Titre : Une fenêtre sur le passé
Auteur : Andromède ( ou Mémé Dro, pour faire plus neuneu )
Spoilers : Les 5 premiers tomes.
Disclaimer : Rien n'est à moi sauf ce qui est à moi.
Notes de l'auteur : Arf ! Après des semaines de hiatu, cte fic revis enfin ! Mwahahaha ! En plus, j'en avais tellement marre de ramer sur la fin de che chapitre que j'ai coupé bien avant la fin qyui était prévue au départ. Et oui, normalement, ce truc aurait du faire au moins cinq pages word de plus, lol. Malheuresement mon inspiration est en vacances ( traîtresse ), et si vous vouliez le chapitre avant Noël ( 2006 ) c'est comme ça. Voilà, il me reste à remercier Callisto et Lisandra, mes correctrices adorées, ainsi qu'à GabrielleTrompeLaMort et Jums, sans qui la vie serait bien morne.
Un gros bisous à Sara chérie pour son anniversaire ;)
Bonne lecture à tous.
UNE FENETRE SUR LE PASSE
Chapitre 11 : Némésis ou le Feu de la Vie
James n'avait pas bougé d'un pouce, bien que Lily fût partie depuis de longues minutes, maintenant. Un milliard de questions dansaient la sarabande dans sa tête, et il tentait d'y mettre de l'ordre. Le stress de ces derniers temps, la lettre de Nime', la bagarre avec Rogue et maintenant, le presque aveu de Lily l'avaient jeté dans la confusion la plus totale.
Etait elle vraiment sortie pour le retrouver lui ? Ou quelqu'un d'autre avait il quitté la Grande Salle en même temps que lui et c'était lui qu'elle allait retrouver ? ( "Parano !" ; "Grrr, ta gueule !" )
Nime' était elle toujours vivante ?
Ses parents étaient ils déjà en route pour Poudlard ?
Pourquoi Lily l'avait elle soignée ?
Qu'allait il se passer maintenant ?
Il n'osait pas bouger son épaule sérieusement blessée, et les fourmis commençaient à l'envahir. Lily n'avait soigné que les plaies superficielles, ce qui constituait heureusement la majorité de ses blessures. Mais restait le coup que Rogue lui avait porté à l'épaule, de toute la force de sa magie. Elle était déboîtée, dans le meilleur des cas, et il priait pour que ce ne soit pas plus grave. Il ne se sentait pas d'humeur à faire son Sirius ( lui aurait été capable de se jeter l'épaule la première contre l'arbre pour la remboîter tout seul ), et aurait payé cher pour être capable de se lever et d'aller jusqu'à l'infirmerie.
Il avait vraiment été stupide de se battre comme il l'avait fait à l'aube d'une Bataille. Il ne pouvait pas bouger, et il était seul, isolé, dans le parc, sans secours à espérer. De plus, il avait épuisé ses réserves d'énergie, et se sentait aussi faible qu'un tout petit enfant.
Ah oui, bravo, franchement, putain, mais qu'est ce que je peux être con, quand je m'y met !
Et puis d'abord, pourquoi une Bataille ? Pourquoi Voldemort choisissais t'il donc d'attaquer maintenant ? Le jour de la rentrée ? Pour créer la confusion ? Non, la confusion, il la créait tous les jours... James repensa à la lettre de Nime', qu'il avait brûlée sous le coup de la colère. Nime', sa grande soeur, qui avait tenu lui faire ses adieux... Elle avait été rappelée par son régiment la veille, car Voldemort était en marche sur le front Nord. Et il y avait peu de chances pour qu'elle en réchappe...
James se força à penser à autre chose, l'image mentale du cadavre de sa soeur n'étant pas spécialement ce dont il avait le plus besoin en ce moment. Il tenta de se mettre debout, et s'aperçut avec bonheur que ses jambes ne tremblaient presque plus. Lily n'avait peut être pas reconstitué entièrement sa réserve de magie usuelle, mais au moins, ses muscles étaient en état de marche. Il fit quelques pas, mais s'arrêta aussitôt, saisi d'un vertige. Décidément, Rogue était bien plus puissant qu'il n'y paraissait. Il eut un pincement au cœur en se souvenant que ses coups à lui avaient eu moins d'effet sur le Serpentard. Mais il fallait dire aussi que Rogue était très doué pour faire abstraction de la douleur, et que ces derniers temps, James était tout sauf en forme.
Il s'assit de nouveau, résigné à n'être plus qu'une loque humaine, incapable de se sortir de là tout seul. Si seulement Lily était restée... Si seulement elle avait su... Mais il ne pouvait pas lui dire, il ne devait pas. Cela aurait revenu à réduire 3 ans d'efforts et de travail acharné à néant. Et puis, Lily se serait empressée d'aller les dénoncer, lui, Sirius et Peter, si elle avait su.
James se laissa aller contre le tronc, incapable de trouver une position confortable, et réfléchissant au meilleur moyen de se sortir de là. Si seulement il avait eu son miroir à double sens ! Il aurait pu avertir Sirius ! Il eu un pauvre sourire en pensant à son meilleur ami, qui devait sûrement être en train de traîner Remus et Peter dans tout le château, à sa recherche. Le fou, le fidèle Sirius.
Il ne pouvait même pas attraper sa baguette : son bras droit était devenu insensible et ne réagissait plus, et il ne préférait pas prendre le risque de le lâcher et libérer ainsi sa main gauche.
Décidemment, Lily avait raison, il était le plus grand crétin de l'univers.
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Peter suivait Sirius, Remus et les filles dans le dédale des couloirs, un peu à l'écart, comme toujours. Il se sentait nauséeux, et son poignet le picotait désagréablement. Il ne comprenait pas pourquoi, mais il sentait vaguement que l'autre Peter était de nouveau là. Il n'osait pas en parler à ses amis, qui se seraient moqués de lui, ou pire, ne l'aurait pas écouté. Non, ils étaient bien trop préoccupés par le sort de James pour se soucier des petites misères de Peter avec son double paranormal. Bien évidemment, il s'agissait toujours de James. Lui passait toujours au dernier plan.
Mais jusqu'à présent, il s'en était bien moqué, pourvu qu'on reste son ami. Mais à ce moment précis, la fatigue, la douleur et l'inconfort de sa situation firent monter en lui un sentiment d'injustice, de jalousie et de colère. Quoi qu'il fasse, il serait toujours second.
Peter s'arrêta, et laissa ses amis continuer à marcher. Il sentait vaguement qu'on tentait d'entrer en contact avec lui. Ou du moins, qu'on tentait de forcer les barrières de son esprit. Il tenta vainement de résister, mais le sentiment de violation augmentait. Des images brouillées passaient, défilaient dans son esprit. Des souvenirs remontaient à la surface, sans qu'il puisse faire quoi que ce soit pour arrêter ce flot de pensées. Il se revoyait à 12 ans, terrifié, dans les bras de James et Sirius, tentant d'accepter le fait que Remus était loup-garou. Il se vit lors de sa première leçon de vol, s'étaler lamentablement au sol, sous les rires d'Evans et O'Neary. Peu à peu, des souvenirs plus récent apparurent : ce matin, dans le train, avec Harry. La performance de Sirius en Soins aux Créatures Magiques.
L'arrivée de la lettre de Némésis, le départ de James de la Grande Salle.
Le siège vide d'Evans.
Peter ouvrit les yeux, haletant, en sueur, à genoux sur le sol de pierre. Remus et Sirius étaient à ses côtés, et semblaient inquiets. Peter passa une main sur son visage, il était brûlant. Pourquoi était il par terre ? Pourquoi cette affluence de souvenirs ? Pourquoi cette envie de vomir ?
"Peter, est ce que ça va ?" Demanda Remus, une main sur son épaule.
"Je... Je crois que..."
Peter déglutit, il venait de comprendre.
"Je crois qu'on a fouillé ma mémoire..."
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Queudver n'osa ouvrir les yeux que lorsque les mains glacées de Steelay eurent quitté ses tempes. Il en eu presque chaud. Elle l'observait, d'un air à la fois moqueur et méprisant, et il ne se sentait pas capable de rompre le contact avec ses yeux trop blancs.
"Voilà, vous avez vos deux pigeons, Pettigrow. Et ne me dîtes surtout pas merci, cela me créerait une dette de sorcier avec vous, beurk !"
Et elle sortit de la pièce dans un tourbillon de tissu gris et de cheveux blonds. Queudver se massa l'arrière du crâne en fusillant la porte du regard. Qu'est ce qu'elle pouvait l'agacer, parfois ! Cette manie de vous regarder de haut, de tout dissimuler et de se faire passer pour un mur de glace ! Je les ai bien vues, tes cernes et tes lèvres mordillées ! Et comme tu es tout sauf du genre à laisser un homme te faire ça, j'en déduis que tu n'es pas plus brave que moi face à cette Bataille !
Queudver remit de l'ordre dans ses vêtements, et se demanda pourquoi est ce qu'il avait fallu qu'elle soit la seule Legilimens accomplie du château ? Peter avait été chargé par Lord Voldemort de capturer James et Lily, mais il n'avait pas l'intention de parcourir le champ de Bataille en les cherchant partout. Alors il s'était souvenu du lien mental qui l'unissait au Peter de cette époque, et avait décidé de recourir à la Legilimencie pour accéder aux souvenirs de son "lui" jeune. Il savait forcément où se trouvaient James et Lily ! Et puis après tout, si Harry et Voldemort pouvaient fouiller réciproquement leurs mémoires, pourquoi pas lui ?
Mais pourquoi Steelay ? Grrrrr !
Le Mangemort se leva et raffermit sa prise sur sa baguette. La première vague d'assaut était prévue dans quelques minutes, il avait le temps d'aller dans le parc mettre la main sur son ancien ami. Il lui avait fallu un bon bout de temps pour accepter l'idée qu'il allait le trahir une deuxième fois. Mais finalement, il avait décidé d'opter pour la solution brutale : il se sentirait moins coupable et moins faible en capturant Cornedrue et la Tigresse par la force. C'était une solution lâche, certes, mais après tout, n'était il pas un lâche par nature ? Mais l'autre Peter... Moi, à 17 ans... Si je trahis James maintenant, il n'aura aucune chance de rédemption et il perdra l'amitié des Maraudeurs. Après tout, pour lui, il n'est peut être pas trop tard...
Quelle importance ? Il aurait sa cagoule, et avec un peu de chance, James serait trop ébranlé pour reconnaître sa signature magique. Et puis ça, c'était plutôt du ressort de Remus que de celui de James.
Tous les doutes, tous les scrupules étaient ils vraiment envolés ?
Peut être que oui, peut être que non. Mais il n'était plus temps de s'en soucier, déjà Queudver entendait le cor d'alarme de Poudlard retentir, et les élèves pousser des cris de frayeur. La première vague était lancée.
Les Banshees et les Dames Blanches, menées par le jeune Lucius Malefoy et sa soeur, Faustine. Voldemort préférait envoyer les nouvelles recrues au casse-pipe en premier, moins dangereux que de risquer de perdre ses Mangemorts les plus aguerris.
D'ailleurs, Tobey Steelay et Eusebius Rogue devaient déjà se tenir prêts avec leur bataillon de Détraqueurs derrière eux.
Ce serait une bataille de spectres, le Seigneur des Ténèbres en avait décidé ainsi. Queudver éclata d'un rire sans joie et sortit des appartements de Steelay à son tour.
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Harry entra dans ses appartements en coup de vent, claquant la porte de toutes ses forces, et se précipita à la fenêtre, ses longs cheveux noirs détachés flottant en désordre autour de son visage crispé. Voldemort attaquait, et il attaquait en force et trop tôt. Beaucoup trop tôt. Que cherchait il ? Pourquoi frappait il Poudlard le soir même de la rentrée ? Pourquoi ne lançait il que des créatures de l'âme contre le château ?
Détraqueurs, Banshees, Dames... Hélynn, est ce que tu es là ?
Mais surtout, pourquoi n'était il pas au courant de cette attaque ? Pourquoi son lien mental avec Voldemort ne lui avait pas permis de prévoir cet assaut ? Bien sûr, sa connexion avec Tom était brouillée ici, dans ce passé hostile auquel il n'appartenait pas. Mais il aurait dû savoir, il aurait pu savoir ! Harry se força à respirer calmement, tandis qu'il suivait des yeux les premiers sortilèges de défense qui fusaient des baguettes des professeurs. Le temps des questions n'était pas encore venu, et celui des réponses encore moins.
Il contempla son bras droit en écharpe et se traita mentalement de crétin. Heureusement que durant la guerre, il avait appris à manier sa baguette des deux mains. Il inspira une grande goulée d'air, évalua la distance qu'il le séparait du sol. Une demi douzaine de mètres, tout au plus, ce ne serait pas difficile.
"HELYNN !"
Il avait hurlé. Hurlé à la fenêtre, hurlé dans le crépuscule, hurlé dans la langue des Dames Blanches. Hurlé sans espoir de réponse. Pourtant elle vint.
Hélynn, vêtue de blanc, pas encore dégoulinante de sang, qui dansait dans les courants d'air, devant les fenêtres de Harry. Ses cheveux noirs étaient hérissés sur sa tête, les traits de son visage s'étaient effacés, ses jambes s'étaient soudées pour former une longue traînée de chair et de brume. La Dame Blanche avait perdu son apparence humaine, mais avait gagné en puissance et en cruauté. Ne restait que ses yeux, qui étincelaient d'un éclat surnaturel dans la lumière du couchant.
Une sirène chevauchant Eole.
"Je peux ?" Demanda Harry.
"Je t'en prie. Après tout, c'est peut être la dernière faveur que je t'accorde dans ce monde. Tu m'énerves, Harry, tu as un don pour me faire faire ce que je ne veux pas faire."
Harry ne répondit pas et enjamba le rebord de la fenêtre. D'une vigoureuse poussée, il se projeta dans le vide, invoquant du bout des lèvres un sortilège d'allègement corporel. La chute commença, froide et inexorable, le sol se rapprochant dangereusement.
Mais soudain, deux mains aussi froides qu'un seau de glace agrippèrent ses épaules, telle des serres, et Harry sentit les griffes de la Dame s'enfoncer dans l'épaisseur de sa robe de sorcier. Vive la laine. Tu ne m'empoisonneras pas ce matin, Hélynn la Blanche.
Ses pieds touchèrent le sol, doucement, et les serres le relâchèrent. Harry remercia Hélynn d'un regard, et tandis qu'elle repartait aux côtés des siennes, il leva sa baguette, et prononça doucement :
"Sanguis Olfecere !"
Une légère brume apparut un instant au bout de sa baguette, et sembla se dissiper dans l'air. Harry soupira de soulagement, et examina son bras en écharpe. Définitivement pas pratique. Il ôta précautionneusement le morceau de tissu, et grogna lorsque le membre blessé retomba contre son flan. Ah oui, vraiment, c'était très malin de s'être cassé le bras le jour même d'une attaque.
"Ferula."
Une bande blanche s'enroula solidement autour de son avant-bras. Ce n'était pas la panacée, certes, mais cela lui permettrait d'être moins gêné dans ses mouvements. Il faudra qu'il remercie Hélynn pour ça. Harry se débarrassa de sa cape et courut en direction du point d'impact entre lui et la barrière magique de Poudlard qu'il savait le plus proche. C'était par là que les Mangemorts s'infiltrait, c'était donc par là qu'il devait commencer son travail de nettoyage.
Tandis qu'il courait, ses longs cheveux noirs flottant derrière lui, un détail le frappa : si Voldemort avait attaqué aujourd'hui, c'était parce qu'étant le premier jour de l'année scolaire, Dumbledore n'avait pas encore eu le temps d'activer complètement les protections magiques de Poudlard ! La barrière n'était pas totalement reformée !
"Stupéfix !"
Il plongea en avant une fraction de seconde avant que l'éclair rouge ne frôle son oreille, et un instant plus tard, trois Mangemorts étaient sur lui. Il roula au sol en jurant, et traça un large arc de cercle devant lui, tellement rapidement qu'une traînée rouge et or subsista dans l'air.
"Merazoma !"
Les robes des Mangemorts prirent feu, et pendant qu'ils s'agitaient dans tous les sens afin de les éteindre, Harry se releva d'un bond. Il était plus proche des grilles de Poudlard qu'il ne le pensait, puisqu'il apercevait derrière le plus petit des Encagoulés un bout du mur d'enceinte. Une bouffée d'espoir et de courage l'envahit, il n'était pas si seul que ça !
"Expelliarmus !" Hurla t'il, la baguette levée.
Les trois baguettes volèrent droit dans sa main, mais ses assaillants n'avaient pas dit leur dernier mot. Quelqu'un, que quelqu'un vienne ! Je ne peux pas me permettre de perdre mon temps avec ces demi-portions là ! L'un deux sortit de sa poche un étrange sifflet argenté, alors que les deux autres se relevaient et couraient sur Harry. Il esquiva le premier sans difficulté, mais se heurta au second. Il poussa un cri de douleur au choc contre son bras, mais se ressaisit vite. Il balança son coude en arrière en marmonnant une vieille formule de magie celtique, et le Mangemort imprudent valsa à vingt pas de là.
"Enfoiré ! Tu vas voir !"
D'un mouvement vif, il pointa sa baguette entre les deux yeux de celui qui essayait de se jeter sur lui, mais à ce moment là, un son étrange retentit dans l'air, presque immédiatement suivi de ce qui ressemblait à un hurlement de femme hystérique et démoniaque. Un frisson glacée lui parcourut l'échine : des Banshees. Il eut à peine le temps de stupéfixer le Mangemort qu'il tenait en joue, que déjà, un long ruban de chair rose pâle s'enroulait autour de son cou et le tirait en arrière. Il tenta de se débattre, mais la créature avait trouvé son point faible. Il sentit une main gluante et froide lui attraper le bras droit et serrer brutalement.
"Alors, on fait moins le malin ? Et toi, espèce de puante, ne le tue pas tout de suite, qu'on s'amuse un peu, merde !"
Il vit le dernier Mangemort s'approcher de lui, l'un de ses compagnons gisait dans l'herbe, les mains plaquées sur son ventre, et l'autre ne bougeait plus. Harry ferma les yeux, s'attendant au pire, lorsqu'il les entendit.
Des sabots qui fendaient l'air, des ailes de cuir qui se dépliaient, un hennissement sourd, fantomatique, irréel. Un choc violent le projeta sur le côté, et tandis qu'il se retournait vivement, son regard croisa celui du Sombral qui venait de lui sauver la mise. Un oeil blanc et torve, qui rappela bien moins Steelay que ces mêmes Sombrals qui lui avaient un jour permit de quitter la Forêt Interdite.
"Qu'est ce que c'est que ces bestioles ?" Bégaya le Mangemort tandis qu'une demi douzaine de cheveux ailés semblables se posaient autour de celui qui l'avait déjà agressé.
"Les messagers de la Mort, pourquoi ? Petrifcus Totalus !"
Et le dernier des trois Encagoulés tomba. Harry garda sa baguette en main et courut au premier des sombres équidés. Il lui tapota le flanc, et la créature hocha la tête. Harry se hissa alors sur son dos et murmura.
"Survole le château, il faut que j'évalue leurs positions."
Le Sombral ouvrit ses grandes ailes sombres et décolla dans la nuit qui avait finit par tomber. Poudlard déployait ses défenses.
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Lily courait droit devant elle, sans s'arrêter, sans reprendre son souffle, sans songer à se retourner pour voir si les horribles créatures qui l'avaient prise en chasse la suivait toujours. Des jeunes femmes très belles, entièrement vêtues de blanc, et dont les ongles ressemblaient à des griffes et les yeux à l'antichambre de la Mort. Elle était à la limite entre la Forêt Interdite et le parc, et tâchait de ne pas s'éloigner des arbres malgré les branches basses qui accrochaient ses cheveux et lui lacéraient le visage. Elle voulait pouvoir disparaître sous le couvert des arbres si jamais on l'attaquait sur un autre flan.
Les Dames Blanches, ou du moins ce qu'elle avait identifié comme telles, lui étaient tombées dessus alors qu'elle revenait vers l'endroit ou elle avait quitté le cerf. Elle avait cherché James partout, mais sans résultat. Fatiguée, en rogne, et inquiète pour l'emmerdeur de service, elle avait décidé de retourner auprès de l'animal, car elle ne se sentait pas de taille à affronter Oona et les copains de Potter. Mais hélas, elle avait rencontré en chemin quelques difficultés qu'elle n'avait pas prévues...
Elle bondit légèrement par dessus une racine qui lui barrait la route, à la manière d'un de ces grands félins dont elle rêvait de caresser le pelage depuis son enfance. Lily était une tigresse, une prédatrice, et en cet instant, elle se sentait assez forte pour se sortir vivante de cette situation. Malheureusement, Lily n'était pas une championne de course à pied, et bientôt, les Dames Blanches gagnèrent du terrain.
Une longue traînée blanche fendit l'air et passa au ras de sa tempe droite à une vitesse affolante. Les Dames étaient devenues sirènes des Vents, Lily ne put que lancer un sortilège d'entrave à l'aveuglette par dessus son épaule. La jeune sorcière était puissante, très puissante pour son âge, et les créatures le sentaient. Ces spectres se nourrissaient de chair humaine, et plus le coeur de l'individu était pur et chargé de magie, plus cela leur donnait faim. Un point de côté obligea Evans à ralentir l'allure, et elle jura mentalement.
"Protego Lily !"
Elle perçut le cri sur sa gauche, et une seconde plus tard, se cogna brutalement le nez contre un bouclier magique qui s'était dressé devant elle. Elle se retourna vivement, juste assez vite pour apercevoir une demi douzaine de créatures sans visages se ruer sur la bulle transparente qui l'entourait à présent. Seuls leurs yeux subsistaient sur leurs faces de chair blanche. Leurs bras s'étaient faits tentacules, leurs jambes s'étaient soudées et fouettaient l'air à la manière d'une queue. Leurs griffes empoisonnées laminaient le bouclier, et des cris perçants, désincarnés, inhumains vrillaient l'atmosphère et les tympans de Lily.
"Explusio !"
La voix avait de nouveau hurlé, et Lily vit une jeune femme d'une vingtaine d'années se jeter sur les Dames Blanches. Elle était grande, ses longs cheveux noirs étaient relevés en queue de cheval, et Lily reconnut l'uniforme des Pyrovaes, soldats-soriers du Feu, qu'elle avait vu en photo de nombreuses fois. Elle se pencha vers l'avant, collant son nez à la paroi du bouclier, criant de toutes la forces de ses poumons à la jeune fille de s'éloigner.
La jeune femme bondissait, courait en tous sens, frappant et faisant pleuvoir une grêle de sortilèges sur ses assaillantes. Son uniforme pourpre claquait et tournoyait autour d'elle, tandis qu'une aura rouge sang commençait à l'entourer. Lily, tout en martelant rageusement la surface de la bulle et en s'arrachant les cordes vocales à force d'hurler, trouva une singulière ressemblance entre sa sauveuse et Potter.
Cela ne fit que renforcer son sentiment d'incompréhension. Pourquoi cette fille venait elle de la sauver et l'empêchait elle de la secourir à son tour en l'enfermant ? C'était stupide ! Lily se mordit la lèvre et lança plusieurs sortilèges pour tenter de détruire le bouclier. Némésis ( car c'était bien elle ! Lily l'avait déjà vue à la gare de King's Cross ) avait de plus en plus de mal à contenir les assauts des Dames Blanches, et de nombreuses plaies parsemaient son visage. Visiblement, elle ignorait ce à quoi elle avait à faire, et ses coups se faisaient de moins en moins précis et puissants. Le poison des créatures commençait à faire son effet, et Lily sentit que si elle ne faisait rien, la soeur de Potter allait se faire dépecer et dévorer sous ses yeux.
Elle ferma les yeux et se concentra de toutes ses forces, récitant son mantra et ses vers latins pour vider son esprit de toute pensée parasite. Elle avait déjà lu nombre de choses sur les Dames Blanches, quels étaient leurs points faibles ? Leurs points faibles ?
Dames Blanches, créatures fantômes et cannibales... Femmes criminelles, aux griffes empoisonnées et à la chair de glace... De glace, oui, de glace ! C'est ça, oh, bon sang !
NEMESIS !" Hurla Lily. "Ce sont des spectres de glace, elles craignent le feu et la lumière ! La chaleur !"
La jeune fille s'était relevée et se penchait en avant de toutes ses forces, comme pour faire rouler le bouclier. Il fallait qu'elle sorte de là, il fallait que la jeune Pyrovae comprenne le point faible des Dames ! Mais heureusement, cette dernière avait entendu le cri de Lily, et cherchait une ouverture dans le cercle des créatures pour s'échapper et les avoir toutes en face d'elle. Lily remarqua à cet instant que les spectres communiquaient entre elles, dans une langue chantante aux consonances aquatiques. Et bien qu'elle ne comprenait rien aux imprécations furieuses des Dames, elle se doutait que ce n'était pas du meilleur augure pour Némésis.
"Le feu, le feu..."
Némésis avait foncé hors du cercle. Némésis avait rangé sa baguette. Némésis avait levé les bras, cambré le dos, et Lily eut l'impression que des ailes allaient lui pousser tant l'aura magique qui émanait d'elle s'épaississait. Lily ne voyait la soeur de James que de profil, mais déjà de là ou elle se trouvait, elle pouvait voir que ses yeux, de noisette qu'ils étaient, étaient devenus écarlates.
"Le feu.."
Ce fut si soudain, si rapide, si puissant, que Lily ne comprit pas immédiatement. Un tourbillon de flammes, léchantes et dévorantes, se propageait depuis Némésis jusqu'à l'endroit où se tenaient les Dames. Ses deux mains avaient disparus, faisant place à des orbes de feu rougeoyantes, qui menaçaient d'exploser à tout instant, aux yeux de Lily.
"Némésis !" Cria une autre voix.
Lily aperçut quelques hommes, portant eux aussi l'uniforme des Pyrovaes, se précipiter sur le lieu du carnage, qui ressemblait à présent à une fournaise. Elle était consciente que si il n'y avait pas eu le bouclier, elle aurait grillée vive, dévorée par la chaleur du brasier.
"Tristan !" S'exclama Némésis, relâchant sa garde quelques secondes. "Va chercher du renfort, va aider Dumbledore et les autres, je m'occupe de celles là !"
Elle leva le poing, ou du moins ce qui y ressemblait en direction des Dames Blanches. L'une d'elle, la plus belle d'ailleurs, s'était redressée à l'arrivée des hommes, et s'était cabrée en avant. Ses yeux étincelants s'étaient plissés de haine, et on aurait à présent dit qu'elle cherchait à reconnaître Némésis. Lily se débattit plus férocement que jamais contre sa prison magique, mais sur un signe de sa protectrice, deux Pyrovaes s'étaient approchés et s'affairaient à renforcer le bouclier.
"Némésis, on va t'aider !" Cria le dénommé Tristan par dessus le grondement des flammes.
Mais la jeune femme ne répondit pas et lança les deux orbes qui crépitaient autour de ses mains en avant, laissant exploser sa rage et brûlant le périmètre. Lily se boucha les oreilles lorsque les cris de douleur des Dames Blanches montèrent du charnier. C'était aigu, c'était perçant comme une aiguille d'acier, ça faisait mal. Plus personne ne voyait plus rien, l'herbe, les fleurs, les arbres et la couleur du ciel avaient été balayés par le pouvoir de Némésis.
Lily tomba à genoux, comprenant enfin pourquoi les Elementaux étaient tant craints et rejetés par les sorciers.
Leur potentiel de destruction n'avait pas de limite.
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Sirius, Remus et les filles se débattaient rageusement entre les mains des professeurs, qui avaient rassemblés tous les élèves dans la Grande Salle, et les obligeait plus ou moins brutalement à se tenir tranquille. Ils voulaient sortir, retrouver leurs amis ! Ils voulaient se battre, défendre Poudlard ! Repousser la guerre qui frappait ainsi à leur porte si brusquement.
Sirius poussa un grognement de rage et donna un violent coup de coude à Steelay, qui tentait de l'empêcher de sortir. Elle se plia en deux sous la douleur, et Sirius crut qu'il allait pouvoir s'échapper. Malheureusement, elle lui attrapa le bras et le tordit avec force, le ramenant ainsi devant elle. Ce faisant, elle leva sa belle main blanche et lui administra une claque magistrale, qui fit sursauter toute la Salle.
Sirius tomba en arrière, une main sur sa joue cuisante, l'air profondément ahuri. Steelay le fixait avec une rage sans nom, et Remus et Peter se précipitèrent pour relever leur ami. Brûlopot, qui tentait de contenir un groupe de Serdaigles, s'avança et posa sa main sur l'épaule de sa jeune collègue.
"Gwenaëlle, calmez vous..."
Elle le repoussa brutalement, dardant toujours les Maraudeurs de son regard blanc terrifiant. Casilda, Callisto et Oona se serraient les unes contre les autres, affolées. Aucune n'avait remarqué que Wendy ne les avait pas suivies.
Vous n'êtes qu'un imbécile, Black. Siffla Steelay. Pensez vous réellement que c'est en vous retournant contre vos propres alliés et en vous comportant en gamin capricieux que vous allez faire avancer les choses ? La vie et la guerre, c'est le même principe ! Obéissez à vos supérieurs, Black, et cessez de vous croire au dessus des consignes ! Le château est attaqué, et vous êtes en sécurité, ici !
"Mais Professeur, se rebella Sirius, nos amis sont dehors, en train de se faire massacrer ! Il faut qu'on aille les aider !"
Et alors ! Explosa Steelay. Croyez vous réellement qu'en allant vous faire tuer héroïquement vous leur serez d'une quelconque utilité ? Vous n'êtes qu'un gosse, Black, un gosse ! Et là, dehors, ce sont des sorciers aguerris, sans scrupules ni morale, qui n'hésiteront pas à vous pendre à un arbre et à vous arracher les couilles sous les yeux de vos amis simplement pour s'amuser ! Et d'envoyer ces trophées à votre mère dans une boîte d'allumettes !
La fureur contenue dans sa voix avait monté graduellement au fur et à mesure de ses paroles, et elle avait quasiment hurlé les derniers mots. Tous s'étaient reculés, bien trop choqués et horrifiés pour dire quoi que ce soit. Brûlopot s'était éloigné, et s'était laissé tomber sur une chaise, ébranlé par Gwenaëlle Steelay, si différente de la Reine des Glaces qu'il avait l'habitude de côtoyer. La Grande salle était à présent silencieuse, et fixait le professeur de Potions, toujours frémissante de rage. Oona s'était agrippée à Remus, et sentait son courage l'abandonner. Callisto sanglotait silencieusement dans les bras de sa meilleure amie.
Les Maraudeurs contemplaient le sol, profondément abattus. Ils voulaient rejoindre James et Lily, ils voulaient aider Nime', ils voulaient repousser les Mangemorts. Mais leur action servirait elle vraiment à quelque chose ou se contenteraient ils de faciliter un peu plus la tâche des sbires de Voldemort en faisant ça ? Qui étaient ils pour faire pencher la balance en faveur de l'un ou l'autre camp ?
Ils n'étaient que des enfants.
Steelay fit de nouveau un geste menaçant, comme pour s'assurer qu'ils avaient bien compris, mais une main se posa sur son épaule, la faisant sursauter. Elle se retourna vivement, et se retrouva face à face avec la femme qui avait le plus compté dans sa vie, celle qu'elle considérait comme sa mère et son Maître. Gabrielle Williams, Capitaine des Duellistes du Ministère, Maître Bretteuse Magique.
"Maman !" S'écria Casilda, en se précipitant dans les bras de sa mère.
Gabrielle serra un instant sa fille contre elle, et se tourna de nouveau vers Steelay.
"Vas y, tu peux aider, toi. Moi, je vais rester ici, il faut que je protège le coeur de Poudlard et les élèves."
"Mais... Maître... Enfin, vous êtes meilleure que moi au combat, votre place est dehors !"
"Non, c'est ta place. Je sais que tu crèves d'envie d'éradiquer tous ces salopards ( ici sa voix avait pris un ton amer, ironique.. ) et de te défouler. Et puis, dehors, il y a cet imbécile de William Potter, et je sais qu'il m'empêcherait de me concentrer."
Steelay éclata de rire, et les regards des Maraudeurs s'assombrirent. Les deux femmes se ressemblaient trop pour le bien de la société. Casilda était revenue auprès de ses amis, rassurée. A présent que sa mère veillait sur eux, elle était convaincue que plus rien ne pourrait leur arriver.
"Gwenaëlle, vas y ! C'est un ordre ! Tu représentes l'autorité des Duellistes, va, fait honneur à ta guilde ! Et tâche de protéger le château de ces raclures de fiente de chauve-souris !"
Steelay acquiesça, impassible, et sortit de la Grande Salle. Gabrielle soupira, et ordonna aux élèves de se grouper dans le fond, ce qu'ils firent immédiatement. Le Capitaine des Duellistes avait un don pour imposer la confiance et l'autorité.
La confiance, qu'ils pensaient tous avoir perdue.
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Une seule. Il n'en restait qu'une seule. Toutes les autres Dames Blanches gisaient en un petit tas informe aux pieds de Némésis. Noires, encore fumantes, calcinées... Lily était à genoux, dans sa bulle, les mains plaquées sur son nez et sa bouche, les joues ruisselantes de larmes. Elle n'osait même pas imaginer l'odeur de chair brûlée qui assaillerait ses narines si le bouclier n'avait pas été là.
Némésis s'était écroulée, haletante, épuisée, dans les bras de Tristan Diggory, qui la serrait doucement contre lui en murmurant des paroles réconfortantes. Lily remarqua que ses mains nues étaient noires et à vif, comme si elle les avait tenues dans le feu sans bouger durant tout ce temps. Ses cheveux étaient à présent libres et épars sur ses épaules, affreusement en désordre, comme son frère. Elle pleurait et riait en même temps, vaincue et vainqueur, bourreau et victime.
Une seule Dame Blanche. Une seule rescapée du charnier, dernière de sa tribu à Poudlard. Elle s'élevait, lentement, toujours sirène, les yeux brillants de rancune et de colère, et elle se régénérait lentement. Au fur et mesure que Némésis semblaient se vider de son énergie, le spectre grandissait, et Lily voyait le bouclier s'affaiblir. Bientôt, il disparut totalement, et Lily s'effondra dans l'humus de la lisière de la forêt, vidée de toute substance. L'odeur, aussi insupportable qu'elle se l'était imaginée, l'agressa d'abord. Puis, lentement, Lily l'oublia, pour se concentrer sur l'atmosphère brûlante et suffocante qui régnait là depuis que le brasier s'était calmé.
Ils étaient là, tous les quatre. Nime', Lily, Tristan, et cette Dame Survivante, rescapée du massacre de ses soeurs. Elle restait en retrait, immobile, mais Lily sentait parfaitement qu'elle brûlait ( c'était le cas de le dire ) d'envie de se jeter sur la jeune Pyrovae.
"Nime', est ce que ça va ?" Demanda Tristan en relevant sa jeune lieutenante.
Elle le regarda un moment sans rien dire, l'air très fatiguée, puis lentement, un sourire naquit sur ses lèvres. Elle se releva en tremblant, et Lily put constater que ce n'était pas seulement ses mains qui étaient calcinées, mais aussi l'ensemble de ses bras et le devant de sa robe. Décidément, Lily comprenait de plus en plus la ségrégation des Elementaux comme Nime'. Ils étaient véritablement effrayants et capables du pire. Mais ce n'était pas pour cela qu'elle allait se mettre à les rejeter. Après tout, Némésis Potter venait de lui sauver la vie. Et puis, c'est la soeur de James...
Elle se gifla mentalement, et se releva, prête à se précipiter vers ses sauveurs et à sortir de cet enfer. Mais aussi soudainement, elle s'immobilisa. Un sourire béat et stupide naquit sur ses lèvres, tandis qu'elle observait Tristan déposer un très léger baiser sur les lèvres de Némésis. Tout s'était tu, et même la Dame Blanche semblait déconcertée. Tous les protagonistes de cette scène étrange auraient pu rester ainsi longtemps, immobiles, si une main froide et dure n'avait pas attrapé Lily par le bras et tiré brutalement en arrière. Elle poussa un cri de surprise, mais aussitôt, une autre main se plaqua contre sa bouche. Elle n'eut pas le temps de voir ce qui se passa ensuite, car l'inconnu l'entraîna dans les profondeurs de la forêt.
Elle sentit plus qu'elle ne vit plusieurs sortilèges siffler à ses oreilles. L'image qu'elle emporta de la bataille avant de plonger au coeur des bois fut celle de Némésis et Tristan en train de s'embrasser.
FIN DU CHAPITRE 11 , "Némésis ou le Feu de la Vie"
Annonce importante : L'auteur recevant de plus en plus de reviews au fil des chapitres ( pas qu'elle s'en plaigne, rassurez vous ;p ), elle a décidé d'abandonner le concept "Réponses aux reviews/Bavardage" pour adopter un système de kidnapping de persos. Ils répondront à vos questions, petits mots et encouragements à tour de rôle, tout seuls ou à plusieurs, avec l'auteur ( et sa poele à frire ) en toile de fond. Y'a pas de raison pour que ce soient toujours les mêmes qui bossent, non plus. Nan mais !
Le bla-bla de fin de chapitre
Andromède : Hum... Alors j'ai longtemps hésité à adopter ce système pour des raisons que je ne citerais pas ici, mais voilà, c'est fait, c'est dit, alors c'est parti. Je vous demande d'accueillir bien chaleuresement pour cette première séance de torture, notre hippopotame et notre décoiffé préférés !
Vernon : Un hippopotame ? Ou ça, un hippopotame ?
James : Quel décoiffé ? Y'en a plusieurs !
Andromède : °niark niark niark° Aucune importance ! °tends le sac postal avec les reviews° Au boulot, les gars !
James : °observe Vernon sans faire attention à l'auteur° Il me semble que je vous ai déjà vu quelque part, mais où ?
Vernon : °aperçoit James et manque de faire un arrêt cardiaque° AH ! Qu'est ce qu'il fiche ici, celui là ? D'où il sort ? Il était pas censé être 6 pieds sous terre ?
Andromède : °prépare la poele à frire, au cas où° Si, mais ici nous sommes dans une zone inter-temporelle où personne n'est mort et où tout le monde est vivant ! Alors, Dursley, espèce de vieux pruneau, tu vas me prendre ce sac postal et répondre aux questions des lecteurs !
James : °pas content° Est ce que quelqu'un va se décider à m'expliquer ce qui se passe ? Qui est cette grosse baleine et pourquoi est ce qu'elle me connaît et moi pas ?
Andromède : Mon Jamesie d'amour, les réponses viendront en temps et en heure. Prends ce sac et lis, par pitié !
James : °soupçonneux° Et je suis payé combien ?
Vernon : Et NOUS sommes payés combien è.é ?
Andromède : Des clous ! Je suis fauchée depuis perpèt' et ça risque pas de s'arranger. Les questions, par pitié ! °poele à frire°
James : °grmmbl° Ambre15 a posté quelques reviews du tonnerre de Zeus sur ton Live Journal et ici... Je t'ai vexée ? oh mon dieu je t'ai vexée.. je suis désoler vtaiment désoler, j'men veut tu peux pas savoi, moi aussi j'étais en colètre paske j'ador tes fics... mais je pensais pas que sa te ferrai sa... J'M'EN VEUX J'M'EN VEUX..., " qu'elle dit... Dis donc, Miss Poele à Frire, t'as pas honte de faire culpabiliser tes lecteurs comme ça, avec tes coups de gueule ?
Andromède : Humph ! C'était légitime ! Et puis nous avons eu une explication par LJ interposé, tout est arrangé avec cette lectrice fidèle que j'aime beaucoup ;)
Vernon : Milles perceuses ! Elle a posté combien de questions, celle là ? "Y'a pas Hélynn ? Tu m'avais promis Hélynn-euhhh ! bon c'est pas grave mais elle apparaît bientôt hein ?"
James : Comme tu peux le voir, Hélynn est revenue dans ce chapitre... °distant°
Andromède : Kesskisspass ? Tu l'aimes pas, Hélynn O.o ?
James : °soupir° Je suis partagé... D'un côté elle aide Harry, de l'autre elle nous attaque ! Faudrait savoir !
Andromède : C'est une Dame Blanche, qu'est ce que tu veux que je te dise... Mais vous devez déjà vous douter qu'elle n'est pas si méchante que ça ;)
James : De toutes façons, Nime' a massacré toutes ses copines dans un rayon de plusieurs kilomètres, niek niek. °evil°
Vernon : Ouais, mais d'après ce que j'ai compris, elle, elle a survécu... Reste à savoir ce qu'elle va faire...
Andromède : Dursleeeeyyyyyyyyyyy ! Tu m'as cassé mon suspens T.T ! Voui, c'est elle la dernière Dame Blanche rescapée du massacre que vous pouvez voir quelques lignes plus haut... James, tape le è.é !
James : °étonné° Moi je veux bien, mais bon, ça ne se fait pas de frapper des inconnus, quoi ! Des Serpentards, je veux bien, mais là...
( Rogue : è.é )
Andromède : °tape Vernon avec la poele à frire° Pas grave... Question suivante !
James : °lis la suite°... °mort de rire° ...° "Quoi fair comme ruban rouge ? Hé pas touche, y'a copryte (j'ai toujours ADORE l'orthogrape, si bien que en SVT j'ai toujours moi 1 pour l'orthographe… bouhou, hem mais je ne suis pas la pour m'apitoyer sur mon sort) RR elle fait se qu'elle veut mais pas touche ! ouille Jamesy rapplique j'le sent pas… « coassa » James s'est subitement transphormé en grenouille et Lily doit L'embrassé pour qu'il redevienne normal ? pas mal comme plan de drague ! (quoi que embrasser une grenouille… J'avais raison ! 1-0 pour sevy ah Jamesie-Poo égalise et même marque un point de plus , 10 mètre sifflements pas mal du tout pour une grenouille ! "
Andromède : °mdr° Je croyais que tu devais lire la question suivante ? °ricanne°
James : J'avais envie de faire mon Sirius ;p... Quoique... Avec un passage pareil, je ne suis pas sûr d'y gagner beaucoup, héhé... N'empêche que j'ai bien l'impression que tu a-do-res quand Rogue et moi, on se tape dessus, j'ai raison ? XD
Andromède : Niek niek niek. J'aime quand les personnages se tapent dessus tout court... je suis une grande sadique dans l'âme... Y'a qu'à voir ce que je vais faire subir à Harry...
James : °se hérisse° DE QUOI ? Qu'est ce que tu vas lui balancer sur le coin de la figure, encore, à mon fils ? Tu trouves pas qu'il a déjà assez donné comme ça, non ?
Andromède : Ey ! è.é ! Vas dire ça à Rowling ! Moi, tout ce que j'ai fait, c'est euh... Lui faire gagner la guerre, perdre tout ses amis, remonter le temps et y foutre une mission quasi-impossible, c'est à dire redonner confiance à Lou !
Vernon : Et puis après tout, ce petit imbécile n'a que ce qu'il mérite... A-t-on idée d'être aussi... anormal ? è.é
James : °fige sur place° Andro', qu'est ce qu'il vient de dire, là ?
Andromède : °répétant° Que Harry, ton fils, n'avait que ce qu'il méritait et qu'on avait pas idée de...
James : °interrompant° Je le sais, ça ! Je parle de ce que ça sous-entends !
Andromède et Vernon : Gnéééé ê.e ?
James : °s'enflamant° Ca sous-entends qu'il connaît Harry et qu'il fais partie de ces gens qui s'acharnent sur lui ! J'ai raison ?
Andromède : °place la poele à frire bien en vue, au cas où James aurait la bonne idée de s'en servir pour taper Vernon° Hum... Tu verras, mon chou, tu verras :D ! Les questions, s'il vous plaît, les mecs !
James : °darde un regard mauvais sur Vernon° Mouais... "Bave moi j'aurais bien aimé être a la place de lily sur le torse de James lol ! se crétin avait eu le coup de foudr elle est gentille, lily on parle pas comme sa de son futur petit ami/mari, c'est pas poli ! Tmbée amoureuse d'un odeur… MON DIEU, lily est odeurophile help !"
Andromède : Toujours Ambre15 ?
James : Toujours Ambre15 -.-;;;;;;
( Andro : Si t'es toujours en Italie quand ce chapitre sera posté, te fait de gros bisous ! )
Vernon : Mais ça n'en finiras jamais ? "Callisto elle aime encor James ? aie sa va mal finir…"
James : Gloups... je savais pas, ça... Dis donc, l'auteur, t'étais vraiment obligé de lui faire subir ça, à Cally ?
Andromède : °sifflotte° Non, mais bon... Ca me tentait, quoi XD !
Vernon : "Dit tu va pas nous fair un rogue/RR ? hein tu va pas nous fair ça ! paske imaginer Rogue avec RR c'est brrrrrrrrrrr j'ose même pas y penser !"
James : Rassure toi, cette chère sadique a autre chose en tête de prévu pour Rogue et Ruban Rouge...°frissone à l'idée des deux associaux de service ensemble°
Vernon : Dernière question d'Ambre15 ( pas trop tôt ! ) : "Et voilà j'ai fini mon big délir pour me fair pardonner ! Causons hein peu pour finir, d'abord j'ai apris que t'écrivais un roman autre que les fic ! C vrai ?C'est quoi ? sa s'appelle comment ? Sa parle de quoi ? T'en ai a ou ? C durrrr ?"
Andromède : °minute intello° Ecrire, c'est toujours dur, que ce soit pour des fics ou pour des romans. Mais j'avoue qu'en ce moment, je suis beaucoup plus motivée pour les fics que pour les romans... Quand à savoir de quoi il parle... bah... C'est de la Fantasy bateau, quoi... Merchi pour cette review du tonnerre de Zeus, toi !
James : Alors ?
Andromède et Vernon : Alors quoi ?
James : Comment est ce que la grosse baleine connaît mon fils ?
Vernon : °s'emportant° Vous savez ce qu'elle vous dit, la groose baleine ? En plus, je n'ai jamais demandé à le connaître, moi, alors vos reproches, hein, je...
Andromède : °baîllonne Vernon° Mais tais-toi, crétin ! Tu tiens vraiment à finir en petits morceaux ? Tu vois pas qu'il est déjà assez énervé comme ça ? Les questions, nom d'une pipe !
James : °murmure à Andromède° Tu veux vraiment pas me le dire ?
Andromède : Nan, la régie va me tuer si il y a du sang partout...
James : °chibi eyes à la Sirius°
Andromède : Tricheur ! Tu sais que je t'aime et tu en profites, pas vrai é.è ?
James : Vouais. Allez, steuplé ! Si tu me le dit, promis, t'as un bisou à la fin / En espérant que Lily ne traîne pas dans le coin, sinon, je suis bon pour la décapitation... /
Andromède : °super contente mais ne le montre pas° Bon, OK, on verra bien à la fin...
Vernon : °glurps°
James : °prie mentalement pour que Lily lui pardonne, même si c'est qu'un bisou sur la joue°
Andromède : Question suivante ! °poele à frire°
Vernon : Cemeil demande si la lettre que reçoit James, l'autre anormal, là, à la fin du chapitre 9 annonce bel et bien l'attaque qui va avoir lieu ? Même pas... C'est juste une lettre de son anormale de soeur pour le prévenir qu'elle vient d'être appelée au front, et donc que ses jours sont menacés plus que jamais...
James : °s'assombrit° D'où ma réaction assez...
Vernon : °tentative° Démesurée ?
James : Blessée ! è.é ! Insensible ! En plus, à ta place, j'écraserais légèrement, tu vois !
Vernon : Non mais oh ! Je ne vous permet pas, monsieur ! Ce n'est quand même pas ma faute si votre soeur s'est engagée alors qu'elle n'avait pas la capacité ! Tous des masochistes, dans cette famille, moi je vous le dit ! Entre l'anormal pur souche qui se fait bêtement tuer et le fils complètement ingrat et imprudent qui attire les Défroqueurs à tous les coins de rue...
Andromède : °retient James pour l'empêcher d'assomer Dursley°
Vernon : Sans oublier la soeur de Pétunia qui traficote je ne sais quel tour de magie avec son sang et qui nous oblige ainsi à élever cette erreur de la nature pendant toutes ces années !
Andromède : °lâche James juste à temps pour éviter de se faire piétiner°
James : QUOI ? ALORS C'ETAIT CA ! CETTE BALEINE AMOINDRIE DE NAISSANCE EST LE TUTEUR DE HARRY ! PAR LES TROIS POILS DE CUL DE MERLIN !
Andromède : °tends la poele à frire° Evite l'émasculation, steuplé...
James : Merci ! °prends la poele° Un dernier mot, Dursley ?
Vernon : °saisit sa dernière chance° On a pas finit de répondre aux questions !
Andromède °réalise° Merde, c'est vrai ! James, mon grand, par pitié, lâche cette poele ! Promis, quand on aura fini les RaR, tu pourras le tuer, mais je t'en priiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie, les questions !
James : °grrrrrrrrr°
Vernon : °trouille°
Les lecteurs : °attendent°
Andromède : Siouplé... Remus me doit une fleur, alors tournée générale de chocolat à la fin si tout vous finissez de répondre aux questions sans effusion de sang ! / Quand je pense que je voulais prendre Lily et Pétunia /
James : Mouais... °rends la poele à frire de mauvaise grâce°
Dudley : Steuplé, papa, tu m'en rapporteras un morceau ?
Andromède : Qu'est ce qu'il fout là, celui là O.o ?
Vernon : mais oui, Dudy-chéri, mais oui... °soupire° Cemeil ajoute : "Peter face à james et Lily... Le destin du survivant n'est-il pas sur le point de changer? Moi je vois bien le jeune Peter rencontrer le vieux... D'ailleurs en parlant de destin, c'est étrange que Wendy ne voit pas toutes les perturbations qu'entraînent la venue d'Harry. Il est là pour changer son passé, non? (à moins, que je fabule! )"
James : Plus ou moins... Harry est là pour sauver Lou, mais Narcissa lui a laissé entendre que tout retour à son époque étant impossible, il n'avait qu'à en profiter pour changer le destin des personnes qui lui sont chères... Sans affirmer que Wendy en fait pour l'instant partie, ça se pourrait bien que dans le futur...
Andromède : Jamesie, les spoilers !
James : Ah oui, c'est vrai... Pour ce qui est du destin du Survivant... Et bien en remontant le temps, ne peut on pas dire qu'il a lui même effacé son destin afin de le réécrire ? Quant au fait que Wendy ne voit pas les perturbations qu'entraîne l'arrivée de Harry... °rit nerveusement° Je crois qu'elle a déjà vu la plus importante, c'est à dire que moi et Lily, nous allions bel et bien finir ensemble... Et puis, la bataille, la mort de Nime', et tout ça... °sombre°
Andromède : C'est dur d'être voyante...
James : °sarcastique° C'est dur d'être auteur de fic et de tuer ses personnages...
Andromède : Mais euuuuuuuuuuh ! Je le sais que c'est cruel de tuer Némésis, mais j'avais pas tellement le choix, avec le background établi par Rowling ! Pas ma faute si elle a décrété que plus aucun membre de la famille Potter à part Harry n'était vivant !
Vernon : Avoue aussi que ça sert bien ton intrigue, hein ? Tout ça pour foutre ensemble les deux ...
°BUNK BUNK BUNK°
Vernon : Agaaaaaaah...
Andromède : °brandit une poele à frire toute cabossée°
James : °se marre° M4r13 est de ton avis pour les matchs de boxe Moi VS Rogue... Et Théalie te demande si tu es vraiment obligée de nous faire souffrir ?
Andromède : Oui ! Enfin... Non... Mais bon, une fic sans persos qui souffrent, c'est pas marrant ;)
Vernon : °se remet difficilement des coups de poele° Hisoka, comme tu as pu le voir, oui, c'était la Bataille...
James : °pas content° Le début de la bataille ! Elle a encore quelques chapitres pour nous en faire voir de toutes les couleurs, l'autre auteur là ! °désigne Andro' du pouce°
Andromède : Ey ! è.é
James : Ose me contredire !
Andromède : ...
James : Ose dire que tu ne vas pas envoyer ma soeur six pieds sous terre !
Andromède : ...
James : Ose dire que tu ne vas pas nous démolir psychologiquement Harry, Lily et moi ?
Andromède : ...
James : ...
Vernon : Hum Hum...
°Andro' fait un bond de trois mètres et atterit dans les bras de James - façon cartoon - parce qu'elle a cru entendre Ombrage°
James : Euh...
Andromède : °fais un grand sourire° Les questions, Dursley, les questions !
James : °se demande si tout ça est bien réglo°
Andromède : °tout sourire° Je peux rester là ?
Lily : Nan ! è.é
James : °fais une mimique pour appeler sa femme au secours°
Andromède : °s'éloigne de James devant le regard furibard de Lily° Calme, Lily, calme ! Je plaisantais ! °gloups° Les questions, messieurs !
James : °mdr° Kaka la Zen a deux questions : "Wendy sait tout... Ça ne doit pas lui faire peur, des fois ?" et "Narcissa a déja choisi son camp, hein ? Le côté du bien si j'ai compris..."
Vernon : Pour Wendy... En fait, quand l'auteur ( l'autre machin, là ) a écrit le passage avec Wendy et qu'elle a décidé d'en faire une voyante, elle ne savait pas très bien comment décrire ses réactions face à l'avenir... En fait, dans son idée, Wendy est tellement habituée à voir le futur, à tout connaître, et à n'être plus surprise par rien, qu'elle est blasée et ne fais plus attention à cet avenir merdique...
James : Mais bon, elle a quand même 17 ans de vécu derrière elle... On peut sans problème imaginer que lorsqu'elle était plus jeune, elle était révoltée, impuissante, dépassée face à son don de Voyance...
Andromède : Y'a aussi le coup de "Son don s'est dévelloppé petit à petit, toutes ces révélations ne lui sont donc pas tombées sur la gueule en même temps, etc..." Bref, à vous de vous faire votre propre idée des réactions de Wendy parmi les deux douzaines de possibilités et d'options qui s'offrent à vous...
Vernon : Pour ce qui est de cette Narcissa... Je pense que la fin du chapitre correspondant était assez claire, non ? Oui, elle a choisi son camp, et oui, c'est le bon.
James : Attention... Titania.M te met en garde : "Comment ça TON Athos et puis quoi encore!lol Non en fait je te le laisse, mon perso préféré chez Dumas restera toujours Henri de Navarre de "La reine Margot" (et puis même si j'aime toujours beaucoup, je suis moins fan de Dumas maintenant. Scolarité oblige je me suis plongée dans Zola, Maupassant... et j'en suis pas sortie!) "
Andromède : °s'enflamme° ATHOS EST A MOUAH ! Na !
James : °lève les yeux aux ciel en souriant°
Vernon : °rictus méprisant à la Lucius Malefoy°
James : "Superbe confrontation James/Severus! On sens la tension qu'ils gardent en eux, c'est probablement l'une des choses les mieux écrites sur leur relation d'ennemis que j'ai jamais lues!"
Andromède : °rougit° Euh, ben, euh... Merci beaucoup...
James : °chuchote à Titania.M° Pour tout te dire, tout ce qui comptait, dans son esprit, à ce moment là, c'était de les faire se taper dessus, et rien d'autre... Elle se fichait pas mal des sentiments... °ricanne°
Andromède : °gémit° Cornyyyyyyyyy, tu me casses ma réputation, là !
James : ;p
Vernon : Titania.M, pour ta remarque concernant Wendy, va voir plus haut...
( Andromède : Si je connais les Malaussène ? Bien sûr ! DANIEL PENNAC AU POUVOIR ! )
James : Apparemment, pas grand monde ne cautionne le fait que Wendy sache tout de son avenir sans réagir... Remontez le curseur, les gens, c'est expliqué plus haut ;)
Vernon : Sara Lupin, tu l'as eu ta dédicace, en début de chapitre...
( James : °tout bas° Et elle doit pas être enchantée que ce soit cette grosse barique pleine de vide qui lise sa review, non ? )
( Andromède : Je sais, mais j'avais pas le choix ! J'espère qu'elle me pardonneras, lol )
James : T'inquiète, Elise, elle ne broie pas du tout du noir, ta copine l'auteuse ;)
Vernon : Aresse, théoriquement, non, Harry n'est pas obligé de garder uen certaine "conformité" avec son passé. Enfin, futur... Mais bon, qui sais ce qui va passer par la tête de ce fils de...
James : °grognement mauvais° Fais gaffe à ce que tu va dire, Dursley...
Andromède : °se regarde les ongles en souriant, très fière d'elle°
Vernon : Quant à savoir si il retourneras ou non dans le futur... L'autre amoureuse des anormaux ne veut pas que je réponde...
( Andromède : Ey, c'est de moi que tu causes, gros lard è.é ? )
( Vernon : Ouais è.é )
( Andromède : Attends à la sortie, toi è.é )
James : Cérulane, encore une fois, faut voir plus haut pour Wendy... Quant à ta remarque sur la bataille, je pense que tu as eu un début d'explication dans ce chapitre... mais en gros, l'auteur voulait faire mourir Nime' rapidement et héroïquement, quoi de mieux qu'une bataille, donc ? °regard méchant à l'auteur°
Andromède : é.è
James : Pour tes remarques sur les fics abandonnées, le sujet à déjà été très abondamment traité, on ne reviendras pas dessus, mais ne t'en fais pas, elle n'abandonneras pas celle ci...
Vernon : Tu parles, elle a trop envie de les faire souffrir...
James : Un mot de plus et j'aurais pas besoin de baguette pour te transformer en choucroute garnie !
Andromède : Hermione 1992, je te remercie pour ta review, elle m'a fait toucher le septième ciel, lol !
Vernon : Pour finir, Cécile Rogue laisse toute une batterie de review... Même si apparemment elle n'a pas terminé la fic...
Andromède : Merci, Miss, j'espère que tu arriveras vite ici ;)
James : Pour finir, merci aussi à Fofolleuh, Elaur, Fannie-44, Eiream, Mushu, Greg83, Flore, Lizou, Marion, Kitou 717, Laumie, Underphoenix, Zofia, Chiffonnette pour leurs encouragements.
Vernon : On a répondu a toutes les questions...
Andromède et James : °échangent un regard° Oui...
Vernon : °gloups°
Andromède et James : GERONIMO ! °courent derrière Vernon qui s'enfuit comme le gros lâche qu'il est°