Mindy : Alors voici mon chapitre 2. Celui-ci n'a pas beaucoup changer mais il y a quand même quelque modifications Alors je dois dire que le monde de Peter Pan ne m'appartient pas. Alors bonne lecture!


Chapitre2

Les souhaits

«Bonjour, messieurs, mesdames. Aujourd'hui à l'assemblé nous discuterons de la cérémonie pour le millénaire du pays imaginaire. Alors tout d'abord voici le plan de notre réunion, commença un vieil homme fée. »

Mains derrière le dos, posture droite et tête bien levé, il volait autour de la table de réunion dont l'on comptait une dizaine de fées assise, chacune habillée plus bizarre que l'autre. La plupart des vêtements étaient fait à l'aide de végétaux et de plantes. Certaine dames s'étaient mise des fleurs très rares pour orner leur chapeau aux formes les plus imaginables. C'était sûrement une façon d'exprimer l'importance de l'occasion ou la haute classe chez ce peuple. L'endroit était très chic pour les fées même si c'était à l'intérieur d'un arbre : Bouquets de fleurs sur les murs dont de fines gouttelettes de rosé matinale avaient été déposé au centre pour intensifier leur parfum agréable, des portraits peinturés par les plus grands peintres de la colonie pour représenter la génération royale, étaient accroché à plusieurs endroits et finalement un grand lustre éclairé par les poussières de fée suspendait au plafond. Le chef s'arrêta devant sa chaise en déposant ses doigts sur la table.

«Alors monsieur Argina, m'a proposé plusieurs suggestions pour cet événement. À vous la parole.»

Une fée à sa gauche se leva. Il prit la précaution de tasser sa longue barbe grise afin de prendre un parchemin roulé qui se trouvait dans sa poche. Il l'ouvrit et laissa tomber le rouleau sur la table. Il éclairci sa voix puis débuta :

«Voici mes idées pour cette fête. Alors je verrais en premier une grande ouverture accompagnée de musique majestueuse afin d'accueillir la famille royale. Le groupe : « Poussière magique » s'est porté volontaire pour jouer durant toute la cérémonie. Ensuite il y aurait le discours du maire pour l'accueil…»

Il continua à énumérer ses milles propositions jusqu'à ce qu'une jeune fée rentre dans la pièce, l'air très embarrassé de déranger. Elle s'approcha du dirigeant timidement.

«eee…hummm…pardonnez-moi de vous interrompre durant votre réunion mais il y a un petit problème dans l'usine des souhaits…»chuchota-elle à l'oreille du maire.

Elle semblait dire quelque chose de très important d'après les expressions de l'homme fée.

«oh je vois…Excusez-moi», dit-il.

Le maire se pencha légèrement puis sortit de la salle.


Me voilà entrain d'exécuter une prouesse parfaite dans les airs durant ma course contre Clochette. Je me retournai volant par derrière voyant ma petite fée, la langue sortie pour montrer l'effort qu'elle y mettait.

«Tu ne m'attraperas pas Clochette car je suis le meilleur!» Lui lançais-je.

Elle me fit un de ses sourires malicieux. Cela prévenait un grand coup de sa part. Je volais à travers la forêt en ayant que comme but : arriver avant Clochette au lac des sirènes. Soudain une traînée de poussière jaune passa près de moi à une vitesse phénoménale.

«C'est ça ton plus vite! Tu voles à la vitesse d'une tortue! Lui dis-je avec un air de défi.»

Je pris de la vitesse pour dépasser ma concurrente. Je vis enfin la petite fée qui volait devant moi. Je passai une centaine d'arbres puis la devança enfin. Je regardai en arrière et lui fit une grimace. Puis je m'élançai vers le lac. Je me déposai et attendis mon amie arriver dont un air boudeur l'accompagnait.

«Je te l'avais dit Clochette, tu ne peux pas me battre, je suis le meilleur.»

Elle me dit que ce n'était pas juste à l'aide de plusieurs gémissements faibles. Ce qui me fit rire. Elle ricana à son tour et se déposa sur ma tête. Je me couchai sur le bord du lac en contemplant le soleil briller à travers les feuilles. Les sirènes étaient sorties de l'eau pour se plaindre car je les avais dérangées lors de leur pratique de chant. Je ne me préoccupai pas d'elles puis reparti dans les airs. J'étais très heureux aujourd'hui et rien n'allait gâcher cette journée superbe! Même pas le capitaine Crochet. Je regardai son bateau qui naviguait sur les mers. J'attrapai mon petit télescope. J'aperçue Mouche toujours entrain de chasser ce perroquet horrible. Je me mis à rire à plein poumon en le voyant tomber dans l'eau car il n'avait pas regardé où il marchait. Des marins le ramenèrent sur le quai. J'étais mort de rire avec Clochette à observer ces vieux croûtons de pirates. Lorsque soudain je vis quelqu'un arriver sur le quai. Je l'aurais reconnu même parmi une foule d'un million. Crochet! Son regard monstrueux qui écorche la joie. Sa voix menaçante qui donne des frissons dans le dos. Mais moi, je n'avais pas peur de lui. Je l'avais battue en un combat loyal à l'épée. Il avait mérité la perte d'une main à cause de cet énorme crocodile. Quel idiot ce capitaine! Je le vis brandir son crochet très pointu pour montrer sa colère. Il pense que cela me ferait peur, son crochet débile? Pas du tout! Son regard cruel scruta les cieux. Il semblait chercher quelque chose. Il s'arrêta et me fixa.

«Allez viens Clo, je sens qu'il va y avoir de l'action!

PAN!»

C'était le capitaine Crochet qui avait hurlé. Je m'élançai vers le bateau en lâchant un rire.

«Oooh Crochet!»

Il ordonna de tirer sur moi avec ses canons. Je les évita les doigts dans le nez ses petits boulets de canons ignobles.

«N'essaye pas de me toucher! Tu n'es qu'un incapable!» Lui balançais-je.

Il ordonna encore de me tirer dessus ce qui ne fit pas grands changements.

«C'est ça ton meilleur? J'ai vue mieux de ta part, Crochet!»

Je fis semblant d'être coucher dans les airs en baillant juste pour le faire rougir de colère.

«Tirer lui dessus! Bande d'incompétents», hurla t'il perdant presque la voix.

Ces pirates me faisaient tellement rire en les voyant paniquer. Ils actionnèrent un autre canon me manquant à deux cheveux. Woah! C'était proche celui-là! Je me remuai puis tournai vers la droite. Ça commençait à être ennuyant et répétitif. Je fis signe à Clo de quitter. Alors je partis pour trouver d'autre chose de plus intéressant.

«À plus tard Crochet!

Pan! Tu t'enfui? C'est nouveau!

Bah, il y a d'autre chose de plus captivant que ça», lui dis-je en se retournant les bras croisé.

Puis je m'enfonçai dans la forêt en entendant le cri abominable de ce cher crochet. La brise matinale caressait mon visage. Clochette ricanait encore des idioties de Crochet. C'était très calme dans la forêt jusqu'à ce que des rires au loin m'attirent vers la gauche. Je vis les jumeaux entrain de s'amuser à se lancer des boules de boue. Je me cachai derrière un arbre pour les espionner. Ils se bombardaient de boules de boue comme s'ils étaient en guerre. Un des deux reçus une en pleine face. Alors l'autre prit sa vengeance et lui en lança une aussi. Il s'épuisèrent et s'assirent sur le sol. Ce qui me donna une idée. Je me penchai lentement et formai deux boules. Je me retournai et me préparai à attaquer mes cibles. Je pris une respiration et les lancèrent. SPLASH! Mes projectiles arrivèrent directement sur la tête de mes ennemies. Je me cachai rapidement derrière l'arbre pour éviter de me faire remarquer par mes rivaux. Mes proies se levèrent, ignorant leur attaquant.

«Qui a fait ça? Demanda l'un deux.

Je ne le sais pas», répondit l'autre.

Ce petit jeu m'amusa. Alors j'imitai la voix grave de Crochet :

«C'est moi, Crochet! Je vais tous vous trancher la gorge si vous ne partez pas tout de suite!»

Les deux se mirent à crier face à face. Ils commencèrent à courir en rond. Mais tellement qu'ils paniquaient, il foncèrent l'un dans l'autre et tomba sur le sol, les yeux voyant des étoiles. Je rigolai et me dévoilai. Mes deux rivaux s'exclamèrent en même temps :

«Peter!

Je vous ai eu! Ha ha ha!

Non! C'est pas vrai, dirent-ils en même temps.

Ouais c'est ça. Vous auriez du voir la face que vous faisiez. C'était trop drôle!»

Clochette et moi se moquèrent d'eux jusqu'à ce que je reçoive de la terre sur moi. Alors je poussai un hurlement puis commençai à leur lancer des boules de boue. On s'amusa à se salir durant un bon moment jusqu'a ce que Clochette me chatouille l'oreille.

«Qu'est-ce qu'il y a? »Dis-je un peu fâché qu'elle m'est interrompu dans mon lancé.

Elle me pointa quelque chose. C'était une autre fée qui volait et semblait furieuse dû à son habit recouvert de boue. Je lâchai mon arme et me dirigea vers la fée qui rejetait la terre avec difficulté.

«eee…oui?» Demandais-je un peu embarrassé.

Elle m'expliqua que c'était en rapport avec les souhaits que les personnes faisaient. Je ne voyais pas pourquoi cette fée me dérangeait pour ça. Habituellement c'était eux autres qui s'occupaient de cela. C'est alors qu'elle m'expliqua que cela avait rapport avec ma sœur et qu'elle voulait me revoir.

«Ma petite sœur? Clochette?»

Elle me fit un signe de non avec sa tête et me dit que c'était ma vrai sœur dans le monde normale où l'on grandissait. Au début je ne me souvenais plus que j'avais une petite sœur là-bas, mais au fur et à mesure que j'y pensais, je commençais à me rappeler d'elle. Comment on s'amusait ensemble, les moments joyeux que j'avais passer avec elle, son visage, puis son nom. Sandy. J'avais complètement oublié ma petite sœur! Puis maintenant elle voulait me revoir. Mais… pourquoi? Je pensais qu'elle m'avait oublier comme je l'avais fais pour ne pas être malheureux. Je me dis alors que je devrais peut-être aller la voir. Mais je ne voulais pas quitter tout suite le pays imaginaire. J'étais trop bien. La fée partit me laissant sur mes pensés.


Mindy : Bon et bien voilà! Review s'il vous plait!