Quand Godric rencontra Salazar…

(Pov Salazar) Avant, le monde entier tremblait devant moi… …J'étais promis au plus noble avenir de tyran-dictateur… Mais ce type est venu et maintenant, je suis condamné à expier ma rencontre fortuite avec le plus grand crétin de tous les temps ! Je me vengerais ! KssKssKss !


Disclaimer : Ce ne sont pas mes personnages mais ceux de Miss J.K Rowling. Evidemment

Remarque importante : Les pensées intimes (donc non prononcées…) de Salazar Serpentard sont en italiques


Réponses aux reviews :

Atalanta de Tebas : Le choix du 10-11e siècle pour cadre temporel des fondateurs s'est imposé dés que je suis allé regarder le lexicon sur Harry Potter (mine de renseignement inépuisable !). Un professeur dit dans je ne sais plus quel livre que « Poudlard a été fondé il y a plus de mille ans » Or, d'après la chronologie Pottérienne, cette phrase a été prononcée en 1996. Donc Poudlard a été fondé avant 996. N'étant pas particulièrement douée ni pointilleuse en histoire, je situe donc leurs aventures sur la période globale du 10-11e siècle. D'ailleurs j'ai été particulièrement embêtée pour savoir si Merlin existait déjà ou pas… Apparemment oui, après renseignement, il aurait vécu entre le 6 et le 8e siècle… Donc j'ai décidé qu'il serait déjà une source de référence au point qu'on ne jure que par lui ! Oh Merlin ! Je me suis encore lancé dans des explications !

Bunny : Héhéhé… J'ai presque réussi à te faire admettre que mes chapitres trop courts n'étaient pas un mal ? Je suis aussi manipulatrice que Sally ! Remarque dans ce chapitre, il fait très fort, tu vas voir… Sinon, je suis d'accord avec toi, il n'y en a pas un pour rattraper l'autre, les deux se valent. Mais comme la fic est surtout développée du côté de Sally, les défauts de Godric deviennent…monumentaux... et lui, ne voit jamais les siens… Faut lire entre les lignes ! Comme quand Salazar critique l'orgueil des chevaliers ! Il ferait mieux de se regarder lui !

Aresse : Kikoo toa aussi ! Merci de me rassurer quant à mes explications… J'étais un peu désespérée car j'ai eu un mal fou à me relire ! Moi-même ! Alors je me suis dit que pour les autres, ce serait pas du gâteau ! Cette histoire est presque devenue ta cure de bonne humeur hebdomadaire ? défaille dans un état second ( voir le mot de la fin pour plus d'information…)


Salazar Serpentard aurait du s'habituer à se faire heurter de plein fouet par la surprise depuis l'arrivée du chevalier Gryffondor.

Cent pièces d'or.

Pourtant l'annonce du montant de la prime pour l'annihilation de lui, maître des marais, semblait avoir eu raison de lui.

Cent pièces d'or.

Sa tête, qui était appuyée dans sa main au moment de la découverte, avait brusquement glissé de la paume. Le menton contre la poitrine, la main suspendue en l'air portant un invisible crâne, il stagnait en cette étrange position. Immobile.

Cent pièces d'or.

Si son corps restait totalement figé, son esprit lui, se tournait et se retournait : il se serrait encore et toujours à la manière d'un torchon que l'on essore, tendant vers un unique but.

Cent pièces d'or.

Chaque pensée vers la somme rétrécissait ses capacités intellectuelles qui se concentraient alors sur cette seule valeur. Le chiffre cent transcendait son simple contexte numérique pour devenir référence universelle, englobant le monde, enlaçant l'univers à travers la courbe de son nombre.

Cent pièces d'or.

Godric ne participait pas de la transe. Il regardait Salazar qui était proscrit et silencieux, un sourire peiné sur les lèvres. Il regretta de lui avoir avouer la somme promise pour la mort de son maître. Maintenant le petit apprenti semblait si triste qu'il ne bougeait plus.

Mettre une somme d'argent sur la vie d'une personne que l'on connaît est un acte trop cruel et douloureux… Mais ce n'est pas cette pensée seule qui lui donnait la nausée…Avec amertume, il se dit que si ça avait été lui le premier arrivé dans ces marais, c'aurait été lui l'assassin… Bien sur, il n'avait aucun doute que ce mage noir ne méritait plus de vivre après avoir inventé de tels poisons et cependant… toutes les bonnes raisons de la justice s'effaçaient devant la peine d'un proche…

Le chevalier frissonna. Etre tiraillé entre sa charité et sa volonté de justice de véritable chevalier était un sentiment vraiment détestable.

Il n'eut pas le temps de souffrir plus longtemps car, de la bouche du jeune homme, s'éleva un étrange caquètement. Une flamme de panique l'envahit à l'écoute de ce son perturbant. Il était depuis la veille particulièrement attentif à tout bruit étrange provenant du mage aux cheveux noir. Le souvenir d'un démon à la voix métallique se transposa à l'image du garçon à la tête pendante devant lui.

Il n'était pas loin de s'enfuir à quatre pattes mais se crispa soudainement. Salazar venait de relever la tête. Il était effrayant. Des soubresauts agitaient tout son corps et ses yeux brillaient. Godric, qui ne reconnaissait pas de signe de fureur, se demandait s'il n'allait pas plutôt faire une violente crise d'apoplexie. Il hésita à aller l'aider mais n'eut pas le temps de se décider : le jeune mage s'effondra tout à coup, non pas dans l'agonie, mais dans un rire dévastateur. Il se roula par terre en s'esclaffant bruyamment.

« Ahahahaha ! »

A cet instant, Godric se dit qu'il n'avait peut-être pas tout compris.

Salazar était emporté par cet éclat d'hilarité qui le submergeait complètement. Incapable de s'arrêter, il était écroulé sur le sol. Il se tenait le ventre, littéralement plié en deux. Son rire était plus nerveux qu'hilare mais redoublait d'intensité à chaque nouvelle constatation de son esprit enfin libéré.

Cent pièces d'or ! Je ne peux y croire ! Hahahaha ! Cent fichues pièces d'or ! Pour ma capture ou ma mort ! Parce que je suis un petit malin qui s'est amusé à triturer des chaudrons ! Hahahaha !Tous ces vieux cons qui n'arrivent pas à trouver d'antidotes, ils sont prêts à débourser cette somme pour que je les concurrence plus ! Pathétique ! Ahahahaha ! Et le plus drôle, c'est que je n'ai jamais réussi qu'à économiser une pièce d'argent et deux de cuivre !Hahahahaha ! De toute ma vie ! Ahahaha ! Maintenant je vaux cent pièces d'or ! Si je pouvais, je me vendrais ! Hahahaha !

L'autre sorcier le regardait avec un air rempli d'incompréhension. Il ne voyait pas du tout ce qui aurait pu produire une telle hilarité mais se sentait quand même rassuré. Lorsque le mage finit par se calmer, au bout de quelques minutes, il reçut cette simple interrogation amusée:

« Ca va ? »

Le mage acquiesça de la tête tout en séchant quelques larmes de rire. Je ne me souviens plus de la dernière fois où j'ai ri comme cela. Ah si ! C'était il y a peu, quand j'avais bu le décapant alcool de Godric. Par contre avant cette fois-là, je ne sais plus…Il était entrain de chercher la réponse dans de lointain souvenir quand le chevalier l'interrogea à voix très basse, comme pour l'inviter à la confidence :

« Pourquoi tu…Enfin… Tu rigoles parce que tu sais que personne touchera la prime ?

- Effectivement, personne ne touchera jamais la prime… Pourtant, j'aurais bien voulu de cet or, moi… »

C'est au moment précis où il le formulait qu'il se rendit compte d'à quel point c'était vrai. Il voulait cet argent. Il en avait besoin et il le voulait. Si j'avais une telle somme, je pourrais reconstruire tout mon commerce. M'installer dans d'autres marécages. Acheter à d'autres marchands des plantes qui ne se trouvent pas dans la région et tester ainsi des nouvelles potions. Acquérir un chaudron en or et étain pour fabriquer des poisons à rebours…Oh oui…Je pourrais même le fondre moi-même avec tout cet or! … KssKsss… Trop bon… En fait avec autant d'argent je suis même plus obligé de vivre de mes potions… Je pourrais presque récupérer mon titre de noblesse, rentrer dans un poste au gouvernement et me mettre à infiltrer petit à petit les sphères du pouvoir… Rhaaa…Jusqu'à mon coup d'état et la mise en place de ma dictature… KssKssKss…Je veux cet or !

« Je veux cet or ! »

Dans sa verve, il l'avait dit à voix haute au moment même de le penser. Salazar se sentit très honteux de s'être ainsi laissé aller.

Le chevalier ne se moqua point de lui. Au contraire, cet aveu semblait le laisser désemparé et mal à l'aise.

« Je sais… Cent pièces d'or, ça doit paraître beaucoup quand on vit dans des marais… »

Le mage aux cheveux noir fut plutôt interloqué par la remarque Etait-il entrain de me couvrir d'horrible compassion mielleuse ou alors d'insinuer que je suis un plouc de la campagne?

« … comme tout a été détruit, tu en aurais sûrement bien besoin… Mais tu ne peux pas… Je veux dire, tu n'as pas tué ton maître… »

Le jeune homme soupira. Là, c'est sur, aucune chance que je puisse l'avoir tué puisqu'il n'existe pas ! Et même si on se rappelle que c'est moi le mage noir de la région, je n'envisage pas, malgré tout, que le suicide soit une bonne base de départ pour ma conquête de l'Angleterre! Je ne toucherais jamais cet argent…

Le chevalier souriait, comme toujours, mais tristement. Il se sentait à présent complètement responsable du sort du garçon mais ne voyait comment l'aider. Salazar, dans le flou des élucubrations sur sa richesse perdue, lui demanda :

« Puisque ici c'était une Quête Glorieuse Suprême, il y avait un contrat magique pour la prime et tout, non ?

- C'est exact.

- L'as-tu lu ?

- Je l'ai lu, oui… Enfin vu plutôt… J'ai vu la sphère magique qui le contient. Elle est gardée dans l'Impériale Cathédrale de Justice…

- Que disait-elle ? »

Godric hésita. Il n'était pas sûr de ce qu'il devait faire. Il n'avait pas le droit de lui dire, le contenu des sphères devait rester secret. De plus, ce n'était peut-être pas fort judicieux de le révéler, la question étant trop morbide à son goût… Mais la sincérité était bien la seule chose qu'il pouvait lui donner comme consolation, alors il parla :

« Normalement tu ne devrais pas savoir… mais je veux bien te le dire, si tu le désires vraiment… Elle disait tout simplement qu'éliminer la menace des marais amènerait pour le héros une récompense de cent pièces d'or et beaucoup de gloire, et pour le monde entier, un profit sans pareil… »

Le jeune homme écarquilla très grand les yeux mais ne dit rien. Eliminer la menace de ces marais ? Est-ce bien cela ? Mais cela n'a pas du tout la même signification que « tuer le mage noir des marais » ! Cette phrase peut signifier qu'il suffit juste de bouter le mage noir hors des marécages !

Le chevalier, au vu de l'air surpris du jeune homme, se permit un commentaire:

« Ouais, je sais… Il était un peu enthousiaste celui qui a fait le contrat magique… Un profit sans pareil pour le monde ? Hum, Hum…»

Salazar n'écouta point. Son esprit vint soudain à s'embraser. Non ! C'est encore plus ambigu que cela! Le contrat magique ne donne aucune précision sur la nature du danger ! Donc, éliminer la menace des marais, cela revient juste à… éliminer les marais !

Le jeune mage ne prit pas le soin de réfléchir plus avant et demanda avec précipitation :

« Est-ce exactement ce qu'a dit le contrat ? Au mot prés ?

- Eh bien, oui.

- Es-tu sûr et certain de cela ?

- Oui, je te dis ! »

Godric ne comprit pas l'intérêt suscité par le vocabulaire du contrat magique. Il le dévisagea avec inquiétude.

Salazar, lui, s'enflamma littéralement de l'intérieur. Une lueur brillante de triomphe se propageait ses veines, vibrait dans ses os, réchauffait tous ses muscles. Rien ne trahissait dans son visage ou son attitude cette sensation grisante, cette émotion bien plus enivrante que tous les alcools : la victoire s'offrait à lui.

Avec son bras, le jeune homme décrit un large arc de cercle, incitant son interlocuteur à regarder tout autour d'eux. De part ce geste, la désolation environnante ressurgissait dans son horreur absolue : ils étaient, avec l'arbre, les seuls êtres vivants de ce décor macabre.

« Je crois que ces marais ne seront plus jamais une menace alors… » dit-il posément.

Le chevalier démarra au quart de tour pour le corriger ;

« Mais la menace, ce n'était pas les marais eux-m…. »

Godric suspendit sa phrase en l'air. Les mots, bloqués sur sa langue n'avait soudainement plus de raison d'être prononcés. Avec un regard effaré, il balbutia :

« C'est vrai que la phrase « éliminer la menace des marais », n'est pas nette… M'enfin je vois pas pourquoi ils étaient dangereux en quoi que ce soit, ces marécages ! Ca n'a pas de sens ! A part pour les serpents peut-être…

- Laisse les serpents en dehors de cela ! Hum… Tu désires savoir pourquoi je pense que les marais eux-même étaient une réelle menace ? Parce que, tout simplement, on y trouvait toutes les plantes et les animaux nécessaires à la fabrication des poisons. »

Salazar n'avait pas pensé que l'évocation des poisons dans sa bouche aurait pu provoquer une réaction si fâcheuse. Le chevalier bondit littéralement sur lui et l'attrapa par les deux épaules. Il bloqua les jambes en les écrasant avec les siennes. Ses mains enserrèrent les bras de chaque côté du corps du jeune homme. Son visage était à présent proche de celui de Godric qui irradiait de fureur. Son souffle était rapide et dans ses pupilles, la rage débordait. Il rugit, emporté de colère :

« TU SAIS OU TROUVER TOUS LES PRODUITS POUR FABRIQUER DU POISON ? ORDURE ! TU VOULAIS PRENDRE LA SUCCESSION DE TON MAITRE ! D'AILLEURS C'EST PEUT- ETRE TOI QUI A CREE LE POISON QUI A TUE LE CHEVALIER ! TRAITRE ! »

Salazar s'était épuisé à lui faire comprendre qu'il était le vrai mage noir de la région. Mais à présent, il ne voulait que démentir cette vérité. Il avait peur pour sa vie.

La prise puissante des doigts sur ses épaules s'enfonçait toujours plus. Le mage était bloqué par le chevalier, incapable de fuir ou de répliquer... La douleur le transperçait, la panique le rongeait. Mais il ne laissa paraître la moindre émotion sur son visage de glace. Hors de question de te donner la satisfaction de me voir défait, Gryffondor !

Godric avait la mâchoire contractée, et des petites veines rouges se frayaient un chemin tout autour des iris bleu pâle. Il hurla à nouveau :

« PARLE ! AVOUE ! »

Il va me tuer… Je le sens…Il n'hésitera pas… Je n'ai plus qu'une carte à jouer !

Le garçon aux cheveux noirs sourit avec insolence. Il scruta le sorcier avec mépris et lança impudemment :

« Effectivement. Je sais où trouver tout ce dont j'ai besoin… »

Godric l'écrasa si fortement que le jeune homme retint à peine un gémissement de douleur. Le mage serra les dents et trouva la force de poursuivre dans sa haine :

« …pour fabriquer d'excellents remèdes. »

Le sorcier blond eut un frisson sous le choc. Il était entrain d'attaquer celui qui l'avait aidé à guérir. Il desserra légèrement son étreinte et Salazar put souffler un instant. J'y arrive…Qui a dit que la bonté ne menait à rien ?… Il se mit à enchaîner rapidement un discours, avant que la colère ne reprenne le chevalier.

« J'ai vécu longtemps dans les marais. Sache qu'il ne se passait pas une saison sans que je sois obligé de traquer ceux qui venaient arracher des plantes aux vertus maléfiques! »

Diantre! Je ne mens même pas ! Mes serpents chéris étaient d'ailleurs de formidables chiens de garde de mon domaine, les braves petits…

« C'est vrai ? Tu faisais des médecines et tu empêchais les gens de prendre des plantes utiles en magie noire ? »

Godric était confus et hébété. Il ne savait que croire. Bonne petite marionnette… Le mage Serpentard enfonça tout trouble par un ton grandiloquent

« Jamais je n'aurais permis qu'ils le fassent ! »

Evidemment ! Tout pour moi ! KssKss !

« Mais je ne suis pas infaillible… Je n'ai pas menti, ces marécages étaient vraiment un lieu propice à la magie noire… » ajouta-t-il.

On peut dire qu'elle était même prospère, et ce grâce à moi ! J'ai juste oublié de te le préciser ! KsssKss ! Je suis un génie de la manipulation ! KssKss !

Godric ôta ses bras des épaules du mage et se décala sur le côté. Jamais il n'avait semblé aussi fatigué. La tête basse, recroquevillé sur lui-même, il paraissait respirer avec quelques difficultés. Il frottait doucement son poignet foulé qui avait encore enflé. Salazar se demanda comment le chevalier avait pu passer d'un état de rage puissante à une telle faiblesse. Cela semblait inimaginable qu'il eut cru qu'il allait mourir de cette main à présent endolorie et blessée.

Le sorcier releva le regard et, de derrière des mèches de cheveux blonds, dit d'une voix brisée :

« Je suis tellement désolé… »

Salazar aurait du se sentir l'éclatant goût du triomphe après avoir vu son opposant à terre, après avoir reçu de telles humbles excuses. Il aurait du jubiler de l'écraser ainsi, se repaître à foison de la défaite lamentable du chevalier. Mais, sans qu'il comprit pourquoi, seul l'amer resta.


L'auteur, sur le dos, les quatre pattes en l'air, ronronne bruyamment. Un filet de bave, preuve d'une grande félicité, s'échappe du coin de sa bouche. Elle s'auto complimente avec conviction :

« J'ai dépassé les 50 reviews… Je m'aime… Non ! Ils m'aiment ! Ils m'adulent ! Ouark ! Ouark ! Ouark ! … »

Si vous croyiez que l'auteur avait beaucoup d'imagination pour trouver les tares de ses personnages, détrompez-vous : elle pompe tout sur elle !

Sur cet entrefait, arrive un Godric au teint blême. Il déambule en traînant des pieds. On peut presque apercevoir un nuage noir le persécuter avec assiduité. L'auteur lui minaude :

« Alors sir Gryffondor, vous n'avez pas l'air dans votre assiette !

-…bof…

- Qu'avez-vous donc ? La vie est formidable !

- … Vous vous êtes lu ? C'est affreux comme fin !

- Au contraire, j'ai été plein de bonté cette fois-ci ! J'ai failli arrêter à « Il avait peur pour sa vie. » et là, cela aurait été vraiment sadique ! Surtout que pour cause d'examens, le prochain chapitre ne sera mis en ligne que dimanche prochain !

- Je ne parle pas de ça ! J'ai l'air d'un monstre ! Je manque de tuer Salazar !

- Moi je trouve que vous faites plus humain que d'habitude !

- Ouais, et ben de toute façon, c'est pas avec une fin triste comme ça que les lecteurs auront envie de laisser une review ! C'est sensé être une fic humoristique !

Godric s'éloigne, laissant l'auteur, seule, dans un grand vent de solitude.

« Maiiiisss… »