J'ai juste une question... POURQUOI BEAUCOUP DE MES LECTEURS ONT CRU QUE LE 5EME CHAPITRE ETAIT LE DERNIER ? Mouais, c'est vrai, ça aurait pu, mais j'adore écrire et cette histoire en particulier. Alors, elle ne vas pas finir avant le 10 eme chapitre au moin. Allez, je vous adore mes pitits lecteurs. Il est vrai que je ne répond pas vraiment à vos rewiews mais... JE VOUS SUIS RECONNAISSANTE ! Je suis sadique, mais reconnaissante. Allez, ziboux de MissBotter !
Chapitre 7 :
- Pfiou ! Alors... Les propriétés de la ... Oh j'en ai marre. Vraiment marre.
- Harry ?
- Tiens Ginny ! Tu me sauve, franchement. Tu arrive toujours à temps.
- Bon, laisse moi deviner. Potion...
- Ouai. Les propriétés de la pierre de lune et son cite archéologique. Et aussi 30 cm sur son utilisation dans les potions.
- Je peux t'aider si tu veux.
- Ginny, je sais que tu es très forte en potion et tout mais... Tu es en 5 eme année quand même.
- Ah ouai ? Je suis en 5eme année ? Et bien parfaits, je suppose que tu ne sais pas que la pierre de lune a entre autre le pouvoir de guérir mais aussi d'empêcher de mentir. On ne peut pas dire la vérité mais on ne peut pas mentir. C'est pour celà qu'on la mélange à l'aconythe, plante médithéranéenne que as des vertues inconnues mais qui mélangée à cette pierre et à d'autres ingrédients fait la potion du Véritasérum. Le cite archéologique de la pierre de lune est ... Non, je te laisse continuer tout seul, après tout, tu es en 6eme année, tu sais déjà tout celà, c'est dans ton manuel page... Non, je ne te le dirais pas, tu dois le savoir, puisque tu es en 6 eme année. Allez, bye !
Elle se leva et se dirigea vers la porte de la bibliothèque, très fière de son spitch. Mais elle sentit une main la retenir par le bras. Harry Harry Harry... Tu es si prévisible.
- Attend ! Je suis désolé. Vraiment. Je ne te savais pas si douée...
- Ouai, ce que tu veux, c'est que je te pardonne pour que tu sache la fin de mon petit spitch.
- Tu es très futée comme fille, tu le sais ça ?
- Je suis plus futée que certains, c'est sûr.
- Alors ? Tu m'excuse ?
- Euh... Non.
- Oh allez ! Et si je faisait ce que tu voudrais contre ?
- Tout ce que je voudrais ?
- OUI ! TOUT !
- Et bien... Un petit ziboux ?
- Un ziboux ?
- Oui ! Un bisoux si tu préfère.
Il rougit. Elle aussi. Elle se rendit compte de ce qu'elle venait de dire. Mais il se leva et s'approcha de sa joue. Lorsqu'ils entrèrent en contact, Harry fut pris de vertige. Il ne voulait pas seulement sa joue. Ses lèvres... Non. Pas elle ! C'est la soeur de Ron ! Mais il était interresser... Peut-être.
- Merci... Je... Je te pardonne.
Reprendre ses esprits.
- MERCIIIIIIIIII !
- Bon, on s'y met ?
- Oui.
Ils restèrent encore deux heures à la bibliothèque. Ginny était vraiment douée. Elle avait travailler dur, elle voulait devenir médicomage. Mais elle adorait écrire surtout.
- Ouf ! Enfin ! On a finit ! Bon, tu as sommeil ?
- Oui... Mais je pense que je ne vais pas m'endormir de sitôt. J'irais peut-être dans la salle commune.
- Moi aussi... Tu veux qu'on y aille ensemble et qu'on parle ? Ca fera passer le temps !
- Okay !
Ils se rendirent dans la salle commune et commençèrent à discuter de tout et de rien... Ils finirent par arriver au sujet des amours.
- Moi ? Oh, je m'en suis remis ! Elle m'énervait de toute façon, à toujours pleurer ! Mais bon, c'était pas sa faute, je crois qu'elle aimait Cédric... Et toi ?
- Quoi moi ?
- Beh tu as quelqu'un en vu ?
- Oui. Mais je ne veux pas en parler.
- Ahhhhhhhhhhhh non ! Tu en as trop dis. Qui c'est ?
- Personne.
- Mais pourquoi tu veux pas me le dire ?
- Parce que tu vas te moquer de moi.
- Non. Promis.
- Et bien je serais forcer de vous faire avouer.
Il s'approcha dangeureusement d'elle, la prit dans ses bras (tout deux rougirent) et commença à la chatouiller. Elle était si belle quand elle riait... Non. La soeur de Ron... Mais il ne pouvait pas s'en empêcher.
- Drago... Malefoy.
Il la lâcha d'un coup. Malefoy ? Non... Elle se releva, fière de son effet.
- MALEFOY ? C'est vrai ?
- Oui. dit-elle malicieusement. Un sourire trop grand pour être sincère. Elle bluffait. Tant pis, il saurait qui était ce mystérieux jeune homme et vu la réaction de Ginny qui était aussi rouge pivoine que son frère, il devait être vraiment important. Au fond de lui, il était jaloux. Depuis quelques temps, Ginny ne rougissait et ne bafouillait plus en se présence. Qui avait pu le remplacer comme ça ?
- Et toi ? reprit-elle. Tu as sûrement en vue quelqu'un demanda-t-elle d'un ton badin mais qui laissait sous entendre qu'elle était interressée.
- Oui j'en ai une bien évidemment !
- Et qui est-ce ? Le ton badin avait disparut. Cette fille l'impressionnait. En fait, il s'interressait à elle. Il en était sûr.
- Ah mais ça ma chère demoiselle, ça ne vous regarde pas !
- Je vous ai dit qui c'était moi !
- Mais je ne vous ai pas forcer !
- A peine ! Vous avez même opter pour la torture alors que vous aviez... d'autre moyens... A votre... disposition...
Elle respirait difficilement. Elle ne put rester debout plus longtemps, elle s'assit sur le canapé et essaya de reprendre son souffle. Harry, qui s'était précipiter vers elle la prit dans ses bras et lui demanda si elle pouvait marcher.
- Pourquoi faire ? Je ne veux pas aller à l'infirmerie, c'est sombre là bas et je ne peux pas rester seule en ce moment...
- Bon, d'accord, mais si dans quelques minutes, ça n'est pas passer, je t'y emmène. D'accord ?
- Oui...
Petit silence...
- Dis, qui c'est la fille qui t'interresse.
Harry lui fit un discour sur la libertée qu'il avait à garder le secret jusqu'à ce qu'il se rende compte qu'elle s'était endormie.
- C'est à toi que je m'interresse Ginny... chuchota-t-il.
Un sourire vint sur le visage de la jeune Gryffondor. Elle était la tête sur ses genoux et il ne put se résigner à se lever. De toute façon, pour quoi faire ? Il ne pouvait pas aller la ramener dans son dortoir et il ne pouvait pas l'ammener dans le dortoir des garçons. Surtout qu'il pouvait pas imaginer la tête de Ron lorsqu'il verrait Ginny dans le lit de Harry. Il se décida donc à rester dormir ici, avec Ginny. Il finit par s'endormir, Ginny dans les bras.
