Mais Son corps !


Histoire donnée par Zoomalfoy, réalisée par Umbre77… Moi, quoi ! J'espère que cela vous plait ! Tout les personnages sont à JKRowling (sans blague) mais Draco coiffeur est à Zoomalfoy et le reste… A moi ! Bonne lecture !

Avertissement de dernière minute: L'auteur a le cerveau fondu... Elle a donc disjoncté et joue à la perverse la plus totale... Merci de passé votre chemin si vous êtes:

1) Homophobe.

2) Yaoïste léger.

3) Anti Drarry.

4) Un de mes profs.

5) Ma mère.

6) Un enfant!

Merci de votre compréhension!



Chapitre 1 d'un OS qui n'en est plus un : Ses mains !


Trente deux degrés au soleil… Trente à l'ombre ! On voyait les effluves de chaleur monter vers le ciel et on priait tous pour que cela forme de joli nuage chargé de plus, d'humidité…de Froid ! Plus personne ne bougeait à Londres ! Les terrasses des cafés étaient pleines à craquer… Si pleines que des gens s'asseyaient même au sol ! Ceux qui bénéficiaient de l'air climatisé étaient barricadés chez eux et avaient mit l'appareil à fond. Les magasins étaient ouverts, mais chaque commerçant se demandait 'A quoi bon ?'… Personnes n'avaient la force d'aller essayer des vêtements ou dépenser son argent en babiole. Être couché était une torture, assis pénible et debout épuisant ! Quant à marcher… Impossible !

Et pourtant… Dans une grande rue de Londres, un fou courrait à en perdre haleine, suivit de près par une jeune femme qui essayait désespérément de l'attraper. Ce fou… C'est moi ! Harry James Potter, vingt quatre ans, toujours vivant, bien qu'à ce moment là, j'en doutasse fortement. Quant à la jeune femme qui essayait de se saisir de mon t-shirt, c'était ma meilleure amie, Hermione Granger futur Weasley ! Noté l'emploi de l'imparfait : C'était ! Elle ne l'est plus depuis qu'elle essaye de m'amener chez le coiffeur pour son maudit mariage !

« Mais enfin, Harry, c'est pour ton bien ! me dit la méchante, la sans cœur Hermione Granger. Et je suis sûre que tu plairas avec des cheveux plus disciplinés !

« - PAS QUESTION ! »

J'accélère encore, le corps ruisselant de sueur, les cheveux plaqués sur mon front où se trouve la si célèbre cicatrice faites par cet immonde serpent qui est enfin six pieds sous terre ! C'est qu'il m'aura fait chier longtemps, celui-là ! Mais je m'en suis débarrasser en un tour de baguette… Bon, ça va, ça va, je sais ! Ça ne me va pas de faire le prétentieux ! Mais c'est la vérité… Il m'a suffit de lever ma baguette… la faire tourner.. Et il était mort ! C'est vrai qu'avant, il y a eu je-ne-sais-combien de sort, de coupure, de coup de poignards, de torture mais… sur le coup, quand je l'ai tué, j'ai juste fais ce mouvement… Mais revenons-en à l'histoire du coiffeur, c'est plus important car cela allait changer ma vie ! Quoi ? Oui, je sais que la mort de Voldemort l'a également changé, mais m'emmerdez pas, c'est moi qui raconte !

J'étais donc en train de me tuer à la tâche pénible de sauver ma crinière désordonnée dans une grande rue où le bitume lui-même fondait sous le soleil quand cette traîtresse de Hermione m'attrapa… au lasso ! Je me fracassais le visage et les lunettes au sol, un gémissement de douleur sortant de mes lèvres alors que je me brûlais tout le corps sur le sol bouillant. Derrière-moi, un pied sur mon noble postérieur, Hermione Granger souriait sadiquement.

« Tu m'appartiens, maintenant ! »

… Bon, d'accord, elle avait l'air vraiment psychotique, là… Mais je vous rassure, ce n'est que là ! Il faut dire que cela faisait plus de deux heures que l'on tournait autour de ce patté de maison ! Elle suffoquait et de la sueur dégoulinait dans son décolleté et sur son front.

« Et maintenant… Coiffeur !

« - NAAAAAAANNNNNNNNNNNNNNNN ! »

Pas besoin de préciser que je me suis débattu en pleurant comme un gosse, en la maudissant, l'injuriant comme un charretier sur tout le trajet ! On aurait pu penser que je dansais tant mon corps bougeait dans tous les sens alors qu'elle me traînait le long des rues, ficelé comme un saucisson avarié ! Heureusement que j'avais un pantalon solide !

Après une demi-heure de hurlements stridents, de jurons et de danse exotique sur le sol (ben quoi ? Vous vous êtes déjà débattu en étant saucissonné au sol ? Ça fait une danse très sensuelle, je vous assure ! Quoi ? Comment ça, avec un partenaire c'est encore mieux ? Bande de pervers !), nous arrivâmes à un salon de coiffure qui me fit hurler d'une terreur plus grande encore.

Rose… Il était entièrement ROSE ! Et il y avait ses horribles affiches ! Des affiches qui me torturaient d'effrois ! Des hommes et des femmes… Avec les cheveux pleins de gels ! Je hais le gel !

« AAAARRRGGHHH ! NOOOONNN ! JE NE VEUX PAS ! PITIE, HERMIONE ! NOONNN ! JE TE DONNERAI CE QUE TU VEUX! NOONNN !

« - Qu'est-ce que c'est que tout ce vacarme ? »

C'était moi que Hermione faisait entrer dans le salon de coiffure et la patronne qui venait voir qui on torturait ainsi sur le seuil de son établissement. Il y avait une cliente qui s'était retournée pour me regarder avec une surprise non feinte. Une dame était occupée à placer une serviette sur ses épaules, les terribles et menaçant ciseaux en mains.

« Bonjour madame…

« - NOOONNNNNN !

« - Je suis Hermione Granger et je vous…

« - JE VEUX SORTIIIIIR !

« - …ai téléphoné hier pour… la coupe de cheveux d'un..

« - PITIEEE ! JE N'AI PAS MERITE ÇAAAAA !

« -…Cas difficile !

« - Et je suppose que c'est lui, le cas difficile ! »

Très très observateur ! C'est vrai qu'il y avait plusieurs personnes qui se roulaient sur le sol en hurlant à la mort juste à côté de moi… !

Mais reprenons !

« NOOOOOOOONNNNNN

« - Bien, miss Granger ! Je vais demander à mon spécialiste de coiffeur pour homme de s'occuper de lui. Voulez-vous que je vous rafraîchisse un peu la coupe pendant ce temps ?

« - Avec plaisir ! »

Ma meilleure amie que j'allais étriper, éviscérer et vider de son sang sur le sol dés que j'en aurai l'occasion se pencha sur moi et me détacha. Elle m'attrapa par le col alors que j'allais me carapater par la porte et me traîna de force jusqu'à l'embrasure d'une porte où des franges perlées tombaient jusqu'au sol. Elle me jeta dans la pièce, non sans m'avoir menacé :

« Si tu ressors de là avant que tes cheveux soient coupé tu ne viens pas au mariage ! »

Je la regardais s'éloigner vers la patronne d'un air larmoyant, à genoux sur le sol quand une serviette fut posée sur mes épaules. Je sursautais et essayais de voir qui était derrière moi, mais la personne me releva et posa ses mains.. de larges et fines mains, sur mes hanches, me guidant avec autorités vers un siège de cuire. La décoration était bien différente du coin 'Femme'. Les murs étaient peints d'un gris sombre et les affiches montraient généralement de belles coupes ou des réclames pour des shampoings et autres joyeusetés.

L'homme qui était derrière moi me mit une autre serviette sur les yeux et tout disparut, à mon grand agacement. Il m'obligea à poser mon cou dans ces espèces de lavabo creux qu'il ressemblait à des cuvettes de W.C. mal placée. Je déglutis. Sa peau était douce sur mon menton et sa chaleur accompagnée de sa gentillesse me rassura. Je l'entendis marcher et il se plaça derrière moi.

« Tout ira bien, dit une voix chaude, sensuelle… »

J'avais déjà chaud avant, c'était pire avec une voix pareille ! Elle glissait dans l'air, m'embaumant doucement. Ou peut-être était-ce l'odeur du shampoing ? Je m'en fiche, c'était sa voix, je vous dis !

Enfin soit. Il ouvrit les vannes du robinet et j'entendis de l'eau coulée sans la sentir. Des clapotis se firent entendre, signe qu'il vérifiait la température de l'eau… Et c'est là que ça arriva ! Il toucha mes cheveux de Ses mains… Si grandes… Si fines ! Si exquises ! Mon cuire chevelu hurlait de bonheur alors que l'eau coulait doucement sur ma longue crinière. L'eau était légèrement chaude, mais pas trop. Juste assez pour me rafraîchir de la longue course et me soulager de la chaleur ambiante. Je frissonnais comme une statuette posée sur une radio au volume à fond. Et je tombais dans un immense cratère de plaisir quand Ses mains se mirent à masser mon crane, le shampouinant avec tendresse. Délicieux ! Exquis ! Merveilleux ! Formidable ! Extraordinaire ! Magique !

Après l'effort, le réconfort, c'est bien connu. Et là, j'étais plus que réconforté ! Ses longues et fines mains passaient partout, me détendait totalement. Ma tête était légère, elle se décrochait de mon corps et menaçait de s'envoler si ses mains ne m'avaient pas maintenu si agréablement à ma place.

« Est-ce que ça va ?

« - Ouuiiiii, couinais-je, béat ! »

Je le sentis sourire plus que je ne le vis. Il devait être beau. Grand, si je m'en référais à ses mains. Et fort maniéré. Cela se sentait ! Il prenait soin de lui et de son corps. Ses doigts étaient aussi doux que des pétales de roses. Et il sentait bon ! Terriblement bon ! Il ne pouvait être que beau ! Par pitié, qu'il soit beau !

Les adorables mains quittèrent mes cheveux et l'eau revint, me réveillant légèrement. Mais l'une de ses mains revint pour secouer mes cheveux et ainsi me rincer plus aisément. C'était savoureux ! Si je n'avais pas eu cette serviette sur les yeux, j'aurai affiché cet air stupidement heureux et niais qu'on les hommes lorsqu'ils se font chouchouter admirablement bien. Et en fait… Je l'avais, cette expression ridicule ! Bénit soit la serviette ! Sa main me quitta de nouveau et je le sentit qui m'essuyait les cheveux. Je voulais ses mains, encore ! Elles étaient si gentilles… Et si elles faisaient preuve de la même gentillesse sur mon corps ?

Je vous avoue que j'étais gravement en manque de relation, ce qui expliquait le désir d'Hermione de me caser. Elle dit que lorsque je suis frustré sexuellement, je suis pénible… Ce n'est même pas vrai ! Je ne suis pas pénible ! Par contre, j'étais frustré… Je me serais bien taper un petit coiffeur aux longues mains ! Mais ledit petit coiffeur m'avait quitté. Il avait enlevé la serviette de mes yeux mais je n'avais même pas eu le temps de me regarder que des lunettes aux verres peint de noire se posèrent sur mes yeux.

« Votre amie a exprimé le désir que vous ne voyez votre coupe qu'une fois terminée… »

La peste soit d'Hermione ! Et de cette voix si…. Délicieuse !

« Aussi vais-je vous guider jusqu'au siège… »

Il me prit la main… LA MAIN !

Bénit soit les lunettes !

Il me guida doucement et j'avais refermé la sœur de ma droitière sur Sa main ! Qui ne tente rien n'a rien, alors que nous marchions vers le siège et que je tenais cette précieuse et si délicate main dans les miennes, je la caressais. Je sentis sa poigne se crisper de surprise et son souffle marquer un arrêt, je m'en fichais. Gryffondor un jour, Gryffondor toujours ! Je caressais son adorable main avec un plaisir indéfinissable. Je passais entre ses doigts, comme j'aurai aimé qu'une autre partie de mon corps passe dans une autre du sien… ou dans ses mains ! Peu importait, ce qui comptait, c'est qu'il soit gay ! Beau, à la limite, je m'en fichais ! Tout ce qui m'intéressait, c'était ses mains !

Malheureusement, le siège n'était pas loin ! Il me fit asseoir et sa main me quitta. Mais elle passa le long de mon bras en une caresse sensuelle… Si ça c'était pas des avances ! Je souris intérieurement.

« Je vous préviens, mes cheveux sont comme moi : indomptable ! »

Il eut un rire, un rire aussi merveilleux que ses mains.

« Alors j'espère les brider avec… mes mains ! »

Je frissonnais ! Il savait déjà que j'étais accroc à ses mains et j'ignorais si c'était bien ou mal… Dans tous les cas, je me mordis la lèvre pour m'empêcher de lui hurler de mettre ses mains dans mon pantalon !

Je l'entendis s'éloigner puis un peigne passa doucement dans mes cheveux. Il les coiffa doucement, ceux-ci se laissant faire grâce à l'eau qui les alourdissait. Une de ses mains était posée sur mon épaule et la massait, me taquinant. Je me détendis néanmoins avec plaisir, les yeux fermés derrière les lunettes noires. Oubliée ma peur des coiffeurs, oubliée le fait que Hermione ait gagné… Tout oublié sauf cette main sur mon épaule. Elle disparut pourtant et ne revint pas. Un petit bruit se fit entendre et il se mit au travail.

Je ne m'inquiétais pas vraiment… Après tout, je savais que si la coupe ne me plaisait pas, mes cheveux repousseraient ! Non, la raison pour laquelle je haïssais les coiffeurs depuis l'enfance, c'était parce que ceux-ci avaient la mauvaise habitude de s'acharner sur mes cheveux, ce qui faisait trèèèès mal ! Mais pas lui ! Non, lui, il opérait en douceur. Il coiffait, coupait, peignait. Parfois, une de ses si merveilleuses mains passaient sur ma joue pour me faire lever, baisser ou tourner la tête. J'avais envie de lécher ses doigts. C'était horrible à dire ! Mais hé ! J'ai 25 ans, je n'ai plus eu de relation sexuelle depuis 7 ans, merde ! … Pourquoi ? Parce que j'ai jamais dépassé la rencontre dans un café ! J'ai rapidement fui en voyant que tout les… postulants n'étaient attirés que par la jolie petite cicatrice sur mon front ! Et ce gars était sans doute moldus ! Donc, pas de problème de ce côté ! Restait à savoir si ça lui disait, une relation avec un type qui hurlait en allant chez le coiffeur et qui lui cacherait la moitié de sa vie… Et puis je m'en foutais, en faites, je voulais juste que ses mains passent sur autre chose que mes cheveux… Voir sa bouche s'il était aussi doué pour l'utiliser qu'avec ses doigts !

La coupe dura fort peu de temps, à ma grande peine. Je me retrouvais coiffé et sécher en moins d'une demi-heure… Et si peu de fois ses mains s'étaient posé sur moi… Je voulais presque le supplier de me laver encore les cheveux lorsqu'il enleva les lunettes. La première chose que je remarquais fut qu'il avait fait un travail d'enfer ! Contrairement aux autres coiffeurs, il avait prit en compte le désordre de mes cheveux. Il les avait raccourcis jusqu'au oreille, leur donnant une coupe que l'on disait au bol, mais une version longue. Il avait ensuite utilisé le désordre de mes cheveux pour rabattre les mèches dégradée sur mon visage, si bien qu'il se retrouvait encadré par des mèches folles. Cela me donnait un air sensuellement sauvage. Air que je n'avais jamais réussi à obtenir à cause de mon visage trop innocent, trop enfantin. J'avais alors l'air d'un homme. Tout mon corps était mi en valeur par ma coupe. Ma musculature me donnait à présent l'air voluptueusement viril et mon corps mince semblait lascif et non plus simplement maigrichons.

Un sourire aux lèvres, je regardais le reflet du miroir pour voir enfin la tête du possesseur de ses mains et le génie créatif qui m'avait si bien amélioré. Mais mon sourire s'effaça totalement. Mes yeux s'écarquillèrent et je bondis, ma serviette tombant alors que je me dressais face à lui. J'avais vu juste, il était grand, il était beau et il prenait soin de sa personne ! Ce que j'ignorais, par contre, c'était qu'il était un sorcier, qu'il était blond, qu'il était chaud, qu'il était un Malfoy, qu'il me souriait d'un air narquoisement amusé et que j'en étais encore plus excités…

« Ma…Malfoy !

« - Potter, me répondit-il de cette voix !

« -Mais… Mais… Tu… Toi… Coiffeur… Moldus !

« - Ooh, pitié ! Tu ne vas pas me dire que tu es surpris ? Que veux-tu que je fasse d'autre ? Je suis privé de magie parce que mon idiot de père était mangemort et qu'on a jamais réussi à prouver que j'étais innocent et coupable ! Mais ne t'inquiète pas, si ça te perturbe tant que ça, dans un an, je récupère le tout et alors là… Je pourrais de nouveau jouer au petit con prétentieux ! »

J'ouvris stupidement la bouche. Puis la refermais. Et la rouvrit… Et la refermait… Et il éclata de rire.

« Pauvre petit Potter ! Le voilà déstabilisé ! Enfin… Petit et déstabilisé… Pas tant que ça ! »

Il baissa les yeux… je le fis aussi. Et plaçais instinctivement mes mains sur la bosse déformant mon pantalon.

« T'exciterais-je, cher Harry Potter ? »

Il avait dit ça d'un ton lascif et l'une de ses adorables mains s'était posé sur ma hanche alors que l'autre caressait ma joue. Je crus défaillir. Il sourit d'un air amusé.

« Dis-moi, Potter… La rumeur est donc vrai ? Tu es Gay… Je ne l'aurais jamais cru… Il est vrai que tu cachais bien ton rôle à Poudlard avec ses filles qui te collaient sans arrêt…

« - C'est de la jalousie que j'entends dans ta voix, Malfoy ? demandais-je.

« - Peut-être, dit-il, la main sur ma hanche glissant sur mes fesses et la seconde caressant ma joue.

« - Malfoy… Tu bandes !

« - Je sais ! me répondit-il. Quel dommage… Si j'avais eu le temps… »

Il se détacha de moi et s'éloigna, allant se cacher derrière un comptoir où il appuya sur plusieurs boutons rapidement, des petits bips se faisant entendre.

« Un shampoing, une coupe et un brushing… Ça fait 15 Gallions… Version moldus, bien entendu ! »

Je restais un instant figé sur place mais finit par me ressaisir. Le petit salaud ! Il se foutait de moi, en plus ! Toujours aussi con ! Toujours aussi prétentieux ! Toujours aussi beau !

Vexé, je déposais l'argent sur le comptoir. Malfoy sourit et griffonna quelque chose sur un papier qu'il me tendit.

« Carte de membre ! Reviens quand tu veux, Potter ! »

Je grognais, enfouis la carte dans ma poche et sortit. Petit connard mégalo, arriviste, bandant et prétentieux !


Mouahahahahaha ! Harry reverra-t-il Draco et… Ses mains ? Bien sûr, sinon, ce ne serait pas un HP/DM… Mais cela ira-t-il vraiment jusqu'à… un certain apaisement ? Voir plus ? Va savoir…

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