Suis un peu flemmarde ce soir… donc je vais pas rechercher "Titre, Auteur" etc… de toute manière au bout de sept chapitres vous savez ce que vous lisez… non?
VII. Un jour de repos.
Le grand jour, ou plutôt la grande soirée, approchait irrémédiablement. Et tout le monde s'activait.
"YOU WIN! S'écria Krim. Je t'ai battu, Sora! I'm the best!
- Eh le comique, grommela Kimblee, t'es sympa, mais y en a qui travaillent. Enfin, c'est pas grave, mais je ne garantie pas les effets de cette bombe si je n'effectue pas le bon dosage…
- Pff, t'arrête un peu avec tes bombes? Et c'est pas parce que tu sors avec mon frère que t'as le droit de me menacer!
- Moi? Te menacer? Mais je n'ai fait que t'exposer une réalité probable…
- Mais bien sûr… tu veux te battre?"
Mais le maniaque des explosifs l'avait manifestement déjà oublié et terminait sa bombe, dont personne ne savait ni n'avait envie de savoir l'utilité. Sans doute la préparait-il pour passer le temps.
Le cadet des deux frères allait réitérer sa proposition lorsqu'une main prit la sienne.
"Ne préfèrerais-tu pas plutôt te battre avec moi?"
Krim se tourna vers Sora et haussa les épaules.
"Crétin…, fit-il à l'adresse de Kimblee. Psychopathe, en plus…"
Puis il retourna à son jeu vidéo mettre la pâté à Sora qui n'attendait que cela.
De son côté, Hakkai regardait quelques vieilles photos sur son ordinateur, tout en décodant un message de l'armée, pour s'amuser.
Kimblee se leva prendre un ustensile et passa devant le poste de l'informaticien.
"Oh, qu'est-ce que tu trafiques là? Fit-il en faisant mine de prendre la souris. Un code de l'armée…
- Hey! Est-ce que moi je vais trafiquer tes bombes?
- Oh là qu'est-ce qui se passe!"
Gojyo, Greed et Saiga venaient de rentrer. Le premier vint poser une main sur l'épaule de Hakkai et toiser Kimblee.
"Qu'est-ce que t'as à l'emmerder?
- Oh oh, du calme!"
Greed s'était également approché et avait entouré les épaules de Kimblee de son bras.
"Que se passe-t-il, ici? Murmura-t-il à l'oreille du responsable des explosifs.
- Oh, rien, répondit ce dernier sur le même ton.
-Regardez-moi ces deux imbéciles…, fit Gojyo.
- Qui tu traites d'imbécile?
- Un certain Monsieur Greed."
L'aîné des deux hommes à tout faire plissa les yeux.
"Espèce de…
- Voyons, fit Kimblee en posant la main sur le bras de son amant, ne t'énerve pas pour si peu. Moi je n'ai pas de temps à perdre en tout cas, ajouta-t-il plus fort en se dégageant de l'étreinte pour retourner à son travail.
- . . ."
Blanc. Gojyo et Greed se toisaient. Puis ce dernier éclata de rire en secouant la tête et alla voir si Kimblee n'avait pas besoin d'aide par hasard… la réponse étant négative.
Le croupier soupira.
"Qu'est-ce qu'il m'énerve, celui-là… et l'autre psycho c'est pas mieux…"
Hakkai haussa les épaules.
"Je crois qu'on est tous plus ou moins énervés."
Dark se leva de sa chaise après avoir discuté un peu avec Saiga.
"Bon, déclara-t-il, apparemment tout est prêt.
- Yeah! Fit Shido qui venait de répéter le rôle qu'il tiendrait avec le Voleur. Vivement après-demain! On va les…
- … exploser, compléta Kimblee."
Un temps.
"Tout à fait, renchérit Dark. On va les exploser!
- Yeah!
- En attendant, vous avez la journée de demain libre, ainsi qu'une bonne partie d'après-demain. Rendez-vous ici, samedi à 15h."
Ils se séparèrent, tous très enthousiastes.
Shido serra le papier dans sa main, se gratta la tête, soupira et finit par sonner.
Il eut à peine à attendre cinq secondes avant qu'on lui ouvre.
"Euh… hum, salut, fit-il."
L'autre, en face, n'eut même pas l'air surpris. Il se contenta de lui réserver son plus beau sourire.
"Je suis réellement très heureux de ta visite, mon petit Shido.
- Oui… j'ai vu qu'il y avait un cirque pas loin. Il paraît qu'ils ont des jongleurs, des animaux, des clowns et…
- Dis-moi Shido chan, tu serais pas amoureux?
- De toi? Euh, de quoi? Moi? Enfin…
- Tes yeux te trahissent, il n'est pas nécessaire d'en dire plus."
Kurodo s'avança pour le prendre dans ses bras, mais Shido fit rapidement quelques pas en arrière.
"Non! Attends… Kuro kun.
- Oui?
- Tu as du mal comprendre. Je veux juste sortir…
- Avec moi, je sais.
- … au CIRQUE!
- Tu peux sortir avec moi et aller au cirque.
- Je peux aussi ne faire ni l'un ni l'autre."
Shido tourna les talons, priant mentalement, même s'il avait encore du mal à se l'avouer, pour que Kurodo l'arrête. Ce qu'il fit, en passant son bras autour de ses épaules. Le Pickpocket déglutit.
"Euh…
- Le cirque, ça me va très bien aussi. Pour commencer."
"Hello, vous êtes chez Greed. Je VEUX que vous me laissiez un message. Et vous allez le faire. Biiip."
Dark leva les yeux au plafond de son nouvel appartement temporaire.
"Hello Greed. Sympa le répondeur. Peut-être un peu… enfin bon. Tu pourrais me rappeler? Je voudrais qu'on se voit quand même demain matin une dernière fois, pour réviser. Plusieurs fois. On s'est rendu compte avec Kakei qu'il y aurait peut-être des détails à revoir, finalement. Enfin bref. Et tu passes le message à Kim, je devine qu'il est chez toiSurtout rappelle moi pour confirmer. Ah, au fait, c'est Dark. A plus!"
Hakkai, s'il était de nature impatiente, se serait impatienté. Il attendait Gojyo depuis près d'une demie heure, tout de même.
Le croupier lui avait dit qu'il voulait l'emmener quelque part… une surprise?
Enfin, sa voiture arriva. L'informaticien ne fit aucune remarque sur son retard.
"Wow…"
Krim se frotta les mains.
En effet, le Salon des Jeux Vidéos et de l'Informatique n'était pas une vulgaire réunion de fans. C'était véritablement une arcade de jeux géante.
Il suivit Sora. Les deux hommes s'installèrent devant un jeu de combat, pour changer un peu, jeu dont ils ne tardèrent pas à connaître les règles et, accessoirement, comment les enfreindre.
"Hello, vous êtes chez Greed. Je VEUX que…"
Dark raccrocha, pour la sixième fois. Il avait réussi à prévenir tous les autres dans la matinée, mais Greed et Kimblee demeuraient injoignables.
Bien entendu, il aurait pu attendre que l'un d'eux le rappelle, mais pouvait-il être sûr qu'ils consultaient leurs messages?
L'informaticien écarquilla les yeux.
"Le Salon…
- … des Jeux Vidéos et de l'Informatique, oui.
- Je l'avais totalement oublié!
- J'ai vu une affiche par hasard et je me suis dit que…
- Merci Gojyo."
Le sourire de Hakkai était franc.
"Hakkai…
- Oui?
- … ce logiciel, là, tu l'as?"
Shido soupira. Il ne s'y retrouvait plus trop. Il s'était toujours douté que ce qui le liait à Kurodo était plus fort que de l'amitié mais… il avait du mal à se l'avouer, tout simplement. Et puis bon, il ne l'avait revu que depuis trois semaines.
Mais il se rappelait…
Kurodo avait toujours été un enfant solitaire. Déjà plutôt replié sur lui-même par nature, aucun enfant ne voulaitComme si quelque chose venant de lui leur faisait peur.
Shido avait un an de moins. Soit six, la première fois qu'il lui avait parlé.
Kurodo avait déjà la manie des scalpels. Il les collectionnait, tous ceux qu'il. Ce jour là, il venait d'en trouver un et jouait avec, se le passant d'une main à l'autre, souriant tout seul, assis sur un banc de la cour.
"Hey, dit une voix. Faut que tu coupes la corde qui retient Siri.
- Plaît-il? Fit le jeune Kurodo en relevant la tête.
- Siri, s'obstina l'autre. Le chiot. Des méchants lui ont mis une corde à la patte, ça lui fait mal. Faut que tu la sectissionne avec ton couteau.
- C'est un scalpel.
- Oui, mais tu dois la sectionniser quand même."
Le deuxième enfant était plus petit, brun. Sa mère lui avait donné un bandeau pour attacher ses cheveux. Il s'appelait Shido. Et il était le meilleur ami des animaux.
Une fois le chien Siri libéré, ils entreprirent de punir les Chasseurs d'Oiseaux en leur sectionnisant les lacets. Les Chasseurs d'Oiseaux étaient des gens très vilains. On pouvait les reconnaître, assurait Shido, parce qu'ils écrivaient avec une plume.
En une semaine, beaucoup de personnes retrouvèrent leurs lacets découpés.
Après la Punition des Chasseurs d'Oiseaux, la Traque des Tueurs de Dindons et le Massacre de Ceux qui faisaient des Manteaux en peau de Pingouin, les deux garçons étaient définitivement ami.
Shido eut un petit rire.
"C'était drôle.
- Plaît-il?
- Quand nous étions gamins."
Kurodo prit sa main dans la sienne, et il ne la retira pas.
"Oui. C'est aussi ce que je pensais."
Sur une fanfare entêtante, les clowns commencèrent à défiler.
"Hello, vous êtes chez…"
Soupir. Kakei, avec qui Dark était venu discuter, éclata de rire. Saiga ne broncha pas, endormi depuis longtemps, la tête une fois de plus sur les genoux de son bien-aimé.
"Attends… Gojyo!"
L'homme aux cheveux rouges se retourna.
"Regarde, là-bas, on dirait…
- Si, c'est bien eux, confirma le croupier. Les deux imbéciles qui cherchent qu'à se battre.
- On va les voir?
- Si tu veux."
Krim et Sora s'acharnaient à détruire tous les zombies d'un jeu inédit, le premier testant le mode kamikaze, le second s'apprêtant à essayer la nouvelle technique à laquelle il songeait depuis un certain temps.
Il n'en eut pas l'occasion, l'arrivée de Gojyo et Hakkai contrecarrant ses plans.
Les quatre complices discutèrent longuement de la nouvelle console Nintendo. Ou plutôt trois sur les quatre, Gojyo étant un peu perdu dans tout ça.
"Hello, vous êtes chez…"
Le téléphone passa par la fenêtre.
Lorsque Kurodo et Shido sortirent du chapiteau, ce dernier se rendit soudainement compte que sa main était toujours prisonnière de celle de Kurodo, et la retira précipitamment, rougissant malgré lui. L'Acteur ne fit aucun commentaire sur le moment.
"Bon…, fit le Pickpocket. Quelle heure est-il?
- Six heures.
- Non, déjà? Wow…
- Je te raccompagne chez toi, mon petit Shido?"
Hésitation. Toute petite hésitation.
"Je suis sur ton chemin, je crois."
Il ne savait même pas pourquoi il résisterait, de toute façon
Ils rentrèrent à pieds et ne tardèrent pas à arriver.
"Je te laisse, alors, Kuro kun.
- J'aime quand tu m'appelles comme ça."
Shido sourit.
"Je sais. Et puis… j'aime bien t'appeler comme ça, aussi.
- Bonne nuit, Shido chan."
A la grande surprise du Pickpocket, l'Acteur tourna les talons.
Il n'avait même pas cherché à entrer ni rien…"Si je retombe encore sur ce fichu répondeur…"
Grommelant, Dark prit le combiné, qu'il était retourné chercher dans le jardin. Heureusement que son appartement était au rez-de-chaussée.
Greed poussa un grognement lorsque la sonnerie retentit.
"C'est pas vrai, grommela-t-il en se levant de table, et je l'ai rebranchée y a pas cinq minutes…"
Kimblee ricana.
"Attends un peu toi…, fit l'autre en revenant sur ses pas.
- Le téléphone d'abord.
- Bof, ça m'étonnerait que ce soit urgent…"
L'homme aux longs cheveux noirs le repoussa alors qu'il cherchait à l'embrasser.
"Le téléphone, répéta-t-il.
- Pfff… allô?
- Greed, enfin! S'exclama Dark. J'ai cherché à te joindre toute la journée!
- Euh… ah bon?
- Mais enfin qu'est-ce que tu foutais? Enfin non ça ne me regarde pas.
- Qu'est-ce qui se passe?
- Demain. Répétition. Six heures.
- Du soir?
- Non. Du matin.
- Hey mais t'as pensé à ceux qui ne dorment pas la nuit?
- T'as qu'à dormir.
- Pffff…
- Tu passe le message à Kimblee bien entendu.
- Bien sûr que non.
- Ouais, allez bye.
- Bye, fit Greed en raccrochant. Salaud."
Il se retourna vers Kimblee… qui venait de finir de débarrasser la table et était parti ailleurs.
"… Kim?
- Quoi? Fit une voix un peu exaspérée sur les bords, venant du salon. Je te manques, encore?
- Mais tu me manques toujours…"
Et Greed se dirigea vers la voix.
Hakkai regarda sa montre.
"Bon, je crois que je vais devoir rentrer.
- Je te raccompagne, proposa immédiatement Gojyo.
- Merci. Les gars…
- On finit la soirée chez moi, déclara Sora.
- Ah bon? S'étonna Krim.
- Oui. Je veux prendre ma revanche.
- Comptes là-dessus.
- Mais bien sûr."
Greed regarda les scores qu'il avait inscrits sur sa main pour passer le temps.
"Ouais, pour l'instant Krim gagne sur les jeux vidéos. Mais Sora est meilleur au combat "in the real world", comme vous dîtes, là.
- Merci de tenir le compte.
- De rien."
Gojyo fit un salut militaire et s'éloigna, suivi de l'informaticien.
Bientôt, Krim et Sora se retrouvèrent chez ce dernier, assis sur le lit, devant la console de jeux vidéos.
Le personnage de Krim avançait prudemment.
"Je vais t'avoir, murmura le joueur entre ses dents. Je sais pas où tu es, foutu acrobate, mais je vais t'av… je t'ai vu!"
Sora choisit cet instant prévu pour attaquer.
Il attira le véritable Krim à lui et l'embrassa tandis que son personnage égorgeait celui du jeu vidéo.
Ils s'allongèrent sur le lit, l'acrobate ayant balancé les deux manettes au loin pour s'occuper de Krim "in the real world", comme ils disaient.
Et c'est instant que le portable de Krim sonna.
"MERDE! S'exclama son propriétaire en se relevant pour décrocher. Je vais le but…- Allô frangin? Je te dérange?
- OUI!
- Ah, mince alors…
- Si tu ne fermes pas ta gueule tout de suite, je t'explose la face par télépathie!
- Exploser, hum… décidément, je suis poursuivi par les dingues des explosifs…
- Ah vraiment? Tu vas voir que ça va s'arranger.
- Hey mais non, Kimblee, ne le prends pas mal je… clic."
Krim envoya le téléphone à l'autre bout de la pièce et soupira.
"Merde. Désolé. Je sais même pas ce qu'il a voulu me dire du coup. Sans doute qu'il passera me prendre demain. Ou que non."
Sora, allongé sur le lit, ne bougea pas. Krim poussa un long soupir, suivit d'un ricanement.
"Chapeau en tout cas. Tu m'as eu. Enfreindre les règles, c'est ça? Ben bravo. Parce que c'était que pour le jeu, je suppose."
Il se leva sans attendre de réponse, qui ne vint pas de toute manière, remit sa veste à peu près correctement, ramassa son téléphone, les manettes qu'il posa sur la console, et partit.
"Tu as gagné, dit-il en passant la porte.
- C'est marrant, murmura Sora pour lui-même une fois qu'elle eut claqué, j'ai plutôt l'impression d'avoir perdu."
"Kim, attends, je plaisantais! Qu'est-ce qui te prend?"
L'homme aux cheveux longs ne daigna pas répondre ni même l'écouter. Il mit un dernier haut dans le sac, le sac sur son épaule et prit la direction de la porte.
"Zolf, si tu ouvres cette porte je risque de ne plus être maître de moi…"
CLAC. Il l'avait ouverte, il était sorti, puis il l'avait refermée un peu violemment.
Greed soupira. Kimblee avait parfois des sautes d'humeur… un rien le mettait en pétard… mais ce n'était jamais aussi grave. Généralement, cela se résumait à rester dans son coin sans dire un mot de la soirée.
L'homme aux yeux violets sortit et poursuivit celui aux yeux jaunes .
"Kim, attends! Merde, je PLAISANTAIS, c'était pour RIRE, crétin!
- Si tu en as assez des maniaques des explosifs, répondit l'autre sans se retourner, ça tombe bien, moi j'en ai assez de toi.
- Mais c'est quoi encore ce bordel?
- Tu es agaçant. Enervant. Tu me soûles. Point.
- J'ai fait quoi encore?
- C'est toi qui me soûle, tout ce que tu fais, de ton sourire de frimeur à ta manie de me sauter dessus toutes les trente secondes."
Greeda en resta estomaqué une seconde entière.
"Mais… je t'aime!
- Tu me veux. Nuance. Et tu veux tout, de toute manière.
- Si voulez foutre de la merde dans un couple, grommela Greed, appelez le 3615 Krim.
- Pfff!"
Kimblee leva les yeux au ciel, sans pour autant s'arrêter de marcher dans la rue en direction de l'arrêt de bus, Greed sur les talons.
"Et c'est toi qui dis ça! Quel…- Kimblee!"
Greed l'attrapa par l'épaule et le força à s'arrêter et à se retourner.
"Je t'aime ET je te veux.
- Bien sûr…
- Ecoute moi bon sang! Je veux que tu reste avec moi. Je… merde, je ferai gaffe à pas trop t'enmerder!
- C'est techniquement impossible.
- Je ne te sauterai dessus que… tous les trois jours, on aura qu'à tenir un calendrier!"
Kimblee ne put retenir un sourire.
"T'es vraiment trop con."
Voyant qu'il pouvait peut-être gagner la partie, Greed sourit également.
"Ca c'est clair. Et c'est aussi pour ça que tu m'aimes."
L'homme aux longs cheveux secoua la tête.
Il balança son sac derrière lui laissa Greed le prendre dans ses bras.
"Oui."
A suivre. . .
Greed : C'était quoi ce plan foireux?
Mélie : Quel plan foireux?
Greed : T'as vraiment cru que tu pourrais nous séparer?
Krim : Elle a du l'espèrer en tout cas...
Mélie : MAIS SAVAPALATÊTE!
Greed : à Krim Tu vois qu'elle le croit pas!
Krim : ... ah oui en effet.
Mélie : hurle toute seule Mais comment je pourrais vous séparer vous êtes faits l'un pour l'autre et...
