Auteur: Cornedrue
Avertissement: T
Spoiler: CETTE FIC NE TIENT
AUCUN COMPTE DU TOME 6. Les 5 tomes parus, 2 livres annexes écrits
par JKR (animaux magiques et Quidditch à travers les âges).
Disclaimer: Toujours pas de
réponse de JKR donc toujours rien à moi et pas de
sous... snif!
Pairing: un peu de tout et
beaucoup de mouvements... mais y'aura du HP-GW et du HP-HG entre
autre.
Résumé Général
Deux filles sont amoureuses de Harry, tentions en vues. Voldemort
reprend du service, et il ne fait pas les choses à moitié.
Qu'est-ce donc que ce pendentif en forme de trèfle? Est-ce
que l'élection d'un nouveau ministre va changer quelque
chose?Mystère, romance, aventure, une pointe d'humour…
Résumé du chapitre
précédent: Comme c'est l'intro faut le lire...
Chapitre 2: Happy birthday Harry
Ou: Il aura fallu attendre 15 ans...
«Réfléchis bien, Potter, disait Voldemort en le fixant de ses yeux rouges. Je sais que ce n'est pas facile de faire un choix, surtout celui-ci, et c'est bien pour cela que je te force à le faire!»
Harry
se réveilla en sursaut, ruisselant de sueur. Sa cicatrice le
faisait atrocement souffrir. Il regardait autour de lui en se tenant
le front de ses deux mains. Tout était flou et il mit bien
deux minutes avant de se rappeler qu'il était chez les
Dursley, dans son lit, et que si tout était flou, c'est que la
nuit, il ne portait pas ses lunettes.
Il
se décida finalement à lâcher sa cicatrice et à
chercher à tâtons ses lunettes. Lorsqu'il vit enfin
clair, il laissa son regard se promener autour de la pièce. Il
avait encore de la peine à s'y habituer. En effet, en un mois
elle avait beaucoup changé et ne ressemblait presque en rien à
sa chambre qu'il avait quittée un an au plus tôt. En
effet, les Dursley avaient pris très au sérieux les
«remarques» de Maugrey et de ses acolytes à la
gare lors du retour d'Harry.
Il avait, depuis le début du mois de juillet, hérité de la petite télévision de Dudley (qui en avait reçu une énorme en échange), du lit surélevé de Dudley (qui avait donc pu entièrement remeubler sa chambre), et même, cela Harry n'aurait jamais osé y penser, du vieil ordinateur de Dudley, qui, bien que pas du dernier cri, était encore tout à fait utilisable. Harry vivait donc nettement mieux ces vacances-là que les précédentes, malgré le fait que, plus encore que par le passé, les Dursley l'ignoraient royalement. En fait, cela arrangeait bien Harry qui jouissait en conséquence d'une totale liberté. Il recevait de l'argent de poche, avait à sa disposition le vieux frigo de la famille dans le placard sous l'escalier, et surtout, il n'avait aucun compte à rendre!
Il avait donc profité de son mois de juillet autant qu'il le pouvait. Il était devenu ami avec Mark Evans et passait beaucoup de temps avec lui. Les parents de celui-ci semblaient beaucoup apprécier Harry, ce qui était très étonnant sur Privet Drive! En effet, personne à part les Evans ne semblait très enthousiaste à l'idée d'avoir des contacts avec Harry, certainement à cause du fait que personne n'avait envie de se fâcher avec les Dursley, père pour les adultes et fils pour les enfants. Dudley et sa bande étaient toujours aussi bêtes et continuaient à inspirer crainte à tous les jeunes du quartier.
Harry s'assit donc sur son lit et regarda son réveil. Il était deux heures vingt-six. Il songea que, comme il n'arriverait pas à se rendormir, il allait regarder une vidéo, mais lorsqu'il se leva, il remarqua un troupeau de hiboux perchés sur le bord de sa fenêtre. Il se rappela subitement qu'il venait d'avoir 16 ans et en oublia totalement son film pour aller lire son courrier. Il s'assit à son bureau et répandit à un bord de la table une poignée de Miamhibou, ce qui eut pour effet immédiat de faire se déplacer la dizaine de facteurs jusqu'à son bureau. Harry ne savait pas par lequel commencer et finit par choisir Hedwige, pensant que, comme les autres années, celle-ci était chargée du cadeau d'Hermione. Il détacha donc le rouleau de parchemin et le petit paquet qui étaient attachés à sa patte et aussitôt, Hedwige s'envola, certainement pour aller chasser.
Harry
déroula donc le parchemin et fut très surpris de ne pas
reconnaître l'écriture de sa meilleure amie. Il lut donc
rapidement le message écrit à l'encre verte:
«Salut
Harry,
J'espère
que tu vas bien, que tu passes de bonnes vacances et que tes moldus
ne te mènent pas la vie dure. D'après les quelques
nouvelles que j'ai pu avoir de toi, il semble que ça ne soit
pas le cas, heureusement. J'espère qu'on se reverra bientôt
et je te souhaite un très joyeux anniversaire. Ginny.
PS:
Le cadeau que je t'ai envoyé est un porte-bonheur, j'espère
qu'il te plaira et que tu le porteras. S'il te plaît, que ce
cadeau reste entre nous... merci.»
Harry
ne s'attendait pas vraiment à recevoir un cadeau de Ginny. Il
s'empressa de le déballer. Il s'agissait d'un petit pendentif
de trois centimètres environ, en forme de trèfle à
quatre feuilles. Dans chacune des feuilles il y avait des pierreries
comme du verre: une noire, une rouge, une bleue et une verte. Il le
mit aussitôt et il crut voir la pierre verte briller un
instant.
Il
s'occupa ensuite de Coqcigrue, le petit hibou surexcité des
Weasley, qui portait un morceau de parchemin roulé et une
boîte en carton carrée. Il reconnut aussitôt
l'écriture de Ron:
«Hello
Harry!
Très
bon anniversaire de ma part, de celle de papa, de maman et de Ginny.
J'espère que tu te régaleras de ces pâtisseries
que maman a faites pour toi et que l'on se reverra bientôt.
Profite bien de tes nouvelles libertés! Ron.»
Et
en effet, la boîte débordait de succulentes pâtisseries.
Harry en mangea une et se leva dans le but d'aller mettre la boîte
dans son frigo. Mais les regards impatients des hiboux restants lui
firent repousser son projet et reprendre la lecture de son courrier.
Il
y avait trois hiboux de Poudlard, ce qui surprit beaucoup Harry. Le
premier apportait la traditionnelle convocation pour la rentrée
ainsi que la liste des ouvrages et du matériel à se
procurer. Harry la rangea dans sa malle. Le deuxième hibou
transportait un morceau de parchemin et un petit paquet cylindrique.
Harry lu le parchemin et y reconnût l'écriture d'Hagrid:
«Salut
Harry,
Je
te souhaite un excellent anniversaire et j'espère que tu
passes de très bonnes vacances. Le cadeau que je t'ai trouvé
cette année est une carte magique de la forêt interdite.
Il te suffit de lui dire ce que tu recherches pour qu'elle t'y guide
en te faisant éviter les dangers qui pourraient se trouver sur
ta route. J'espère qu'elle te sera utile. Attention, il n'en
existe que deux exemplaires et sa soeur jumelle est plutôt
farceuse. Elle amène son possesseur droit sur les dangers qui
le menacent. A bientôt. Hagrid.»
Harry
se dépêcha de déballer la carte qu'il rangea
rapidement dans sa malle, cachée dans sa cape d'invisibilité.
Il revint tout aussi rapidement à son bureau, terriblement
impatient de savoir ce que transportait le troisième hibou de
l'école. Dès qu'il eut déroulé le
parchemin, il reconnût immédiatement avec joie et
surprise, l'écriture de Rémus Lupin:
«Salut
Harry,
Tu
dois être surpris de recevoir un courrier de ma part par un
hibou de Poudlard. C'est tout simplement parce que j'y occupe à
nouveau le poste de professeur de défenses contre les forces
du mal. Je te souhaite un très joyeux anniversaire et j'espère
que mon cadeau te plaira et te sera utile. Rémus.»
Harry
déballa le petit paquet qui accompagnait la lettre et il y
trouva un petit scrutoscope, qu'il mit aussitôt dans la poche
de son jeans, afin de toujours l'avoir sur lui.
Il
s'intéressa ensuite à un gros hibou qui transportait
une boîte en carton semblable à celle contenant les
pâtisseries de Mrs Weasley. Il l'ouvrit et découvrit de
succulents gâteaux et un parchemin sur lequel on lisait:
«Bon
anniversaire Harry! Ci-joint notre dernière création.
Ces gâteaux auront le goût de ce que tu préfères
si tu prononces «s'il vous plait» avant de les manger.
Dans le cas contraire, ils auront le goût de ce que tu détestes
le plus. Nous nous réjouissons de te recevoir dans notre
boutique lors de ton prochain passage sur le Chemin de Traverse. Fred
et Georges.»
Harry
referma la boîte et la posa sur celle de Mrs Weasley. Il
détacha ensuite une lettre de la patte d'un petit hibou.
«Hello
Harry,
J'avais
complètement oublié ton anniversaire! Heureusement que
j'ai mon rapeltout! Je n'ai donc pas non plus pensé à
te trouver un cadeau... je te le donnerai donc lors de notre
prochaine rencontre. A tout bientôt. Neville.»
Harry
sourit en lisant la lettre. Décidément, Neville ne
changerait jamais! Il remarqua ensuite une chouette étrange
qui n'avait pas l'air de savoir ce qu'elle faisait là. Elle le
regardait, les yeux perdus dans le vague. Harry détacha la
lettre et le petit paquet qu'elle portait. En déroulant le
parchemin, il se dit que, vraiment, l'encre verte était à
la mode:
«Harry,J'espère
que tu passes de bonnes vacances. Ce petit mot pour te souhaiter un
joyeux anniversaire. J'ai eu du mal à te trouver un cadeau
original. Finalement, j'ai pu t'obtenir ces photos inédites de
match de quidditch prises par un des photographes du Chicaneur.
J'espère que ça te plaira et qu'on se reverra bientôt.
Luna.»
Harry
passa rapidement en revue les photos et les rangea dans un des
tiroirs de son bureau. Il restait encore deux hiboux. Harry détacha
une lettre de la patte d'une jolie chouette grise. Et cette fois, il
en fut persuadé: l'encre verte était devenu un must
incontournable chez les jeunes sorcières! Il reconnût
aussitôt l'écriture de son amie Hermione:
«Coucou
Harry,
Je
te souhaite un merveilleux anniversaire! J'espère que tu vas
bien depuis notre dernière correspondance. Ton cadeau ne peut
malheureusement pas être transporté par hibou, je te le
donnerai donc lorsqu'on se reverra, j'espère très vite.
Au fait, tu as fait la connaissance de ma chouette Jenny. Mes parents
me l'ont offerte au début des vacances. Gros bisous. Hermy.»
Harry
rangea la lettre d'Hermione avec les autres et détacha le
petit rouleau de parchemin de la patte du dernier hibou:
«Harry,
soit prêt à 16 heures. Tonks»
Il
jeta ce parchemin, se réjouissant de partir, même s'il
ne savait pas où il allait. Certainement à Square
Grimmaud. Il envoya un petit mot de remerciements à tous ceux
qui lui avaient écrit et sortit un plus grand parchemin pour
répondre à Ginny:
«Coucou
p'tite puce!
Je te remercie beaucoup pour ton cadeau qui me plait
beaucoup. Je ne m'attendais pas du tout à recevoir quelque
chose de ta part et j'ai été agréablement
surpris. J'espère que tu ne t'es pas ruinée pour moi!
Je me réjouis de te revoir au plus vite. Bisous. Harry.»
Il
attacha cette lettre à la patte d'Hedwige qui venait de
revenir et il y ajouta une boîte de chocolats moldus en forme
de boule, emballés comme des bonbons. Hedwige s'envola et
Harry se recoucha détendu. Il avait oublié son
cauchemar et put se rendormir sans problème.
Lorsqu'il
se réveilla, le soleil, qui venait de se lever, commençait
à peine à éclairer Privet Drive de ses rayons.
Harry sentit quelque chose de chaud sur son torse. Il baissa les yeux
et aperçu son médaillon, dont il cru voir les pierres
vertes et rouges scintiller. Il mit précipitamment ses
lunettes et regarda à nouveau le pendentif qui semblait
parfaitement normal. Harry se dit que ce n'était qu'un reflet.
Il
décida de se lever malgré l'heure matinale. En effet,
il avait besoin de pas mal de temps pour préparer son départ
et il souhaitait aussi dire au revoir à Mark. En s'habillant,
il remarqua qu'il avait oublié de mettre les boîtes de
gâteaux au frigo. Il anticipa donc sur le petit déjeuner
en en mangeant un dans chaque boîte puis il descendit pour les
mettre au frais.
Il
remonta ensuite dans sa chambre avec toutes les affaires qu'il
entreposait dans le placard et commença à préparer
ses bagages. Il avait déjà empaqueté tous ses
vêtements, ses affaires d'école et avait bien avancé
dans l'emballage des autres objets qu'il souhaitait emporter
lorsqu'il remarqua que les Dursley étaient levés et
qu'il pouvait donc les rejoindre pour prendre le petit-déjeuner.
Lorsqu'il s'assit à sa place, Son oncle et sa tante lui souhaitèrent un joyeux anniversaire. Harry en fut tellement surpris qu'il ne put répondre autrement qu'en bégayant. Mais il n'était pas au bout de ses surprises. Sa tante lui servit une petite tartelette aux fraises avec une bougie et son oncle lui remit une enveloppe contenant 20 livres. Il les remercia, souffla la bougie, avala la tartelette et quitta la table. De retour dans sa chambre, il se pinça pour s'assurer qu'il ne rêvait pas. Qui aurait pu raisonnablement penser que les Dursley penseraient à son anniversaire, et mieux encore, qu'ils lui fassent un cadeau... Harry du s'asseoir sur son lit et mit quelques minutes à s'en remettre.
Lorsqu'il
eut repris ses esprits, il décida d'aller voir Mark. En
passant dans le couloir, il informa son oncle et sa tante qu'il
partait dans l'après-midi. Puis il sortit et se dirigea vers
la maison des Evans.
Il
faisait bon ce matin-là, et Harry ne se pressait pas. Il
avançait en rêvant, profitant du soleil et du chant des
oiseaux.
Lorsqu'il
arriva devant la maison des Evans, la mère de Mark saluait le
facteur, qui venait visiblement de lui remettre un courrier
important.
-
Harry! Viens, entre, dit-elle. Nous sommes au jardin en train de
prendre le petit-déjeuner.
-
Bonjour Mrs Evans, répondit Harry. Vous êtes
sûre que je ne vous dérange pas?
-
Mais non, tu seras toujours le bienvenu dans notre maison.
Harry
entra donc, traversa le hall, puis la cuisine et sortit dans le
jardin. Mark semblait ravi de le voir.
-
Assied-toi Harry, dit Mrs Evans, je suis sûre que tu
mangerais volontiers quelque chose avec nous.
-
J'ai déjà pris un petit-déjeuner, répondit
Harry, mais je n'ai pas mangé grand-chose. Je me joins donc
à vous avec plaisir.
Mrs
Evans revint de la cuisine avec une assiette, un bol, une tasse et
des couverts pour Harry et le servit généreusement
d'œufs, de toasts, de thé et de céréales.
Harry
mangea ce copieux petit déjeuner avec joie.
Chez
les Evans, chaque jour semblait être une fête et ils
étaient toujours heureux d'accueillir des visiteurs. Ces
gens ne ressemblait vraiment pas aux autres habitants de Privet
Drive, et ces différences les faisaient mal voir de la plupart
des familles aisées du quartier, mais ils ne s'en
formalisaient pas.
Harry
expliqua qu'il partait en fin d'après-midi voir des amis
de son école et qu'il ne reviendrait certainement pas avant
la rentrée. Mark fut déçu
et sa mère invita donc Harry à déjeuner afin de
repousser le moment de leur séparation.
-
Très volontiers, répondit Harry, mais je dois
avertir ma tante.
-
Profitez du temps qu'il vous reste ensemble, je m'en occupe,
répondit Mrs Evans.
Harry
et Mark passèrent le reste de la matinée à jouer
aux jeux olympiques d'été sur la console. Ils firent
honneur à l'excellent déjeuner de Mrs Evans puis se
livrèrent à une mémorable bataille de pistolet à
eau dans le jardin. A 14h45, Harry déclara qu'il devait
rentrer terminer ses bagages. Mark lui dit au revoir très
chaleureusement et Mrs Evans lui répéta qu'il était
toujours le bienvenu.
Harry
rentra rapidement chez les Dursley et monta tout aussi rapidement
dans sa chambre.
Il
termina ses bagages bien plus tôt qu'il le pensait. Il
descendit ses valises dans le hall puis alla chercher dans son frigo
les boîtes de pâtisseries ainsi qu'une bouteille de
coca qu'il n'avait pas terminée. Il sortit tous ses
bagages dans l'allée et dit au revoir à sa tante.
Dudley n'était pas là, comme toujours. Il devait
certainement traîner avec sa bande. Harry espérait qu'il
ne débarquerait pas au moment où son escorte viendrait
le chercher. Il s'assit sur sa malle au bord du trottoir, mangea
une pâtisserie de Mrs Weasley en terminant sa bouteille de
coca.
Harry
ne savait pas à quoi ressemblerait «l'escorte»
qui allait venir le chercher et ne s'attendait en aucun cas à
ce qui déboucha à 15h59 à l'angle de Privet
Drive.
Trois
monospaces bleu marine s'arrêtèrent devant Harry. De
chaque voiture descendirent quatre personnes, deux hommes en costume
noir et chemise blanche et deux personnes en tenue de ville. Dans la
voiture du milieu, les deux «civils» étaient Tonks
et Maugrey. Ils firent monter Harry avec eux dans la voiture et les
deux hommes en costume mirent ses bagages dans le coffre.
A
peine 47 secondes après s'être arrêté,
l'étrange cortège repartait. Harry avait tellement de
questions qui lui venaient à l'esprit qu'il ne savait pas
par laquelle commencer. Tonks pris alors la parole.
-
Salut Harry, dit-elle, j'espère que tu vas bien. Cette
escorte est à la fois sorcière et moldue. En effet,
nous travaillons main dans la main avec le ministère de la
défense des moldus et lorsqu'ils ont appris que tu étais
le seul à pouvoir vaincre Voldemort, ils ont décidé
de sortir les grands moyens. Ces hommes sont des agents du MI6, les
services secrets britanniques. Ta sécurité a été
assurée tout l'été en conjoint avec eux.
-
Ah d'accord, répondit Harry. Merci, je vais bien. Mais,
où allons nous?
-
On ne peut pas te le dire, répondit Maugrey, question de
sécurité.
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Voila,
à très vite pour la suite, j'espère que ça
vous a plu. N'hésitez pas à me laisser remarques,
louanges ou critiques assassines…
