Nda: Salut tout le monde ! Pour les rar je suis désolée mais là je suis folle de rage donc je suis incapable de vous répondre calmement donc je le ferais dans le week-end je pense ! vraiment désolée mais vos reviews m'ont fait hyper plaisir, merci beaucoup ! Voila prochaine vignette vers dimanche !
PUB: Oasis et sa suite Outre-atlantique, toutes deux écrites par Laïka et Umbre-77, la première mélange pas mal de chose, les fous rire, la colère le désir, l'inquiétude bref géniale et palpitante ! On ne s'ennuie pas une seconde ! Quant à la suite, elle commence assez doucement mais après on retrouve l'action et le suspense ! Je vous conseille vraiment d'aller y jeter un coup d'œil, elles sont super agréables à lire ! Que du bonheur ! (Slash HP/DM evidemment !)
Rating: R
Paring: Slash HP/DM
Romance/Tragedy5 Happy together: POV de Draco
La douceur d'un cocon chaud. Corps à corps réconfortant. Tiédeur des rayons du soleil d'un matin d'avril. J'ouvris péniblement les yeux, le sommeil me collait encore à la peau comme une chaude couverture rassurante. Je me sentais bien, comme apaisé, ton corps doux et nu collait le mien, tes bras entouraient possessivement ma taille et ta tête reposait délicatement dans mon cou me faisant frissonner à chacune de tes respirations.
La soirée avait été parfaite, romantique et douce. Tout le contraire de ce qu'était notre relation jusque là, tu m'avais parlé pour une fois, tu t'étais confié rien qu'un peu mais c'était déjà énorme par rapport à ton silence habituel. Et moi je ne t'avais pas rembarré, ni insulté, je t'avais pris dans mes bras en t'embrassant doucement, cette nuit avait été merveilleuse. Je n'oublierais jamais tes mains glissant délicatement sur les marques de mon dos, ni tes lèvres effleurant la veine palpitante de mon cou, tes regards presque tendres et la douceur presque enfantine que tu avais mis dans tes caresses.
Ma vie était ce qu'on pourrait qualifier de normale voir même saine depuis quelques jours, comme si Merlin avait enfin décidé de me foutre la paix. Je t'avais toi tout entier, j'avais l'impression d'avoir réussi à avoir obtenu plus que ton corps. Je n'avais reçu aucune missive depuis près d'une semaine et aucune mauvaise nouvelle n'était venue assombrir notre bonne humeur. J'avais même reçu la veille une lettre de mère m'encourageant à défier l'autorité paternelle qu'elle-même était en train de pousser à bout.
Où tout cela allait nous mener, je ne le savais pas mais cela m'importait peu, j'avais douté de tout jusque là, de toi et de tes yeux verts qui me hantaient, de la justesse de mes choix, de moi. Parfois je pensais te haïr, la haine était un sentiment incontrôlable mais tellement moins douloureux que l'amour ou la jalousie. Et là tu dormais lové contre moi comme un chaton, tu ne te souciais de rien pendant que je m'interrogeais encore une fois sur ce que je pensais ressentir. Je ne t'aimais pas mais je ne te détestais plus, alors qu'étais-tu, toi le survivant, pour moi le fils de mangemort ?
Je voulais que plus rien ne change, que les choses restent comme elles sont. C'était parfait comme ça, en dehors d'un ou deux détails, comme par exemple le fait qu'un fou dangereux veuille encore et toujours tuer celui qui en ce moment même contribuait de beaucoup à mon bien être. Mais sinon la vie était tellement simple depuis une semaine, je n'avais jamais connu cette paix de l'âme qui vous donne envie de sourire doucement, de vous allonger pour ne plus bouger. Rester là ne penser à rien, écouter le vent et la nature, ne pas s'inquiéter du tournant d'une guerre qui ne voulait rien dire. Juste profiter du moment présent sans regarder en arrière ni se soucier de l'avenir.
Tes doigts caressant mon ventre me ramenèrent sur terre, un léger sourire illuminait ton visage ensommeillé. Tu étais plus qu'adorable au réveil, le corps lourd et chaud, battant des cils pour te réveiller, ma main se glissa dans tes cheveux en bataille tandis que mes lèvres se glissaient délicatement sur les tiennes, une vague de bonheur m'envahit alors me faisant oublier tout le reste, tout ce qui aurait pu nous inquiéter, nous déranger. Cette journée ensoleillée était pour nous et nous allions en profiter.
Happy together qui est sur la BOF de Freaky Friday (film que je vous conseille d'aileurs…)
