Voila, me voici de retour avec ce chapitre tant attendu ... Je vous préviens il est triste !

J'ai fait tout mon possible pour me dépécher mais avec le bacà passer ça a été plus long que d'habitude ! je suis vraiment désolée ! Miantenant que je n'ai plus que mon oral de français à préparer, c'est promis je vais faire des ptites pauses pour vous traduire la suite ... surtout que ce chapitre se finit mal vous allez m'en vouloir !

j'orai du le poster hier masi j'ai eu un petit probleme avec mon navigateur web et dc ... j'ai du patienter jusqu'à ce matin!

Je suis vraiment désolée mais je n'ai absolument pas le temps de répondre au reviews ctte fois-c... il faut que je me remete aux révisions et je me suis levée tôt pour publier ce chapitre ! en tout cas un grand grand merci à tout ceux et celles qui m'ont laissé un petit commentaires ! je saute de joie a chaque fois que j'en ai un et je dois dire que pour le chapitre précédent j'ai été gâtée ... n'hésitez pas, continuez, j'adore les bouffées de joie ! lol

allez, je vous laisse à votre lecture !

bisous


Chapitre 4: Le cauchemar

Un coup à la porte réveilla Hermione. Elle regarda sa montre posée sur son bureau : 3h du matin. Qui pouvait bien venir frapper à sa porte à une heure pareille de la journée ? Cela frappa encore, encore et encore…. La jeune femme se leva, mit sa robe de chambre et se décida à aller ouvrir.

Quand elle atteignit le hall, elle entendit des voix à l'extérieur.

« C'est une mauvaise mère, son enfant n'ose même pas lui parler. »

.- C'est une mère horrible, j'ai entendu dire qu'elle abusait de sa fille. »

.- C'est pourquoi nous devons emmener cette enfant loin de sa mère, nous devons la confier à une famille qui s'occupera mieux d'elle. »

.- Oui, cette pauvre petite fille doit grandir dans une famille normale, pas avec une veuve en deuil qui ne fait rien d'autre que de se plaindre d'avoir perdu son mari. »

Le cœur d'Hermione commença à battre de plus en plus fort dans sa poitrine. Les personnes dehors continuaient de frapper. Ses yeux étaient voilés par les larmes. Que devait-elle faire ? Ils allaient emmener son précieux bébé loin d'elle. Ils allaient lui prendre son unique raison de vivre et elle ne pouvait rien y faire. Ou bien si, y avait-il quelque chose ? Elle pouvait toujours sortir avec Becky par la fenêtre, s'échapper et ne jamais revenir. Oui, c'était ce qu'elle devait faire. Les gens à l'extérieur semblèrent tout à coup parler plus fort.

« C'est une mauvaise mère.

.- Elle nuit à cette pauvre enfant.

.- Nous allons emmener Rebecca loin d'elle, très très loin. »

C'est à ce moment là que Becky pénétra dans le hall, elle avait l'air affreusement fatiguée et portait son pyjama préféré : le rose avec de petits coeurs argentés.

« Tu n'ouvres pas la porte maman ? »

Hermione regarda Becky puis la porte, puis se retourna vers sa fille. Elle hurla. Le visage de son enfant était recouvert de contusions et de sang.

« Elle frappe sa fille » hurla une voix à l'extérieur.

« Non ce n'est pas vrai ! hurla Hermione. Je ne la frappe pas !

.- Maman, pourquoi tu n'ouvres pas la porte ? demanda Becky alors que du sang coula de sa bouche.

.- Ouvrez la porte nous savons que vous êtes là ! » cria une voix d'homme.

Les larmes commencèrent à rouler sur les joues de la jeune femme. Elle prit Becky dans ses bras et courut vers les escaliers pour atteindre le balcon. Elle vivait dans une maison à deux étages mais à ce moment là Hermione eut l'impression que sa maison était beaucoup plus grande qu'habituellement. Une fois arrivée, elle regarda par-dessus la balustrade pour voir si elles pouvaient sauter. Mais Becky tomba.

« Nooooooooooooooonnnnnnnnnnnnnnnnnn ! » hurla Hermione tandis qu'elle voyait Becky s'écraser lourdement sur le sol. "BECKY !"


" Maman, maman, réveille-toi !"

Hermione ouvrit les yeux et vis les cheveux roux de sa fille devant elle. Elle les referma et les rouvrit. A son, plus grand soulagement, Becky n'avait aucune contusion et le sang ne sortait pas de sa bouche.

« Je crois que tu as fait un gros cauchemar maman »

Hermione s'assit sur le lit, c'est alors qu'elle remarqua qu'elle était en sueur.

« Je suis là maintenant, les monstres ne pourront pas venir te manger, je te sauverais, dit Becky tout en montant sur le lit pour faire un gros bisous sur le front de sa mère.

« Je t'aime.

.- Oh, mon cœur, maman t'aime aussi », soupira la jeune femme tout en prenant sa petite fille dans ses bras.

Elle sentit les larmes lui brûler les yeux.

« Tu sais que tu peux tout me dire, non ?

.- Oui je le sais maman.

.- A propos de tout.

.- Oui

.- Pourquoi tu n'as pas parlé à maman au sujet des autres enfants de la garderie ? Emily m'a dit qu'ils t'embêtaient, annonça Hermione tout en regardant sa fille droit dans les yeux.

.- Parce que tu es triste.

.- Chérie, maman n'est pas triste.

.- Je t'entends pleurer quand tu te couches. »

Hermione eut l'impression que l'on venait de lui planter un poignard dans le cœur, elle ne pouvait pas croire que Becky ait entendu cela.

.- Mais Baecky, tu peux quand même me parler", soupira Hermione tandis qu'une larme roulait sur sa joue.

Je suis vraiment une mauvaise mère, pensa-t-elle.

« Je ne veux pas que tu sois plus triste.

.- Je serais plus heureuse si tu me parlais, répondit Hermione en repoussant les cheveux qui tombaient devant les yeux de sa petite fille. Promet moi qu'à partir de maintenant tu me diras tout, d'accord ?

.- Ok, dit Becky en souriant à sa mère.

.- Même si je suis triste, je veux que tu saches que je serais toujours là pour toi, si tu as besoin de me parler ou juste si tu veux un câlin, dit Hermione. Je t'aime plus que tout ma chérie, t'avoir mise au monde est la plus belle chose qui ne me soit arrivée. »

Soudain, un coup à la porte fit sursauter Hermione. Est-ce que son cauchemar allait devenir réalité ?

« Je vais ouvrir », s'exclama Becky joyeusement en sautant du lit et en courant vers la porte.

Hermione se leva rapidement, enfila sa robe de chambre et courut vers le hall. Elle reprit sa respiration lorsqu'elle vit sa propre mère debout devant elle avec Becky dans ses bras.

« Pourquoi n'es tu pas encore habillée ? lui demanda sa mère

.- J'ai trop dormi, murmura Hermione en se souvenant soudainement qu'elle avait promis à sa mère de prendre le petit-déjeuner avec elle ce matin. Oh, non, j'ai complètement oublié le truc du petit-déjeuner, désolé.

.- Le truc du petit-déjeuner ? répéta Lydia Granger. Nous avons prévu cela il y a des semaine Herms.

.- S'il te plaît ne m'appelle pas Herms.

.- Mais je t'ai toujours appelée comme cela.

.- Je sais mais s'il te plait arête ! s'exclama Hermione. Je ne me sens pas très bien maman, est ce que tu pourrais prendre le petit-déjeuner avec Becky et ensuite l'emmener à la garderie ?

.- Bien sûr, répondit Lydia en reposant Becky sur le sol. Va chercher tes affaires, continua-t-elle tandis que la petite fille faisait ce que lui avait dit sa grand-mère.

Lorsque le petit ange fut sortie de la pièce, Lydia s'avança vers Hermione et posa délicatement une main sur l'épaule de sa fille.

« Qu'est-ce qui ne vas pas Hermione ?

.- Je crois que je suis tombée malade, mentit la jeune femme.

.- Oh, alors c'est probablement mieux si nous reportons ce « truc de petit-déjeuner » un autre jour. Je vais m'occuper de Becky, ne t'inquiète pas. Reste à la maison et repose-toi.

.- Merci maman », soupira Hermione tandis que Becky revenait dans le hall avec son sac.

Elle mit ses chaussures et sa veste, fit un bisou à sa mère et partit avec sa grand-mère.

Dès qu'Hermione eut fermé la porte, les larmes commencèrent à rouler sur ses joues. Elle se laissa glisser le long de la porte et s'assit par terre. Elle pleura pendant un temps qui lui parut durer une éternité. Les pleurs ne semblaient pas pouvoir s'arrêter.

« Oh, Ron, j'ai vraiment besoin de toi maintenant, sanglota-t-elle. Je suis une mauvaise mère. Tout serait si différent si tu étais là avec nous, continua-t-elle. Pourquoi est-ce que tu m'as laissée ? »

Elle cria et de plus en plus de larmes s'échappèrent de ses yeux.

Elle entendit alors quelqu'un taper à la fenêtre de la cuisine. Elle se leva pour aller voir ce qui se passait. C'était le hibou postal qui apportait le courrier : le Daily Prophet et quelques factures.

Elle essuya ses larmes et regarda la une du journal. Elle vit une grande photo de Draco, le gros titre disait : Malefoy, le nouveau propriétaire du Daily Prophet.

« Au moins j'ai toujours mon travail », murmura-t-elle tandis qu'elle relisait son article.

Il était parfaitement écrit, au moins elle était bonne à quelque chose. C'est à ce moment là que ses yeux s'arrêtèrent sur la dernière partie de l'article. Elle du la relire 4 fois ….

Auteur de l'article : Pansy Parkinson.

Hermione sentit la colère monter en elle. Elle jeta le journal et se dirigea vers sa chambre où elle s'habilla rapidement. Elle ne se souciait pas de sa coiffure ou de son maquillage, et elle n'accorda pas plus d'attention aux vêtements qu'elle était en train d'enfiler. Elle alla ensuite dans le salon et se dirigea vers la cheminée, qu'elle allait utiliser pour aller au Daily Prophet.


Avant d'entrer dans le bureau de Draco Malefoy, sans frapper, elle prit un exemplaire du journal du jour sur le bureau de Brenda Millers.

« Qu'est ce que c'est que ça ? hurla-t-elle en jetant le journal sur le bureau de son patron.

.- C'est le Daily Prophet », répondit-il en souriant à Hermione.

Elle était sur le point de lui arracher la tête mais au lieu de cela elle récupéra l'exemplaire ou se trouvait son article.

« Je sais ce que c'est idiot. Mais qu'est ce que c'est que ça ! répliqua Hermione en pointant l'article concernant Draco.

.- C'est l'article que tu as écrit à mon sujet, répondit-il en semblant confus. Qu'est ce qui ne va pas chez toi aujourd'hui ?

.- Qu'est ce qui ne va pas chez moi ? Je dirais plutôt qu'est ce qui ne va pas chez TOI ! hurla la jeune femme.

.- Granger », commença Draco lorsqu'il remarqua que tout le personnel du journal commençait à s'intéresser à ce qui se passait dans son bureau. Il referma la porte d'un simple geste de sa baguette.

« Je ne comprend pas vraiment pourquoi tu hurles.

.-, Non ? Tu as lu cet article ?

.- Bien sûr que je l'ai lu. Il est brillant.

.- Est-ce que tu as lu qui l'a écrit ?

.- Ne soit pas idiote Hermi…Granger, je sais que c'est toi qui l'a écrit.

.- Lis», cria-t-elle tout en lui balançant le journal.

Il regarda Hermione, légèrement effrayé. Une fois qu'il eut lu qui avait écrit cet article, il comprit pourquoi elle était si énervée.

« Est-ce que tu peux m'expliquer ça ? hurla-t-elle. Est–ce que tu as pensé que cet article était trop bon pour être écrit par moi et donc tu l'as attribué à ta femme parfaite ?

.- Elle n'est pas ma femme et je ne lui ai pas attribué", déclara-t-il d'une voix forte. Elle a du changer le nom... » murmura Draco.

Il se souvint alors lorsque Pansy avait insisté pour lire l'article le jour précédent. Elle avait du remplacé le nom d'Hermione par le sien.

« Bien sûr, mets tout sur le dos de ta femme.

.- Elle n'est pas ma femme ! s'exclama Draco.

.- Tu sais quoi Malefoy, je démissionne ! hurla Hermione. Je pensais que je pourrais supporter d'être à tes côtés mais si c'est comme cela que tu comptes me traiter, je ne le supporterais pas. »

Elle sortit du bureau rapidement, contourna ses collègues et franchit la porte du bâtiment.

Elle marcha rapidement le long du chemin de Traverse, les larmes lui brûlant les yeux. Une fois arrivée dans une rue déserte, elle fondit immédiatement en larmes.

« Mais qu'est-ce que je suis censée faire maintenant ? » sanglota-t-elle en se prenant la tête dans les mains….


oui, je sais, c'est triste et je n'ai pas le droit de m'arêter là mais c'est la faim du chapitre, ce n'est pas moi qui l'ai décidé ! promis , je me dépêche de traduire la suite, je m'y mets dès cet après midi ! en attendant, laissez moi un petit commentaire !