Bonjouuur ! Voici (enfin) le chapitre 4, j'espère qu'il vous plaira…

Merci à Violette ou ceresse(merci pour ta review ! Hé oui, je me suis dis qu'il préférait ne pas penser à la mort de sa mère et que… ça reviendra plus tard en fait…enfin voilà je suis super contente que tu sois 'accrochée' à ma fic, ça me fait plaisir ! bisous) et merci à laure (missi bcp ! désolée d'avoir mis du temps à poster la suite… le prochain chapitre arrivera trèèèès bientôt étant donné qu'il est déjà tappé et tt…bisous)


Chapitre 4

« Alors Dragounet, tu pensais vraiment nous échapper ? »

Je lançai mon pire regard noir à Parkinson. Mais quelle c cette fille. Elle pense que sil elle fait partie des Mangemort, elle sera mieux vue. N'importe quoi ! Elle est et restera toujours aussi moche et conne. Pauvre fille.

Bon Drago trouve vite un moyen de se débarrasser de ceux deux là. Ils ont pas la force d'une mouche. C'est à peine si j'ai pas les bras tout broyer.

« Lâchez-nous ! » gémit Granger.

« C'est ça Granger…Je te croyais pas aussi idiote ! Et déjà, qu'est-ce que tu fais avec mon Dragounet ? »

« Je suis pas TON DRAGOUNET ! » m'exclamais-je.

« Quoi ? Tu crois qu'il veut sortir avec toi, Parkinson ? » demanda Granger.

« On est fais l'un pur l'autre… N'est-ce pas Dragounet ? »

« Oui, dans tes rêves… » dis-je.

« Tu n'auras pas le choix. Une fois que je t'aurais ramené près de Papa Malfoy, il me laissera faire ce que je veux de toi… »

« Quoi ? Mais c'est vraiment n'importe quoi ! Et comment comptes-tu me ramener là-bas ? »

« Te ? Non non, Vous. Toi et Granger. Fallait pas être là…maintenant, t'assumes. »

« Non ! Vous ne l'emmènerez pas ! Il n'en est pas question. »

« Oh ! Comme c'est touchant… Tu t'es fait une nouvelle amie Drago… » dit-elle. « Tu crois qu'elle arrive à ma cheville ? »

« Ta gue… »

Je m'arrête dans ma phrase quand je reçoit un coup d'œil de Granger, qui me dit de m'arrêter.

« Ecoute moi bien le Pékinois », commença Granger, « je vais te dire les choses une bonne fois pour toute. Tu n'as aucunes chances avec Drago. Si infimes soient-elles… Alors, laisse tomber, ok ? Si ça te dérange qu'on soit ensemble, dis le tout de suite… Trouves-toi un petit gars sans cervelle, ça fera l'affaire. Tiens, Goyle, » dit-elle en se retournant vers lui, « tu voudrais pas sortir avec ça ? » demanda-t-elle en faisant un signe de tête à Parkinson.

J'essaye d'intercepter le regard de Granger pour lui dire qu'elle se calme, mais y a pas moyen, elle ne m'accorde pas un seul regard… On court à la catastrophe… Qu'elle la boucle…

« Ecoute moi bien Sang-de-Bourbe, je crois que t'as pas très bien compris. J'en ai rien à faire que tu sois avec Drago, de toute façon, dès que je vous aurez ramené, Lucius te tuera et il me donnera une récompense : épouser son fils, ici présent… Alors fait ce que tu veux de ce qu'il te reste à vivre sale garce… »

Non…non…c'est pas possible…me marier avec elle. JAMAIS. JAMAIS. Beurkkkkk. Plutôt mourir. Mais, c'est bien ça le problème, j'ai fuit pour ne pas mourir, et voilà que j'irais me jeter dans la gueule du loup… non, c'est pas dans mes intentions. Il faut trouver un moyen de s'échapper. Mais lequel ? Granger a réussit à faire avouer à Pansy une seule chose : les intentions de mon père.

« Faudrait pas rêver Pékinois. Je ne partage pas, moi. Je n'ai jamais dit que je te laisserai Drago. »

« Je t'ai pas demandé ton avis. »

« Moi, si. Alors, je te propose un marché. »

« Quoi ? »

« Affrontons-nous. »

« Ok. Mais si tu perds, t'as plus AUCUNS droits. Tu es condamnée. »

« Je sais. Mais si JE gagne, tu te maries pas avec. »

« Ça marche. »

Elle défit l'étreinte de Granger. Et elles se mirent face à face.
Granger me fait un clin d'œil puis porte son regard jusqu'à ma poche.
Ma poche ? attend Granger, je capte pas… elle insiste. Je suis son regard. Ma poche…LA baguette ! Je suis vraiment idiot ! Pourquoi je ne m'en suis pas rendu compte plutôt ?

Je fais en sorte que Crabbe et Goyle desserrent leurs gros bras, faisant mine de vouloir regarder la scène de plus près. Ils n'y voient aucuns inconvénients. Je suis toujours des yeux les deux filles qui se lancent des insultes. Diable, où donc cette Sainte ni Touche de Granger a-t-elle appris à parler ainsi ? Je glisse doucement ma main dans ma poche, et le plus discrètement possible, je la sort. Snas faire de bruit, je la pointe sur Parkinson :

« Stupefix ! » criais-je.

Elle n'a pas le temps de comprendre, sûrement l'effet de surprise.

Je fais la même chose avec les deux acolytes. Ils sont tellement stupides qu'ils ne réagissent pas. Tant mieux !

Je m'avance vers Granger et sans un mot, je lui prends la main pour t'attirer ailleurs. On se met à courir comme jamais.

Mais, à peine a-t-on tourné au coin de la rue que le pire reste à venir. Là, droit devant nous, Lucius est en train de marcher d'un pas rapide en jetant des coups d'œil ici et là. Il ne nous a pas encore repéré.

Instinctivement, on se plaque sur le côté, de façon à ne pas être aperçu.

« Qu'est-ce qu'on fait maintenant ? » me demande Granger.

Je voudrais tellement avoir un plan, quelque chose à lui répondre. Mais mon état de panique prend le dessus. Non, ne panique pas Drago. Il ne va pas te ramener là-bas. Tu ne deviendra pas un sale Mangemort.

« Il faudrait rentrer le plus vite possible chez toi. Es-tu prête à courir ? » dis-je.

« Je crois. »

« Dans ce cas, FONCE ! »

« Relève-toi. Allez Drago, relève-toi ! »

Je venais de trébucher sur un morceau de bois mort. Il fallait se dépêcher, on s'était fait repérer. Lucius n'était pas le seul rôdeur. Il avait ameuté toute la bande d'apprentis mangemort, sûrement à promettant une récompense de X Gallions d'Or.

Bien sûr, j'avais lancé des dizaines de Stupefix, de Jambencoton, de maléfice du saucisson… Mais, on n'avait pas été discret du tout. Toute la ville était au courant et croyait que c'était nous les méchants, puisqu'on avait une baguette magique. Mais, ils se trompaient ! Comment leur expliquer ?
On n'avait pas le temps…

« Relève-toi ! »

Je me relevai et recommençai à courir, ma vie en dépendait ; celle de Granger également.

« On…y…est…bien…bientôt…encore…un…effort. » disait-elle.

« Chut ! » ne t'essouffle pas pour rien.

On continua ainsi encore un quart d'heure. Mais, bientôt en vain. Au bout de la rue, un regroupement nous attendait. On était piéger. Il était trop tard. Inutile de rebrousser chemin, ils venaient de tous les côtés. On était encerclé.

Je sentis une pression sur mon bras. La main d'Hermione venait de se refermer sur mon bras. Elle pressait de toutes ses forces, au point que, après une minute à peine, je sentais des picotements. C'était ma faute. Jamais je n'aurais du l'entraîner là-dedans. Maudit sois-tu Drago Malfoy.

« Tu savais très bien que tu ne m'échapperais pas. Alors pourquoi avoir voulu tenter le diable ? » demanda une voix que je connaissais bien. Trop bien. « Il te suffisait de me dire OUI. Tu es tellement bête, tu préfères que je te soumette aux sortilèges de tortures plutôt que d'accepter ton destin… Hé bien, laisse moi te dire, Drago, qu'il te faudrait plus de puissance, plus de…volonté. » Cracha l'homme à la chevelure blonde. Mon père. Mon géniteur.

« Ce n'est pas MON destin. C'est TON choix. » Dis-je.

« Et alors ? C'est la même chose, non ? »

« NON ! » m'exclamais-je, alors que la foule de mangemort approuvait les dires de Lucius.

« Tais-toi. Emmenez-le. Je m'occupe personnellement de cette petite Sang-de-Bourbe… » dit-il en partant dans un rire gras, un rire tonitruant, un rire glacial.

Je sentis la main d'Hermione se raccrocher encore plus à moi. Comme si elle voulait m'arracher le bras. En temps normal, je ne l'aurais pas laisser faire, mais là…

« Non ! » implora-t-elle.

« Lâche-le. » Ordonna Lucius.

Elle n'eut pas le choix sous la menace de sa baguette qu'il m'avait repris.

« Allons-y ! »


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Voilàà ! J'espère que ça vous a plu, une petite review n'est pas de refu