Histoire donnée par Zoomalfoy, réalisée par Umbre77… Moi, quoi ! J'espère que cela vous plait ! Tous les personnages sont à JKRowling (sans blague) mais Draco coiffeur est à Zoomalfoy et le reste… A moi ! Bonne lecture !

Avertissement de dernière minute : Le chapitre qui suit est rempli de perversité et autres joyeusetés dans ce genre… Si vous êtes :

1) Frustré sexuellement depuis longtemps,

2) Ma mère (j'insiste, maman, tu n'as rien à faire là !)

3) Ma sœur (arrête de fouiller dans mes affaires, Poufiasse !)

4) Une personne appartenant à l'église (pas envie d'avoir des curés qui me reproche ma lubricité)

5) Mon père (papa, sans tes lunettes, tu ne sais pas lire, alors abandonne !)

6) Un Yaoïste léger (si vous avez résisté au deux premiers chapitres, vous n'en êtes pas un !)

Ne lisez pas ! Je dis bien.. Ne ! Lisez ! Pas ! Merci de votre attention !

RAR par une Umbre déprimée et fainéante

Bon… Comme je l'ai dit, je suis déprimée et fainéante… Quand c'est ainsi, je fais une réponse générale et je remercie tout le monde ! Donc, je remercie : (putain, ça va être long)

Onarluca, ange de un cisme, alexiel, Zoomalfoy (merci beaucoup, vraiment), Sara lupin, marion-moune, virg05, surimi, demoniac Cat's, 6eireann, Para, Lulucyfair, Milii, Fleur Fanee, Shyrinia, Amy Keira, Gégette88, Nymia, Gaia666, Egwene Al'Vere, Silmaril666, Mily Black, 13mAlexi13, Griselle, Audinette, Lalouve, LolieShing, Orwelle, Luna051, Loryah, EvIl-aNGel666, Alicya Potter-Black, Serpentis-draco, Skyblack4, inouko, Dwallia, Black-sun, Stupid Axolotl, Kaorulabelle, Kenken, Slydawn, Lee-NC-Kass, La feuille d'Automne (héhéhé), Danielove, Llily.B, Maliciamoony, Lunenoire, Dawn456, alinemcb54, Lovely A, Diabolik Angel, nat88, Ilys, Marine Malefoy, lalicorne, Pallas-via-Caesar (Merci pour ta review, elle m'a fait très plaisir ! Comme à chaque fois, un vrai régale ! Et tes théories ne me dérangent pas le moins du monde ! C'est délectable !), chrys63, Ysalis, Yami Aku (ravie de te revoir), Crackos, Shabu-Shabu, Quiproquo, Fee Fleau, Sahada, Vif d'or, Nicolas, Angelinadelacour, Oxaline, Ingrid (j'aurai voulu répondre à ton message encourageant ! Je le ferai sur mon Sky ! ), Julie (Contente que ce petit délire te plaise ! Même si je le trouve vraiment pervers ! loll) et Laika La Louve !

C'est ce qu'on appelle une Looooongue liste !

Et les réponses Générale… ça fait RG…mouais… C'est moins bien que RAR !

Je vois que vous avez tous survécu à la frustration et pratiquement tous compris que me tuer n'arrangerai Rien ! loll !

- Le silence que Draco a laissé planer lorsque Harry a donné le rendez-vous viens du fait que notre blondinet était mort de rire à l'idée d'affoler Harry en mangeant sa glace !

- mais non, je ne veux pas augmenter le nombre de mort par déshydratation !

- Il n'y a que quatre chapitres donc, le prochain est le dernier !

- LolieShing, tu me fais peur ! lol !

- Harry ne fait pas une fixation sur Les langues mais sur SA langue ! loll

- Draco appartient à JKR… Si vous en voulez un, demandez-lui ! loll !

- Je ne sais pas avec qui Harry sortait à Poudlard… Bon, c'était un Gryffondor… Tapons dans le tas : Colin Creevey ! loll !

- 'Je joue à te rendre aussi dingue que tu me rendais lorsque nous étions à Poudlard !' Mais n'y a-t-il qu'une personne qui a fait attention à cette phrase ?

- Ce n'est pas que du sexe, mais pour le voir, il faut attendre l'épilogue !

- Ou je trouve le temps, chère Julie ? De minuit à quatre heures du matin !

Et voilà ! Et si vous désirez savoir pourquoi je déprime, allez voir dans mon Skyblog (Adresse dans la bio), tout y est expliqué ! Personnellement, je n'ai pas envie de m'étendre sur ce sujet ici ! Bisous et bonne lecture !


Chapitre 3 d'un OS qui n'en est plus un : Son corps.

Préparez les sceaux !


Alors même qu'il disait ses mots de sa voix chaude et sensuelle, je sus que j'étais piégé ! Le petit con avait manœuvré finement pour que je pousse cette ultime requête et je savais que je ne pourrais pas y réchapper. Il me tenait contre lui et sa main était toujours sur ma cuisse, me donnant des frissons de désirs insoutenables.

« Quand tu veux, Potter », me glissa-t-il de sa voix chaude.

Une chose pourtant, m'était apparue dans la brume d'excitation qui embourbait mon cerveau : On ne pouvait pas sortir dans l'état où nous étions. Je le lui dis d'une voix haletante, gémissante et je le sentis sourire contre moi.

« Tu es un sorcier, non ? me glissa-t-il. Transplane ! »

Je grondais contre lui et sortais péniblement de ma poche la somme demandé pour nos glaces puis, sans réfléchir plus, transplanais tout en bénissant les rideaux qui nous cachaient. Nous faillîmes tomber quand nous arrivâmes devant la porte de mon appartement mais Malfoy se maintint debout avec une habilité déconcertante, me soutenant grâce à sa main sur ma cuisse.

Presser ainsi contre lui, je crus un instant que j'allais mourir sur place tant le désir devint intense, mais sa main – cette sale petite charmeuse – passa de ma cuisse à mon érection et je fus soudainement plus en vie que jamais. Je ne me servis pas de mes clefs pour ouvrir la porte de mon appartement mais de ma magie, celle-ci éjectant le montant de bois dans un clac sonore. Derrière moi, Malfoy eut un rire de gorge qui me fit frissonner et, tout en me caressant encore, me fit entrer lentement. Il n'était pas facile d'avancer avec un bras passé autour de ma taille et une main passant entre mes jambes avec lenteur, mais j'y parvins finalement. Rapidement, je replaçais la porte dans ses gonds, la verrouillant ensuite par mesure de précaution.

Tout se passa alors très vite. Avant que j'ai eu le temps de réaliser ce qu'il se passait, cette adorable langue se glissait dans mon cou, accompagner des lèvres qui me l'avaient cachée par le passé et de ses dents si merveilleuses. Je poussais un grondement langoureux alors que les mains glissaient le long de mes côtes, détachant ma chemise par la même occasion. Les longs doigts blancs passèrent alors sur ma peau et je geignis pitoyablement. Il m'envoyait des frissons dans tout le corps, rien qu'en me frôlant, m'électrisant, me chauffant comme personne ne l'avait jamais fait. Il faut dire que je n'avais eu qu'un petit ami et que tout c'était passé dans l'intimité close du dortoir des Gryffondors, mais bon, je suis certain que même avec de l'expérience, personne ne m'aurait allumé comme il le faisait alors.

Sa bouche exquise ravissait la peau de mon cou, allait mordre le lobe de mes oreilles alors qu'il ondulait toujours contre moi, ses hanches bien calées contre mes fesses qui ne réclamaient qu'une seule chose : cette adorable érection qu'elles sentaient pressée contre elles. Je frémissais contre lui, incapable de raisonner, de penser autre chose que : Oui-oui-oui-oui-oui-oui-oui-oui-oui ! Je sentais ses lèvres onctueuses légèrement courbées en un sourire de ravissement et d'amusement alors qu'il enfouissait son visage dans mes cheveux, les sentant. Je tremblais alors. Il adorait mes cheveux, j'en étais certain ! Sinon, il aurait dit quelque chose, lorsqu'il les avait coiffé et coupé un peu plus tôt dans la journée. Un sourire sarcastique apparut sur mon visage et, renforcé d'avoir trouvé un point faible à l'imperturbable Draco Malfoy, je me retournais péniblement, lui faisant alors face.

Nos deux regards se croisèrent et se mêlèrent et je pus voir qu'il n'était pas si maître de lui-même, ce cher Serpentard. Il haletait et me dévorait des yeux avec envie tout particulièrement mes lèvres. Je les mordis et il gémit, m'embrassant soudainement. C'était la première fois qu'il m'embrassait et j'en ressentis un aussi grand plaisir que lorsqu'il me caressait. Il embrassait bien, il embrassait comme un Malfoy devait le faire : dominant mais affolant, non pas agressif. Ses mains étaient repartie sur ma peau et se glissaient sous ma veste, caressant ma peau tout en me faisant reculer. Nos langues dansaient follement ensemble et j'avais toute la peine du monde à le guider vers la bonne direction. Il eût été dommage que nous nous retrouvions étalés au sol après avoir percuté un meuble, tout de même !

Nous atteignîmes finalement ma chambre dont j'ouvris la porte péniblement, trop occupé à savourer sa langue jouant avec la mienne et ses mains se baladant sur mon torse. Il se sépara de moi pour jeter un œil à la pièce, ses yeux pétillant d'amusement à la vue des murs peints de vert et du lit recouvert de draps gris. Je vis qu'il se retenait de me faire une remarque sur les couleurs et je grognais d'agacement.

« Si tu veux le dire, dis-le », lui dis-je, ma voix étant étrangement rauque.

Il eut un simple ricanement, ses bras s'enroulant autour de ma taille.

« Je n'ai rien à dire, souffla-t-il. J'ai toujours sur que tu avais un faible pour les Serpentard, de toute façon ! »

J'eus bien répliqué, tempêter d'une manière ou d'une autre, mais il me souleva avec une force qui m'étonna, me jetant pratiquement sur le lit, son corps lové contre le mien. Couché sur le matelas, Draco Malfoy entre mes jambes, nos torses se touchant doucement, j'eus soudainement pleine conscience de ce que j'allais faire. Je n'en fus pas effrayé pour autant, mais je ne pus m'empêcher de frissonner. Ça ne me ressemblait pas de me jeter ainsi sur quelqu'un en sachant pertinemment qu'il n'y avait entre nous que du sexe, mais j'en avais si désespérément envie… Et il était si diablement chaud ! Comment lui résister ?

Cette pensée aussi me dérangeait. Je savais qu'à Poudlard, il avait la réputation d'avoir qui il voulait quand il voulait et je grimaçais en pensant que j'étais un de ceux-là. Pourtant, j'eus un mouvement de hanches provocateur qui le fit geindre et j'allais mordiller la peau de son cou avec désir. Une de ses mains glissa le long de mon torse et je m'arquais contre lui sous cette caresse, essoufflé et tremblant. Je découvrais avec plaisir la peau blanche de son corps, mes mains enlevant sa chemise et dévorant ses épaules, ses bras. Il frissonnait lui aussi, tout comme moi sous ses paumes qui, elles aussi, me mettaient à nu.

Soudainement, il se laissa couler le long de mon corps et ses lèvres vinrent dévorer mon torse. Je haletais, gémissais alors que ses dents râpaient légèrement ma peau, sa langue passant ensuite sur la chaire pour se faire pardonner. Il s'attarda sur mes tétons, les mordillant, les léchant, les suçant comme il l'avait fait un peu avant avec sa glace et je commençais à perdre toutes notions de chose. La brume du plaisir s'épaississait et je n'étais bientôt plus qu'un pantin entre ses mains.

Cet homme était un monstre, et j'en avais la preuve. Alors que sa langue descendait doucement, il s'attardait à chaque endroit sensible, chaque zone érogène, souriant sadiquement alors que je sanglotais sous ses attentions. Il connaissait tous mes points faibles par cœur et cela m'effrayait. Mon premier et unique amant avait été un incapable, comparé à lui. Et pourtant, il se défendait bien, pour son âge. Mais à côté de Draco Malfoy, il ne valait rien et j'eus soudainement peur que personne ne le vaille ! Une main glissant le long de ma taille m'éloigna de mes craintes et, baissant la tête, je vis le visage de mon presque amant juste entre mes jambes. Mon souffle me manqua alors qu'il me regardait avec perversité, visiblement assoiffé de moi.

« Merlin, laissais-je échapper alors qu'il glissait un doigt le long de la bosse déformant mon pantalon.

« - Laisse Merlin où il est, Harry, dit-il d'une voix sensuelle. Ici, il n'y que toi et moi… »

Je fus légèrement étonné de percevoir sa possessivité, mais j'oubliais de nouveau tout lorsqu'il détacha mon pantalon, l'ouvrant complètement pour le faire glisser le long de mes jambes. Mes chaussures l'arrêtèrent et il siffla de mécontentement, me les enlevant avec brusquerie pour ensuite ôter mon pantalon. Je me retrouvais alors pratiquement nu, mon seul vêtement restant n'étant que mon boxer. Ses yeux d'argent semblèrent briller plus fort encore alors qu'il me dévorait des pieds à la tête et je frémissais encore. J'avais la vague impression d'être un verre d'eau devant un assoiffé. Il semblait près à se jeter sur moi mais il s'obligeait à se contrôler, son corps vibrant d'envie.

Ses mains se mirent alors à l'œuvre et montèrent le long de mes jambes, flattant mes cuisses et s'arrêtant près de mon boxer. Elles passèrent en dessous, glissant le long de hanches, revenant, s'éloignant et me mettant à la torture. Je tremblais comme un fou et, finalement, malgré une résistance tenace, je me mis à le supplier. Les mots franchissaient mes lèvres sans que je puisse les arrêter ou les contrôler et il souriait en les récoltant. Sa bouche s'approcha de moi et il donna un coup de langue sur le tissu tendu de mon sous-vêtement. Je geignis fortement et il sourit de plaisir, recommençant encore et encore et me rendant plus fou encore. J'avais envie de hurler et je m'aperçus que j'étais déjà entrain d'élever le ton alors que je lui ordonnais d'arrêter de 'Faire le con' et de 'M'enlever ce foutu boxer de merde' pour qu'il puisse 'me sucer' comme 'Le petit allumeur qu'il était savait si bien le faire' ! Il riait de mes expressions, mais obéit malgré tout à mon premier ordre, m'enlevant mon dernier vêtement.

Alors ses yeux fixèrent avec attention mes jambes ou très exactement ce qu'il y avait entre mes jambes. Il y avait tant de désir dans ses prunelles grises, tant d'envie, de promesses que je crus un instant que j'allais venir. Je dus me mordre violemment la lèvre inférieure et je plantais mes ongles dans mes cuisses, ce qui me refroidit considérablement. Mais pas assez que pour désintéresser Draco Malfoy de mon sexe. Il s'en approcha lentement, presque langoureusement et je m'en sentis défaillir. Je voyais cette bouche rose venir doucement vers moi et sans m'en apercevoir, j'avais cessé de respirer, attendant la suite avec espoir. Il releva alors ses yeux d'argent vers moi et les planta dans mes yeux alors qu'il s'arrêtait juste au-dessus de mon érection. Je reprenais alors mon souffle mais il fut couper par le coup de langue donner avec force sur mon gland rougi. Je poussais un cri étrangler et il recommença. Tout mon corps s'était soudain focaliser uniquement sur cet endroit. Il n'y avait plus rien d'autre qui comptait que cette langue passant sur moi avec lenteur, tournoyant de temps à autre puis descendant et remontant, m'affolant totalement. Je m'étais agripper à mon oreiller et j'essayais de ne pas hurler… Mais c'était peine perdue, je me doutais que les sons que j'entendais ne venait pas de Draco étant donné sa bouche occupée.

Il me regardait toujours, ses yeux fixés aux miens, sa main tenant mon sexe et sa bouche le taquinant. Il s'arrêta soudain, me regarda et me sourit. Je compris ce qu'il allait faire et j'essayais de m'échapper, la peur de cet immense plaisir me faisant perdre toute notion des choses. Mais il m'engouffra avant que je n'aie eu le temps de dire quoi que ce soit et je criais plus fort encore. C'était bon ! C'était terriblement bon et chaud ! J'étais emprisonné dans sa bouche et il voyageait le long de moi, sa langue jouant comme elle l'avait fait avec la glace, peu de temps avant. L'apocalypse avait explosé dans ma tête et même dans ma chambre. Le drap bougeait, tanguait sous moi alors que je me cambrais et écartais un peu plus les cuisses. Je sentis un doigt taquin près de mes fesses mais ne protestais pas et je ne le fis pas non plus quand il entra en moi. Le plaisir se double encore par cette intrusion, par ce va et vient en moi. Et ses yeux me regardaient toujours et son corps était englobé par mes longues jambes. Il souriait. Pas avec sa bouche, mais avec ses yeux. Il aimait faire cela. Il aimait me faire plaisir !

Un second doigt entra alors et je perdis un peu plus de conscience. Mon esprit s'était totalement disloqué et flottait partout. Des 'Oh Draco oui' percutaient les murs avec tout le désespoir et le plaisir que lui donnait ma voix et quelques petits gémissements les croisaient dans leur balade, accompagnés des sons exquis que poussaient Draco. Un troisième doigt entra et la bouche continuait son mouvement, la langue jouait toujours et je me tordais sur le lit. Alors même que ces doigts voyageaient, que cette bouche me transportait, je sus que je voulais plus. Je le voulais tout entier et sur-le-champ. Mais je n'avais pas la force de l'enlever, de le faire cesser ce qu'il faisait. Je ne pus que le supplier encore.

« Draco… Viens, s'il te plait.. Viens ! »

Je criais en même temps et ma voix partait dans des aigus que je ne pensais pas possible. Il comprit pourtant et se sépara de moi, enlevant bouche et doigt pour me regarder. Il se redressa à genoux et son jeans qui le rendait si beau me dérangea. Je me jetais sur lui avec une brusquerie qui le renversa sur le lit, manquant de le faire tomber. Je le tirai pourtant et me plaçais sur lui, à califourchon sur son corps si parfait. Je passais des doigts désireux le long de son torse et détachais son pantalon quand ma main y arriva. Je le fixais dans les yeux et il me regardait en souriant. Cela lui plaisait que je perde tout contrôle de moi-même.

Loin de m'attarder sur mes pensées, je préférais lui enlever ce foutu pantalon et hoquetais en le découvrant totalement nu sous ce dernier vêtement. Mes yeux n'avaient alors plus aucune envie de s'attarder sur les siens. Ils préféraient dévorer son corps, le regarder des pieds à la tête pour le graver à jamais dans ma mémoire. Il avait des épaules larges, des bras longs, tout comme ses doigts. Son ventre était délicieusement plat, ses hanches parfaites, son sexe… intéressant, ses fesses légèrement rebondies, ses cuisses et ses jambes musclées… Même ses pieds étaient un model de perfection. J'en restais pétrifié, à genoux devant lui, les yeux assoiffé de son corps.

Mais il n'était pas aussi immobile que moi ! Doucement, il se redressa et me renversa sur le lit, ma tête se retrouvant de nouveau sur l'oreiller. Il sourit et m'écarta les cuisses, les passant autour de sa taille. Et je revins sur terre quand je compris que Le moment était enfin venu. Il me souriait toujours et je m'en sentais si bien que je bougeais des hanches contre lui, nos deux virilités se rencontrant et se frottant l'une contre l'autre. Il avait de plus en plus de mal à se contrôler et je ris à mon tour quand il gémit mon nom tout en se plaçant à mon entrée. Ses yeux brillant me fixaient de plus belle, attendant mon accord. Il vint par un sourire et un mouvement désespéré de mes hanches. Draco posa une main douce dans le creux de mes reins et doucement, entra en moi. C'était assez contradictoire pour un homme qui s'était montrer si pressé, si chaud… Mais je ne m'en plaignis pas, loin de là. Je gémis longuement, tant de douleur que de plaisir et il attendit un moment que je m'habitue à sa présence. Je fus le premier à bouger et nous gémîmes en même temps.

Commença alors une danse qui nous propulsa hors de nous-même. Ce désir qu'il avait fait naître en moi, le sien qui venait de je ne savais trop quelle partie dégantée de son être nous transforma en deux animaux. Il bougeait violemment en moi, oubliant toute prudence, toute mesure. Mon sort anti-transpiration avait depuis longtemps explosé face à nos mouvements anarchiques et la sueur coulait le long de nos deux corps soudés. Je le sentais allez et venir avec une force et une passion qui me faisait crier des insanités. Si mes voisins nous entendaient, j'avais perdu toute innocence à leurs yeux et je m'en foutais royalement. Seul comptait son corps qui bougeait contre le mien. J'écoutais chaque son qu'il produisait, ses grognements, gémissements et autres manifestations. Ma voix se mêlait à la sienne et mon corps venait vers le sien avec une brusquerie que je ne me connaissais pas. Ses dents me mordaient, ses lèvres se pressaient contre ma peau ou ma bouche… Tout bougeait et nos corps s'embrasaient comme des torches.

Je ne sais combien de temps cela dura. Je sais que j'ai jouis en hurlant son nom et qu'il m'a suivit en disant le mien. Je sais qu'il s'est effondré sur moi, haletant, me pressant si fort que j'en eus la marque le lendemain. Mais je sais aussi que nous avons recommencé et avec tout autant de force et de violence. Je sais que nous ne nous sommes pas endormis avant le lendemain matin. Ce que je ne savais pas, c'était qu'il m'avait piégé !


A suivre...


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