donner une bonne leçon. Mais est ce qu'il en serait affecté au moins autant qu'elle ? Sentirait-il, comme elle, cette douleur due à l'éloignement ?
-Non… chuchota Drago à son oreille.
Hermione bondit.
-Tu lis dans mes pensées ! S'insurgea la jeune fille.
-Oui, et non, que tu viennes ou pas, ça ne change rien pour moi. Il n'y a que toi qui peux savoir si tu veux vraiment passer entre les mains du redoutable suceur de sang que je suis… ou pas.
-Mais tu violes mon intimité en lisant dans mes pensées.
-Comme tu as violé la mienne en fouillant dans mes affaires.
Drago l'empoigna et la traîna dans sa chambre.
-Je n'ai pas dit oui ! Hurla la griffondor.
-Vraiment ?
Hermione plongea alors ses prunelles dans ses yeux, l'océan de gris la noyant presque. Elle vit son courage fondre face à lui. La jeune femme eut soudain une image particulièrement déplacée, comme souvent elle en avait depuis qu'elle avait découvert son secret. Une image de ce qu'elle pourrait faire avec lui.
Draco rit ouvertement, et passa sa main sur ses fesses.
-je ne savais pas que la petite Hermione avait de telles pensées.
Hermione rougit et se laissa porter dans la chambre.
« Qui vivra verra. »
En espérant qu'elle y survive.
OoOoOoOoOoOoO
A Londres, en plein centre ville, un couple étrange semblait dîner en silence.
Le bar dans lequel ils étaient installés, empestait la fumée et l'alcool. L'homme de haute stature, les cheveux noirs, noués à l'aide d'un ruban, était penché sur un steak saignant.
La jeune femme en face de lui, découpait méthodiquement son poisson. Elle avait une jupe uniquement composée de voiles. Ses cheveux également noirs de jais, bouclaient joliment sur ses épaules.
C'était un très beau couple.
Tout œil non avisé aurait vu en ces deux personnes, des gens parfaitement à l'aise qui ne disaient mot, trop absorbés par leur repas.
Un œil plus entraîné, aurait remarqué que ni l'un ni l'autre ne touchaient réellement à leur repas. Qu'aucun d'eux ne buvait, ni n'avalait quoi que ce soit. Ils auraient aussi remarqué leurs peaux blanches, leurs ongles parfaits et leurs yeux comparables à de la porcelaine.
Car en réalité, ces deux personnes étaient des vampires.
L'homme leva la tête et dit d'une voix grave :
-Pourquoi nous retrouver ici, Isis, au milieu de ces moldus ?
-C'est plus sûr, les chasseurs rôdent.
La femme leva son verre et fit tourner le vin qui s'y trouvait.
-Qu'est ce que tu es devenue ? Ça fait longtemps qu'on ne t'avait vu.
-Je suis arrivée il y a seulement deux semaines, répondit Isis, je suis venue voir mon novice, mon enfant.
Daren, car il s'agissait bien de lui, rigola.
-C'est Draco qui t'as fait sortir du trou dans lequel tu te meurs, Isis ?
-Je ne me meurs pas, je médite. Draco et les chasseurs, m'ont incitée à revenir à la surface. Il se passe des choses étranges.
Daren repris immédiatement son air grave.
-Tom et Daniel ont disparu. Ce sont les tueurs de vampires qui sont dans le coup. Ils se multiplient et nous massacrent ! Remarqua l'homme aux cheveux de jais.
-Comme nous massacrons ceux de leur race, remarqua Isis.
-Mais nous sommes nés pour tuer ! Pas eux !
Daren eut un rictus de mépris. Du bout des doigts, il fit disparaître la viande piquée au bout de sa fourchette. Il était énervé et un peu perdu.
-Là n'est pas le problème, Daren, reprit Isis. Le ministère nous a déclaré la guerre. Tu vis dans la luxure et le sang, tu es fort mais tu vis encore…
-je vis encore car je suis malin, siffla le vampire.
-Très, presque trop.
Isis leva ses yeux améthyste sur lui. Elle voyait un homme beau et sûr de lui. Mais le vampire tapi au fond de lui était sans pitié.
-Pourquoi es-tu si cruel avec ces moldus et sorciers ? Pourquoi aimes-tu faire souffrir tes victimes ? Chuchota-t-elle.
-Parce que… parce que j'aime savoir que je suis plus fort qu'eux, j'aime voir leur peur, leur angoisse lorsqu'ils voient la mort approcher… J'aime les séduire et les tromper.
Isis sembla satisfaite de cette réponse.
Elle eut un instant d'hésitation puis demanda :
-Comme la petite sorcière de Poudlard ?
Daren éclata de rire.
-Je ne suis pas à Poudlard je te rappelle. C'est Draco qui y est.
-Je sais cela, je parlais de celle que j'ai vue à l'Antre.
-aah, Hermione Granger, la petite poupée, susurra la vampire.
Isis hocha la tête.
-Que puis-je te dire sur elle ? Elle a l'âge de Draco, elle a un goût sublime. Je t'assure, son sang est réellement si … fruité, fluide… Il a cette saveur des anciens, que peu de sorciers ont encore. Rien que le fait d'y penser me donne soif.
Daren eut un sourire gourmand.
-Et encore ? Poursuivit-il. Elle sait. Elle sait pour nous et cherche à en apprendre davantage. Quelque chose me dit qu'elle progresse bien, c'est une fouineuse. Elle est attirée par Draco, je le sens. Lui aussi est attiré par elle, mais parce qu'elle le défie.
-Elle le défie ? Coupa Isis.
-Oui, ricana l'homme, elle bafoue son autorité, elle le cherche, elle se cache, elle le provoque et s'enfuie… C'est un jeu. Un jeu que personne n'avait osé jouer avec Draco. Alors, elle l'intrigue.
-Et qu'en penses-tu toi ?
-Moi ? O moi, je me la ferais bien. Elle a vraiment bon goût, je te jure. Et c'est une diablesse au visage d'ange.
Isis caressa son verre du bout des doigts. Elle releva subitement sa tête et planta ses yeux dans ceux de Daren. Celui-ci cessa immédiatement de rire.
-J'ai peur Daren.
A ces mots, il haussa un sourcil.
-Peur ?
-Peur de ce qu'elle pourrait faire à Draco. Il est MON novice.
-Tu sous estimes ton élève Isis, répondit simplement le vampire.
-Non, Daren, il faut éliminer cette sorcière avant d'arriver à un point de non-retour. Fais-moi confiance.
-Tu es folle Isis !
La jeune femme s'empourpra, ses yeux commencèrent à rougir et une légère tension apparut autour du couple.
-Tu as tué des milliers de personne, Daren et tu refuses de tuer cette gamine ? Je ne suis pas comme toi, je tue par vengeance. Je suis plus vieille que vous tous ici, et je sais de quoi sont capables les hommes ! Mais si tu refuses, sache que je la tuerai moi, car cette Granger est un danger.
-Et bien, tue-la ! Souffla Daren, légèrement effrayé par la puissance de son aînée.
-Non, Draco ne doit pas savoir que je suis mêlée à cette affaire. Je te dis de la tuer, tu la tueras.
Isis se releva gracieusement et déposa un billet pour le repas qu'ils n'avaient pas pris.
D'un pas souple, elle se dirigea vers la porte. Daren eut tôt fait de la rattraper. Il ne comprenait pas. Que voulait Isis ? Que savait-elle ?
-Qu'est ce qu'on fait maintenant ? Demanda Daren.
-On attend la nuit.
-Pourquoi ? Et où va-t-on ? demanda Daren.
-On va à Poudlard , Daren , cette petite sorcière aura bientôt de la visite.
Isis sourit. Et dans ses yeux, ce fut la tueuse sans pitié qu'il reconnut.
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TO BE CONTINUED
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