Auteur : Gwenaelle D.
Adresse : karrakoln@yahoo.fr
Origine : Gundam Wings.
Disclaimer : ai pas inventé les persos malheureusement… mais ça serait pas une fanfic sinon ^^. Vanyel et Yfandes sont pas à moi non plus… VANYEEEEEEEEELLLLLLLL !!!! Je t'aiiiiiiimeeeuuuuuhhhh !!! Pas de pot, il est gay lui aussi (c'est dans le bouquin, j'invente rien).
Genre : complètement à l'ouest, un beau bordel
Remarque 1 : suis fatiguée, ça doit être pour ça
Remarque 2 : j'aurais peut-être mieux fait d'aller me coucher
Remarque 3 : j'ai pas trouvé de titre plus fort pour montrer la débilité de toute cette histoire
Remarque 4 : Gomen nasaiiiiiiiiiiiii !
Remarque 6 : Y'a plein de cross-over, alors que c'était pas mon intention.
Delirium tremens(ou comment je prends mes rêves pour des réalités)
6e chapitre
Gwen : « Mon piti Duo je te retrouve » que je fais avec un grand sourire.
Duo, s'installant confortablement sur mes genoux : « Voui. »
Gwen : « Tu sais que tu es mon préféré après mon Trowa d'amour ? »
Duo : « Ah bon ? Pas possiiiible ! »
Gwen : « Siiiii ! Je te juuuure ! »
Duo : « J'y crois paaaaas! »
Gwen : « Mais si c'est vraiiiiii !!! »
Duo : « Et pourquoiiiiii ? »
Gwen : « Heuuu… » - cherche, cherche -.
Duo : « Ben alors ? »
Gwen : « Heu, je pense c'est à cause de ta bonne humeur, tes yeux améthyste, ta natte, ton beau p'tit cul et… »
Duo : « Hé hé hé. »
Quatre, par interphone : « Ah bon ? Alors comme ça t'as fait un classement ? »
Gwen : « Bah non. Je vous aime tous, mais depuis que je suis là c'est Duo et Trowa qui ont été les plus sympas avec moi… Et Heero. »
Wufeï : « Tu serais pas si bête aussi. »
Gwen : « Tiens tu vois ! Qu'est-ce que je te disais ! Wufeï me déteste, OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIINNNNNNNN !!! »
Wufeï qui murmure dans sa barbe : « Stupide onna ! »
Gwen : « J'ai entendu Wuffy ! »
Wufeï : « C'EST WUFEI !!!! »
Gwen, se frottant les oreilles : « Aïe. »
Trowa : « Bon, on se remet en route. »
Gwen : « Haï !! »
Wufeï lève les yeux au ciel, Quatre pareil, et Duo… ben pareil en fait.
Gwen : « Ben quoi ? J'ai pas le droit de m'exprimer ? »
Duo : « Ah si si si, tout à fait. »
Gwen : « Bon. »
Et sur ce, les quatre gundams se remettent en marche, au pas de courses.
Une demi-heure après on court toujours, et chose bizarre, je pensais pas qu'un gundam en train de faire son jogging donnait aussi mal aux fesses. Du coup, ben je grommelle dans ma barbe.
Duo : « Quoi ? »
Gwen : « C'est super inconfortable. »
Duo : « C'est vrai, mais là moi ça va, pas de problèmes. »
Gwen : « Grrrr. »
Trowa : « Je vois Heero en approche. »
Duo : « Déjà de retour ? »
Trowa : « Oui. »
On ralentit, on reprend une marche normale, puis on s'arrête, attendant que Wing nous rejoigne et atterisse.
Duo : « Alors ? »
Heero : « Il y a une ville fortifiée à quelques kilomètres d'ici. Je ne me suis pas approché de trop près, mais j'ai l'impression qu'elle est pas très moderne, plutôt de l'ancienne époque. J'ai commencé à faire le tour de loin, mais je me suis arrêté assez vite car j'ai croisé une route, et j'ai pu constater que la population était paysanne et commerçante, avec des charriots et des roulottes. Il y a beaucoup de cavaliers aussi. »
Duo : « Et donc, il y aura de la bouffe ! »
Trowa : « Nos gundams vont faire tâche. »
Wufeï : « Et les cacher dans le désert, ça va pas être simple. »
Quatre : « Mais si, le désert a plus de ressources que tu sembles le penser. »
Gwen : « Les fringues aussi vont paraître bizarres, vous croyez pas ? »
Duo : « On doit tous avoir des capes quelques parts… »
Heero : « On peut rapprocher les gundams de la ville. Quatre, tu nous dis dès que tu vois une planque possible. »
Quatre : « Ok. »
***
(gros saut dans l'histoire, on va dire que les gundams sont planqués à trois kilomètres de la ville. Où et comment, ça j'en ai pas la moindre idée, mais on s'en fout, on est dans un délire après tout, faut bien que ça ait quelques avantages aussi ^____^. Je reprendrais donc dans le désert, nos cinq bishonens et moi-même avançant vers une haute muraille, à la rencontre de cette nouvelle ville et de sa faune bigarée).
***
Nous étions à 2 kilomètres de la ville quand une tâche blanche se détacha sur le crème du sable du desert, à l'horizon. Nous nous arrêtons et regardons la forme approcher. Heero met de suite sa main sur son revolver… ou son pistolet laser… Tiens c'est vrai ça, c'est quoi son arme déjà, je me souviens plus. Quatre joue les trouillards et en profite pour se rapprocher de son Trowa d'amour et de lui tenir le bras. Ce dernier le prend carrément par les épaules… L'a de la chance le Quat-chan.
Au fur et à mesure que la silhouette se rapproche, on peut distinguer que c'est un cavalier au galop qui arrive. Un cavalier en uniforme blanc, sur un destrier blanc. Un cavalier en uniforme blanc et aux cheveux noir de jai. Un cavalier aux yeux gris argent, monté sur une jument blanche aux yeux bleus.
Et là, mon cœur s'arrête. Je n'y crois pas, c'est trop beau pour être vrai, c'est pas possible. Il est là, en chair et en os. Lui qui m'a donné envie d'écrire. Lui qui a été ma toute première source d'inspiration. Lui dont la bonté n'a d'égal que sa beauté.
Il s'arrête à quelques mètres de nous, et là je fais un effort considérable pour ne pas m'évanouir. La vache mais il est encore plus beau en vrai que dans le bouquin ! Vous vous rendez compte ??? Ce mec ! Ce mec ! C'est LE plus beau mec de tous l'univers, de toutes les histoires, de tout ce que vous voudrez. Ce mec (béni soit Mercedes Lackey pour avoir créé un tel trésor), ce mec, c'est Vanyel Ashkevron, le dernier héraut-mage de Valdemar. Et il chevauche Yfandes, qui est bien plus qu'une simple jument.
(intermède musicale)
La la la la laaaaa. Petite page de pub (tchi tchaaaa) : Mercedes Lackey a écrit de fantastiques bouquins (laaaaaaaaaaaaaa !) dont le plus connu est la trilogie du dernier héraut-mage (gros bruit de timballes… de symbales, pardon). C'est elle qui m'a donné envie d'écrire (pouêêêêêêêêt). J'adore ses livres, je les ai en français et en anglais, elle a vraiment un talent fou et une imagination fertile (violon de la mort qui tue à la Ennio Moriccone) . Bref, jetez-vous sur ses romans, ils sont fantastiques. La la la la laaaaaaaaa.
(fin de l'intermède musicale).
Bon, donc on en était à peu près là : je suis sur le cul.
Et je m'aperçoit que mes cinq g-boys ont aussi du mal à accuser le coup ! Ils ont tous la bouche ouverte sans exception, et je vois un désir fulgurant dans les yeux de certains. C'est normal, Vanyel fait craquer aussi bien les filles que les garçons. Quel dommage qu'il soit attiré par les mecs (l'a du pot son Stefen/Tylendel).
Gwen : « Maître Van ! » que je m'exclame.
Il me regarde d'un air interrogateur.
Roooh putain mais je suis trop conne ! Ca c'est dans Escaflowne ! Je suis vraiment une abrutie !
Puis soudain, je sens un petit picotement, et je me rend compte de ce qu'il fait. Il appelle les vrondis. Je savais pas qu'ils existaient dans ce monde aussi.
(Explications)
(Musique sérieuse de l'émission de Pivot que je sais plus comment qu'elle s'appelle). Les vrondis sont des élémentaux de l'air. Lorsqu'on les invoque (grosse baffe dans les baffles pour que cette musique pourrie s'arrête, on est de nouveau au calme, je peux continuer – gros sourire crispé -), ils agissent comme un détecteur de vérité sur ceux qu'ils entourent. Vanyel sait que nous sommes sous leur emprise car les « victimes » de ces petits élémentaux sont alors entourés d'une aura bleue. La « victime » ne peut que dire la vérité sur ses intentions.
(Le lecteur CD essaye de revenir à l'assaut mais un grand coup de pompe dans la tronche le fait taire).
(Fin des explications)
Vanyel : « Qui êtes-vous ? »
Duo : « On est les g-boys, les petits bishonens de ces demoiselles les fanficeuses. »
Vanyel ne semble pas trop comprendre.
Gwen : « Moi c'est Gwen, et je suis l'une de vos plus grandes fans ! »
Il a toujours pas l'air de bien saisir.
Vanyel : « Venez-vous en paix ? »
Heero : « Absolument. »
Gwen : « Oui oui oui. »
Vanyel : « Quel est votre but ? »
Duo : « On doit protéger la miss. »
Gwen : « Et moi j'ai pas de but précis, juste rester en vie et faire plein de bonnes actions pour sauver ma planète. »
Vanyel reste bouche bée, et Yfandes renâcle.
Vanyel : « Yfandes a sondé vos cœurs, vous ne portez pas le mal en vous. Vous pouvez passer. »
Et là, nouvelle sensation de picotement. Les vrondis sont partis.
Gwen : « Monsieur Vanyel ? »
Il s'apprêtait à partir, mais retient son geste et me regarde.
Gwen : « … Pourquoi vous êtes là ? »
Il sourit. Un sourire ravageur. Mes jambes me portent à peine. J'entends Heero soupirer à côté. Heero qui soupire ?
Vanyel : « J'ai pris ma retraite dans mon monde. Et ils avaient besoin de quelqu'un ici, pour préserver la tranquillité de la ville dans ce monde en plein effervescence. Nous avons accepté. »
Gwen : « Vous allez rester tout le temps ici ? »
Vanyel : « Non, je viens sur demande. Vos machines ne sont pas passées inaperçues. Les gens se sont inquiétés. »
Gwen : « Et les dragons ? »
L'homme le plus magnifique du monde soupira, un éclat triste dans les yeux.
Vanyel : « Leur sort ne me concerne malheureusement pas. »
Je le regarde avec tristesse, consciente de tout ce que sa remarque contient en sous-entendus. Je lui fais un petit signe de tête, et il acquiesce en retour, un petit sourire sur les lèvres. Heero soupire à nouveau. En… Encore ?
Et sur ce, le cavalier et sa monture s'éloigne dans un petit galop. Vanyel nous fait un petit signe de la main, puis disparaît avec Yfandes.
Nous restons un moment sans rien dire.
Duo : « Waouh ! Sacré beau mec. »
Heero : « Ca tu peux le dire… »
On le regarde tout les cinq avec des mines étonnées, puis le Soldat Parfait semble se rendre compte de ce qu'il vient de dire, et devient bizarrement rouge pivoine. Duo le regarde avec des yeux suspicieux.
Duo : « Alors Hee-chan ? On craque sur le bel inconnu ? »
Heero pince les lèvres.
Gwen : « Il a bien raison, personne ne peut lui résister… Pas vrai Wufeï ? » que je fais en rigolant à moitié. « Vu ton nez j'ai l'impression que tu as actuellement des pensées pas très catholiques, je me trompe ? »
Le chinois grommelle dans sa barbe et porte une main à son nez.
Duo : « Toi aussi Wuffy tu craques ? »
Gwen : « Et toi Duo ? Me dis pas qu'il t'as pas fait de l'effet. »
Duo : « Non ! Non ! Il ne m'a pas fait d'effet, pas du tout ! »
Je m'avance vers lui et je lui chuchotte à l'oreille : « Alors c'est quoi cette bosse au niveau de ton entre-jambe ? »
Il devient cramoisi en moins d'une seconde chrono.
Gwen : « IIIIIIIIIIIIIhi hi hi ! Je savais bien que t'avais un penchant. »
Heero regarde alors Duo avec une drôle de lueur dans les yeux.
Duo : « Pas du tout ! »
Et à ce moment là, je me tourne vers Trowa et Quatre… qui se bécottaient passionnément.
Gwen : « Hmmm hmmm ! Vous le dites si on vous gêne, hein ? »
Les deux amoureux se lachèrent illico-presto, rougissant jusqu'à la racine des cheveux.
Gwen : « Ben décidément tout le monde est rouge on dirait ! »
Duo : « Toi aussi. »
Gwen : « C'est le soleil ! »
Heero se remet en route, et tout le monde le suit.
A suivre…
Gwenaelle D., 27 février 2003
