Eli214 active le mode « Repeat » ( mode « grosse flemme d'innover la partie « Disclaimer » à chaque chapitre ») et supplie les lecteurs de ne pas fustiger l'auteur à coup de clavier, de chaise ou même de caddie Auchan :la vie, la vraie!
Disclaimer :Donc, comme tout le monde s'en doute, je ne suis pas J.K.R., à mon grand regret car ça voudrait dire que:
je suis très très riche
j'ai une p…. d'imagination
j'ai pondu toute seule comme une grande le personnage de…SEVERUS SNAPE ! (SEVY FOREVER !)
je peux pas oublier le « e » de DumbledorE !
j'ai peut-être rencontré Alan Rickman pour de vrai que c'est pas des blagues, d'abord ! (si ça s'est passé, elle en a de la chance la bougresse !)
mais ce n'est pas le cas, car :
chui pas vraiment pétée de tune
j'ai une p…iètre imagination
le Snape n'est pas à moi… BOUHOOOOOOOOOUUU fond en larme
j'ai osé oublier le « e » de Dumbledor ! ( une des nombreuses autres fautes répertoriées…)
je ne vais sûrement JAMAIS AU GRAND JAMAIS rencontrer mon Rickounet, encore moins lui faire le bisou, ou me taper le carton avec lui !
En gros, tous les personnages, décors, expressions… liés à Harry Potter sont la propriété exclusive de J.K.R.
Sinon à part ça, tout va bien, je m'efforce d'écrire et de retranscrire mes idées avec le plus de cohérence possible, dans la mesure où l'on considère qu'Harry Potter est gay, gérontophile, que Severus Snape est aussi attiré par les hommes, jeunes de préférences mais bien entendu majeurs ! A présent, je vais répondre aux reviews que j'ai reçues :
ta v°a°l°v°u°l°e : Hey hey ! T'as ta ptite idée? On verra si tes soupçons étaient fondés… suspenseuh muarf muarf muarf ! bizoo ! (Tu m'grignottes ?)
Nymphodora Tonks : Bah y vont un peu morfler quand même, mais bon… faut pas que j'en dise trop, chui contente que le chapitre précédent t'ait plu, j'espère que celui là aussi te plaira. Biz biz !
jenni944 : N'est pas gnentil le Bubus hein! Meuh pourquoi qui leur fait ça, c'est un michant ! Lol bon ça va j'arrête, pis t'en fait pas, ça sera une « Happy End ». Bicous ciao !
ange de un cisme : Vala la suiiiite ! Pis désolée pour le sadisme, je fais pas exprès… « dis-je en sifflant et en roulant des yeux » Allez, ça me réjouit que tu apprécie ma fic, pourvu que ça due ! bizoo tcho
onarluca : Merci, ça me touche que tu trouve bien ma fic, et voilà la suite ! bicous +
petite grenouille : Tu as de la suite dans les idées dis moi… mais je ne peux rien dévoiler pour le moment, tu verras comment ça se passe dans les chapitres qui suivent, et j'espère que tu ne seras pas déçue ! bizz ciao
vega264 : Lol mais ne t'emballe pas ! Tu verras, si Dumby fait ça, c'est pour une bonne raison. C'est pas le big boss de Poudlard pour rien nan ! allez, bisous et merci de me suivre.
Oxaline : Merci pour ce compliment, j'espère que tu aimeras le chapitre suivant ! Biz biz +
Nightdreamangel : Voili voilou la suite ! Chui ravie que ma fic t'amuse, pourvu que ça continue ! Bisous !
Chapitre 7 : Cruelles résolutions
…/…
« -Je ne vais pas y aller par quatre chemins Severus… vous ne devez plus le voir !
-P..pardon ? » Severus était sur le point de s'étrangler avec sa propre salive en entendant ces quelques mots.
« -J'ai longuement réfléchi et je crois que c'est la solution la plus raisonnable. Croyez-moi.
-Mais…mais je ne peux pas Monsieur, c'est beaucoup trop tard pour me demander une chose pareille.
-Ne vous en faîtes pas pour cela Severus. Et puis de toutes les façons, je pense qu'il avait déjà quelques doutes à votre sujet…
-C'est impossible. Non, ça ne se peut pas, Albus. » Le professeur de potions ne put plus tenir debout un instant de plus et se laissa tomber sur la chaise la plus proche. Il affichait une mine désemparée et ne savait plus quoi répondre. Il était fort admissible que le directeur soit au courant pour la liaison qu'il entretenait avec son élève, mais delà à savoir exactement tous leurs faits et gestes dans l'intimité, les mots qu'ils s'étaient échangé, ceux que lui même avait préféré occulter…il voulait se persuader que tout ceci était bien quelque chose que Dumbledore ignorait. Il se souvint alors de la courte discussion qu'ils avaient eu la veille avant de s'endormir…
FLASHBACK
« -Voulez-vous que je continue Professeur ? Demanda Harry après avoir laissé le temps à son amant de reprendre ses esprits embrumés par cet instant de plaisir.
-Je ne voudrais pas vous forcer à faire quoi que ce soit Harry. Nous avons tout le temps pour apprendre à nous connaître, et…pour ces choses là. Répondit Severus, un petit sourire espiègle sur les lèvres.
-J'aimerais vous connaître maintenant, par cœur. Dit le Survivant en venant se lover contre le torse de son professeur, celui-ci enroulant un bras autour des épaules de Harry. Ce dernier continua.
-Est-ce que…vous pouvez me parler de vous et de …de mes parents, enfin, je veux dire, pas de mes parents, enfin pas mon père, ça je sais, vous le détestiez, mais vous pou…
-Potter…taisez-vous nom d'une chouette. Effectivement, votre père me révulsait l'estomac, tout comme votre canich…pardon, votre « parrain ».
-Et ma mère ? Demanda-t-il sans faire attention à l'insulte que l'homme venait de faire à Sirius.
-Votre mère…je peux simplement vous dire qu'elle était bien différente de ces deux là. Maintenant, dormons, je dois voir le directeur tôt dans la matinée demain. »
Il retira son bras, se tourna de l'autre côté et fit mine de s'endormir sur le champ. Harry fut surpris par cette réaction brutale mais vint tout de même se blottir contre le dos de Severus, passant un bras sur sa hanche. Se disant qu'il avait peut-être été trop brusque, Severus prit la main de son jeune amant, comme pour le rassurer. Ils s'endormirent ainsi peu de temps après.
FIN DU FLASHBACK
'Non, Harry ne peut pas se douter de cela. J'ai agit, certes, de manière étrange lorsqu'il a commencé à me parler de Lily, mais…non, je n'ai rien laissé paraître d'autre pour le mettre sur la voie…'
… pense que vous comprenez, d'ailleurs…
'Mais peut-être que le vieux a raison. Peut-être que nous ne devons pas continuer, qu'il en va de la sécurité de chacun, et d'un côté, de la vie de chacun.'
…et c'est encore mon étudiant malgré tout, et vous, un très bon enseignant…
'Moi et ma double vie d'espion pour l'Ordre et le Seigneur des Ténèbres, j'aurai vite fait de le mettre en danger, et s'il lui arrivait quoi que ce soit, je ne pourrait pas me le pardonner…'
…Severus ? Est-ce que tout va bien ?
-Oui, veuillez m'excuser. C'est d'accord Albus, je vais tout cesser immédiatement. Je présume qu'il n'est pas non plus raisonnable de l'en avertir, il comprendra par lui-même n'est-ce pas ? Le maître des potions avait pleinement retrouvé son attitude sombre, froide et sarcastique, mais ses propos dégageaient avant tout un sentiment d'amertume et de colère refoulée.
-En effet. Agissez comme d'habitude, ne changez rien, simplement, ne le voyez plus.
-C'est entendu, j'agirai comme si rien ne s'était passé.
-Voilà c'est à peu près cela. Je suis heureux de voir à quel point vous pouvez être raisonnable mon cher Severus.
-Puis-je me retirer Monsieur ?
-Oui, ce sera tout. Bonne journée mon ami. »
Severus ne se donna même pas la peine de répondre. Il se leva brusquement et quitta la pièce dans un tourbillon de robes noires. Il lui sembla même qu'il avait claqué la porte…il ne saurait en être certain, son esprit était trop occupé à contenir sa haine, sa douleur, sa peine. Il était presque au bord des larmes lorsqu'il arriva au bas des escaliers en colimaçon. Mais il devait encore se retenir. Il ne devait pas flancher. Pas maintenant. Pas ici, sous le regard des élèves, des professeurs, de « lui », peut-être. Il emprunta un passage secret qui le mena rapidement chez lui. Arrivé dans son cachot, il pu enfin se laisser aller, les larmes ayant commencé à perler sur ses joues pâles. Dès qu'il eut fermé la lourde porte en bois, il s'y adossa et se laissa glisser jusqu'au sol, les poings serrés, la mâchoire crispée, les yeux rougis par des sanglots brûlants de rage, d'incompréhension et d'impuissance.
Il aurait voulu être mort, que quelqu'un vienne l'achever, le libérer de cette aigre et lente agonie. Lui qui pensait enfin apercevoir une once de lumière dans sa ténébreuse existence, l'apparition furtive d'un espoir tant attendu.
On ne lui avait pas laissé assez de temps. Pas même assez pour y goûter au point de se souvenir de sa saveur, et l'ancrer dans sa mémoire, dans son être. Il se maudissait de ne pouvoir retracer mentalement les courbes de son corps, le galbe de ses lèvres si douces et si sucrées. Il l'avait laissé fuir. Lui aussi. Il ne devait être qu'un traître, qu'un lâche en fin de compte. S'il l'avait vraiment aimé, il se serait battu pour le garder, il aurait tout tenté. Et il l'aurait déjà appris par cœur, de telle sorte que le vide qui dévorait l'espace des ses bras à ce moment même puisse être comblé par le souvenir de ce corps tant aimé. Une présence illusoire, vaporeuse, mais vitale. Au lieu de cela, il l'avait abandonné, au bénéfice de la raison, de la sagesse et de la bonne conscience. Et maintenant, il devait vivre, ou plutôt survivre comme si rien ne s'était passé, comme si ce Potter n'avait pas découvert les sentiments réels que lui portait son maître des potions, comme s'il ne s'était pas livré de tout son corps et de toute son âme pendant une nuit. Une nuit amère. Chimérique ? Il avait peut-être rêvé après tout. Son désir avait peut-être pris les devants de la réalité…
Non, un tel moment, de tels sentiments, avec autant d'intensité ne peuvent pas être la pure et simple création d'un esprit trop imaginatif ou trop ambitieux. Tout s'était réalisé et c'était bien la peau de Harry qu'il avait touchée, sentie, goûtée, et non un simple fantasme. Pourtant, il devra faire « comme si ». Comme s'il n'avait fait que rêver, comme si ce regard d'émeraude contenait toujours la même rancœur, la même haine et non un quelconque témoignage d'amour ou de désir. Comme si tout allait être comme avant et qu'au prochain cours où ils auraient à se voir, il le traiterait aussi durement, sans aucun signe ou aucun indice pour lui dire « ne t'inquiète pas mon cœur, je ne le pense pas ».
Severus s'efforça de reprendre ses esprits et sécha ses larmes d'un revers de main. Il se releva maladroitement-'je dois vraiment faire peine à voir'- et se laissa guider par son inconscient vers sa chambre où il ôta ses robes, s'allongea sur son lit, le visage enfoui au creux d'un oreiller, et fit se perdre sa voix en un cri de rage qu'il avait eu énormément de mal à maîtriser.
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« -MERLIN HARRY ! MAIS OU T'ETAIS PASSE ? Hurla Ron en se jetant sur son ami qui venait de pénétrer dans la salle commune.
-Hé mais du calme ! J'arrivais pas à dormir, alors j'ai passé la nuit à la tour d'astronomie. Mentit le Survivant.
-Mais…mais…je me suis fait un sang d'encre moi ! C'est ta cicatrice encore ?
-Non, juste une petite insomnie. La routine quoi.
-Franchement, t'aurais pu me laisser un mot quand même ! La prochaine fois que tu me fais un coup pareil et bien je…je…voilà ! Alors fais gaffe !
-Ok Ron ! Pas de souci, je ne voudrais VRAIMENT pas attiser ta colère. Ironisa Harry.
-C'est ça, fous-toi de ma gueule ! En attendant, moi je m'en suis fais du souci. Lança le rouquin avant de quitter , furieux, la salle commune et de rejoindre Hermione à la Grande Salle.
'Oups, il a l'air furax. Bon, j'irai lui parler plus tard. Faut que je me remette de mes émotions d'abord.' Harry affichait un large sourire alors qu'il se parlait à lui même. La nuit qu'il venait de passer dans les bras de son professeur avait été merveilleuse, à la limite du rêve. D'ailleurs, il ne fut pas étonnant qu'à certains moments, en observant son maître des potions dormir, le jeune sorcier se soit pincé le bras pour s'assurer qu'il vivait réellement ces superbes instants, tant il n'en croyait pas ses yeux.
Il grimpa quatre à quatre les marches qui menaient aux dortoirs des garçons avec l'impression d'être sur un nuage. Il rejoignit son armoire, y prit quelques affaires et fila directement dans la salle de bain. Il profita d'un long moment de détente, bien installé dans son bain moussant, et ne tarda pas à s'assoupir.
C'est à cet instant qu'elle apparut. Une vive lueur argentée, éblouissante pour quiconque l'observerait, au beau milieu de la chambre. Une auréole mouvante qui paraissait dotée d'une vie propre et qui se dirigeait instinctivement vers le lit du Survivant. Elle se déplaçait lentement, telle un spectre sans forme, indéfinissable. Lorsqu'elle atteint le lit du Griffondor, elle s'immobilisa. Quelques secondes plus tard, elle commença à enfler et à étendre de plus en plus sa couronne de lumière. Puis soudain, un éclair violent illumina la pièce et de cette auréole se détacha une perle d'énergie, un second halo argent de la taille d'un poing, qui flottait au dessus des draps recouvrant le lit. La première flamme s'évapora tandis que la plus petite se posa sur le lit, perdit peu à peu de son éclat jusqu'à cesser de briller complètement.
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Ron franchit la porte de la Grande Salle et aperçut Hermione en compagnie de Parvati Patil en train de prendre leur petit déjeuner. Il s'empressa de les rejoindre.
« -Ah Ron, enfin, je commençais à désespérer. Dit Hermione avant d'embrasser son petit ami. Où est Harry ?
-Ne me parle surtout pas de lui, tu veux ! Il m'a assez gâché la journée comme ça. Répondit Ron en remplissant son assiette.
-Mais enfin, qu'est-ce qu'il s'est passé encore ? Demanda la jeune femme, complètement stupéfaite.
-Tu lui demanderas toi-même si tu veux, moi, je mange ! Répliqua le roux la bouche pleine.
-Très bien, je le ferais. Mais il faudrait vraiment que vous arrêtiez tous ces enfantillages. Vous avez quel âge, hein !
-C'est lui qui a commencé ! Lança Ron, recrachant au passage une partie de son toast.
-C'est bien ce que je disais à l'instant… soupira Hermione, plus pour elle-même que pour répondre à Ron. Bref, maintenant, mange et tais-toi !
-Gnagnagna, tais-toi toi même…siffla Ron entre ses dents et son bol. »
Le vacarme des bavardages maintenait son rythme habituel, mêlant les débats sur les cours, le Quiditch, les filles et les garçons, en un seul bourdonnement assourdissant. Pourtant, quelque chose fit s'affaiblir les discussions, celles-ci étant rapidement remplacées par d'incompréhensibles chuchotements provenant en majorité de la table des rouges et ors. Cette baisse de régime se devait à l'entrée toujours aussi glaçante du maître des potions dans la Grande Salle. Comme à son habitude, il affichait un air méprisant sur le visage, et sa démarche alliait prestance et énergie. Mais aujourd'hui, son regard était particulièrement froid, quasiment meurtrier, d'autant plus lorsqu'il se posa sur la rangée des Griffondors, insistant sur la place vide qui régnait à côté du dernier garçon Weasley. Le professeur stoppa d'ailleurs juste derrière son élève et l'interrogea.
« -Mr. Potter est encore absent ? Demanda Snape, se tenant droit, les mains dans le dos et le regard hautain.
-Comme vous pouvez le constater. Lança Ron, regrettant aussitôt le ton qu'il venait d'employer.
-Ne prenez pas trop d'assurance avec moi Mr Weasley, vous pourriez rapidement vous en mordre les doigts. Dîtes à Mr Potter, lorsqu'il daignera enfin faire son apparition, que je n'accepterai plus aucune absence à l'un de mes cours, souffrant ou non, auquel cas je me verrai dans l'obligation de le renvoyer du cours de potions, ce qui, je vous l'assure, ne sera pas une grande perte. » Après avoir lancé un ou deux regards assassins à l'ensemble de la tablée, le maître alla rejoindre la table des professeurs où il entama de prendre son repas, sans un mot à ses collègues, perdu dans ses rongeantes pensées.
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Ce sera tout pour ce chapitre, j'espère qu'il vous a plu et que vous allez continuer à suivre ma fic jusqu'au bout ! Parce qu'y a des questions que vous devez vous poser, du genre Mais c'est quoi cette lumière ? Pourquoi le Bubus il a dit ça à Sévichou ? Pourquoi Ron ne sait pas manger correctement ? enfin voilà, merci de me suivre et à la prochaine pour les réponses à ces questions existentielles.
Ps : pour Ron, y a pas vraiment de réponse prévue, à chacun sa propre interprétation !
