Réponses aux reviews ( très peu nombreuses) :
Chitchai Kyabetsu: Très simple à écrire ton pseudo Mathieu, com dab ! lol. Merci pour ton pti message de soutien, ça fait plaisir. Continue ta fic, tu vas tout arracher !
Darkiliane : Bonjour, et merci pour ton pti mot. En fait, je savais même pas qu'il fallait activer les reviews anonymes ! mdr, je viens d'arriver alors, je suis pas encore bien au courant du système, mais j'ai trouvé, donc, ça devrait aller mieux, enfin j'éspère. La suite arrive.
Chapitre 4 :
Le dit pti con, se trouvait d'ailleurs en ce moment, assis autour d'une table, comprenant, Lupin, Tonks, Ron, Hermione, Seamus, Dean, et bref, les membres de l'ordre encore en vie, autant dire un nombre léger. Ils étaient une petite vingtaine à se demander ou avait pu partir Voldemort. Dumbledore faisait son éternel discours d'encouragement qu'Harry n'écoutait qu'à moitié, encore très perturbé par sa rencontre d'une nuit avec le plus bel homme du monde, à qui il avait fait l'amour comme un dingue avant de réaliser au petit matin qu'il s'agissait ni plus ni moins du mec qui lui avait pourri la vie durant 7 ans. Il se dit quand même, que si il avait pu prévoir l'extase qu'était le fait de posséder le corps du Slytherin, il lui aurait sauté dessus beaucoup plus tôt, même si il avait du l'attacher, mais l'image d'un Draco Malfoy ligoté sur un lit par un Harry en transe et prêt à satisfaire ses moindres désir était à mettre de côté pour l'instant.
« Mon entrejambe, tu restes en place, tu restes en place. »
Dumby : « Harry, qu'est ce qui t'arrive, un problème ? »
Harry : « Non, c'est rien, continuez »
Dumby : « Au fait, ou étais tu toute la soirée d'hier ? On ne t'a plus revu après ta course folle
avec Bellatrix. Aurais tu eu des problèmes plus durs et pénétrants à régler ? »
Harry « Mais c'est quoi ces insinuations, je sais qu'il sait tout, mais quand même, là, c'est trop, il est quand même pas venu nous mater dans la salle au plein milieu de la bataille. A moins qu'il ait mis un radar sur moi, qui lui dise où je suis tout le temps, ça m'étonnerait pas. MERDEEEEEEE ! La carte du maraudeur ! Il sait donc où j'étais et avec qui, ouais mais il sait pas ce que j'ai fait, enfin j'espère, merde, ça le regarde pas, pourquoi il fourre toujours son gros nez partout, c'est une vrai plaie ce mec ! »
Harry tout à ses pensées, n'entendait pas Albus qui l'appelait avec insistance pour le ramener sur terre.
Dumby : « HAARRRYYY ! »
Harry : « Quoi putain ? Oh pardon monsieur. »
Dumby : « Erm, pas grave, désolé de te tirer de tes songes qui m'avait l'air des plus gais (NdA : ou gay niak niak niak ) mais je t'ai posé une question Harry. »
Harry tilta au mot gay, mais s'abstenu de tout commentaire, autant ne pas attirer l'attention sur lui, en tout cas, plus qu'elle ne l'était déjà.
Harry : « Lestrange m'a jeté un sort et je me suis retrouvé dans une salle déserte monsieur, j'y suis donc resté pour me remettre et je me suis endormi »
Dumby : « Déserte, tiens donc… »
Harry lança un regard de la mort qui tue à Dumby et répondit en criant « OUI, DESERTE ! »
Dumby : « Très bien Harry, ne t'énerves pas, je te crois, évidemment. Tu as bien fait de rester là et de te « reposer » un peu. Le plus dur est pour bientôt. »
Albus avait insisté sur le mot « reposer » de façon étrange, mais personne d'autre que Harry ne fit attention à l'intonation du directeur.
Dumby expliqua le reste de son plan et répartit ses troupes, à travers le château.
Harry partit, accompagné de Ron et Hermione.
Ils ne tardèrent pas à retomber sur un affreux clan de mangemorts et durent se séparer à contre cœur pour être plus efficace. De son côté, Draco parcourait le château à la recherche d'un peu d'action quand il tomba sur une bande de Gryffindors.
Il commença à se battre à coup de sorts bien placés et en fit tomber quelques uns, oh, il ne les tuait pas, Drake n'était pas un meurtrier et dans son fort intérieur, il le savait depuis longtemps. Et puis, pourquoi ôter la vie pour les idées d'un immonde serpent auxquelles il n'avait jamais cru. Mais il les blessait quand même, il fallait bien qu'il préserve ses jolies petites fesses. Jusqu'au moment ou il vit arriver une troupe d'auror. Là, il prit conscience que même bon sorcier qu'il était, il ne pourrait faire face à tant de monde tout seul, il décida donc de fuir et retourna dans la grande salle, là ou il était sur de trouver des compatriotes de son camp. La bataille faisait toujours rage, les sorts fusaient à travers la pièce de tous les côtés. Draco, peu courageux, devant cette scène effrayante, se dissimula dans un coin et se fit le plus discret possible, observant pour trouver la faille qui ferait qu'il pourrait se sortir de là, sans encombre. Mauvaise idée la grande salle finalement. Il enleva sa cagoule qui lui étouffait le visage et scruta la pièce désespérément, et c'est là qu'il LE vit. Son souffle se bloqua dans sa poitrine. Il se battait avec un mangemort, sûrement Mac Nair, vu la carrure. Draco l'observa, le visage rageur, se pencher, esquiver des sorts, en lancer d'autres et il resta ébahi. Tout à coup, une image se dessina dans son esprit, une image qu'il n'avait pas cru bien voir, ou qu'il avait voulu volontairement oublié. Il vit Harry, debout, devant une porte, il le regardait et il avait parlé, un peu fort, ce qui avait dérangé Drake dans son sommeil. Puis une autre image s'imposa à lui, celle d'un Harry, riant aux éclats entouré de Granger et Weasley, et il la vit, là, autour de son cou si parfait, attachée négligemment, la chaîne, elle était à lui, il en avait la certitude à présent.
Il regarda son poignet, puis Potter puis son poignet, puis Potter, encore son poignet, encore Potter ! Oui, pas de doute, c'est là qu'il avait vu cette chaîne, autour de son cou à LUI ! MERDE !
Draco : « Potter… »
Draco se précipita, la chaîne serrée au creux de sa main, pour voir Harry de plus près, pour lui parler, lui dire qu'il n'avait jamais été aussi bien que dans ses bras. Il avançait en l'appelant, de toute la voix qui lui restait « Potter ! POTTER ! »
Et c'est ce moment que choisit Seamus pour débarquer devant lui, lui barrant le passage.
Seamus : « Alors, Malfoy, tu cherches Harry, tu crois vraiment qu'on va te laisser le tuer comme ça ! Tu rêves mec ! »
Draco : « Mais non, putain, je veux pas le buter, casse toi Finnigan »
Seamus « C'est ça, ouais, à d'autres, AVADA KEDAVRA »
(NdA : Je tiens à préciser qu'en cet instant, je déteste Seamus profondément)
Le sort toucha Draco en pleine poitrine, il eut tout juste le temps de LE regarder une dernière fois, toute dernière fois et de murmurer son nom, dernier mot prononcé avant l'instant fatidique. Il tomba sur le sol, les yeux ouverts, des larmes perlant en leurs coins. Draco était mort, il ne reverrait plus Harry, ne pourrait pas lui dire que grâce à lui, il serait parti heureux, comblé, combien il avait aimé l'attention que lui avait porté Harry, combien il avait aimé ses bras, son étreinte, sou souffle, ses lèvres, combien il l'avait aimé lui, en une nuit, cette unique nuit qui aurait pu tout changer, qui aurait pu le faire passer du bon côté, pour être avec lui, vieillir avec lui, mourir près de lui ( ça y est, je pleure ).
Seamus, fier de son œuvre, regarda une dernière fois le corps froid et sans vie de Draco. Il aperçut tout à coup autour du poignet du blond, une chaîne, il se rapprocha de l'objet et reconnu la chaîne d'Harry accompagné de son pendentif représentant un serpent. Furieux que Malfoy ait pu voler un si précieux objet pour Harry, il arracha la chaîne et la mis dans sa poche, en se promettant de la rendre à Harry en temps voulu. Puis, il repartit se fondre dans la masse pour livrer bataille.
Harry n'avait rien vu de tout cela, il se livrait à un duel avec Mac Nair et le menait 2 sorts à zéro pour l'instant. Seamus passa près de lui et lui dit : « J'en ai buté un et pas des moindres»
Harry : « bien joué ! »
Si il avait su.
Puis, Voldemort, fit son entrée, impressionnant et effrayant comme d'habitude. Harry se dégagea de Mac Nair et se précipita à sa rencontre.
Harry : « c'est moi que tu cherches Tom, alors finissons en »
Voldy : « mais avec plaisir, Avada… »
« Everte statis » le sort qu'avait lancé Hermione atterrit en plein sur Voldy qui se releva en grognant. Harry se servit de ce moment de faiblesse pour pointer sa baguette sur lui et prononcer d'une traite et avec toute la haine qu'il avait en lui, le sort funeste qui emporta notre cher Voldemort en enfer. Les mangemorts se dispersèrent vite après cela, conscients du fait qu'un Potter en colère était à fuir au plus vite. S'en était fini de Voldemort.
Et Harry était heureux mais il restait comme un vide à l'intérieur de lui et il ne comprit pas pourquoi. Il n'eut pas le temps de se poser plus de questions, la fatigue et le stress de la bataille eurent raison de lui et il tomba sur le sol, inanimé.
