Titre : Une fenêtre sur le passé

Auteur : J'me présente, je m'appelle Mémé...

Spoilers : Toute la première saison de Friends ! Nan, je déconne ;) Les 5 premiers tomes d'HP et rien d'autre !

Disclaimer : Salut, moi c'est JKR, Andro' ici présente m'a chouravé la plupart des lieux et personnages, mais c'est pas grave ! Elle ne se fait pas d'argent sur mon dos, donc je laisse passer ;)

Notes de l'auteur : Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais il a été plus rapide à venir, celui là ! Comment ça vous vous en foutez ? Mais euuuuuuuuh ! En plus, pour une fois, on a pas mal d'informations, dans celui là ! Notamment sur cette "chère" Steelay. C'est marrant, pour ce personnage, je l'aime beaucoup (vi vi, c'est mon bébé), et certains reviewers sont de mon avis (y'en a pas beaucoup, mais y'en a quand même !) et d'autres la détestent... Avis à ceux là, vous allez aimer ce chapitre ! Avis aussi aux fans de Peter, niek niek. (Quoi, y'en a pas O.o ?). En parlant de ça, plusieurs personnes n'ont pas très bien compris l'arrivée de ce dernier dans le passé, alors je vous fais un petit récapitulatif, ok ?

Queudver in the past, les étapes :

-Remus est mort depuis quelques temps, tué par Peter, le même jour ou Lucius Malefoy tue Lou (pour la 1e fois)

-Bataille finale du Survivant et de Voldemort, mort de ce dernier, le 1e Novembre 1997. La Chambre de Lou est utilisée par Harry comme source d'énergie.

-Petit retour dans le passé : début 1997. Voldemort sent que la Bataille finale est imminente, et a vent par un espion que Harry s'entraîne avec Lou au département des Mystères, et qu'il apprend à maîtriser la Chambre qui ne s'ouvre pas. Il a peur, et décide d'envoyer Pettigrow (le seul Mangemort qu'il peut se permettre de perdre dans les couloirs du temps) dans le passé pour tuer Lou, alors qu'elle n'est encore qu'une adolescente. De cette façon, elle ne pourra ni entraîner Harry, ni construire sa source d'énergie.

-31 octobre 1977 : Peter tue Lou dans son sommeil. Le plan de Voldemort aurait du marcher, seulement, il n'avait pas prévu que le crime aurait un témoin imprévu : Narcissa Black, qui récupère le ruban rouge de Lou. Elle rend les hommages funèbres à la jeune fille avec tant de conviction, que 22 ans plus tard, le 1e Novembre 1999, Narcissa Malefoy (adulte, cette fois) rêve de cette nuit là. Elle voit l'assassinat de Lou en songe, et retrouve le ruban rouge dans ses affaires de collégienne. Elle comprend immédiatement que Voldemort a envoyé quelqu'un tuer Lou dans le passé.

-1e Novembre 1999 : Harry Potter, 19 ans, rend hommage aux victimes de la bataille dans le cimetière de Poudlard. Narcissa vient à sa rencontre, car il est le dernier sur qui elle puisse compter, et elle lui raconte tout. Après quelques hésitations, il finit par croire à son histoire. Elle meurt dans ses bras, ayant enfin trouvé le repos de l'âme, après qu'il lui ai promis de tout faire pour sauver Lou.

-Harry a réussi à retourner dans le passé. Il se fait engager comme prof de DCFM par le Dumbledore de l'époque, afin de protéger Lou et de devancer Peter.

-Ce dernier arrive dans le passé, comme prévu. Que va t'il se passer ensuite ?

C'est pas très très clair, moi même je m'y perds un peu... J'espère quand même que ça vous a aidé à comprendre le pourquoi du comment de l'arrivée de Queudver dans le passé !

Un big merci à mes relectrices, Callisto, Lisandra et Eiream, j'vous aime, les filles ! Et un p'tit coucou à Gaby-fifille-d'amour, bien sûr, qui va avoir du boulot pour lire tout ça en revenant, héhé.

Bonne lecture, les gens ;)

UNE FENETRE SUR LE PASSE

Chapitre 6 : La dualité de l'être

Peter se redressa en sursaut dans son lit, couvert de sueur, une main crispée sur sa poitrine. Une horrible sensation de brûlure se répandait dans ses veines, comme un venin. Il avait mal, si mal... Il arracha presque sa veste de pyjama et se précipita sur la carafe d'eau posée sur sa table de nuit, en tâchant de ne pas faire de bruit (ce qui n'était pas nécessaire, les ronflements de Sirius couvrant les autres bruits).

L'eau fraîche dégoulina sur son menton et sa poitrine, mais il s'en fichait. Il buvait comme si sa vie en dépendait. Ca faisait tellement mal... Il avait l'impression qu'on essayait de prendre possession de lui... Que quelqu'un cherchait à s'approprier son propre corps, comme si il n'avait plus été lui même... Ou plutôt, comme si il y avait eu un autre lui même.

Une fois que sa gorge fut un peu soulagée, il essuya maladroitement sa figure humide, et s'avança vers la fenêtre entr'ouverte. La chaleur de l'été faisait peu à peu place à la froideur de l'automne, cependant, les nuits étaient encore claires et tièdes. Il soupira de satisfaction en contemplant la lune, souriante, dans son dernier quartier avant qu'elle ne soit pleine. Il jeta un coup d'oeil furtif à Remus : celui ci avait le visage crispé, et semblait ne pas réussir à trouver le repos, même au coeur du sommeil. "D'ailleurs", songea Peter, "Remus à l'air de ne jamais se reposer, ou même d'être serein...".

Le jeune lycanthrope semblait constamment épuisé, même lorsque la pleine lune était passée. Il portait sur ses épaules le fardeau d'un adulte, et sa condition n'arrangeait rien. Car Remus n'avait pas qu'un seul secret... Il était... Peter chassa cette idée de sa tête, c'était trop pénible encore, même pour lui qui connaissait Remus Lupin depuis près de 7 ans.

Il tourna de nouveau son regard vers le parc, et étouffa juste à temps un cri, qui se mua en gémissement sourd. Il se plia en deux sous la douleur qui était revenue, encore plus forte que tout à l'heure. Peter se battit de toutes ses forces pour tenter de repousser ce je-ne-sais-quoi qui tentait de lui faire perdre conscience de lui même, et qui semblait si proche et si lointain à la fois...

C'est comme si il y avait deux Peter... Deux Peter et un seul corps... Ils se battent pour l'avoir... Mais je ne veux pas... J'ai peur, je ne veux pas qu'il gagne... C'est mon corps, ma vie...

Dehors, par la fenêtre, on pouvait voir une timide lueur rosée pointer à l'horizon... Promesse d'un nouveau jour, d'un nouveau commencement... Peter vacilla, et sa main accrocha la carafe d'eau, qui alla se briser sur le sol de pierre du dortoir, en éclaboussant les rideaux tirés du baldaquin de Sirius.

Va t'en, va t'en ! Fous le camp, dégage ! Je ne veux pas de toi, je ne veux pas d'un traître ! Je ne veux pas être un meurtrier !

-Peter ?

Une voix, pâteuse et endormie... Il osa enfin crier, et il se laissa tomber sur le sol, comme une fragile plante en pot à laquelle on a retiré son tuteur...

Tu n'es pas moi... Tu n'es que mon reflet déformé... L'image d'un futur qui n'existe pas encore... Qui n'existe plus !

Deux bras puissants l'entourèrent, et lui écartèrent les bras, pour ensuite le retourner sur le dos. C'était une étreinte solide, mais rassurante. Il s'efforça de distinguer la silhouette à travers ses yeux embués par les larmes de douleur, et il reconnut les cheveux en bataille et la paire de lunettes.

-James ?

-Peter, qu'est ce qui se passe ?

Il sentit confusément que Sirius et Remus se précipitaient eux aussi à ses côtés, et il ressentit un élan de gratitude pour ses amis. Il porta la main à sa gorge, de nouveau sèche et brûlante, et articula faiblement :

-De l'eau, s'il vous plaît...

Cinq secondes plus tard, un liquide glacé et salutaire envahissait son oesophage. Il respira et ses convulsions cessèrent. Il se redressa péniblement, et vit ses trois amis penchés sur lui, visiblement paniqués.

-Peter, bon sang, on a cru que tu...

-T'étais tout blanc, et tu avais des spasmes... Mince, la prochaine fois que tu nous refais un coup pareil, je hurle ! Balbutia Sirius, qui semblait avoir peur de détendre ses muscles, au cas ou la crise de Peter reprendrait.

Remus l'aida à s'asseoir, et tourna vers lui son regard ambré, preuve extérieure de sa lycanthropie.

-Tu criais des choses, Peter, pendant ta crise, tu...

Peter paniqua à son tour. Remus était capable de sentir les plus imperceptibles évolutions dans la magie de quelqu'un, et donc les émotions et les humeurs. L'avait il entendu se battre contre son autre lui même ? ( Mais pourquoi je dis ça ? C'est absurde ! Il n'y a qu'un seul Peter Pettigrow, et c'est moi ! )

-Tu ordonnais à quelqu'un de partir.

Du coin de l'oeil, Peter vit James et Sirius échanger un regard éloquent. Tous deux connaissaient les capacités surhumaines de Remus aussi bien que lui... La peur de Peter gagna un cran de plus.

-Je... Un mauvais rêve... ce n'est...

-Tu rêves éveillé, toi ? S'écria Sirius. Tu étais bien réveillé, mon pote, pendant que tu t'agitais comme un dément, ça je peux te l'assurer !

-Mais...

-Va te recoucher, Queudver, et repose toi ; trancha James en soupirant.

Peter regarda son ami décoiffé avec reconnaissance. Celui ci était plus ébouriffé que jamais, et de grands cernes violets soulignaient ses yeux bruns. Queudver songea que lui non plus, n'avait pas l'air très en forme en ce moment. Mais contrairement à Remus, il savait ce qui préoccupait James : ses parents, qui étaient en première ligne des opposants à Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom, et sa soeur Némésis, qui menaçait d'être appelée à combattre aux côtés du reste des Pyrovaes d'un jour à l'autre.

Cornedrue avait toujours été quelqu'un de très attaché à sa famille et ses amis, et il avait besoins de liens affectifs solides pour avancer. Il le leur avait dit, une fois... Une seule fois... Peter se rappellerait toujours de cette fois là, ou James leur avait avoué sa plus grande faiblesse...

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-Les mecs, si un jour vous me lâchez, c'est mon naufrage que vous aurez sur la conscience... Avait il lâché, rapidement, les yeux baissés, presque honteusement...

Peter était glacé par le soudain sérieux de James, lui qui était toujours si jovial, si insouciant... Toujours si sûr de lui ! Le fort, le fier James Potter ! Celui auquel il avait toujours rêvé de ressembler ! Et aujourd'hui, il venait lui dire que si jamais il le trahissait, il ne survivrait pas ? C'était absurde ! James était invincible, rien ni personne (et surtout pas lui, Peter Pettigrow !) ne pourrait jamais lui faire le moindre mal !

Il n'avait pas immédiatement réagit... Comme si cet aveu de la part de son courageux ami (qui semblait soudain si fragile ! On aurait dit un tout petit enfant qui avait besoin d'être consolé et rassuré ! ) avait fait voler ses certitudes et ses moyens en éclats... Sirius s'était précipité pour serrer James dans ses bras et lui jurer avec force cris et serments que leur amitié, c'était à la vie à la mort, et que rien au monde ne l'empêcherait jamais de veiller sur son "Jamesie adoré". Remus avait été moins grandiloquent, et s'était contenté d'une pression émue sur l'épaule de Cornedrue.

-Pas aussi doué que Sirius pour les discours, mais je te jure, James, que t'es mon ami, et que tu le resteras.

James avait regardé Lunard et Patmol avec un sourire timide, les yeux brillants de larmes refoulés. Sous ses dehors arrogants, James était tout de même une personne sensible, presque autant que Remus. Peter ne bougeait toujours pas, et murmura timidement :

-Tant que je le pourrais, Cornedrue, je resterais avec vous.

Si James et Remus le regardèrent en souriant, Peter avait nettement cru voir Sirius lui jeter un regard profond et inquisiteur, comme pour le juger. Cependant, lorsqu'il le regarda en face, Patmol bavardait de nouveau avec les deux autres. Queudver se sentit envahit d'un étrange malaise. Sirius était une personne qui ne montrait que rarement ses véritables sentiments ( ou du moins, les plus personnels ), et Peter savait que Patmol ne plaçait rien au dessus du bien être de ses amis, James en particulier.

L'animagus rat sentait confusément que quelque chose avait germé, ce jour là, entre lui et les autres.

Ou peut être était mort...

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Peter se glissa en tremblant sous ses draps, encadré par les regards inquiets des trois autres Maraudeurs. Le jour se levait, mais il n'avait pu les empêcher de l'obliger à se recoucher. Sans doute avait il besoin de dormir encore un peu, mais il leur demanda tout de même de fermer la fenêtre et les rideaux. Il ne voulait plus voir la lune. Il ne voulait plus que son étrange crise reprenne.

-Tu iras voir Mme Pomfresh, tout à l'heure, d'accord ? Insista Sirius pour la énième fois.

Peter aurait bien voulu protester, et dire que ce n'était pas la peine. Tout au fond de lui, il était terrifié à l'idée que quelqu'un découvre la véritable raison de son mal. Un autre Peter ! Un autre lui même ! Car il n'avait pas rêvé, et il savait qu'il était inutile de se voiler la face : il l'avait senti, cet autre Peter Pettigrow. Etait il devenu schizophrène, soudainement ? Ou bien était ce l'esprit du rat qui était remonté trop avant ? Comme l'esprit du loup avec Remus ?

Non... Les Animagus étaient fondamentalement différents des loups-garous. Pour ces derniers, le loup était constamment en opposition avec l'humain, deux êtres qui se battaient pour le même corps, et qui s'entretuaient petit à petit... Au contraire des Animagus, dont l'animal était le reflet de la personnalité profonde, et qui ne faisait donc qu'un avec le sorcier. Ils avaient des particularités physiques communes, et se mêlait en harmonie en une seule entité : un humain capable de se changer en animal.

Peter acquiesça, et tira les rideaux de son baldaquin. Il n'avait plus sommeil, mais il devait s'obliger à obéir à Sirius, car sinon, ses amis lui poserait des questions... Feindre le besoin impératif de sommeil pour fuir l'affrontement et la vérité... Tout fier de sa solution, Queudver se mit en devoir de ne plus faire aucun mouvement, et de prendre une respiration régulière et bruyante, caractéristique du sommeil profond. Il avait toujours été un as du camouflage, et avait l'art de se fondre dans le décor. Un rat dans toute sa splendeur !

Il entendit ses amis discuter un peu à voix basse, sans doute pour ne pas le réveiller, puis se lever en soupirant. Sans doute avaient ils décidé de profiter de ce réveil matinal inopportun pour se livrer à une de leurs expéditions légendaires. Peter se sentait très fier de James, Sirius et Remus. Rien ni personne ne pouvait les tenir enfermés, ou même les empêcher de faire ce qui leur plaisait. Surtout James et Sirius. Remus était sage, trop sage, même. Mais il était tout de même un Maraudeur, et avait dû décider pour cette fois de mettre de côté son fichu instinct de préfet ! Et Peter savait que le jeune loup-garou aurait suivi Cornedrue et Patmol n'importe où, pourvu qu'ils lui fassent leur fameux regard de chien battu ( Puissance deux, en plus ! Mon pauvre Lunard... ).

Puisqu'il ne s'endormait toujours pas, et qu'il n'avait rien d'autre à faire pour se distraire, Peter retourna à son raisonnement sur les ressemblances entre l'homme et l'animal chez les Animagi. Ils avaient joué à ce jeu des milliers de fois, tous les quatre, et pourtant, cela restait le préféré de Peter. Juste après la chasse au Servilus ! Il adorait ça aussi ! Il attribua à trois de ses doigts les noms des Animagi de leur bande, et au hasard, désigna l'un d'entre eux...

Sirius...

Chien fou, chien fidèle... Noir d'aspect mais blanc de coeur... Adorable avec ses amis, féroce avec ses ennemis... Pourtant Sirius est tout sauf un chien méchant ! C'est le meilleur de tous les amis, toujours à faire le fou, l'imbécile... Et il est tellement populaire ! Le chien aussi a toujours été un animal populaire, facile d'approche, facile à dresser... Mais qui pourrait dresser Sirius, hein qui ? Même Casilda n'y parvient pas ! Mais c'est sans doute parce qu'elle lui ressemble... A jamais impossible à domestiquer... Le meilleur ami de l'homme... En fait, Sirius est comme un chiot qui ne connaît pas le monde, il explore, il noue des liens avec les gens ( et tous les gens l'aiment ! ), et il est source de joie pour tout le monde... Oui, le chien correspond bien à Sirius... Patmol est le meilleur ami de l'homme !

Il n'avait pas envie de s'attarder sur son propre cas, il était si inintéressant ! Ce serait bien plus passionnant de passer à celui du cerf...

James...

Le cerf est un animal royal, droit et fier ! James aussi est comme ça, parce que tout le monde l'admire et le trouve charismatique. Pourtant, un cerf est sauvage, et ne se laisse jamais approcher par l'homme. En fait, on n'en voit que rarement... Oui, on a rarement vu un James à Poudlard... Il fait partie d'une catégorie de gens unique, à part... On pourrait presque croire qu'il est Prince de sang... Oui, c'est ça... Et comme pour les cerfs, peu de gens le connaissent vraiment et savent ce qui se cache derrière le masque de prestance et d'arrogance... Non, non ! James n'est pas arrogant ! Je parle comme Servilus et Evans ! Ils le détestent tous les deux, et ils ne savent pas ce qu'ils ratent ! Ce sont des imbéciles finis ! Je les déteste ! Parce que le jour où le cerf sortira de sa forêt profonde pour révéler son visage au grand jour, ils verront que cet animal n'est pas seulement le Roi des animaux, mais aussi un chef de famille aimant et aimé...

Peter sourit en pensant à la dernière vanne de Sirius sur le sujet : "Jamesie, je peux te dire d'ici que le cerf te correspond... La coiffure style pétard explosé, c'est tout à fait ça... les bois sur la tête ! Mon Dieu, j'ai enfin compris pourquoi on t'appelle Cornedrue !"

Il n'avait toujours pas envie de parler de lui... Mais il était encore très tôt, et il avait de moins en moins envie de dormir... Il avisa le lit de Remus... Mais Remus n'était pas un Animagus, si ? Un loup... Sauvage et puissant... Remus n'était ni sauvage, ni particulièrement puissant... Il était gentil et civilisé, doux et compréhensif... C'était un grand sorcier, ou du moins, il le deviendrait... Il était presque aussi populaire que Sirius et James, et chacun l'aimait bien, même sans le connaître particulièrement bien. En fait, Remus était l'opposé du loup... Oui, la dualité de l'être, la part de Bien et de Mal en chacun de nous... Remus était vraiment très fort, pour être ainsi capable d'enfouir sa part d'ombre tout au fond de lui même... Le loup ne prendrait jamais le pas sur l'homme, et c'était très bien comme ça. Parce que Peter aimait beaucoup Remus tel qu'il était (toujours si gentil, prêt à l'aider et à le défendre contre les Serpentards !), et si jamais Lupin venait à se laisser envahir par l'esprit du loup, Peter pressentait vaguement que le résultat serait des plus catastrophiques... Mais il avait confiance en son ami, et il savait qu'il était bien trop fort pour que cela arrive un jour... n'est ce pas ?

Le dernier doigt... L'index...

Et moi ? Qu'est ce qui me rapproche du rat ? Je suis petit, je suis dodu... Est ce que je suis opportuniste ? Est ce que je suisi toujours en tête des fuyards ? Est ce que tout le monde répugne à me côtoyer ? Les rats n'ont pas d'amis, tout le monde les déteste ! Ce sont des traîtres, des bêtes à charogne, qui répandent les pires maladies parmi les hommes ! La peste, les puces, le malheur... Parasite, parasite ! Annonciateur de malheur ! Porteur de fléau ! Non, non, je ne suis rien de tout ça, pas vrai ? J'ai des amis... De grands amis ! Des amis nobles, généreux, forts, qui me protègent... Sans mes amis, je ne suis rien, personne ne fait jamais attention à moi ! Je ne suis que Peter... Le tout petit Peter, cible facile des Serpentards... Finalement, j'ai la même faiblesse que James... Si mes amis me lâchent, je coule... Mais James s'en remettrait, oh oui, même si il pense le contraire... Il est génial, lui, c'est le cerf, le meilleur ami du chien et du loup... Et Sirius le protège... Comme il me protège... Sirius... Sirius, si tu pouvais seulement me protéger comme tu protéges James...

Il prit sa tête entre ses mains et repoussa ses pensées loin, très loin, dans un coin de son cerveau. Voilà pourquoi il ne voulait pas jouer au jeu des ressemblances sur lui ! Plus jamais, plus jamais !

"Petit rat, cafard, petit rat, trouillard ! Pettigrow, malheur, Pettigrow qui pleure ! Gros lâche, personne ne t'aime, tu n'es qu'une raclure de la société, abject, tu ne sais rien faire sans tes amis !"

Ta gueule, Rogue, ta gueule !

"Mon frère t'accepte toujours dans son entourage ? Tu le payes combien pour qu'il te permette de t'afficher avec lui, Potter et Lupin ? A moins que tu ne leur cires les pompes, bien sûr... Avec la langue, ou pas ?"

Regulus Black, je te déteste !

Là haut, dans le dortoir des septièmes années, un garçon pleurait, roulé en boule au fond de son lit... Tout ça parce qu'il avait voulu jouer au jeu de la vérité... Un jeu qui n'était pas pour lui...

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Harry fixait son miroir d'un oeil terne, sans vraiment le voir... Un étrange rêve l'avait réveillé en sursaut, et à présent, il tentait de reprendre contact avec la réalité, et de ne pas confondre dentifrice et mousse à raser... Un rêve, pas un cauchemar...

Il avait vu un homme, petit, courtaud, apparaître à la lisière d'une forêt... Une forêt qui ressemblait bigrement à la forêt Interdite de Poudlard. Cet homme portait un capuchon, et contemplait le croissant lunaire avec... tristesse ? Harry s'était réveillé au moment ou l'homme s'était transformé, et le Survivant avait bien passé dix minutes à débiter une litanie de jurons, plus ou moins inventifs, d'ailleurs. Il percevait vaguement que ce rêve n'était pas ordinaire, et que l'homme qu'il avait vu existait bel et bien. Mais qui était il ? Si seulement il avait pu voir en quoi il s'était transformé, il aurait su !

Harry passa de l'eau fraîche sur son visage, il se sentait frustré, mais en même temps étrangement bien. Il était à Poudlard, à l'époque de ses parents et de Lou... Et de Sirius et Remus... Et la balle était dans son camp. Il avait écrit la veille au soir à Andromeda, pour lui annoncer que tout se passait bien (elle l'avait tout de même menacé de mort par décapitation si il ne lui envoyait pas de hiboux régulièrement !) et la réponse qu'il avait reçu l'enchantait : Némésis était avec son amie, et elle lui passait le bonjour, en lui souhaitant bien du plaisir avec son frère et ses amis. Donc, elle allait bien, et n'était pas encore partie au front.

Aujourd'hui était sa première journée de cours, et ses premiers élèves seraient les Serdaigles de 7e année. Il avait sourit en imaginant la confrontation avec Callisto, et il espérait qu'elle et Casilda ne lui en voudrait pas trop. Il aimait bien les deux jeunes filles.

Harry s'habilla, et décida de sortir se dégourdir les jambes dans les couloirs, en attendant l'heure du petit déjeuner.

Pour la première fois depuis deux ans, il se sentait lui même : Harry.

Pas de Survivant, pour une fois, le vainqueur de Voldemort faisait place au jeune homme tout juste sorti de l'adolescence, qui avait un peu le trac à l'idée de se retrouver face à sa première classe.

Il se sentait bien.

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-Et n'oubliez pas, Severus, que vous pouvez venir me voir aussi souvent que vous le voulez.

Le professeur Steelay poussa doucement Severus vers la sortie, tout en essayant de lui sourire aimablement. Mais le Serpentard voyait bien que c'était forcé. Il n'aimait pas beaucoup la nouvelle enseignante de Potions. Elle lui paraissait froide et vide, et en plus, elle donnait des frissons. Elle aurait pu être belle, mais ce côté "Reine des Glaces" la rendait laide. Ou du moins, il ne donnait pas envie de la trouver belle.

-Et si vous pouviez éviter de parler de notre petite discussion, n'est ce pas, Severus ?

Sa voix s'était faite encore plus doucereuse. Ce n'était pas une demande. C'était une menace. Décidément, Severus n'aimait pas cette femme. Elle lui faisait penser à Black, Narcissa. Un vrai mur de glace, impossible de lire en elle. Et cette franchise... elle en était presque injurieuse ! En fait, cette femme semblait se contrebalancer totalement de l'avis des autres, elle avait son avis et point barre !

Comme mon père... Abruti qui ne supporte pas qu'on pense différemment de lui...

Severus se dirigea vers les cachots de Serpentards, avec l'intention de prendre ses livres pour le premier cours de la journée. Il savait bien pourquoi Gwenaëlle Steelay l'avait convoqué dans son bureau si tôt dans la matinée ! Alors que les habitants du château commençaient tout juste à se lever... C'était son père, Eusebius Rogue, Mangemort émérite, proche serviteur de Seigneur des Ténèbres, qui avait écrit au nouveau professeur de Potions pour lui parler de son fils...

Il savait que Gnenaëlle Steelay était la fille de Tobey Steelay, un ami de son père, qui avait lui aussi été professeur de Potions à Poudlard, il y a un temps. Tobey Steelay était l'archétype même du vieux Mangemort antipathique (Il est vieux, il est Mangemort, et il est antipathique...) et sa fille suivait ses traces... Severus ne se faisait aucune illusion là dessus ! Elle était là dans un but bien précis : repérer les élèves qui souhaitaient rejoindre les rangs du Seigneur des Ténèbres, et les guider dans leurs... "démarches"... Et bien entendu, Severus était le premier sur sa liste !

Il eut un geste de frustration et de dégoût. Son propre père, et le père de cette Steelay, en train de débattre autour d'un verre de ce que le Seigneur des Ténèbres pourraient faire de leurs enfants... Severus aurait pu se sentir proche de la Reine des Glaces, mais il ne le pouvait pas... Elle avait accepté son sort, elle ! Elle devait déjà être au service du Seigneur des Ténèbres, et porter la marque depuis peu de temps... Le jeune homme n'avait aucune preuve que ce fut vraiment ainsi, mais il le sentait... Dumbledore était inconscient... Complètement inconscient d'avoir engagé cette fille ! Steelay père n'était certes pas recherché comme Mangemort (voilà ce que c'était d'avoir des relations ! Tous ces Steelay, ces Malefoy... ça le dégoutait ! ), mais le directeur de Poudlard n'ignorait rien de ses activités. Pourquoi avoir fait confiance à sa fille ?

Dumbledore et sa manie de donner sa chance à tout le monde... D'abord Lupin et maintenant cette femme...

Il grimaça au souvenir de sa rencontre avec Lupin, le loup-garou, l'année dernière. Black, Sirius l'avait envoyé à la mort, et lui, cet imbécile, il était tombé dans le piège ! Il s'était maudit à ce moment là. Autant qu'il avait maudit Black et Potter. Potter, si il n'était pas intervenu, Severus n'aurait jamais eu d'entretien avec la fille du meilleur ami de son père, ce matin là... Qu'avait il eu besoin d'intervenir, hein ? Il serait mort, Lupin l'aurait dévoré sans autre forme de procès, et son père n'aurait jamais pu le jeter entre les pattes de Voldemort ! On ne l'aurait pas obligé à porter la marque et la cagoule, il aurait eu une vie courte, certes, mais libre ! Mais non, encore une fois, Potter avait tout gâché ! Il le haïssait ! Il les haïssait tous ! Tous ! Il détestait tout le monde, et tout le monde le détestait ! La vie était belle, putain, mais belle...

Severus s'apprêtait à descendre l'escalier qui menait aux cachots, lorsqu'il entendit derrière lui une voix moqueuse.

Quand on parle du loup...

-Alors, Servilo, on se promène tout seul ? Qu'est ce que t'as ? T'as fait un cauchemar et t'arrivais plus à dormir ? Pauvre petit...

Mais qu'est ce que ces imbéciles de Maraudeurs faisaient là ? Si tôt le matin ? Severus saisit sa baguette ( la rapidité liée à l'habitude... ) et se retourna, mais déjà, un maléfice le jetait à terre. Il se releva, une main en sang, et fixa les trois Gryffondors ( Mais où est cet abruti de Pettigrow ?) d'un air hautain et froid.

-Ne me confondez pas avec vous, les gars... Et puis, moi, au moins, si je fais des cauchemars, je ne vais pas réveiller mes amis pour allez les oublier avec moi dans les couloirs...

-Parce que t'as des amis, maintenant, toi ?

Severus se releva, et remarqua que les Maraudeurs avaient baissé leurs baguettes. Il avait de la chance, ce serait juste un duel verbal, ce matin. A moins qu'ils ne soient encore trop dans le pâté pour viser correctement, et qu'ils préféraient s'en tenir aux insultes ?

-Mieux vaut être seul que de traîner avec des crétins... De votre espèce, par exemple !

Potter et Black firent un pas en avant, tandis que Lupin se tenait en arrière, et se retenait visiblement de dire quelque chose. Finalement Severus n'aurait pas tout perdu, ce matin ! Une petite altercation verbale avec ses meilleurs ennemis, ça vous mettait un homme en forme pour le reste de la journée... Ironie...

-Qu'est ce qui se passe ? La nuit vous a ramolli ?

D'ordinaire, Severus aurait tout tenté pour s'éclipser le plus loin possible de ses ennemis jurés, et il aurait profité de leur manque de combativité, mais son entretien avec Steelay, et les tristes constatations qui en avaient découlé, l'avaient mis d'une humeur massacrante, et au lieu de fuir le danger, il estima que se prendre quelques maléfices de leur cru dans la figure, c'était bien payé pour avoir une occasion de passer ses nerfs.

-On a juste pitié du cafard graisseux que tu es, Servilus, c'est tout... Tu comprends, déjà que t'es pas bien beau...

-C'est marrant, mais d'habitude, ce genre de scrupules ne vous arrête pas ! Répliqua sèchement Severus.

-Parce que d'habitude, tu penses que tu mérites nos scrupules ?

-Pourquoi ? C'est pas comme d'habitude, ce matin ?

-Nan.

Severus failli sursauter au ton morne de Black. Mais il se contint et garda son masque de froideur. Un instant, il jura voir Potter et Lupin jeter un coup d'oeil en direction de l'angle du couloir, comme si ils se croyaient surveillés.

-Bon, et bien, si je ne suis plus un passe-temps digne de vos petites personnes, vous m'excuserez, mais j'ai assez vu vos belles petites gueules pour aujourd'hui !

Et Severus s'éloigna de nouveau en direction des cachots, à la fois furieux de ne pas avoir pu se défouler, et aussi quelque part, presque vexé. Entre les Maraudeurs et lui, ça avait toujours été la guerre ouverte, et d'un certain côté, ça lui plaisait bien. Il détestait les quatre Gryffondors, et ils le lui rendaient bien. Seulement, il y avait entre eux une sorte de règle : toujours asticoter l'autre dès qu'on le voyait. Bien sûr, Severus était toujours perdant : forcément, à quatre contre un... Mais ça lui faisait quand même une raison de s'entraîner en classe, et un bon défouloir... Rien de tel qu'une bonne bagarre avec Potter ( Il m'énerve, ce mec, il m'énerve ! ) dans ces cas là... Même si les humiliations étaient nombreuses et cuisantes... Mais on s'habitue à tout, n'est ce pas ? Je les hais, je les hais... Ils paieront, un jour...

Avec mauvaise humeur, le jeune Rogue entra dans son dortoir, pris ses livres et les fourra dans son sac. Ses yeux se posèrent sur ses horaires, et son premier cours de la journée : Histoire de la Magie.

Génial, même pas de pratique, pour taper sur les autres...

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James, Sirius et Remus soupirèrent lorsque Rogue disparut dans l'escalier, les doigts crispés sur leurs baguettes. Ils inspirèrent une grande goulée d'air, et se retournèrent lentement vers l'angle de mur, qui formait le coin du couloir.

Harry Dawson, leur professeur de défense contre les Forces du Mal, était appuyé contre le mur, les bras croisés sur sa poitrine ( La baguette magique bien en vue ! Vive les techniques de persuasion ! ), et les regardait d'un air moitié furieux, moitié méprisant.

-Je suis content de voir que votre sens de l'observation est aussi développé, les gars... Dîtes moi, vous m'aviez repéré avant, ou après avoir envoyé un joli petit Maléfice d'Expulsion à Mr Rogue ? Après, je suppose ? Et qu'est ce qui se serait passé, si je n'étais pas passé par ici, juste au bon moment ? Vous auriez continué à le malmener ? La belle affaire, ici, dans ce couloir désert, où personne ne pouvait venir ni vous admirer, ni vous arrêter...

-Harry... Commença Sirius.

-C'est "Professeur Dawson", le coupa froidement Harry. Maintenant, messieurs, vous allez me suivre, je crois qu'il serait bon que nous ayons une petite discussion avant le début des cours.

Et sans vérifier si ils le suivaient bien, Harry s'éloigna en direction de l'aile des professeurs. Les trois garçons échangèrent un coup d'oeil honteux. Oui, oui, ils avaient honte ! Un instant, ils envisagèrent de fuir à toutes jambes vers la tour de Gryffondor, mais très vite, ils chassèrent cette idée : ils ne pourraient plus jamais se regarder ni en face, ni face à Harry, si ils faisaient ça. Et ils aimaient vraiment beaucoup Harry...

Avec le soupir de ceux qui s'en vont à l'échafaud, il accélérèrent le pas pour rattraper leur professeur, qui marchait vite et silencieusement.

Casilda, Callisto et Peter allaient les récupérer en petits morceaux, ils le sentaient...

FIN DU CHAPITRE 6, "La dualité de l'être"

Réponses aux reviews :

Lisandra : J'espère que ce chapitre te plaira d'avantage, en tout cas ;) Gros bzou, ma Liz !

Fofolleuh : Ben voilà, comme ça tout le monde est content ;) J'espère que ça t'as aimé ce chapitre, malgré que tu ne l'ai pas eu en avant première, j't'aime fort, Jums, bisouilles à toi !

Aresse : Moi ? Créer un univers entier ? O.O ? Nan, je m'appuie juste sur celui de JKR, et je rajoute mes p'tits personnages insignifiants, c'est tout ! rah, tu vas me faire rougir ! J'espère que Steelay t'as plue, niek niek. Merci encore et bises !

Titania.M : Lol, et bien si tu as dévellopé un don grâce à moi, tant mieux ;) Lol, en espérant que tu fasses meilleure usage de ton don que Sibylle (nan, elle, elle a pas de don, niak). Contente que tu aies aimé la discussion Harry/Steelay, lol, en effet, on peut supposer qu'elle était une Serpentarde dans toute sa splendeur, héhé. Merci énormément pour tous tes compliments, ils me font vachement plaisir comme d'habitude ;) Gros bzou à toi !

Sara Ambre : Waaaaaaaaaaaaah, quand j'ai vu la taille de ta review, j'ai sauté au plafond ! Me suis cognée et j'ai une bosse, c'est malin, ça, mdr. Contente de t'avoir aidée pour le site, et pis pour le chapitre 6, grouille toi de le finir, lol ! Merci encore et bizoux, ma soeur du 5e âge !

Blacky : Pour le Peter, t'as été servie dans ce chapitre, lol. Et là, c'est pas que des regrets, niek niek. Enooooooooormes bises et merci, ma best friend !

Gaelle Griffondor : J'espère vraiment que la suite t'a plu ;)

Minibout'chou : Lol, t'as posté 3 fois ta review, mais c'est pas grave, ça me fait plaisir ;) J'espère que les Maraudeurs et Harry t'ont plu ;)

Lady Lyanna : Vi, l'intrigue se ficelle, mais purée, tu verrais le paquet de noeuds que c'est encore dans ma tête, lol. J'veux un démêlant ! Ce chapitre était un ch'tit peu plus long, mais bon, c'est pas encore l'Himalaya, héhé ! Pour la discute entre les 2 profs, rassure toi, je l'ai relu et j'ai rien compris non plus. En fait, c'est une conversation inutile, qui a pour but de montrer l'arrogance de Steelay. Merci à toi et bizoux !

Alinemcb54 : Mdr, pas de teinture blonde, t'es sûre ? Vi, mes persos ont la réplique salée, mais c'est pour ça qu'on les aime ;) Et ouiiiiiiii, je suis une grande fan de Fruits Baskets ! Moi je dis AYAME POWA ! Merci de ta review et grosses bises !

Cemeil : N'est ce pas que je suis gentille ? Héhé. Ouais, les vacs sont bientôt finies :'(... Ouais, sur certains points, comme tu le vois, Steelay est pire que Rogue ! Lol, moi aussi j'adore le tandem Lily/Oona, c'est un peu moi et ma conscience... Contente qu'elles te fassent rire, parce que je m'amuse bien à les faire vivre, ces deux là ;) Pour l'explication du retour de Queudver dans le passé, reporte toi en haut de page, j'ai tout expliqué ;) Je suis vraiment très contente que ma fic te plaise autant, et je te dis un grand "MERCI" pour tes zentils compliments, ça fait chaud au coeur ;) Et vi, j'ai même dépassé les 100 ! Chuis heureuseuh ! Grooooooooos bisoux !

Théalie : Très heureuse que ça te plaise, et que tu aimes la discussion (enfin, l'engueulade, plutôt, mdr) entre mes deux profs ;) Merci et bises !

Coralie Malefoy : Vii, merciiiiii ! Et j'en veux une autre, de review ! Lol ! Et oui, que les gens n'aiment pas Steelay, c'est le but ;) Oui, Wendy est bien la mère de Luna ;) xpdrrrrrrrrr, le fouet ! Allez, je viens avec vous ! Merci en tout cas, et bzou !

Ambre15 : Chouette, ma dose ! Lol, merci bicoup ! Meuh, c'est pas ma faute, j'écris sans réfléchir aux conséquences, milles excuses ! T'as raison, la prochaine fois hje ferais un chap nul à chier, tu pourras épuiser ton stock d'insultes, comme ça ;) Vive astérix mission cléopatre ! Ah, oui, c'est le grand amour entre Steelay et Potter, hinhin, et c'est pas là de s'arranger ! Attends, je vais chercher ma poele à frire et je viens t'aider à aplatir Draco ! Lol, gaffe au pc, mdr. Je suis vraiment touchée que tu aimes autant mes pauvres fics ;) Vi, c'était du chantage, mais chut, faut pas le dire :p ! Encore tout plein de mercis et de bizoux !

Belval : Mais c'est pas grave euh, mon chouuuuuuu ! Chuis contente que ça te plaise ;) J'espère que t'as aimé la suite, et que la, prochaine fois, t'oublieras pas ton portefeuille en allant faire tes courses ( en parlant de ça, rappelle moi de te tuer, j'ai réveillé mon vieux tellement je riais quand j'ai lu ça ! ) Pour ce qui est des Maraudeurs, tu as été servi avec ce chapitre ( un bout de Rogue aussi, héhé ), pour Lily, ça vient, ça vient ;) Pour Ginny, je l'ai pas amené parce que j'avais pas envie, xpdr. J'ai d'autre projets pour le Ryry ;) "A la maison blanche" ? Connais pas cette série, lol. Oui, je suis inculte, et fière de l'être, mdr. Je vois que tu as deviné qui avait été envoyé dans le temps ;) Et pis moi j'ai eu TR et le berceau de la vie, na ! Allez, merci beaucoup et gros bisoux, chou !

Cérulane : Alors toi tu es une des rares qui aime Steelay, lol. mais je suis contente que ça te plaise ;) ( chuis toute rouge ! ) héhé, c'est vrai que ça serait marrant, ta proposition pour Ginny, mais ça ferait pas sérieux, c'est une fic Drama, quand même, lol ! Et pour la longueur de review, niaaaaaaan, faut pas t'arrêter ! J'adore ça, moi ! Mdr, encore merci et bzou !

M4r13 : Avec ce chapitre, Steelay va encore baisser dans ton estime, lol. Oui, Narcissa pourrait devenir comme elle, mais elle ne le fera pas, et tu vas voir pourquoi ;) J'espère que la fic te plaît toujours, merci et bisous !

Kitou : Mdr, je vais étudier ta suggestion pour les mauvais chapitres, lol. Pour l'arrivée de Peter, reporte toi en début de chapitre ;) J'espère que ce chapitre t'as plu, merci et gros bzou !

Cally : Chalut, ma zamie Italienne ! Comment que ça va bien ? Mais chuteuh, fallait pas le dire pour Ryry, mdr. Pour ce qui est de Bella, je ne la vois pas froide du tout. Non, je la vois bagarreuse, franche (trop), et méchante comme une teigne. C'est comme ça que je la vois, moi ;) La froideur, c'est plutôt pour Narcissa ;) Vi, la fille c'est Liz, mdr. Et pour les parents de Luna je reconnais que je me suis bien amusée ;) Merci beaucoup de ta review et de ton aide, chère, et bizoux !

Eiream : T'es la 100e revieweuseuh ! J'espère que tu auras aimé ce chapitre ( même si tu vas le lire dans ton pc et que t'auras peut être pas la réponse à ta review, mdr ) et que tu continueras à suivre ;) J'tadore ma cacahuète !

Abel : Hey non, tu es le 101e revieweur ;) Mais c'est pas passé loin, lol. Merci, je suis vachement contente que ma fic te plaise ! Bisous !

Bavardage ultra spécial sur presque rien n°7 : J'ai ADORE travailler les cas de Peter, Rogue et Steelay ! Et bien sûr, de me pencher sur la psychologie de chacun des Maraudeurs ! Harry me fait rire ( oui, oui, il me fait rire, mdr ) et je sens que je vais bien m'amuser avec sa discussion hem... sportive, diront nous, avec les Maraudeurs. Mais rassurez vous, il ne vas pas les abîmer ;) Ca va pas la tête ? Je vais pas faire de mal à mes chéris, moi ! Et puis vous avez vus, ils ont leur raisons, non ? je sais que tout le monde voit Rogue comme le pauvre souffre-douleur; héros martyr imcompris, mais moi, il m'énerve, que voulez vous ! Et puis, on voit quand même dans les livres qu'il beaucoup plus sadique que tout le monde veut bien le croire ( Cf tome 3 et 4, il en envoie quand même plein à la gueule à Hermione et Neville, qui ne lui ont rien fait, pourtant ! Et il y prends plaisir, apparemment, le bougre ! OK, ce sont des copains de Harry, mais bon... Et dans le tome 5, Sirius et Lupin expliquent bien qu'il n'était pas si en reste que ça face aux attaques des Maraudeurs ! ). Bref, ça me plaît bien, le concept de "jeu" entre lui et les Maraudeurs. Ils se bouffent le nez sans arrêt, et ça leur plaît. Même si Rogue sort souvent perdant, pour cause d'infériorité numérique ;)

J'espère que ce chapitre vous a plu, autant que je me suis amusée à l'écrire ! N'oubliez pas mes reviews, et à la prochaine !

Bises

Andromède