Chapitre 10 : Des amis qui vont et viennent
Ginny ouvrit la porte complètement et la regarda, surprise. « Qu'est-ce que tu fais ici, Hermione ? » dit-elle froidement.
Hermione sembla un peu décontenancée par cette réaction, mais malgré cela, elle serra son amie entre ses bras. « Dieu merci, Ginny ! J'avais si peur de ne pas te trouver ici ! Tu ne sais pas combien j'ai… »
Ginny l'invita à entrer et ferma la porte. Elle lui adressa un regard froid. « Qu'est-ce que tu fais ici ? Tu faisais une petite promenade dans le meilleur quartier de Paris peut-être ? »
Le sourire d'Hermione s'effaça un peu. « Je te cherchais. » dit-elle, en observant l'air sévère de Ginny. Elle n'avait pas beaucoup changé, malgré tout ce qu'elle avait pu traverser. Elle était toujours aussi belle et élégante. Elle portait une vieille robe sale, mais sur elle, on aurait dit une robe de haute couture. Il y avait toutefois quelque chose de différent dans ses yeux. Ils étaient froids et durs. Ginny n'avait jamais été très douce de nature, mais au moins avec Hermione elle avait toujours été amicale. Aujourd'hui, elle la considérait du regard comme une infection de choléra.
Ginny était partagée. Elle ne pouvait nier le soulagement qu'elle avait ressenti en reconnaissant la voix d'Hermione, et en la voyant là devant elle. Elle était la seule amie qu'elle n'ait jamais eue, et la retrouver, après quatre années, c'était… Mais, la situation était quand même embarrassante. Elle vivait dans un vrai taudis, bon sang !
« C'est ton bébé ? » demanda soudainement Hermione, en remarquant l'enfant dans le coffre en bois. Il s'était réveillé, et observait maintenant l'étrangère avec de grands yeux noirs.
« Ma chère Hermione, est-ce que tu trouves que cet endroit ressemble à un jardin d'enfants ? » répliqua froidement Ginny. A l'intérieur d'elle-même, elle se demandait comment diable Hermione avait pu savoir qu'elle avait un enfant.
« Quel est son nom ? » demanda Hermione en regardant émerveillée le bébé.
« Daniel. Mais tu veux peut-être plus de détails, non ? Il est le fils du général Viktor Krum. » ajouta-t-elle d'un ton de dédain, en s'appuyant contre un des murs délabrés.
Hermione observa son amie. Elle était distante et sèche, mais il y avait de la peur dans ses yeux. On aurait une petite souris terrifiée par un chat à la recherche d'un repas… Que lui avait fait ces monstres ? Que s'était-il passé dans La Santé ? Elle regarda le bébé. Il était si sérieux et si calme…
« Bonjour Daniel !» lui dit-elle, et elle se mit à le chatouiller doucement.
« Comment nous as-tu trouvé ? » demanda Ginny.
« Drago Malefoy m'a aidé » répondit Hermione qui continuait à chatouiller Daniel.
« Et je suis censée savoir qui c'est ? » demanda à nouveau la rouquine, les sourcils froncés.
« Tu ne te souviens pas ? Nous l'avons rencontré ensembles chez toi. Tu sais, cette après-midi où… Harry Potter l'avait amené avec lui.»
Si Ginny avait remarqué le tressaillement de la voix d'Hermione au nom d'Harry, elle n'en laissa aucune trace sur son visage. Au lieu de cela, elle fronça un peu plus les sourcils. « Maintenant que tu le dis… Je crois que je me souviens… Harry était venu chez moi avec quelqu'un… un blond »
« C'est lui ! C'est Drago. » s'exclama Hermione.
Daniel se mit à bouger dans sa boite peu confortable. Ginny ne supportait pas qu'Hermione puisse voir où son fils dormait. Mais Hermione ne semblait s'en soucier, et de toute manière elle était trop occupée à amuser Daniel. Avec quelques grimaces, le garçon sourit enfin. Hermione étouffa un rire de joie et de victoire.
« Est-ce que je peux le prendre dans mes bras ? » demanda-t-elle, en se tournant vers Ginny.
Ginny n'avait jamais laissé quiconque toucher Daniel. Même pas après sa naissance, alors qu'elle était si faible après son accouchement difficile. Elle s'approcha du coffre et le prit dans ses bras, le serrant dans ses bras comme pour le protéger. Hermione sourit, et caressa la joue du bébé.
« Alors… » se risqua Hermione. « Comment vas-tu ? »
« Et comment je vais, d'après toi ? » répliqua Ginny qui se mit à arpenter la pièce.
Hermione resta silencieuse un instant. L'attitude de Ginny commençait à l'agacer. Mais après tout, elle devait bien admettre qu'elle s'était invitée ici d'elle-même… Et Ginny avait sûrement beaucoup souffert…
« Je suis désolée, c'était une question stupide. »
Ginny lui lança un coup d'œil. « Allez viens, allons marcher un peu. »
Hermione la suivit le long de rues malfamées pour finalement arriver dans un parc. Ginny tenait Daniel dans ses bras, qui s'était endormi paisiblement. On était presque en hiver, mais le soleil rayonnait au-dessus d'eux, et une légère brise soufflait tranquillement sur les nuages.
« Ginny… » dit Hermione, presque à voix basse. « Est-ce que tu veux parler de ce qu'il s'est passé à La Santé… ? …de Viktor Krum, ou de la Libération ? »
Ginny brûlait de tout dire à Hermione… Elle voulait lui faire confiance… Mais elle avait tellement honte… Tout ce qui s'était passé… Elle ne pourrait pas le supporter. Comment trouver les mots pour lui raconter toutes ces horreurs qu'elle avait vécu en prison et avec Krum ?
« Qu'est-ce que tu veux que je te dise ? La Santé était pleine d'agents de l'ADS. Krum était mon amant. Et tu n'as certainement pas besoin que je te décrive ma vie d'aujourd'hui. »
Ce fut assez pour faire taire Hermione, du moins jusqu'à ce qu'ils s'installent dans un petit café. Hermione se souvint soudainement d'une après-midi où elle était allée dans un endroit comme celui-ci avec Harry, après qu'elle lui ait parlé de la disparition des Weasley. Elle invita Ginny à prendre quelque chose à manger.
En s'asseyant, Ginny laissa finalement Hermione prendre Daniel dans ses bras. Le bébé s'assit joyeusement sur ses genoux et prit un morceau de pain. Ginny mourrait de faim. Mais elle mangea peu. Elle ne voulait pas qu'Hermione pense qu'on pourrait l'impressionner avec un plat de nourriture.
Hermione se mit à parler. Elle parla surtout de Beauxbâtons et de Daguerre. Et puis finalement, elle rassembla tout son courage pour lui poser la question qui lui était resté collée en tête depuis qu'elle avait appris pour Ginny.
« Ça doit être terrible… d'être punie par l'ADS, puis ensuite… par les Alliés de Griffondor… Tu n'es pas furieuse ? »
Ginny soupira. « Si… » admit-elle. « Mais cette colère n'est rien comparée à celle que j'éprouve pour cette ordure qui a trahit mon père et qui l'a livré à l'ADS. »
« Tu n'as pas la moindre idée de qui se pourrait être ? »
« Non. Mais je trouverai. Même si cela doit me prendre toute ma vie, et je n'ai jamais parlé aussi sérieusement. » dit-elle avec détermination.
« Et que comptes-tu faire maintenant ? » demanda Hermione qui regardait maintenant Daniel.
« Pour l'instant je ne peux pas faire grand-chose… Je travaille dans une boutique, mais la femme qui m'emploie ne paie pas très bien. Si je pouvais économiser un peu, je pourrais louer un autre appartement et sortir Daniel de ce taudis. Mais tout ce que je gagne arrive à peine à nous faire vivre. On arrive à survivre… »
« Ginny tu ne peux pas traverser ça toute seule… »
« Et qu'est-ce que tu veux que je fasse ? Demander de l'aide à mes parents ? » s'exclama-t-elle sur un ton sec qui surprit Hermione.
« Et tes frères ? »
« Je ne supporterai pas qu'ils découvrent comment je vis, Hermione. C'est trop embarrassant. Je ne veux pas qu'ils sachent que j'ai vécu avec Krum, ou que j'ai eu un enfant… »
« Même pas Ron ? » insista Hermione. Elle savait que Ginny avait toujours été plus proche de Ron que de ses autres frères.
Ginny but une gorgée d'eau, et remit une mèche rousse derrière son oreille. « Apparemment ce rapport que tu as lu ne t'a pas tout appris… »
« Qu'est-ce que tu veux dire ? »
« Ron est mort. »
Hermione regarda Ginny, abasourdie. Elle ferma les yeux, et les rouvrit. Etait-ce possible ? Ron Weasley… mort ? Elle ne pouvait pas y croire. Ce garçon si gentil et si drôle qu'elle avait rencontré quelques années auparavant ?
« Comment as-tu… » essaya-t-elle de dire sans qu'aucun son ne sorte de sa bouche. Ginny lut sur ses lèvres.
« Krum me l'a dit… Il est mort en mission selon le rapport. Il y deux ans. » Les yeux de Ginny étaient tournés vers la table. Sa voix ne tremblait pas, et il était difficile de deviner ce qu'elle ressentait.
Hermione passa une main dans ses cheveux. Ron était mort. Ron était l'ami d'Harry… Non, plus que ça, il était son partenaire… Ils travaillaient ensembles… Est-ce que… ? Mais non, c'était impossible. Il envoyait toujours ses rapports à temps, tous ses rapports. Elle aurait aimé demander à Ginny, mais elle avait trop peur de sa réponse.
« Je pourrais te prêter de l'argent. » dit Hermione, choisissant de changer de sujet.
« Très généreux de ta part, Granger » railla Ginny, en évitant son regard.
« Ne sois pas ridicule, Ginny. On se connaît depuis des années. Tu es ma meilleure amie. Je veux t'aider. De combien as-tu besoin ? »
Ginny réfléchit un instant. Elle n'aimait pas la charité. Elle ne supportait pas qu'Hermione lui parle comme si elle avait vraiment besoin de quoi que ce soit de sa part. Peut-être que si elle demandait quelque chose de difficile à obtenir, elle la remettrait à sa place. « 300 gallions » dit-elle finalement. Elle avait bien vu les vêtements d'Hermione. Elle ne devait pas être plus qu'une secrétaire.
Hermione gagnait 70 galions par mois. Elle avait quelques économies, mais ça ne serait pas suffisant. D'autant plus qu'elle devait payer son propre loyer. Toutefois, sans même en douter, elle acquiesça.
« Je te les rapporte demain, chez toi. »
Hermione n'aimait pas beaucoup demander de l'argent aux autres, mais c'était la seule manière pour obtenir 300 gallions pour le lendemain. Elle envoya des hiboux à Lady Mc Gonagall et à Remus Lupin. Elle n'expliqua pas pourquoi elle avait besoin d'argent, mais elle accompagna les lettres d'un contrat signé par lequel elle s'engageait à rembourser chaque noises dues. Drago n'avait pas d'argent à lui prêter, ce qui n'était même pas surprenant. Elle se rendit à la banque Gringotts de Paris, et après dix bons interrogatoires avec une multitude de goblins grincheux, elle fut capable de réunir la somme avant la tombée de la nuit.
Elle avait promis à Drago qu'elle passerait la soirée avec lui, pour le remercier d'avoir trouvé Ginny. Mais Drago n'avait pas prévu de sortir. Au lieu de cela, il la mena à sa chambre d'hôtel.
« Qu'est-ce qu'on vient faire ici ? » demanda-t-elle en essayant de garder sa voix calme. « Je croyais qu'on devait dîner… »
« On va dîner. » répondit Drago avec un sourire. « J'ai commandé le service de chambre. J'ai pensé que peut-être tu ne serais pas d'humeur à sortir. »
« Oui, bien sûr » pensa Hermione, soudain très mal à l'aise.
« Assieds toi, Chiquita. » Drago lui montra une des chaises qu'il avait placé autour d'une petite table ronde. Un repas les y attendait. « Chiquita » était le surnom qu'il lui avait choisit, depuis qu'ils s'étaient retrouvés en Espagne… Hermione n'aimait pas beaucoup ce surnom, mais elle ne voulait pas se plaindre. Drago était son ami avant tout, et il l'avait beaucoup aidé dans les moments durs… En fait, il était la seule personne qu'il lui restait, puisque Ginny ne semblait pas se réjouir de la retrouver, et que ses parents étaient morts ; et Harry… « Arrêtes de penser à lui » s'ordonna-t-elle.
Drago versa du vin dans le verre d'Hermione. Elle n'aimait pas vraiment boire, mais elle se dit que ce serait malpoli de refuser, surtout qu'il avait tout préparé si gentiment. Ils discutèrent un peu, et puis vers 23h30, Hermione se sentant un peu patraque, décida de partir.
« Tout était parfait. Merci Drago. » dit-elle, en se levant.
« Hé, attends. » dit-il, en la rattrapant doucement par le bras. « Où vas-tu ? On commençait juste à s'amuser… »
Elle se rendait parfaitement compte de la proximité de leur corps. Elle sentit le regard de Drago glisser sur elle, et elle eut l'envie soudaine de s'enfuir… Mais il était son ami… Drago caressa sa joue, et Hermione recula immédiatement.
« Drago… » murmura-t-elle. Ses genoux faiblissaient, et la chambre devenait floue. Elle n'aurait jamais dû accepter de boire ce vin…
« Allez, n'aie pas peur » dit-il gentiment, en la prenant entre ses bras. Il déposa un baiser sur son front, et étouffa un rire. « C'est ce que j'aime chez toi… Ce comportement de vierge effarouchée… Me faire attendre… »
Hermione commençait à avoir mal à la tête. Vierge effarouchée ? Pourquoi Drago pensait-il qu'elle était vierge ? Mais elle n'avait pas la force de le corriger. Si elle lui disait la vérité, il lui poserait des questions sur son partenaire… Et parler, ou même penser à Harry était la dernière chose qu'elle voulait faire maintenant. Trop tard. Elle réalisa que Drago se baissait pour l'embrasser…
Elle ferma les yeux, et les rouvrit à nouveau, essayant de se concentrer… Des yeux verts la regardaient. Le visage d'Harry. Les lunettes d'Harry. Les cheveux d'Harry. C'était lui qui se baissait pour l'embrasser, et elle se laissa faire immédiatement. Mais dès que leurs lèvres se touchèrent, l'illusion se brisa et elle réalisa que c'était Drago, et non pas Harry, qu'elle embrassait. Elle essaya de rompre le baiser, mais il se mit à l'embrasser avec plus de force, la menant doucement vers le lit.
Pourquoi le laissait-elle continuer ? Pourquoi ne trouvait-elle pas la force de le repousser ? « Harry n'a rien à voir là-dedans… Il t'a abandonné. Il faut tourner la page, Hermione. Fais-le pour toi. Tu ne t'en remettras jamais si tu continues à repousser tous les hommes que tu rencontres… » criait une voix dans sa tête.
Drago l'embrassait dans le cou à présent. Une vague de dégoût la submergea d'un seul coup, et elle crut qu'allait vomir. Avec les dernières forces qui lui restaient, elle le repoussa et se releva, mais non sans trébucher.
« Je suis désolée, je ne peux pas… » murmura-t-elle, en se dirigeant à nouveau vers la porte.
Drago était tombé par terre, et la regardait avec un air confus et furieux.
« Tu ne peux pas partir… » s'exclama-t-il, en essayant de se relever. « Pourquoi tu me fais ça ? »
« Je suis désolée » dit-elle à nouveau, en tournant la poignée de la porte. Et elle l'était vraiment. Drago était quelqu'un de bien… Mais Harry était encore trop présent dans son cœur.
« Si tu sors de cette chambre, c'est fini entre nous, tu m'entends ! Fini ! » cria-t-il.
Hermione essuya une larme au coin de l'œil et ferma la porte derrière elle, laissant là Drago fou de rage.
Le lendemain matin, elle se rendit très tôt chez Ginny. Celle-ci était sur le point de partir au travail, alors elle ne l'invita pas à entrer. Hermione lui donna l'argent.
« Mon Dieu… Je ne pensais pas que tu en serais vraiment capable. » dit Ginny, clouée sur place par les 300 gallions dans ses mains. Elle s'en voulut pour la veille… Hermione lui avait vraiment donné l'argent… Comment tout cela était-il arrivé ? Il y avait encore quatre ans, elle était riche, et Hermione n'était alors qu'une pauvre née de moldus, qui avait à peine de quoi s'acheter une robe. Et aujourd'hui, c'était elle qui lui faisait la charité… Si Ginny n'avait pas été dans une situation aussi désespérée, elle n'aurait jamais accepté son aide.
Hermione ne fit qu'acquiescer. Elle aurait aimé que son amie arrête de la traiter comme une inconnue.
« Je te rembourserais. » déclara Ginny.
« Ne t'inquiètes pas pour ça. Rembourse moi quand tu pourras. » répondit Hermione. Elle aurait voulue serrer son amie dans ses bras, lui faire comprendre qu'elle était là pour elle, comme avant, mais l'attitude distante de Ginny la terrifiait.
« Bon… je suppose qu'on se reverra. » dit la rouquine.
« Je retourne en Espagne aujourd'hui. » Dit Hermione. « Mais tu peux m'écrire quand tu veux… ou alors si tu décidais de déménager…»
« Bon. Au revoir alors. »
En rentrant à l'hôtel, Hermione trouva un mot sur sa table à coucher.
« Chiquita,
Je suis vraiment désolé pour hier soir. Je n'étais plus moi-même. Je n'aurais pas dû te bousculer… Voilà, j'espère que tu ne me vas pas me jeter de ta vie, et que tu pardonneras au lourdaud qui te sert d'ami.
On se revoit à Madrid.
Je t'embrasse,
Drago Malefoy »
Hermione sourit. C'était tout lui.
L'après-midi, elle retourna à Madrid en se sentant beaucoup mieux. Elle avait atteint ses deux objectifs : retrouver ses parents et Ginny. Ses parents étaient morts, et elle ne pouvait toujours pas s'y faire, mais au moins elle avait pu aider son amie…
A/N : Après plus d'un an de silence de ma part, j'envoie enfin la suite de cette fic… Je suis vraiment, vraiment désolée. Je ne sais pas quoi dire. Le temps est passé si vite, et il s'est passé tellement de choses, que je n'ai même pas réalisé que j'ai fait exactement ce que je déteste : mettre plus d'un mois pour publier le chapitre suivant. Je m'en veux vraiment, et je comprendrais si certains ne lisent plus la suite, ou ont déjà lu la fin en anglais. Mais comme j'ai promis de finir cette fic, je vais m'en tenir à cette promesse.
J'ai un job pour 2 mois qui n'est pas très captivant, et ça m'a permis de m'y remettre. Vous pouvez remercier ma Boss hahaha !
Ah oui, et puis après avoir lu le Tome 6, j'avoue que ça m'a bien remis dans ma mania Potter ! Haha !
Le Saut de l'Ange : Encore désolée pour l'attente. Je ne sais pas si tu as essayé de reprendre dette fic finalement. En tout cas j'ai réalisé que j'avais déjà lu des fics de toi, et que j'avais beaucoup aimé, lol !
Et encore merci à Lana51, Stelmaria, Athenais, SuperSixtou, Nooky, Axoo, Hermidark, Arwen101, Hermione300, et Chibicall qui ont laissé des review pour le dernier chapitre, même bien des mois après sa publication ! Et pour tous les autres qui l'auraient lu ou laissé des review aux autres chapitres, merci aussi !
Bonne lecture à tous ! A très bientôt j'espère ! ;o)
