DISCLAMER : CETTE FIC EST INSPIRÉE DES PORTES DE ALOHOMORA

Woa! j'aurais jamais cru pouvoir recevoir des reviews dès on premier chap! Oo étonnée

En tut cas merchi!

Alpo: répétitif? nan.. entk, merci bocoup!

PetitSweetyni: contente de savoir que je réussis a les transmettre, les émotions! je suis une grande lectrice de fic et rien ne m'enrage plus que de pas savoir ce que les perso ressentent -- fière de son coup

Sirius.etoile: la suite? la voila! pour ce qui est de Harry et Drago... ai-je l'air sir sadik que ça? (si? ah... :P ')

Sabriell: reviews signé passé? gnéé? comprend pas.. ça paré ke jsuis nouvelle ici loll en tout cas merci! ah, croi avoir trouvé pour les reviews la ! la voila, la suite apparemment attendue!

CHAPITRE 2 : BIJOUX D'APPARENCE

Dans le bureau du directeur, tout était, ou presque, comme Harry savait ce qu'il en était. En gros, pleins de livres et de choses dont il ne voulait même pas connaître l'utilisation, emplis de tous bords des portraits des anciens directeurs qui ont régné sur Poudlard, un bureau, des escaliers (sans doute menant à la chambre de Dumbledore), des bonbons et, bien sur, Fusmek, le fabuleux phénix du vieux (jeune ?) directeur. Même le vieux choixpeau, tout rapiécé, traînait dans le même coin que lorsqu"il l'avait trouvé en deuxième année.

Drago, lui, restait en retrait. Il connaissait cette salle, et pas toujours pour le mieux, bien que celle-là avait l'air différent d'avant. Par exemple, il n'y avait pas cet affreux nain de jardin dont le directeur lui avait radoté tous les "super-pouvoirs" durant une heure, avant de lui avouer qu'en fait, il avait un message à transmettre à son père mais que ses hiboux restaient sans réponse. Traumatisé, Drago s'était promis de ne plus jamais avoir à faire avec ce vieux fou.

Karine, tout à sa qualité de curieuse, s'était avancée dans le bureau. Tout n'y était pas comme elle l'avait laissé le jour de son entrée. Elle avança sa main, voulant savoir la texture de ce que contenait cet étrange bol (nda: la pensine). Elle n'en eût cependant pas le temps.

- Mr Potter? Mr Malfoy? Mlle... je ne crois pas vous avoir déjà rencontré dans notre établissement... vous êtes?

- Mr le directeur, coupa alors Harry, vous ne vous souvenez pas? C'est Karine Lord(1), la nouvelle élève qui a intégré l'école il y a une semaine...

- Aucune élève n'a intégré l'école récemment. Et à bien vous regardez, vous n'êtes pas Potter, pas plus que vous, ajouta-t-il en pointant Drago, êtes Malfoy. Alors je vous prierais de bien vouloir vous asseoir et me donner vos baguettes, pour discuter plus... tranquillement.

La soudaine froideur du directeur laissa les élèves cois. Comment pouvait-il ne pas reconnaître les deux pires ennemis de Poudlard, doublé de l'élèves qui a imposé son respect seulement cinq minutes après s'être assise la table des Griffondors?

- Professeur Dumbledore, en quelle année sommes-nous ?

La demande laissa un froid dans la salle. Le directeur regardait Karine avec étonnement, alors que Harry et Drago l'observait avec incertitude. Finalement, Harry finit par poser la question qui lui brûlait les lèvres

- Tu fais une blague j'espère ? Tu sais qu'on est en 1996... non ?

Il demanda assistance du regard à son ennemi. Voyant qu'il semblait aussi perdu que lui, il se résigna à regarder son directeur. Ce dernier fronçait les sourcils de façon significative. Sans doute croyait-il affaire à des fous, car il leur répondit comme on parle à un enfant effrayé.

- Non, commença Dumbledore, non, vous n'êtes pas en 1996. On ne sera en 1996 que dans 20 ans.

- QUOI ? ! ? !

Éberlué, Harry sauta sur ses pieds et se mis à arpenter la pièce en tentant de comprendre ce qui c'était passé.

- Donc, commença lentement Malfoy, nous sommes tombés en 1976...

- Mais quel esprit mathématique, Einstein !

- Qui ?

- Oh ! Ne me dites pas que monsieur-je-connaîs-tout-sur-tout ignore qui est Einstein ?

- Oh mais ça va pas recommencer... coupa alors lassement Karine. Mais... je crois savoir ce qui s'est passé...

- Quoi, alors ? lança sèchement Drago, exaspéré.

- La Salle des Voeux, je suppose...

- Elle n'est utilisable qu'une fois en 355 ans, j'espère que vous vous en rendez compte ! Et je ne vois simplement pas comment, avec cette salle, vous avez fait pour remonter le temps – car je suppose que c'est ce qui c'est passé – car elle n'est supposée que vous apporter la réponse à votre vœu. Et pour que cela fonctionne, il vous faut faire, ou donner, quelque chose que vous vous êtes empêcher de faire ou d'avoir pendant un bon nombre d'années...

- Ce qui a été fait, coupa alors calmement la jeune fille. J'ai découvert, dans certains registres de Poudlard, l'existence de cette salle et la façon de la faire fonctionner. Nous nous sommes sans doutes retrouvés ici parce que Harry Potter, continua-t-elle en pointant le dénommé, a souhaité connaître ses parents.

Dumbledore leva un sourcil, se posant des questions. Oh, bien sûr, il avait tout de suite compris que le garçon aux cheveux couleur geai devant avoir un lien de parenté avec le jeune James Potter. D'après ce qu'il venait d'apprendre, c'était donc le fils de James. Mais pourquoi diable souhaitait-il connaître ses parents ? Peut-être que, dans ce futur, ils sont...

- Mes parents me cachent des choses que je veux découvrir, dit précipitamment Harry, réalisant soudain l'erreur de son amie. Et on dirait que pour ça, on nous a envoyé pendant leur scolarité à Poudlard... Je me trompe ?

- Aucunement, Mr Potter. Mais comment diable avez-vous fait fonctionner cette salle ?

- Eh bien... je... j'ai la réponse, du moins, je crois l'avoir, chuchota Karine, cependant assez fort pour se faire entendre de tous. J'ai versé une larme après que nous aillions tous dit ce que nous souhaitions...

- Je ne vois pas en quoi une larme est rare, coupa Dumbledore.

- J'ai... j'ai appris très jeune à retenir mes pleurs, voila tout !

Le vieux directeur nota l'hésitation dans la voix de la jeune fille mais n'y prêta pas attention.

- Donc vous ne pouvez pas retourner d'où vous venez. Cela complique les choses. Il va falloir que vous restiez à cette époque jusqu'à-ce que nous trouvions un moyen de vous ramenez chez vous. Je vais donc vous faire changer d'apparence pour tout le temps que vous aurez à vivre en 1996. Je crois que vous comprenez pourquoi... vous êtes les portraits crachés de vos pères respectifs, les garçons.

Dumbledore se leva lentement, laissant deviner son mécontentement, et fouilla dans une armoire très poussiéreuse. Il finit par en sortir un vieux coffre, tout poussiéreux lui aussi. Il revint et s'assit face aux trois élèves qui avaient finit par regagner leur chaise respective. Le vieux sourit et sortit trois bijoux tout à fait banaux : deux bracelet, fait pour porter dans le haut du bras, et un collier.

- Ce sont des Bijoux D'Apparence. Ils vous feront changer de corps, de voix, de noms. Vous les garderez jusqu'au jour ou vous réussirez à retrouver votre époque. Sous aucun prétexte vous ne devrez les ne devrez les enlever, d'autant plus que nous sommes en temps de guerre. Enfilez-les.

Karine prit tout de suite le collier et le mit à son cou. Immédiatement, Il se serra contre son cou, empêchant toute tentative de l'enlever de réussir, sans cependant l'étouffer. Les écritures du collier, d'abord invisibles, se mirent à briller et le changement d'apparence de la jeune fille se fit. Ses cheveux long et roux se raccourcirent et se teintèrent en noir. La coiffure encadrait parfaitement son visage dont la peau, autrefois de la pâleur typique des roux, pris un teint légèrement basané et ses yeux bleus prirent une couleur peu définissable : mélangeant parfaitement le vert, le brun et le bleu, ils ajoutaient à cette face différente une touche d'étrangeté et de mystère. Son corps changea lui aussi : de la physionomie discrète mais pourtant présente, elle se transforma en une jeune femme à la carrure d'athlète et aux courbes bien définies. D'une voix douce, elle dit son nom : « Kélianne Otis. »

Le visage dénudé de toute émotion, Drago pris l'un des deux bracelets et le mis à son bras. Le même phénomène de gravure se fit et le jeune blond se vit grandit de cinq centimètres. Son éternelle chevelure blonde prit une couleur brune ; Son teint resta à peu près le même, ce qui donnait un étrange contraste foncé/pâle. Les yeux bleus typiquement malfoyen changèrent radicalement en prenant une couleur verte délavée. Contrairement à ce qu'on pourrait en penser, ce mélange était beau et peu commun. Son corps, déjà musclé par les entraînements de Quidditch, se raffermit encore plus. D'une voix plus grave que d'habitude, il s'entendit prononcér « Sylvério Arpin»

Dernier du groupe, Harry s'empara du bracelet qui lui était destiné. Aussitôt on put voir sa chevelure en bataille abandonner le combat et retomber prestement, en s'allongeant (vive les PADDÉS loll). Elle garda cependant sa couleur, noir geai. Ses yeux verts se virent changer en bleu et sa peau pâle se bronza parfaitement. À ses vêtements qui devenait un peu petit, on comprit aussitôt qu'il avait grandit et le gilet permettrait de voir que sa musculature s'était développé. D'une voix qui n'était pas celle de Harry Potter, il dit « Orphéas Dalpé »

- Voilà vos nouvelles apparences que vous garderez le temps que vous resterez à cette époque. Vous venez d'une école Qué...

- C'est quoi, ces noms ? Je ne les ai jamais entendu, demanda, curieux, Orphéas.

- Vos prénoms (2) et vos noms de famille (3) sont des nom Québécois. Comme je le disait, vous venez d'une école Québécoise et, suite à des problèmes brutaux, vous avez été obligé de changer d'école et d'intégrer Poudlard la nuit même de ces perturbations, à la hâte. On vous assignera une maison...

- Nous en avons déjà une, coupa Sylvério. Je suis à Serpen...

- Vous n'aurez à faire cette cérémonie que pour la crédibilité de votre personnage d'emprunt. Donc, demain à huit heures dans la Grande Salle. Vous intégrerez le niveau des sixièmes années. Maintenant, vous feriez bien d'aller vous reposer. Il y a une chambre d'amis dans mon bureau, première porte à droite en montant les escaliers. Allez !

Connaissant leur directeur, les deux garçons s'en allèrent prestement. Kélianne resta cependant.

- Qu'y a-t-il, Mademoiselle ?

- C'est contre Voldemort que vous êtes en guerre ? demanda-t-elle abruptement.

- En effet. Maintenant, veuillez partir rejoindre vos compagnons, j'ai besoin de réfléchir à ce que je vais faire demain.

- Prenez un bonbon au citron, ça vous calmera !

- Je n'aime pas ça, répliqua Dumbledore d'un ton agressif, que la jeune fille mis sur le fait qu'il était fatigué.

- Essayez tout de même...

Sans plus de cérémonie, elle se leva et trouva rapidement la chambre dont le directeur avait parlé il y a un instant. A peine eût-elle ouvert la porte qu'une explosion de cris lui vint aux oreilles ; les deux garçons étaient encore en train de se chicaner.

La chambre était spacieuse et comportait quatre lits (rouge, vert, bleu, jaune) don l'édredon était à l'effigie de leur maison respective. Sylvério était debout sur le lit vert, en train de clamer un chapelet d'insulte à son ennemis qui faisait de même sur le lit rouge. Avec un soupir, Kélianne se laissa choir sur le lit bleu et ferma les yeux un instant. Elle tenta de s'endormir malgré les cris et grognements, sans succès. Elle leur ordonna donc sèchement de se taire et de dormir. Après cinq minutes, tous trois sombrèrent dans un sommeil réparateur. Cela semble peut-être idiot, mais les voyages temporels étaient épuisants...

Dans son bureau, juste en dessous de la chambre occupée par les trois jeunes élèves assoupis, Dumbledor avait la tête dans les mains. Pourquoi eux, pourquoi maintenant ? Il se leva en soupirant, pris son calendrier et l'ouvrit sur l'année de 1996. D'une croix rouge et bien visible, il marqua la date fatidique de remontée dans le temps, espérant que ce jour-là, il pourrait les empêcher de commettre cette folie.

Voilà pour ce chapitre ! j'espère qu'il vous a plus comme a moi...

Lord : nom classé 408eme plus commun au Québec (mouais, j'ai jamais entendu ça, mais bon... c'est c'qui est écrit !)

Orphéas, Kélianne et Sylvério son des noms qui ont réellement existé ; c'était des prénoms Québécois, mais il y a longtemps. .

Otis : 672eme nom plus commun au Québec ; Arpin : 969eme nom plus commun au Québec ; Dalpé : 857eme nom plus commun au Québec. (avouez que je vous eb embouche un coin ! :P)