Mes très chers lecteurs... JE VAIS EN IRLANDE ! C'est gégnial mais... plus de chapitre pour une période maxi de 7 longues journées. Mais ne vous inquiétez pas, je vais faire des brouillons et tout, perfectionner et tout... En tout cas, Théalie m'as repprocher d'aller trop vite... MAIS C'ETAIT FAIT EXPRES ! Parce que comme ça, y'a un sujet de conversation avec Ginny et ... LOVE LOVE LOVE ! Mais pas tout de suite, je suis sadique et je le reste ! Niark niark niark...
Chapitre 6 :
- Salut tout le monde !
Grande ovation... mais il ne l'aimait pas. On le prenait pour un héros...
- Je vais vous parler en toute sincérité. Je ne veux pas qu'on m'applaudisse. Je n'ai rien fait. Enfin si, mais ça ne mérite pas celà. Certains vont dire que je fais celà parce que tout le monde me prendra encore plus pour un saint, mais je m'en tappe complétement. S'ils sont assez débiles pour croire ça, c'est que eux, c'est certain, ils veulent la gloire. J'ai passer mon enfance chez des moldus, comme vous pouvez le savoir... Et ils étaient de la pire espèce. C'est une expression, bien sûr. Après tout, qui sommes-nous pour dire qu'ils sont différents ? J'ai été éduquer dans la dureté et sans amour. A poudlard, j'ai trouver foyer, amis et amour.
Amour... Il chercha des yeux une personne... Ce qu'il ne sut que plus tard, c'était que cette personne était Ginnevra Weasley.
- Mais malheureusement, ce cercle était très limiter. J'avais des connaissances mais très peux de vrais amis. Pourtant vous avez tous compter. Pourquoi ? Vous le saurez tout à l'heure. Mais ce qu'il faut que vous sachiez, c'est ce que j'ai vécu. Non pas pour en prendre exemple, ni encore pour me plaindre, mais pour que vous sachiez. Simplement. Pour que vous sachiez toutes les épreuves que l'on doit endurer dans la vie pour murir. Certaines sont plus dures que d'autres. Mais elle m'ont fait murir et elles m'ont aidées. La première de ces épreuves fut de perdre mes parents... Mais le pire, c'est qu'en grandissant, je me suis rendu compte que si je m'attachait à une personne, elle risquait de mourir. Ne trouvez-vous pas celà... Dérangeant ? Moi, si. Je voyais les autres avec une tonne d'amis, heureux, pour seul problème leurs exams et moi, mon problème était ma survie et celle de ceux qui me sont chers... Et puis, les années ont passées, et en cette 6eme année, la grande bataille eut lieux. Et c'est là que je vais vous prouver que ce n'est pas moi, le vrai héro, mais vous et ceux qui sont tombés. En fait, il faut voir grand. Imaginez-vous vous, moi, et des centaines de mangemorts. Plus, un grand mage noir. Maintenant, imaginez moi, seul, des centaines de mangemorts et un grand mage noir. A votre avis, de nous tous, lequel est le plus grand héro ? Il n'y en a pas. Toi, là pas, le serdaigle de 3 eme année, je crois, je me souviens que tu m'as aider ! J'étais contre un mangemort et un autre arrivait. Et devinez ce que ce monsieur a fait ? Il l'a stupéfixer. Un sort simple mais qui m'a sauver la vie. Et toi, là bas, à serpentard, oui toi, la jeune fille, et bien tu m'as rendu ma baguette alors que je l'avais perdue et ta voisine mes binocles. Geste si simple et rudimentaire qui m'a sauver la vie. Et toi, Neville, lorsque j'était contre un détraqueur, et bien qu'as-tu fait ? Tu as empêcher un Géant de m'applatir comme une crèpe. Sans lui, vous seriez tout en train de manger de la gelée à la Harry Potter, votre grans héro d'aujourd'hui. Alors qui de nous tous est le héro ?
Harry descendit de l'estrade avec de simples applaudissements et il en fut reconnaissant. Ce qu'il ne savait pas, c'est que son discour a été entendut dans une future écrivain qui va écrire les mémoire de Harry Potter.
Harry sortit de la grande salle. Tout était aller si vite... Trop vite... Le matin il c'était réveiller et il n'avait pas penser aux autres... Juste à lui, ses parents, Remus, Sirius... mais pas à Ron et Hermione... Il les avait vus, eux, et la famille Weasley, il avait appris la mort de beaucoup de gens... Mais au moins, il savait ce qu'ils étaient devenus... Au cours de la journée, il était aller leur rendre hommage et tout... Mais une personne manquait... Qui ?
- Harry ?
GINNY ! Il ne l'avait pas vue de la journée et il ne s'en était pas soucier ! Mais quel égoïste il faisait !
- Ginny !
Il se promit de réparer ça.
- Ca va ?
- Ouais... Je ne t'ai pas vu de la journée sauf quand tu es passer sur l'estrade. Ouh !
- Ginny ? Ca va ?
- Oui, oui... Ca me prends comme ça, des fois. C'est depuis la bataille...
- Désolé, j'ai oublier de te citer dans mon spitch. Tu m'as étée d'une grande utilitée... Mais tu es sûre que ça va ?
- Oui...
- Tu t'es pris un sale coup Ginny. Et heum...
Il se souvint. Qu'avait voulut dire Voldemort par ...
Flash Back
- Je sais ce qui te fait peur Harry. C'est l'un de mes nombreux pouvoirs que tu n'as pas. L'ampathie. Et oui, je sais même ce que tu ne sais pas encore.
- Je n'ai pas peur de vous !
- Ohhh non ! Pourtant tu devrais...
Il lui fit un sourire carnassier qui voulait tout dire.
- Et si je tuait, là, devant toi, la jolie petite Weasley...? Moui, ce serait judicieux.
Il murmura une incantation et un volute de fumée partit de sa baguette pur aller s'interposer entre les deux sorciers. La fumée se fit de plus en plus épaisse puis se disperça. Elle laissa à une Ginny Weasley totalement prise au dépourvu.
- GINNY SAUVE TOI !
- ENDOLORIS !
Trop tard. Harry se rendit vite compte qu'il ne pouvait pas bouger. Mais sa volonter était trop forte et il se libéra enfin du sortilège. Il sauta plus qu'il ne courrut vers Ginny et s'agenouilla près d'elle. Rire carnassier. Sa fureur était au comble. Pourquoi ? Il ne le savait, mais c'était comme s'il tuait une partie de lui même. Ca lui faisait dix fois pire que mal. Et Ginny qui hurlait. Des hurlements de détresse, de douleur, pire que tout ce qu'il eut entendut. Il devait y mettre tout son "coeur", ce salop. Il prit sa baguette et lui lanca plusieurs sorts. Pris au dépourvu, le mage noir abaissa sa baguette et se prépara à lancer le sort interdit, mais Harry fut plus rapide. La rage avait décupler sa force. On entendit un AVADA KEDAVRA, il résonna jusqu'au fin fond du domaine de Poudlard, puis un bruit sourd, et un second. Le sort et la rage avait tuer beaucoup plus rapidement le mage et avait déplacer Harry d'une bonne centaine de mètre, le mettant KO au passage.
Fin Flash Back
Oui, qu'avait voulu dire Voldemort par : "Et oui, je sais même des choses que tu ne sais pas encore" ? Et pourquoi avait-il choisit Ginny ? Mais surtout pourquoi ça lui avait fait si mal ?
- Harry ?
- Oui ...?
- Ca va ? Tu était ailleur, je crois et ... Enfin non, laisse tomber...
- Qu'est-ce qui se passe ?
Il la prit dans ses bras. Mais dans une étreinte franternelle.
- C'est que... Je me demandais à quoi tu pensais ?
Oh oh...
- Je pensais à mes parents... Ginny, tu ne trouves pas que c'est aller trop vite ?
- Si. Enfin, pas pour nous. En fait, nous sommes au courant depuis 15 jours. C'est que toi, ça te tombe dessus aujourd'hui, qu'avec tout ça, tu as eu à peine le temps de leur parler vraiment et tout... Moi, à ta place, je me laisserais du temps. Je leur laisserais aussi du temps. Imagine toi ! Ils sont morts et les revoilà à cause d'une certaine prophétie...
- Une prophétie ?
- Tu n'étais pas au courant ? On dit qu'elle a été faite par Peter Pettigrow car il regrettait et qu'il se disait qu'il avait fait tant de mal qu'il fallait réparer.
- Ah ouai ?
- Apperrement...
- Oh et puis je m'en fou. Je ne me suis pas beaucoup occuper de mes amis aujourd'hui et j'en ai assez de me torturer avec toutes ces questions. Voldemort est mort et je veux profiter. Alors, amis ?
- Comment ça ?
- Ginny, tu sais, je pense qu'on pourrais être amis, tu sais, pas seulement se limiter aux bonjours, bonne nuit et tout. Je veux te parler, rire avec toi, comme avec Ron et Hermione. Je sens qu'ils vont sortir ensemble et on va me laisser à l'écart ! J'aimerais quelqu'un qui dise avec moi que ce sont des salops.
Ginny éclata de rire.
- Oui, je veux bien moi ! Mais je préviens quand même, je ne suis pas de bonne compagnie.
- Ooooh que si...
Tout deux rougirent. Qu'est-ce qu'il lui avait pris ?
- Bon euh... Amis ?
- Amis. Bonne nuit...
Elle se pencha et l'embrassa sur la joue pour ensuite partir comme si elle avait le diable aux trousses... Cette fille était originale et il aimait ça. Ca allait promettre ! Amis ? C'était faisable !
