Chapitre 10.

BIIIIIIIIP.

Le réveil contre-attaque.

BIIIIIIIIIP

Il cherche la bagarre celui-la.

BIIIIIIIIIIP

BRAOUM

Quoiquessquissepasseonestattaquès ?

Draco ouvrit un œil sur Pansy, réveillée dans le bruit de destruction matinale du réveil.

Pansy : Tu vas arrêter de casser ces foutus réveils oui ou nan ? Ras le bol de dépenser plus dans l'achat de réveils que dans celui de la bouffe.

Draco : Oui sans doute… ZZZzZZzzzZZZ

Pansy : ET TU OSE DORMIR ?

Draco ouvrit un œil devant l'hystérique blonde qui tenait un cadavre de réveil dans sa main gauche. Toujours il détruirait les réveils. Il ne pouvait pas les supporter.

Pansy : Tu comptes monter une association anti-réveil ou c'est juste une histoire de racisme électronique ?

Draco éclata de rire. Il fallait toujours qu'elle en dise une. Il finit par se lever difficilement. Pansy lui claqua la porte au nez quand il demanda à aller dans la salle de bains pour se brosser les dents. Il se rendit donc a la cuisine, tel le mal en chasse. Rien dans le frigo, rien dans le placard et pour couronner le tout, rien dans le garde manger. A part une boite de haricots. Il s'installa tranquillement sur la canapé et zappa un peu les chaînes. Rien non plus. Mais que faisait les moldus quand il n'y avait rien ? Vivre sans magie était un défi de tous les jours.

Pansy finit par sortir de la salle de bains une demi-heure plus tard et daignât laisser entrer Draco dans son reperd secret. Quand il rentra, la chose flagrante fut le nombre de produits de beautés qui rivalisaient avec le nombre de sous vêtements au linge salle. Il ouvrit le robinet de la douche et s'y glissa délicatement. S'attendant à une chaleur bienveillante. Au lieu de ça, il eu droit au fantastique « Y a plus d'eau chaude » Si pratiqué par madame Rysen. Il n'en sortit que plus sur les nerfs.

Draco : Pansy, il n'y pas moyen, on va faire les courses.

Pansy se leva doucement et se faufila à travers les ordures pour trouver sa veste.

Hermione fixa Harry. Il n'aimait pas beaucoup les trajets en voitures. Voyant de nouveau une couleur verdâtre arriver sur son visage, elle s'avoua vaincue.

Hermione : Okay, au prochain supermarché on s'arrête. Dommage que tu ne profites pas des beaux paysages de la France !

Harry : Hermione, tu sais j'essaye de me concentrer sur le fait de ne pas régurgiter mon petit déjeuner.

Hermione soupira et regarda la prochaine ville. Grace. Ils pourront peut-être visiter sa parfumerie. Pour le moment, il fallait faire les courses et acheter des médicaments contre le mal de mer.

Lui si habile sur un balai…

Elle se gara et lui conseilla de rester dehors prendre l'air.

Draco gara son cabriolet devant le supermarché de Grace. Ils avaient plein d'argent mais le fait est que la fainéantise avait fait qu'ils ne se bougeaient jamais pour prendre à manger. Ou seulement en cas de grande famine. Comme maintenant. Pansy et lui rentrèrent doucement dans la boutique. Pansy demande de quoi ils avaient besoins et il lui gratifia un gentil DE TOUT !

Hermione rentra dans le magasin qu'elle trouva et perdit complètement ses repaires. Où était donc la pharmacie ici ?

Un couple voisin ou un jeune homme au cheveux noirs de jais criait après une petite blonde toute mignonne allait peut-être la renseigner. Elle s'approcha d'eux.

Hermione : Excusez moi ?

Le jeune tourna les yeux vers elle et la défigura immédiatement.

lui: Mione ?

Hermione : Pardon ?

Lui : Oh mon dieu !

Hermione regarda le jeune homme dans les yeux. Des yeux gris acier. Des yeux qu'elle connaissait trop bien, faute d'en rêver régulièrement.

Hermione : Je ne comprends rien… Dray c'est toi ?

Draco n'en croyait pas ses yeux. Il se trouvait devant Hermione. SON Hermione. Mais elle le fixait comme un ovni. Remarque, il devait faire pareil. Il s'approcha d'elle et la prit dans ses bras. Elle ne broncha pas. Pansy se retira partit a la conquête du supermarché.

Hermione : Draco, oh mon dieu, c'est bien toi ! Elle se mit à pleurer de joie tout en riants aux éclats.

Draco : Oui je suis là ! Mais toi, tu venais faire quoi ici ?

Hermione : Je venais faire les courses, nous nous promenons en France, on comptait aller à Nice. Mais Harry est malade en voiture.

Le visage de Draco s'assombrit brusquement au nom d'Harry. Comment avait-il être aussi bête de pensait qu'elle n'avait personne. De toute manière c'aurait été le balafré ou la belette. Mais elle semblait rayonnante de le retrouver.

Draco : Ah et bien je… vois que tu a refait ta vie. Et que et bien je vais aller rejoindre Pansy. Il se détourna, le cœur en morceaux. Il ne fallait pas qu'il fasse capoter la vie de sa belle une deuxième fois. Une seule suffisait largement.

Hermione hallucina devant le fait qu'il était parti si vite. Elle le regarda s'éloigner doucement puis elle lui couru après pour la rattraper.

Hermione : NON MAIS CA VA PAS ? REVIENS TOUT DE SUITE.

Les gens présents regardèrent le spectacle.

Hermione : TU M A DEJA ABANDONEE UNE FOIS ET TU REMET CA ?

Draco fit brusquement demi-tour et la regarda dans les yeux, l'air surpris.

Hermione : oui, c'est vrai que c'est mal et que j'ai refait ma vie mais je ne t'ai pas oublié ! Je rêve de toi chaque nuit. Chaque fois que j'embrasse Harry j'imagine ton visage. Et toi, tu me laisse, c'est a peine si tu me dit bonjour. Dit-elle, les larmes roulant sur ton visage.

Draco la fixa longuement il y avait quelque chose qu'il n'avait pas saisi. Hermione leva la tête et se jeta dans ses bras.

Hermione : Jetelacheplus.

Draco fit un sourire béat et embrassa sa belle.

Les gens présent applaudissaient bruyamment. Bien qu'une bonne partie n'ait rien compris de ce charabia anglais.

Draco était heureux. Cela faisait vraiment longtemps qu'il ne l'avait pas était. Comme si, tout à coup, tous les malheurs du monde n'existaient plus et qu'il évoluait dans un endroit ou tout était parfait. Hermione, ne l'avait pas oublié après tout ce temps. Il y avait de quoi mourir de joie. Il y avait cependant une petite ombre au tableau. Voldemort les cherchaient encore. Lui et Pansy. Plus ils étaient loin des sorciers, mieux ils s'en sortiraient. Surtout les sorciers proches d'Harry. Comme Hermione ou la belette.

Draco : Hermione, il faut que tu saches que nous devions attendre que Voldemort soit vaincu pour se voir sans se cacher.

Hermione : Encore ? Mais Draco je n'en peux plus te ne pas te voir, pas te tenir près de moi. Je t'aime si fort … La patience ne fera que de me dégoûter.

Draco : Je t'aime aussi Hermione, toi et moi avons les mêmes sentiments mais ça n'est plus possible. Pas maintenant en tout cas.

Hermione : Je peux au moins rester mangé chez toi ce soir ?

Draco : Oui ça a mon avis… Ce n'est pas bien dangereux. A moins que… Tu sais je suis un désastre en cuisine … Tu préfères pas le restau ?

Elle nia de la tête puis lui sauta au cou. Et lui demanda de jouer le jeu car elle sortait avec Harry et elle devait s'en séparer en douceur et un peu plus tard. Car cela ferait planer un grand froid sur le repas si elle le plaquait avant d'aller chez lui.

Draco accepta. Tout ce qui lui importait était qu'Hermione l'aime. Il n'avait pas besoin de plus. Ils se donnèrent rendez-vous le soir même pour manger chez Draco. Il lui expliqua la route et lui donna son numéro de téléphone. Avec le temps il avait plus ou moins compris comment ça marchait ces engins.

Une fois les courses finit, Draco intima de l'aide à Pansy pour ranger la maison. Ils passèrent toute la journée à tout nettoyer mais le résultat fut impeccable.

Draco sortit sur la terrasse. Par chance ils avait une grande maison, pas trop luxueuse quand même mais assez confortable. Ils avaient un grand jardin ou il poussait toutes sortes de fleurs multicolores, mais devant la maison, il avait un terrasse et bien sur une piscine. Une belle piscine ou il s'échauffer souvent pour ne pas perdre les bonnes habitudes.

Pansy sortit le rejoindre et ils profitèrent de la fin de l'après midi pour rêvasser un peu sur les chaises longues. Pansy était quasi noire mais Draco ne bronzait pas. Ca ne le dérangeait pas plus que ça d'ailleurs. Il en profita pour se laver. Surprise ! Il y avait de l'eau chaude.

Une fois impeccable ils décidèrent. De ce qu'ils allaient faire a mangé.

Draco : Pourquoi pas des spaghettis ?

Pansy : Euh …oui !

Ils commencèrent donc à préparer le dîner.

Draco : c'est normal que les spaghettis soient roses ?

Pansy : Pas sure ! Peut-être qu'il fallait mettre la sauce tomate après ?

Draco clignât des yeux. Sûrement qu'ils auraient dus.

Draco : C'est toi qui l'as foutu dedans alors c'est toi qui te bouges au chinois pour leur commander de la bouffe.

Pansy : Tu m'excuses mais… J'ai pas vidé le pot de sel dedans moi ! Ni mis du St nectaire au lieu du parmesan !

Draco : Tu parles ! Y s'ont tous la gueule ! En Angleterre au moins tu reconnais, ils ont des couleurs différentes.

Pansy : Jaune et blanc c'est la même couleur pour toi ?

Draco : Ahhh ! Mais t'est toujours la ?

Il la jeta dehors et lança les clés et un « Grouille toi bordel». Il allait pour s'asseoir dans le canapé, quand son regard fut attiré par le miroir du salon. Il n'aimait vraiment pas cette couleur de cheveux. Il les décolora d'un geste de baguette bien qu'il n'avait pas le droit a la magie, il s'autorisait au moins ça. Qu'il était bon de se retrouver.

Il se changea ensuite. Il enfila un t-shirt vert et un jean noir. Il aimait bien son reflet dans le miroir a présent.

Il partit glander en toute dignité sur le canapé. Ah qu'on était bien vautré dans ces canapés en cuir noir. Vive le luxe ! Il savait qu'a présent, il avait hérité de la totalité du trésor de la famille mais le laissait à sa mère pour le moment. Il aviserait après.

Pansy revint, son butin en main. Du crabe royal et du riz cantonné. Vraiment mieux que des pâtes rose au St Nectaire. Ils servirent l'apéritif puis mirent un peu de musique.

Bien sur, ils n'écoutaient pas du rap mais plutôt de la salsa. Dans le sud de la France s'était plutôt rependu. De plus, ils avaient appris à la danser durant leurs années de poudlard. Pansy était vraiment douée pour cette danse. Un peu gourde sur le reste mais la danse… Elle était trop forte. Elle ondulait comme il le fallait.

Ils attendirent patiemment Harry et Hermione. Quand soudain : DONG. Draco, ayant les mains dans le crabe royal, intime à Pansy d'ouvrir. Cette dernière s'exécuta rapidement. Draco, ayant fini partit retrouver les trois jeunes gens sur la terrasse. Hermione lui lançait des petits regards et lui fit remarqué qu'il était mieux en blond. Draco et harry, partagèrent leurs souvenirs d'enfance.

Tout le monde mangea tranquillement. Pansy proposa d'aller dans la piscine. Tout le monde fut d'accords. Ils prêtèrent des maillots de bains et se baignèrent. Draco était franchement très fort en natation, il en faisait tout le temps depuis qu'il habitait ici, faute de ne pouvoir faire de quidditch.

Pansy : Et si vous restiez pour la semaine ? On pourrait vous faire visiter. En une semaine IL ne nous retrouvera pas.

Hermione : Vraiment ? Alors c'est avec plaisir.

Draco ne dit rien, partagé entre la peur que Voldemort les trouvent tôt ou tard et le bonheur d'avoir Hermione a ses cotès toute la semaine.

Voila ! Vous êtes contents ? J'ai décidé de la terminer autrement cette fic ; En deux trois chapitres. Ah franchement! j'ai pa pu resister !REVIEWS