Helloo tout le monde ! Vous allez bien ?

Si vous voulez savoir ma vie..bon allons-y : je suis en pleine période d'exam et je stresss comme une folle j'ai passer seulement 2 examens et bon disons que…hum le 2° était vachement dur et que voilà…

Je vous épargne quand même le reste qui ne doit intéresser personne…et je me concentre sur les reviews MERCI public (lol)

Violette : ahahaha rire sadike bien vu que j'ai bien fais d'être méchante avec Pansy elle est tellement bête loool Merci pour ta review et jte laisse lire le chapitre

Oceana-666 : loll merci merci rougit

malfoyhermy : la voilààààà la suite ;-) j'espère qu'elle te plaira ! bizoo

Rebecca-Black : yeah ! VIVA DRACO ! moi folle ? nan…

laure : helloo oui ça va merci ! tout a fait d'accord avec toi camarade ! Pansy est trop conne mdrrr…merci pour ta review et bizoooo

Chapitre 6

Le voyage était long…tellement long. On volait depuis plus d'une heure et demie. Et on n'était pas près d'arriver. Il faisait noir. Trop noir. Quelle heure était-il ? Quel jour était-ce aujourd'hui ? Ce séjour dans les cachots du manoir m'avait fait oublier tout. TOUT.

Mais où allait-on ? Poudlard, où es-tu ? Au nord ? Au sud ? A l'est ? L'ouest peut-être ? Bon Dieu… Il fait trop noir ! Comment espérer retrouver son chemin paris les nuages ? Le long des autoroutes, il y a pleins de petites boules lumineuses…si seulement je savais dans quelle direction elles vont.

Pas la peine de demander de demander des renseignements à Granger ; elle dort. Elle s'est endormie à peine quinze minutes après le 'décollage'. Puis je suis sûr qu'elle ne saurait pas m'aider. Personne ne saurait de toute manière. Oh ! Réveille-toi Granger ! Il me faut un peu de compagnie, il ne faut pas que je m'endorme. Sinon, on irait droit à la catastrophe. Non, tu ne veux pas te réveiller ? Tampis… Je vais continuer à me parler à moi même, enfin, dans ma tête. Et à écouter cette petite voix… Je sui sûr qu'on trouvera un jour Poudlard…le plus tôt serait le mieux…

Je ne sais pas pourquoi je me plains. Je n'ai aucune raison de me plaindre. J'ai réussis à échapper aux griffes de Lucius. Enfin, façon de parler…J'ai plutôt manipuler Parkinson… En parlant d'elle… Dire que il était moins une qu'elle me séquestre et viole… je rigole bien sûr ! Elle pourrait être la femme la plus puissante de cette terre, d'une façon ou d'une autre, grâce à sa stupidité, je me serais enfoui.

« Monsieur, dites-nous qui élirez-vous Miss 2005 ? Cette année ? »

Oui, je sais, je divague. Mais, franchement, même aujourd'hui, après autant d'années de « connaissance Parkisonnienne » je n'arrive toujours pas à comprendre comment cette fille fait pour être aussi…idiote. Y a pas moyen ! Sa mère et son père ont du abuser un peu de wisky pur feu à mon avis…

- T'ES CONNE PARKINSON ! MERCI, JE TE REVAUDRAI CA !

Voilà, c'est fait, il fallait que ça sorte !

- Mmmmmm

Ah merde, j'avais momentanément oublié Granger…

- AH !

Je lui demande ce qu'elle a poussé un cri aussi fort. Elle a quasi troué mes tympans.

- Ce que j'ai ? me demande-t-elle avec un rire ironique.

Elle pointe son doigt vers le bas.

- Voilà ce que j'ai !

- Zen Granger ! Je sais piloter, n'oublie pas !

- Et je peux savoir où on est ?

- Dans le ciel. Pas le 7° mais c'est tout comme non ? dis-je essayant de faire de l'humour.

- Ah très drôle !

Bah ! L'humour et Granger ça fait deux, je le savais…

- Dis-moi où on est !

- Comment veux-tu que je le sache ? Il fait noir…j'y vois rien…

- Quoi ? Tu ne sais pas où on est ?

- Dramatise pas… c'est pas la fin du monde. Dès qu'il fera clair, on se repérera facilement. Crois-moi…

- Mouais… dit-elle d'une voix très peu convaincue.

J'essaye de faire de mon mieux, et faut que Miss-Je-Sais-Tout critique ENCORE. Elle me gonfle cette fille.

- Tu sais que tu devrais me remercier ? dis-je.

- Ah oui ? On vole à au moins 3000 mètres d'altitude si ce n'est plus…

- N'exagère pas, on voit encore les réverbères là-bas. Dis-je en pointant mon doigt quelque part où il y avait de la lumière.

- Peut importe. On vole super haut ; j'ai le vertige. J'ai froid. J'ai faim. J'ai très soif. On est perdu. Mes parents ont sûrement lancer un avis de recherche… MAIS A PART CA TOUT VAS TRES BIEN DANS LE MEILLEUR DU MONDE. T'A RAISON JE DOIS TE REMERCIER.

- EXPLOSE PAS MES TYMPANS S'IL TE PLAIT GRANGER.

- HERMIONE. JE M'APPELLE HERMIONE !

- S'IL TE PLAIT HERMIONE EXPLOSE PAS MES TYMPANS. Dis-je en gueulant aussi fort qu'elle venait de le faire. Et puis juste comme ça, je viens de nous sauver la vie, alors la moindre des choses ce serait de me remercier, non ? Je te signale que ce soir au manoir, Voldemort devait venir.

Hermione ne répondit rien pendant quelques minutes.

- Quoi ? Vol…Voldemort… ? Il devait venir au manoir ? Mais… Co…comment t'as fait alors ? Pour t'échapper ? Et pour me trouver ? Je…désolé je savais pas, je…merci.

- Pas de quoi !

- Mais…comment ?

- Ça serait trop long à expliquer… Puis, je crois pas que t'as vraiment envie de le savoir.

- Non, t'as raison.

- Mais, toi, Granger, qu'est-ce qu'ils t'ont fait ?

On se parlait depuis plus de dix minutes maintenant. Mais, moi je ne m'étais pas retourné une seule fois. Il fallait que je regarde devant moi.

Elle ne répond pas.

- Granger ?

- Hermione ? demandais-je.

Sans succès. Bon je me retourne.

Elle pleure.

Drago Malfoy, ou comment faire pleurer les filles…

- Excuse-moi. T'es pas obligé de le dire. Je suis sûr que c'était aussi cruel que pour moi. Sinon plus.

- Peut-être. J'en sais rien. Je sais pas ce qu'ils t'ont fait.

- De la torture. Avec des sortilèges.

Elle ne dit rien pendant un moment.

- Oui, moi aussi ils m'ont fait subir des sortilèges de tortures.

Non, là, désolé Granger. Tu mens. Sur ce ton là. Tu mens…

Un frisson parcourut son corps. Il commence à pleuvoir. Comme s'il manquait plus que ça !

- J'ai froid. Dit-elle inutilement.

- Tu veux qu'on s'arrête ? proposais-je.

- Je sais pas si c'est une bonne idée… T'as une baguette magique ?

- Oui. Celle de Parkinson.

- Hein ? Pourquoi t'as sa baguette ?

- Longue histoire.

- Bon, si t'as une baguette, c'est bon on peut descendre. C'est justement une forêt…

- Quoi ? dis-je. Qu'est-ce que tu comptes faire dans la forêt ? Avec une baguette magique ?

- Un feu magique bien sûr ! me dit-elle,

Comme si c'était la chose la plus évidente du monde !

- Mais descends pas en piquée s'il te plaît… me dit-elle alors que j'inclinais déjà mon balai à la verticale pour aller plus vite.

. . . .

- Et nous revoilà à la préhistoire ! Comme si on avait trouvé rien d'autre. on aurait pu trouver un petit hôtel bien sympa… mais non, la forêt a ses avantages elle aussi……………………………

- Drago ?

- Oui ?

- Ta gueule.

- Oui. Heu quoi ? Non mais ça va pas ou quoi dans ta tête ? De quel droit tu m'insultes ? T'es vraiment gonflée toi !

- Oui, merci, je sais. Bon si tu pouvais trouver un endroit où il y a pas trop de bêtes sauvages.

- Aucun problème. Là, ça à l'air parfait ! dis-je en regardant un peu plus loin.

Une sorte de clairière aménagée.

- A mon avis des scoutts sont déjà venus ici ! C'est parfait !

Ouais, grâce à moi Granger !

Un petit banc à droite. Je fonce m'y asseoir. J'en pouvais plus. voler autant c'est pire que de marcher.
Et ça fait plus mal aussi. Enfin, à certains endroits surtout…

Granger m'a arraché la baguette des mains et s'occupe à faire un feu.

Une minutes à peine plus tard, des grandes flammes s'élèvent au centre de la clairière. Je fonce tout près. Ah que ça fait du bien ! Bénis soit-elle.

J'enlève ma veste. Elle était trempée. Mon pantalon y passe aussi.

- Granger enlève vite tes affaires, tu vas être malade si tu restes trempée.

- Ouais je te vois venir… sale pervers.

- Quoi ? m'exclamais-je.

- T'as très bien entendu !

Bon, d'accord, je dis pas non, mais, elle a pas le droit de me dire ça ! Tous les mecs sont des pervers… Mais ça serait embêtant qu'elle soit malade à cause de ça. Non ?

- Ecoute Granger, moi je dis ça pour toi, mais comme t'es trempée, c'est sur que t'arriveras pas à te réchauffer. Je me retourne et on en parle plus ! J'en peux rien moi si t'es pudique !

- Vaut mieux être pudique que d'être matée par toi. Je connais ta réputation à Poudlard…

- A oui ? Et qu'est-ce qu'on dit sur moi ? lui demandais-je.

Je suis curieux de le savoir. Même si j'en ai une vague idée.

- Pervers, n'hésite pas à sauter sur n'importe qu'elle fille du moment qu'elle est bien foutue ou qu'elle a une belle gueule. Dieu du sexe, mais ça, franchement, ça m'étonnerait, et…

- Répète Granger… dis encore… dieu du sexe ? On dit ça sur moi !

- Pas qu'un peu…

- Et toi tu dis le contraire ? Pfff qu'est-ce que t'en sais ?

- Tu connais pas cette phrase : ceux qui en parle le plus qui en font le moins. Je suis sûr que c'est ton cas !

- Très sympa je reconnais. T'as un don pour casser les gens toi. Attrape froid si tu veux, j'en ai rien à foutre, je ne vais pas tourner mon dos à une conasse dans ton genre. Crève de froid.

- Oui, ben là… répondit-elle.

Elle commença à enlever son pull, son t-shirt, ses chaussures, son pantalons et se rapprocha du feu.

Je suis sûr qu'elle a cru que j'aurais détourné mon regard. Ah non, faut pas non plus rêver. Une fille se déshabille devant moi. Je réagis comme n'importe quel mec. Logique non ?

Pervers ? Moi ?
Bah oui un peu…

Mais elle provoque aussi…

Elle me lance encore un regard noir.
Non mais…

- Voilà, t'es content ?

- Même plus ! dis-je avec mon petit sourire en coin.

C'est pas tous le sjours qu'on voit Hermione Granger en sous-vêtements…

- Maintenant si tu saurais métamorphoser ton pantalon en couverture… me dit-elle.

- Quoi ? Mais…je sais pas faire ça moi ! J'ai jamais appris ! C'est toi Miss Je Sais Tout, alors fais-le !

- Si je savais le faire, je ne te l'aurais pas demandé ! Gé-ni-al. Et maintenant, on fait quoi ? On reste à poil et on fait la samba ?

- On n'est pas entièrement à poil. Si ça te dit, tu peux t'y mettre…

- MALFOY !

- Je plaisantais…

- Garde ta perversion pour toi. Me dit-elle.

- Bon ben dans ce cas, on reste comme ça jusque demain. Il n'y a rien d'autre à faire. J'ai pas envie d'aller me promener dans cette forêt en boxer. Je crois que toi non plus.

- Non en effet. Et les habits seront pas secs avant longtemps… qu'est-ce qu'on va faire ? dit-elle d'une voix désespérée.

- Un truc pour se distraire. Quand on s'amuse le temps passe toujours plus vite. Dis-je.

- Ah oui et tu propose quoi monsieur le super intelligent ?

- Action ou vérité. C'est un jeu moldu donc tu connais.

- Oui, mais toi comment tu connais ?

- J'y ai joué une fois. Dis-je avec mon petit sourire. Ah mon éternel petit sourire…

Pervers ?

C'est pas moi qui l'ai dit…

C'est la petite voix… je vous jure c'est vrai !

- Bon, très bien. Puisqu'on a rien d'autre à faire…

Voilàà ! Aloooooors ? Bien ? Pas bien ? Nul ?