Titre : Une fenêtre sur le passé
Auteur : Andromède, mais vous pouvez m'appeler Majesté...
Spoilers : Les 5 tomes, sans exception !
Disclaimer : Aïe ! D'accord, JKR, d'accord, je t'ai tout piqué, rien n'est à moi, et je ne me fais pas de fric sur le dos de tes personnages, mais arrête de taper !
Notes de l'auteur : Bon, il a mis plus de temps à venir, celui là, j'en suis vraiment désolée... Pas taper, pas taper... Pour tout vous dire, je n'aime pas beaucoup la fin de ce chapitre, excepté les bêtises des Maraudeurs, évidemment ! Pauvre Harry, il va goûter aux Fouteurs-de-brin version Andro', niek niek... Toujours un grand merci à GabrielleTrompeLaMort, pour ses commentaires constructifs et sa patience légendaire pour l'abrutie finie que je suis, lol. Plein de bisoux et de mercis aussi à Callisto, pour ses cours d'Italien en direct d'MSN et sa permission d'emprunter son personnage pour cette fic, lol.
En tout cas, je vous souhaite une bonne lecture pour me faire pardonner du retard et de la nullité affligeante de ce chapitre.
UNE FENETRE SUR LE PASSE
Chapitre 4 : La nouvelle recrue
C'était bel et bien Harry que James et Sirius avaient entr'aperçu sur le quai 9 3/4. Seulement lui, ne les avaient pas vus, et, sa valise miniaturisée dans sa poche, il avait embarqué au moment ou le train démarrait, et s'était mis à flâner dans les couloirs, observant les élèves à la dérobée, cherchant inconsciemment une bande de quatre garçons occupés à rire...
De temps en temps, il scrutait son reflet dans la vitre poussiéreuse, comme pour vérifier que son apparence n'avait pas changé. Non. Il était toujours Harry Dawson. Et ce n'était décidément pas un rêve. Il avait revêtu ce jour là une tenue moldue banale : jean et pull over défraîchi, et passé un blouson par dessus. Harry avait bien remarqué qu'on le prenait pour un étudiant de Poudlard, en raison de son allure encore juvénile. Et il avait décidé en connaissance de cause d'accentuer le phénomène en se vêtissant à la moldue. Il n'avait pas vraiment fait ça pour une raison particulière, si ce n'est qu'il voulait garder secret son statut de nouveau professeur de Défense contre les Forces du Mal le plus longtemps possible.
Allez, Harry, avoue le, que tu as vraiment envie qu'ils te prennent de nouveau pour l'un des leurs...
-Attention !
Harry eut tout juste le temps de se retourner et de tendre les bras pour arrêter la course de la tornade rousse qui lui fonçait dessus. Malheuresement, le reflexe ne suffit pas, ils se se sentit projeté en arrière, un autre corps préssé contre le sien. Il atterit doulouresement sur les fesses, et celui ou celle qui l'avait fait tomber se releva d'un bond.
-Bon sang, Oona, tu ne pouvais pas y aller plus doucement, non ?
Harry sentit son coeur faire un bond dans sa poitrine tandis qu'il levait les yeux. Cette voix, cette silhouette... Il les avait déjà aperçus une fois, il y a quelques années, au fond d'une Pensine...
Une jeune fille brune se précipita vers eux, baguette en main, un air désolé et affolé sur le visage.
-Pardon, Lily, je l'ai pas fait exprès ! Je... J'ai mal calculé, tu m'avais dit d'imaginer que tu avais la tête de Black... Et moi j'ai perdu le contrôle... Pardon, pardon, pardon...
La brune avait joint les mains autour de sa baguette et s'était incliné devant Lily Evans ( car c'était bien elle ! ) en s'excusant sans arrêt, sans prendre la peine de reprendre son souffle. Harry observa avec un sentiment de joie grandissant sa future mère épousseter sa robe et grogner à son amie de faire plus attention la prochaine fois. Une petite voix, quelque part dans son esprit, lui souffla qu'il avait l'air complètement ridicule a rester assis par terre au milieu du couloirà regarder la jeune fille rousse avec un large sourire stupide.
-Excuse moi, je m'entraînais au maléfice de catapultage, et j'y suis allée un peu fort avec mon cobaye... Toutes mes excuses ! S'exclama la dénommée Oona en tendant une main à Harry pour que l'aider à se relever.
Il se força à se calmer pour arrêter de trembler et se releva en souriant. L'amie de Lily, Oonaétait plutôt petite et menue, mais elle était du genre garçonne. Ses longs cheveux bruns ondulés étaient relevés en chignon grossier d'où s'échappaient des douzaines de mèches folles. Elle avait un visage rieur, nantis de deux yeux verts très foncés, ou brillait une flamme sauvage et indomptable. Harry comprit immédiatement que c'était le même genre de personnage que Sirius : rien ni personne pour la tenir enfermée.
-Ce n'est rien... Dit Harry en souriant. On dirait que ça devient une habitude depuis quelques jours, de me foutre à terre...
Il fit une grimace amusée, plus pour lui même que pour les jeunes filles. Il se tourna de nouveau vers elle et dû se faire violence pour ne pas se mettre à dévisager Lily. Elle lui apparut telle qu'elle était : magnifique. Avec ses longs cheveux roux qui lui retombaient en cascade sur les épaules, sa peau d'une blancheur de lait, ses lèvres vermeilles et ses grands yeux verts en amande, si semblables aux siens. Harry avait toujours trouvé sa mère merveilleuse, et en avait toujours fait une espèce de déesse protectrice.
La seule fois ou Harry avait parlé de sa mère a quelqu'un, c'était à Hermione... Et là, pour la première fois, elle se tenait face à lui, bien vivante, en chair et en os. Les deux jeunes filles étaient absorbées par une discution sur le sortilège qu' Oona avait tenté de pratiquer, et Harry relâcha sa garde quelques instants, juste le temps d'un souvenir...
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Hermione caressa son ventre rond, et regarda d'un oeil attendri Ron, qui dormait, la tête posé sur les genoux de la jeune femme. Elle avait passé une main dans ses cheveux, et de l'autre, palpait cet endroit si cher aux femmes. Tanière secrète et inaccessible, berceau de la vie depuis la nuit des temps. Harry lui faisait face, une tasse de chocolat fumante à la main, un sourire fatigué aux lèvres.
-Alors, Hermione, qu'est ce que ça fait d'avoir un mini-Ron à l'intérieur de ton corps ?
Elle lui tira la langue.
-Pour commencer, ce n'est pas un mini-Ron, mais une mini-Hermione, môssieur le macho.
Harry sourit et avala une gorgée de chocolat brûlant. Oui, Hermione attendait une fille. Mais comment aurait elle pu savoir qu'elle ne verrait jamais le jour ? D'ici quelques jours, elle et Ron ne seraient plus de ce monde, tués lors d'un raid de Mangemorts qui auraient mal tourné.
-Elle s'appelera Vincianne. Murmura Hermione, un sourire béat aux lèvres.
-Ca ne te fais pas peur, la maternité ?
-Harry... Les femmes ne fonctionnent pas comme les hommes...
Hermione avait repris ce ton patient et éxaspérant qu'elle se plaisait à adopter pour leur expliquer à lui et à Ron les subtilités de la nature féminine, et qu'elle avait commencé à employer lors de leur 5e année... Harry grimaça un sourire et accepta de bonne grâce la nouvelle leçon.
-Comment pourrais je avoir peur de mon bébé, puisque lui et moi ne faisons qu'un ? Il vit en moi, il est ma raison d'être.
Harry fixait un des pieds de la table basse, un léger sourire aux lèvres, les yeux remplis d'une chape sombre.
-Vincianne me parle, et moi, je lui réponds. Elle me raconte sa vie future, telle qu'elle la rêve, et moi, j'essaie de lui dépeindre du mieux que je peux le monde dans lequel elle va atterir. Avec Ron, son père, avec moi, sa mère, et avec toi, Harry.
Pattenrond, qui avait bien vieilli, se leva du tapis ou il était lové et vint se frotter contre les jambes du jeune homme aux cheveux noirs en bataille.
-Mais peut être que tu as raison, Harry... Peut être que quelque partça me fait peur. J'ai toujours été rationnelle, terre à terre et donneuse de leçons. Explique moi un peu comment je vais m'en sortir pour changer une couche à n'importe quelle heure de la nuit ? Dit Hermione en riant.
-Bah, tu trouveras bien un bouquin à la bibliothèque de ta faculté qui t'expliqueras la chose... Murmura Harry en portant une nouvelle fois la tasse à ses lèvres.
-Non, ces trucs là ne pourront jamais être clairement expliqués dans un simple livre...
Elle soupira, et Patenrond bailla. Le feu crépita plus fort dans la cheminée, et une étincelle sauta sur le tapis, y laissant une trace noire que s'empressa de venir renifler le vieux matou.
-J'ai demandé à ma mère, Harry. J'ai demandé à Molly. Et aucune ne m'a vraiment donné la réponse que je souhaitais entendre...
-Peut être que ça ne se transmet pas... Murmura Harry. Peut être que tu devras apprendre par toi même ce que signifie être mère...
-Parle moi de la tienne, Harry.
Il releva la tête, surpris. Hermione avait un air à la fois triste et graveà la fois sérieux et implorant.
-S'il te plaît. Dit moi... Tu as parlé avec elle, toi aussi, quand elle et toi ne faisiez qu'un. Et le fait que tu ne l'ai jamais connue... Certainement que cela a conservé intacts dans ta mémoire ces moments ou vous vous racontiez mutuellement vos rêves... Moi, j'ai oublié, mais pas toi.
Harry hocha la tête, les mains sérrées autour de sa tasse vide, qui continuait pourtant de lui réchauffer les doigts, engourdis par la nuit de veille qu'il avait passée avec Ron.
-Je ne sais pas, Hermione... Tout ce que je sais, c'est qu'à chaque fois que j'ai eu besoin d'elle, elle a été là. Présente dans mon coeur et dans mon esprit... Elle m'aidait, par la pensée, me montrait le chemin à suivre et les gestes à faire...
Il ne la regardait pas, mais il se doutait qu'Hermione buvait ses paroles.
-En un sens, nous avons toujours fait parti l'un de l'autre... Et peut être parce que je ne l'ai pas connue, je l'ai toujours imaginée à ma guise... Certainement, je l'ai trop idéalisée...
-Nous faisons tous ça avec notre mère Harry... Tous les êtres humains considèret leur mère comme la personne la plus importante pour eux...
-Oh, pas toujours... Assura Harry avec un petit rire. Ne me dit pas que tu as déjà oublié l'affreuse Mrs Black ?
-C'est vrai, admit Hermione en souriant. Mais n'oublie pas que Sirius n'avait jamais considéré sa mère comme telle, et qu'il avait reporté son affection sur ton père et sa famille...
Harry hocha la tête.
-Qu'est ce que ça fait de prononcer le mot "maman"... et de voir quelqu'un se retourner pour te répondre ? Demanda t'il à son amie, le regard toujours fixé sur le feu crépitant.
-Ca procure une sensation incroyable... La sensation d'être aimé... Par quelqu'un qu'on aime aussi.
Harry sourit, satisfait de la réponse. Hermione l'avait toujours compris mieux que personne, il savait qu'il pouvait lui confier sans crainte ce qu'il s'apprêtait à révéler.
-Tu sais, Hermione... Je crois que je n'ai jamais vraiment fait le deuil de ma mère. Elle a toujours été l'unique femme dans ma vie, et tu ne peux pas savoir à quel point ça m'avait dérangé de voir mon père la draguer, quand je suis allé faire un tour dans les souvenirs de Rogue, en 5e année...
Hermione éclata d'un rire qu'elle s'efforça de rendre le plus silencieux possible pour ne pas réveiller Ron. Harry lui même leva les yeux en souriant au ciel face à ce qu'il venait de dire : il était désespérant...
-Tu sais Harry, je crois que c'est pour tout le monde pareil... Moi même, quand j'était petite, j'ai surpris mes parents en train de... hem... se livrer au simulacre de la reproduction, et depuis, je n'ai plus eu qu'une idée en tête, c'était de tuer ma mère et de me retrouver à sa place dans le lit de mon père...
Ce fut au tour de Harry de rire en silence. Hermione reprit son sérieux :
-Tu sais Harry, je crois que le jour ou tu feras vraiment le deuil de ta mère...
Il dressa l'oreille, plus attentif que jamais.
-Et bien ce sera le jour où tu tomberas amoureux.
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Harry secoua la tête pour chasser les dernières bribes de son souvenir, où il voyait les cadavres de Ron et Hermione, et le souvenir de la petite Vincianne qui n'était jamais née...
-Au fait, qu'est ce que tu fais dans ce couloir, tu n'as pas trouvé de place ? Viens avec nous, si tu veux ! Lui proposa Lily d'un air joyeux.
-Merci, c'est gentil, mais je ne voudrais pas m'imposer. Répondit Harry gentiment.
Il allait se retourner pour prendre congé, lorsqu'il se retrouva face à une troisième jeune fille, qui avait son visage a seulement quelques centimèteres du sien. Son expression était la surpise même, et, avant que Harry ai pu faire le moindre geste, elle s'écria :
-Cazzo ! Sto tizio è troppo bello ! (1)
Harry s'écarta brusquement, il n'avait rien compris à ce que la fille venait de s'exclamer, et qu'il devina être de l'Italien ou de l'Epagnol. Celle qui lui faisait face était assez grande, plutôt mignonne, avec de longs cheveux noirs soyeux et épais et des yeux de la même couleur, nantis de longs cils recourbés. Sa peau était légèrement mate et elle avait un port de tête haltier, doublé d'un maintien de mannequin.
-Callisto ! S'exclama Lily à la nouvelle venue, qui ne le quittait pas des yeux et le dévorait littéralement du regard en souriant d'un air appréciateur, sans paraître s'apercevoir de la gêne mortelle de Harry, aussi rouge que la bannière de Gryffondor.
-Salve, Lily, amica mia ! Répondit elle en se tournant vers la rousse et en l'embrassant.
-Salut, Cally ! Dit Oona en serrant la main de celle qui se nommait Callisto.
-Bonjour, les filles ! S'exclama elle avec un fort accent Italien, qui confirma Harry dans ses soupçons.
-Tu n'es pas avec Casilda ? Demanda Lily.
-Non, elle est partie "dire bonjour" à Sirius ! Répondit Callisto en riant. J'y serais bien allée avec elle pour saluer James et Remus, mais je vous ai aperçues avec ce... jeune homme... ( elle passa sa langue sur ses lèvres d'un air satisfait ) et comme elle était déjà loin, je n'ai pas pu la prévenir.
Lily se tourna vers Harry, l'air moitié rieur, moitié désolée.
-Je ne suis vraiment qu'un monstre d'impolitesse ! J'ai oublié de me présenter : je m'appelle Lily Evans, et voici Oona O'Neary.
Oona fit un salut militaire, et Harry s'empressa de réparer lui aussi son oubli.
-Enchanté, je m'appelle Harry Dawson.
-Ravie de te connaître, voici Callisto di Lampedusa.
Sa future mère désignait celle qui avait martyrisé ses tympans de façon si magistrale. Elle s'inclina jusqu'à terre dans une révérence sans doute éxagérée, mais pas le moins du monde moqueuse.
-Je suis véritablement enchantée ! Dit Callisto, toujours en pleine courbette. Les filles, c'est formidable, ce soir, je m'endormirais en étant sûre d'avoir vu Appolon lui même !
Harry sentait ses joues brûler tandis que la jeune fille s'éloignait en riant et en faisant un signe de la main à Lily et Oona. Encore une cinglée... Bon sang, je suis persuadé que si on me cassait un oeuf sur le front, il cuirait en moins de deux...
-Excuse la, dit Lily, une fois que son fou rire se fut un peu calmé. Callisto est... disons... très extravertie, et ne manques jamais une occasion de se faire remarquer.
-Bah, elle est gentille. Répliqua Oona en souriant.
-Gentille, mais cinglée ! Insista Lily.
Oona attrappa sa meilleure amie par le bras avant de lui faire les gros yeux et de lui dire très sérieusement :
-Moi je sais que la seule raison pour laquelle tu trouves Callisto cinglée, c'est parce qu'elle est sortie pendant presque un an avec James Potter, et qu'ils sont toujours bons amis malgré leur rupture ! Allez quoi, il est pas si insupportable, ce mec !
-Tu dis ça uniquement parce que c'est ton capitaine de Quidditch... Marmonna Lily.
-Attrapeuse, et fière de l'être ! Quand je serais passée pro en équipe nationale, et que lui et toi seraient mariés avec tout plein de bébés, tu reconnaîtras devant la Terre entière que Oona O'Neary était la meilleure Devineresse de l'Histoire !
Lily eut tout juste le temps de faire un bref signe au revoir à Harry, avant qu'Oona ne l'entraîne encore plus loin. Harry eut la présence d'esprit de gommer toute trace de surpise de son visage et de saluer les jeunes filles de la main. Lily avait les joues brûlantes et faisait tous les efforts possibles et immaginables pour se dégager de la poigne d'Oona, qui cria un retentissant "A plus tard " à l'adresse de Harry. Elles disparurent à l'ange du wagon.
Harry s'accorda quelques secondes pour emmagasinner les bribes d'informations qu'il venait de récolter. Apparemment, il n'était pas le seul à pressentir que James et Lily allait finir ensemble ( et lui ne faisait pas que le pressentir ! ), puisque Oona en semblait également convaincue... Il sourit : ses parents n'étaient peut être pas si éloignés l'un de l'autre tant que ça, finalement...
De plus, il venait de faire la connaissance de l'actuelle attrapeuse de l'équipe de Gryffondor, ce n'était pas rien ( Oona portait l'écusson des lions sur sa robe de sorcier ), et il se promis de voir ce que la jeune fille valait à se poste à la première occasion qui se présentait.
Cette folle est une ex de mon père ? Oh, génial, je le plains sincèrement... Mais Callisto, outre sa tendance à embarasser les garçons ( en particulier les Harry... ) semblaient assez sympathique, et Harry ne s'inquiéta pas outre mesure. Il avait vu briller sur la robe de l'Italienne le symbole de Serdaigle, et c'était une bonne chose : il aurait des connaissances dans plusieurs maisons avant de démarrer l'année, et c'était un avantage.
Il jeta un dernier coup d'oeil vers l'angle de couloir en direction duquel les deux jeunes filles avaient disparus, puis se détourna en souriant. Il ajusta son blouson, puis partit dans la même direction que Callisto. Comme elle et Casilda, il avait envie d'aller "dire bonjour" aux Maraudeurs.
Elle a vu Apollon avant de dormir, hein ? Et bien moi, j'aurais vu ma mère avant de mourir...
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-Et il était comment, ce type ? Demanda Sirius en fronçant les sourcils, tandis que Casilda s'accrochait de toute la force de ses bras à son cou.
-Troppo bello ! S'exclama Callisto, après avoir déposé une bise sur la joue de James. Aussi grand que toi, avec de longs cheveux très noirs attachés en catogan... Et des yeux, mamma mia, je me serais bien noyée dedans...
Elle se laissa tomber de tout son poids sur James qui laissa échapper un grognement de protestation, vite étouffé par la brune qui lui avait attrappé la tête et le secouait comme si elle espérait qu'il change d'apparence et devienne l'inconnu du couloir. Le pauvre Cornedrue tenta de repousser l'assaillante, mais en vain : Callisto savait se montrer pire que Casilda, quand elle le voulait. Nos deux Maraudeurs étaient donc parfaitement immobilisés, incapables de bouger et sur le point de mourir asphyxié, lorsque la porte du compartiment s'ouvrit légèrement :
-Excusez moi de vous déranger, mais...
En un éclair, James fut libéré et retrouva un champ de vision normal. Et pour cause : Callisto venait de changer de cible, elle s'était jeté sur le nouvel arrivant. James et Sirius reconnurent la longue chevelure noire :
-Harry !
Harry se dégagea tant bien que mal de l'étreinte de la jeune fille, et regarda successivement les six adolescents présents dans le compartiment. James, Remus, Sirius, Peter, Callisto et une deuxième fille qu'il ne connaissait pas. Il vit nettement qu'ils retenaient tous leur envie de rire, et coula un oeil vers la vitre. Son reflet lui appris ce qu'il avait besoin de savoir : la jeune Italienne avait transormé son crâne en cactus de l'Arizona... Ses longs cheveux noirs étaient si emmêlés par les caresses de Callisto que même James était présentable en comparaison.
Il éclata de rire face à sa nouvelle coiffure, bientôt imité par tout le compartiment.
-Harry, qu'est ce que tu fais là ? Finit par hoqueter Sirius, en reprenant son souffle.
Harry inspira une grande goulée d'air pour se calmer et se contenta de sourire mystérieusement face à James et Sirius qui le regardaient fixement, attendant uen réponse.
-Je cherchais une place assise... Pas que le couloir me déplaise tant que ça, mais c'est fou ce qu'il manque de conversation...
James éclata de rire et Sirius se laissa tomber contre l'épaule de Remus, en faisant de grands gestes mélodramatiques :
-Malheur sur ma pomme, j'ai trouvé plus fort que moi au jeu du plus débile...
-Appollon avait de la cervelle à revendre, c'était le Dieu du soleil et des musiciens... Murmura Callisto, un bras glissé derrière sa nuque et la tête rêveusement appuyé contre la vitre.
Harry se tourna pour cacher son rougissement, et Casilda se mit à observer d'un oeil attentif le nouveau venu. Remus repoussa Sirius dans les bras de son Pot-de-colle attitré ( "Hey " ) et se tourna lui aussi vers Harry.
-Alors c'est toi le fameux Harry ? Tu es nouveau ?
Harry se contenta d'un sourire mystérieux, et de passer sa main dans ses cheveux pour les remettre en place ( "Regarde, James, c'est comme ça qu'on fait" "Ta gueule, Sirius " ). Il avisa la place libre entre Remus et Casilda, et d'un assentiment muet, les Maraudeurs l'invitèrent à s'asseoir avec eux. Le jeune loup garou fut le seul à remarquer l'éclair qui traversa les prunelles du jeune homme lorsque son regard se posa sur Peter.
-C'est vraiment chouette de te revoir, Harry, en tout cas. Lança Sirius.
Harry n'eut pas le temps de répondre, que déjà son futur père embrayait, entrant immédiatement dans le jeu de Sirius.
-Ouais, tu sais, c'est le même genre de truc qui arrivent dans les romans. On rencontre quelqu'un par hasard, on palabre un peu avec, et on le quitte en pensant qu'on ne le reverra plus jamais...
-Et il se trouve que ce quelqu'un réapparaît un peu après sur notre chemin...
-Et dans le cas des Quêtes épiques, il se trouve que cette personne est en réalité un allié essentiel, pour le héros...
Remus interrompit ce petit échange Maraudeurien, en voyant le léger trouble qui agitait le visage de Harry.
-Ne me dîtes pas que vous vous prenez pour des héros de roman, les mecs ?
-Bah, la Quête de tout étudiant de 7e année qui se respecte, mon vieux Lunard...
-Le Saint-ASPIC est au bout de la Quête... Murmura Casilda d'une voix qui imitait à la perfection celle de Trelawney. Nous sommes les vaillants chevaliers du Roi Dumbledore, siègeant autour de la Table Ronde de Serdaigle...
-Hey ! S'écria Sirius. Les aigles sont en minorité, ici ! Vive Gryffondor !
Il monta debout sur son siège et poussa un cri de guerre retentissant, bientôt interromput par Casilda et Callisto. Les deux amies semblaient furieuses, du moins en apparence, et avaient entreprit de descendre à coups de chatouilles l'imprudent qui avait osé défier leur Maison. James et Peter étaient totalement morts de rire, Remus tentait vainement de se dégager ( le châtiment de Sirius ayant lieu sur ses genoux, il avait du mal à supporter le poids des trois adolescents en même temps ) en protestant, et Harry comtemplait le spectacle un sourire heureux aux lèvres.
-Allez, mon amour, crie ta dévotion pour la Maison de Rowena au monde entier ! Hoqueta Casildaà moitié allongée sur Sirius, essayant tant bien que mal de le tenir immobile malgré ses gesticulations.
-Ma fidélité est sans faille, Godric ! Je ne laisserais pas deux faibles femmes me faire renier mon serment d'allégeance à la noble Maison des Lions !
-Allez les sang et or ...Chantonna James à travers son fou rire. (2)
-"Donne debole" ? Sai cosa ti dicono, le Donne Debole ? (3) Grogna Callisto d'une voix sourde.
-Traduction, per favore ? Demanda Sirius d'une petite voix.
Tous se doutaient que la réponse ne serait pas des plus favorables au jeune homme... Et Casilda, qui aux côtés de sa meilleure amie avait appris les rudiments de la langue de Dante, souriait d'un air terrible : elle souriait comme un Maraudeur ! James et Remus déglutirent, Peter se réfugia derrière son sachet de bonbons et Harry attendit la suite des évènements avec une inquiétude amusée. Il ne s'agirait pas qu'on m'abîme Sirius avant l'heure... le pauvre, il va goûter à la furie féminine...
La scène qui suivi fut trop violente pour être rapportée...
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-Bande de brutes de bande de brutes...
Sirius ne décollérait pas contre les filles depuis leur sortie du train, et elles avaient jugé préféréable de s'éclipser et d'aller rejoindre Lily et Oona dans leur calèche. Les garçons avaient réussi in extrèmis à en trouver une vide, et ils avaient traîné Harry de force avec eux. Il avait protesté ( Dumbledore ne l'attendrait certainement pas dans le hall avec les élèves, mais plutôt dans l'aile des professeurs ), mais James et Sirius savaient se montrer plus terribles que McGonagall lorsqu'ils le voulaient. Ils l'avaient attrappé chacun par un bras, et avec l'appui de Remus, fait monter de force avec eux. Harry n'étant pas beaucoup plus costaud qu'eux physiquement, sa résistance n'avait pas fait long feu.
Il avait protesté, plus pour la forme qu'autre chose, ce à quoi Remus avait répondu :
-Tu viens de faire connaissance avec les Maraudeurs, Harry...
-Garanti 100 pour cent bêtises... Ajouta James, l'index levé.
-100 pour cent charme... Rétorqua Sirius, en faisant mine de cacher Peter aux yeux de tous, qui n'osa pas protester.
Il est complètement soumis... Sirius pourrai lui demander de se jeter dans le lac, il le ferait... Il me dégoûte, mais en même temps, j'ai envie de l'aider... Bon sang, je n'y arriverai jamais, Narcissa, comment veux tu que j'y arrive ?
-Hey !
Harry sursauta quand une boule de poil rousse lui sauta sur les genoux en enfonçant ses griffes dans son jean.
-Putain, James, ta bestiole-euh...
Sirius tenta de distraire Kisa de sa nouvelle occupation : la mise en charpie du pull over de Harry, mais en vain. Le jeune homme aux longs cheveux noirs commença à carresser la jeune tigresse, et un puissant ronronnement envahit aussitôt la calèche. James siffla d'admiration, tandis que Remus et Sirius échangeaient un clin d'oeil : on avait maté Kisa ! Peter semblait de plus en plus terrifié par la nouvelle recrue de ses amis.
Harry soupira, Kisa ne voulait plus le lâcher. James leva le pouce et émit un son particulier avec ses lèvres : un mélange de feulement et de sifflement. Aussitôt, Kisa consentit à libérer Harry et alla se terrer entre les bras rassurants de son maître, qui fit un sourire d'excuse à Harry.
-Tu es le 3e que Kisa accepte en ce bas monde, mon vieux. Avec moi et Remus.
-Elle résiste même au charme fou de Sirius ? Demanda Harry avec étonnement.
-Les clébards ne copineront jamais avec les chats, c'est bien connu...
Il sembla regretter ses paroles et se tourna vers les autres. Ils se contentèrent d'un regard de reproche, Harry n'eut pas de mal à deviner pourquoi : Sirius venait sans le faire exprès de manquer de lui déballer sa condition d'Animagus chien. Il eut envie de rassurer son parrain, et de lui dire qu'il savait déjà, mais il se força à se borner à afficher un air neutre. Ils ne se connaissaient vraiment que depuis quelques heures, et il en fallait si peu pour briser les prémices d'une belle amitié...
-Kisa est une tigresse, pas un chat... Soupira James pour la énième fois ( qui fut d'ailleurs superbement ignorée par Sirius )
-Bah, tu as bien d'autres créatures à tes pieds, Sirius, non ? Demanda Harry d'un air amusé.
Sirius sourit et s'apprêta à lui servir une tirade pas modeste pour deux noises sur sa popularité légendaire, mais il fut interromput par Remus :
-Sûr, la crème d'andouille à 1 pour cent de matière grasse, ça fait fondre toutes les filles de nos jours...
Ils éclatèrent tous de rire, même Peter. Soudain, la porte de la calèche s'ouvrit, et un marchepied se déplia, comme pour les inviter à descendre. Harry passa le premier, et avant que les Maraudeurs aient pu le retenir, il fila en direction du château, avec un petit signe d'excuse à leur intention. Après tout, c'était frustrant, de se faire doubler quand on s'était tenu sur ses gardes pendant tout le trajet...
Sirius fit sursauter tout le monde en se frappant le front du plat de la main.
-On a ENCORE oublié de lui demander ce qu'il fabriquait à Poudlard... Gémit t'il.
-Il ne peut pas être nouveau, sinon il serait resté avec nous. Il ne connaît pas le château...
-Ca, Lunard, je n'en suis pas si sûr. Couina Peter. Vous avez vu comment il a filé ? Il n'est pas net, ce type, il cache quelque chose...
-T'es trop méfiant, Queudver... Soupira Patmol.
-Et toi, tu ne l'es pas assez, Sirius !
Peter se tourna vers James, en quête de soutien, mais celui ci était tourné vers la marée d'élèves, le regard perdu dans le vague. Il avait toujours Kisa dans ses bras, et la gratouillait discrètement derrière l'oreille. Il semblait à des milles de la conversation, et Remus et Sirius avaient depuis longtemps appris à décrypter ce genre de silence de la part de leur ami.
-Laisse tomber, Queudver, le ruminant à cornes est encore en train de se payer un voyage sur la planète Lily...
Remus tira doucement James par le bras en murmurant :
-Ah, l'amour...
( "Préservez moi de ce malô, dieux de la virilité "; "Ferme là, Patmol, tu vas encore te manger une baffe et t'étonner après " )
Les garçons se dirigèrent vers le hall à la suite des autres, et James se réveilla quand Lily, Oona, Casilda et Callisto les doublèrent. Si la première les ignora superbement, les 3 autres les saluèrent le la main en souriant. Poudlard les accueillit avec chaleur, comme d'habitude. Hagrid finissait de débarquer les premières années, et le professeur Mcgonagall se dirigea vers eux. Elle était accompagnée d'une jeune femme aux traits durs et froids, qui semblait ne pas connaître la définition du mot "sourire".
-Professeur Steelay, pouvez vous accompagner les plus vieux jusqu'à la Grande Salle ? Il faut que j'aille expliquer certaines choses aux premières années.
Elle acquiesca, et fit signe à Sirius et aux autres de la suivre.
-Steelay ? Il n'y avait pas déjà eut un professeur de ce nom ? Chuchota James.
-Si, mais pas avec nous... Répondit Lupin sur le même ton.
-Il me semble que c'est Nime' et Andro' qui l'avaient eu en potions, un vieux bonhomme grincheux, non ?
-Vous croyez qu'ils sont de la même famille ?
-Peut être... Mais pourquoi est ce qu'elle est là ? On a déjà un professeur de potions, non ?
-C'est sûrement la nouvelle prof de Défense contre les Forces du Mal si vous voulez mon avis...
Steelay ouvrit les portes de la Grande Salle, et les élèves allèrent aussitôt s'asseoir à leurs tables respectives, par habitude. Les Maraudeurs s'assirent à leurs places habituelles, et machinalement, suivirent la nouvelle venue des yeux. Et aussitôt, leur mâchoire se décrocha. Elle venait de s'asseoir à la table des professeurs, et la personne qui se trouvaient à sa droite n'était autre que... Harry ! Il leva la tête vers eux et leur adressa un clin d'oeil espiègle en réponse à leur air ahuri et complètement stupide. James remarqua que les filles affichaient le même, d'ailleurs... C'est tout juste si les yeux d'Evans et de Callisto ne sortaient pas de leurs orbites.
La Grande Salle entière sursauta à l'exclamation de Sirius :
-Ah, l'enfoiré ! Il aurait pu nous le dire !
FIN DU CHAPITRE 4"La nouvelle recrue".
Réponses aux reviews : Waouh, vous avez tous été très très zentils, mechiiiiiiii !
Lisandra : En effet, tu es la première, et moi, je profite d'être en vacances ( et vi, je farniente, lol ) pour poster celui là. Biz, j'espère qu'il t'as plus ;)
Laumie : Héhé, un de plus ! Merci beaucoup pour tes compliments et tes encouragements, Laumie de mon coeur, lol, grosses bises !
M4r13 : Meuh non, tu te répètes pas ;) Merci beaucoup, ce que tu m'as dit m'a fais très plaisir et a beaucoup flatté mon ami Mr mon Ego. je dois avouer que j'ai peur que ce chapitre te déçoiveétant donné le crédit que tu as attribué aux précédents. Encore merci, et bisoux !
Sara Ambre : Si tu aimes voir les Maraudeurs se prendre le chou, tu va être servie dans ce chapitre, lol. Merci et bzou, ma soeur du 5e âge !
Cemeil : Et ouais, mettez moi devant mon ordi avec mes 2 maraudeurs adorés et vous êtes sûrs que ça va péter dans la seconde, lol. Oh que oui, il vont avoir une surpise, et pas qu'une petite ;) mais chutça c'est pas pour tout de suite ! Pour ce qui est des frères de Molly et d'Arthur, ne t'en fais pas, tu vas les voir bientôt, et le ruminant à cornes et de retour dans ce chapitre, niek niek. Merci tout plein pour tes gentilles reviewsz et bisoux !
Kitou : Lolça tombe bien, j'adore les sangsues dans ton genre, mdr. Pour ce qui est de Ted, JKR se contredit elle même. Tonks dit à Harry dans un des premiers chapitres "Mon père aussi est un moldu, mais c'est un vrai cochon", mais dans le suivant, si je me souviens bien, Sirius dit "Elle ( Andromeda ) a épousé un sorcier d'origine moldue : Ted Tonks", ou un truc dans ce genre là. Bref, on ne sais pas si Ted est un moldu ou un sorcier, fils de moldus. Moi j'ai choisi de privilégié les dires de Sirius, en faisant de Ted un sorcier. Merci et bises !
Callisto : Je rectifie, je rectifie, c'est pas moi l'auteur, c'est pas moi qu'ai tué Sirius ! Lol, oufça va mieux. Et pis pour Callisto, reharde, je t'ai mis un disclaimer en haut, rien que pour toé, alors râle, pas, non mais, lol ! Le "mouton mexicain dépressif", c'est un petit clin d'oeil à Fabien, mon meilleur pote d'antan, qui avait le don pour sortir les insultes les plus innatendues, dont celle là, lol. Et Kisa c'est un tigre, pas un chat ! Merci ma Cally pour tes gentils compliments, et gros bisoux !
Théalie : Oui, harry va probablement changer une partie du passé, mais chutça c'est du domaine du spoiler ;) Et bien sûr qu'on va entendre parker de Voldie, tu n'imagines quand même pas qu'on peux se passer du Grand Psychopate à tête de courgette et aux yeux de tomates, non ? Pas moyen de faire sans lui, xpdr. Et tout cas, merci beaucoup à toi et bises !
Black Dog : Ma grande copine qui s'est enfin décidée à reviewer cette fic, lol. Ce que je manigance ? mais rien du tout, voyons ;) Merci tout plein et bzou !
Fofolleuh : Eu, l'abîme pas, la Mathieu, en ai encore besoin pour la fic, moi ! Moi aussi j't'adore ma Jums et pigeonne, merci et gros bizoux !
Titania.M : On a toutes nos malédictions, lol. T'inquiète, moi aussi je fais mes devoirs trèèèèèès tard le WE, même parfois pas du tout ! ( Et oui, je ne suis pas sérieuse le moins du monde, c'est à se demander comment je fais pour avoir 13.5 de moyenne alors que je suis en seconde et que je ne fous rien, lol ). Oui, il vient d'Islande parce que j'aime beaucoup ce pays, lol, les volcans ça m'a toujours fascinée... t'es une mordue de Sirius aussi, lol ? yeah, bienvenue au club ! J'espère qu'il t'as plu dans ce chapitre. Pour Pettigrow, il faut plutôt se demander "Comment Peter va t'il s'en sortir avec Harry ", lol. En tout cas merci pour les références et les compliments, c'est vraiment très gentil de ta part ! Groses bises à toé !
Hisoka : Chouette, un nouveau lecteur ! Lol, toi non plus t'aimes pas Ginny ? Niek niek. Non, je n'ai pas du tout de jour précis pour publier, je suis même plutôt du genre feignasse ( honte sur ma tête ) et mes updates s'en ressentent... En tout cas contente que ça te plaise, merci et biz !
Greg83 : Lol, ey, respire ! Tu débale tellement de compliments en même temps que tu ne vas pas pouvoir reprendre ton souffle ! Je suis vraiment très touchée par vos encouragemantsà ta soeur et toi, et j'espère que vous continuerez longtemps à suivre ! Merci beaucoup et bisous à tous les deux !
L-archange-déchu : C'est dur, la divination, hein ? Merci énormément et bises !
Eiream : Merchiiiiiiii bicoup ma cacahuète d'amour ! Vive Bénabar, lol ! Contente que ça te plaise, j'espère que ce chapitre ne t'as pas trop déçue. Enoooooormes bisoux de ta constel' qui t'adore !
Cérulane : Ben, c'est pas grave, t'es toute excusée ! C'est vrai que Harry à Serpentard, j'aimais bien aussi, mais je n'aurait pas su mener comme je voulais... Lol, tu préfère celle d'avant mais celle ci est mieux écrite ? Lol, vive les contradictions, niek niek. En tout cas merci beaucoup pour tes critiques constructives et tes encouragements, j'espère que la suite te plaît ! Gros bisoux !
Ambre15 : C'est peut être normal que tu ai déjà vu le perso de Lou, puisque c'était celui du "Silence de l'agneau". Cette fic en est la nouvelle version, et j'espère qu'elle te plaira ! Lol, merci beaucoup beaucoup pour tes reviews assidues et tes commentaires encourageants ! Pour "Retour aux sources", c'est Lisandra qui reprends les rennes, c'est plus moi, désolée... Bisoux et encore merci !
Voilà, 17 reviews pour un chapitren c'est vraiment génial, merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, je vous aiiiiiiiiimeuh ! Surtout ne vous arrêtez pas, j'adore les reviews, c'est ma drogue, j'en veux encore !
(1) Putain, ce mec est trop beau !
(2) Petit clin d'oeil à ma région. Ceux qui me connaissent un peu savent que je suis du pays des Chtis ( du Nord de la France ), et fière de l'être. "Allez les sang et or" est le cri de ralliement des fans de l'équipe de Lens. ( Lens étant au Nord ce que l'OM est à Marseille, lol ). Bah oui, ils sont rouge et or, les Lensois, niek niek.
(3) "Faibles femmes" ? Tu sais ce qu'elles te disent, les faibles femmes ?
