Auteur :ChtiteElfie
E-mail : :GW
Genre :UA, conte, Yaoi, Shonen ai enfin je crois réfléchi je crois.
Disclamer :Je déclare officiellement que les g-boys ne sont pas a moi TT
Note : j'y sais Réléna est jolie. Désoler mais dans un conte les princesses sont toujours jolies '. Mais j'ai essayé de me rattraper. Oh et puis vous verrez bien z'avez qu'a lire
Note2 :j'espère que se sera po trop confus comme fic, g fait ce que g put mais y a Shinny (pour ceux qui savent po c'est ma muse) qu'est un peu trop enthousiaste en ce moment coucher g dit èé va p'tête falloir que je la nourrisse moins --0
Note3 : … montre que c'est moi qui parle
§§§ : changement de lieu et/ou de temps
Conte des nuages
Chapitre 1
Un jeune homme entra dans la salle d'apparat du palais, en courant. Il ne devait pas avoir plus de 15 ans. Ses grandes ailes brunes indiquait qu'il était un guerrier tout comme ce qui l'habillait.
Il portait un surcot de cuir. Une bande de métal partait en haut à gauche de son torse pour finir en bas à droite de son ventre. Elle était conçue pour protéger le cœur du guerrier. Son pantalon moulait admirablement ses jambes finement musclées. Il ne devait pas être large au risque de gêner l'Angelin dans ses mouvements c pas nous qui allons nous en plaindre . Sur son front, une bande de cuir retenait ces cheveux pour qu'ils ne puissent lui tomber sur les yeux. Ses bras étaient entourés par deux épaisseurs de cuir pour que la corde de l'arc ne lui arrache pas la peau. Il avait pour office de chaussure des morceaux de cuir, enlacés avec des bandes de cuir fines.
Dans la salle se trouvait le roi. Le roi Darlian. Le roi qui va subir la guerre. A ses côtés sa fille. La princesse Réléna. Elle était entièrement de rose à part ses grandes ailes blanches et ses cheveux blonds morte de rire g imaginer Réléna avec les cheveux rose écrouler par terre. Elle était jolie et cela se verrait encore plus si son caractère s'y accordait. Elle était capricieuse et cela gâtait sa beauté. Pour l'instant, elle fixait le nouveau venu en battant des cils. Le roi se leva de son trône et observa un instant l'arrivant.
- Que se passe-t-il, pour qu'un Angelin vienne me voir avec tant d'empressement ? S'indigna le roi.
- Monseigneur, veuillez m'excuser de cette interruption mais je dois vous parler de toute urgence, répondit en soufflant le guerrier.
- Je vous écoute.
- Les armées du royaume des flammes s'approchent, commença l'Angelin. Elles vont attaquer très prochainement mon seigneur.
- Jusque là les Pyros n'ont jamais réussit à franchir nos frontières. Pourquoi y arriverait-il aujourd'hui ? Rétorqua le monarque.
- Sauf votre respect majesté, avant, nous avions les Alizés pour nous aider. Ce qui m'oblige à vous annoncé l'autre mauvaise nouvelle, le seul survivant de l'incendie est mort aujourd'hui, expliqua le jeune homme.
- Voilà qui est ennuyeux. Quand devrait arriver l'avant garde de l'armée ? demanda le roi, pensif.
- D'ici à ce soir, elle devrait se trouver à nos portes.
- Allez prévenir mes conseillers. Qu'ils se réunissent dans la salle de réunion ! Ordonna le souverain.
- Bien mon seigneur.
Le guerrier repartit vers la ville à la recherche des conseillers. Le roi demanda à sa fille d'attendre dans la salle d'instruction et d'en profiter pour apprendre ses leçons. La jeune fille partit tandis que le roi se dirigeait vers la salle de réunion. Il étala une carte d'Eolia juste comme ça, c le nom du pays ° et attendit les généraux.
§§§
Après avoir rassembler tous les conseillers, Heero retourna à la tour de guet. Il observa l'avancer de l'armée ennemie, Trowa à ses côtés. Eolia allait entrer en guerre après des années de paix. Les guerriers c'étaient toujours entraîner, mais seulement pour aider les royaumes alliés quand ils en avaient besoins. Eux n'avaient jamais été directement impliqués depuis des centaines d'années. Ils espéraient que la bataille ne ferait que peu de victime, même s'ils n'y croyaient pas vraiment.
Dans quelques instants les groupes de bataille allaient être formé. Un Séraphos, un Chérune et deux guerriers. Les ailés allaient être appelés dès l'âge de 15 ans. Ce qui faisait que Heero passait tout juste pour cette année. Les deux frères se demandaient avec qui ils allaient se retrouver. Heero savaient que son frère espérait être avec Quatre. Ils s'étaient avoués leur amour, il y avait deux ans. Et pourtant on aurait cru que c'était hier. Ils prenaient soin l'un de l'autre comme si c'était leurs premiers jours ensemble. Heero n'avaient pas encore trouvé la personne avec qui il voudrait partager sa vie. Il n'y pensait pas vraiment pour tout dire. Son frère avait l'air heureux, mais il préférait continuer à suivre les conseils de leur premier maître d'armes.
Toujours dans ses pensées, il entendit l'appel du rassemblement. Les groupes allaient être faits. Ils se jetèrent dans le vide déployant leurs immenses ailes, et planèrent jusqu'à l'air de rassemblement. Trowa aperçut son amant et passa le voir avant de venir rejoindre Heero. Un sourire long de trois kilomètres barrait son visage. Heero dû quelque peu traîner son coéquipier qui n'était toujours pas redescendus de son petit nuage. Ils se placèrent dans les rangs et attendirent qu'on les appelle.
Les groupes étaient formés pour faciliter les combats. Pendant que les Séraphos et les Angelins lançaient respectivement leurs sorts et leurs flèches, les Chérunes les protégeaient. Ceux-ci se trouvaient toujours au centre de la formation. Sans eux les autres se trouvaient sans défense et s'ils se plaçaient ailleurs, ils risquaient de gêner les tireurs.
Heero entendit son nom et s'approcha de l'emplacement qui lui était désigné. Trowa vint le rejoindre quelques secondes après. Les Angelins étaient tout d'abord répartit en groupe de deux et ensuite seulement les autres membres arrivaient. Ils durent patienter au garde-à-vous en attendant que tous les groupes fussent finit. Heero remarqua que son frère ne cessait de lancer des coups d'œil vers l'emplacement des Chérunes. Ce dernier pouvait être sur qu'un Chérune aux cheveux blond faisait de même de son côté. Mais Trowa devrait attendre. Les hommes aux ailes blanches venaient toujours en dernier dans les groupes.
Le commandant se mit à appeler les Séraphos. Heero et Trowa n'en connaissaient aucun. Ils n'avaient donc aucun un ami à attendre de ce côté. Ils entendirent le nom de Wufei Chang quand l'un d'eux se dirigea vers leur emplacement. Ils virent un Séraphos du même âge que Heero se diriger vers eux. Ses cheveux étaient aussi noirs que ses ailes. Ils étaient retenus en arrière par une petite couette. Néanmoins deux mèches ébène encadraient son visage fin. Ses yeux d'onyx exprimaient une farouche volonté de combattre et une fierté à toute épreuve. Les deux frères savaient que la dynastie Chang était l'une des plus anciennes familles d'Eolia et surtout que celle-ci fournissait les meilleurs Séraphos qui soient. Il était presque habillé comme eux. Les seules différences se situaient au niveau des mains et de la bande de métal au milieu du torse. Celle-ci était parcouru d'innombrable poche contenant divers ingrédient nécessaire à certain sort. Ça n'était pas comme certaine légende porte à le croire, de la fiente de chauve-souris ou des yeux de crapaud et encore moins des œufs de tritons. Ils s'agissaient en réalité de diverses plumes, minerais semi-précieux et de différentes herbes. Quant aux mains, elles étaient recouvertes de tissus pour ne pas brûler lors de lancement de sort d'énergie ou de feu. Ils virent le Séraphos s'arrêter devant eux. Les frères connaissaient son nom mais la réciproque n'étant pas vraie, se fut donc Heero qui parla le premier.
- Heero Barton Yuy, dit-il en baisant légèrement la tête.
- Trowa Barton Yuy, fit Trowa, les yeux scotché a la bande des Chérunes.
Le Séraphos les regarda surpris.
- Comment ce fait-il que vous ayez deux noms ? demanda-t-il surpris.
- D'après ce que nous en savons, notre mère refusait d'abandonnée son nom de famille excuse tout aussi bidon…, expliqua Heero.
- Je vois.
Aucune autre parole ne fut échangée. Ce qu'ils s'étaient dis suffisait largement. Quand on savait qu'on risquait de mourir le soir, il valait mieux ne pas trop s'attacher. Se fut enfin le tour de distribuer les Chérunes. Heero sentait à quel point son frère était nerveux. Wufei demanda ce qu'il avait à Heero, d'un regard.
- Il a son amant chez les Chérunes.
Wufei hocha la tête pour montrer qu'il avait compris.
Lorsque se fut leur tour de recevoir un ailé Chérune, une tête blonde bien connue des deux frères et plus particulièrement du plus grand s'avança. Le blond se dirigea droit vers eux. Ses vêtements étaient différents eux aussi. En premier lieu, ils étaient plus légers. La bande de métal était remplacée par trois de cuir. Ensuite ses bras n'étaient pas protégés et il ne portait pas de chaussure.
Il fallait que les Chérunes soit le moins alourdie possible, pour qu'ils se concentrent à la protection de leur groupe plutôt que sur la fatigue leurs ailes et de leur esprit. Etant donné qu'ils se trouvaient encadrés par trois autres ailés, ils ne risquaient pas vraiment d'être blessé. C'était plus de la prévention qu'autre chose. Il était donc préférable de leur faire porter le moins possible.
On voyait à la démarche du Chérune, qu'il se retenait à grande peine de ne pas courir. Quand il fut à la hauteur du groupe et qu'il fut sûr que plus personne ne le regardait, il se jeta au cou de Trowa. Celui-ci ne se fit pas prier pour l'enserrer à son tour. Heero les regarda, un peu exaspéré. S'il se comportait comme cela durant la bataille, ça allait mal se terminer pour eux. Heero regarda le Séraphos voulant savoir quelle était sa réaction face à cette démonstration de sentiment. Mais celui-ci avait son regard tourner vers l'infirmerie. Il n'y avait pas de blesser pour l'instant, mais tous les groupes devaient y aller pour passer un examen de routine. Car si l'un des membres avait un malaise durant la bataille, il mettait en danger ses partenaires. Heero remarqua qu'il avait le regard fixer sur une Chérune aux cheveux blonds torsadés et qui devait être bien plus âgé que lui.
Les Chérunes qui n'avaient pas de talent pour la magie défensive devenait médecin ou envoyer sur terre pour surveiller les activités des Pyros. Les Chérunes envoyer était très rare car les Eoliens ne voulaient pas que les terrestres découvrent leur existence. Ils se faisaient donc passer pour des envoyés d'une religion que les terrestres avaient inventée. C'était toujours ainsi. Les Angelins qui ne savaient pas se battre eux devenaient de simple serviteur, marchant, ou cultivateur, parfois messager. Il en allait de même pour les corbeaux. Heureusement pour cette décennie, il avait deux fois plus d'ailés doué dans leur catégorie que les siècles précédents. Peut-être qu'une sorte d'instinct collectif avait fait que les nouveau-nées se trouvaient doué dans leur catégorie.
Se fut à leur tour de passer à l'examen. Pendant tout le temps qu'ils étaient dans l'infirmerie, le Séraphos ne cessa de regarder le médecin en chef. Cette dernière n'avait pas l'air ennuyé par le regard du Séraphos. Elle lui lança même quelque œillade qui eurent le don de le faire rougir. Il savait qu'il ne devrait pas regarder cette femme de cette façon après tout, il était déjà marier. Mais il ne pouvait pas s'en empêcher.
Le médecin s'occupa personnellement de lui et mit plus de temps qu'il n'était nécessaire à la plus grand gène du Séraphos.
Quand l'examen fut enfin finit, ils leur restaient le début de la journée pour que les coéquipiers se mettent en accords les uns les autres. Ils prirent leur envole jusqu'au plateau d'entraînement.
Il s'agissait d'une montagne qui avait à la place de son pic un terrain plat et évidemment rocailleux. On pouvait imaginer, que si le pic avait été présent, il se serait perdu dans l'immensité de l'espace tellement le plateau était grand.
Le groupe des deux frères commença à s'entraîner. Tous se déroulait bien jusqu'au moment où ils virent une flèche se dirigée vers eux à toute allure. Quatre déclencha aussitôt un bouclier, pendant que les autres recherchaient le coupable.
Ils étaient impossibles qu'un Angelin ait pu viser aussi mal. Leur vue était accrue durant les combats ce qui leur permettait de voir un ennemi de très haut. Ils repérèrent très vite l'homme qui avait fait ça derrière un rocher. Ses ailes membraneuses et son visage couturé de cicatrice indiquaient qu'il faisait partit des Pyros. Et l'un des seigneurs à en juger par les bijoux fait de magma brûlant le recouvrant. Quand il vit qu'il était repéré, il déploya ses ailes de chauve-souris et s'envola vers Gaia. Malheureusement pour lui, les deux frères étaient rapides à la l'arc et ils eurent tôt fait d'engager une flèche et de la tirer. Le pyro évita la première mais la seconde transperça une de ses ailes. Il hurla de douleur, mais ne s'arrêta pas de voler pour autant. Wufei lança un sort d'attaque. Une boule d'énergie se dirigea droit vers le seigneur ailé. Il tenta de lui échapper mais celle-ci la suivait comme guidée par le jeteur qui l'avait lancé. Ce qui était la réalité. Dans une vraie bataille, ce sort ne pouvait être utilisé, mais dans la poursuite d'un ennemi, il était des plus recommandé. Les autres groupes ne s'étant pas rendus compte de l'histoire, croyaient que cela faisait partit de leurs entraînement et ne s'occupèrent donc pas de l'ailée au ailes membraneuses qu'ils prenaient pour une illusion.
Le Pyros fut enfin touché par la boule et alors qu'elle le consumait, il tira une dernière flèche. Celle-ci se dirigea droit vers un groupe dont le Séraphos était retourné vers le Chérune, laissant son dos à découvert. Il allait voir la flèche trop tard. Le seigneur ailé se mit à rire alors que l'énergie le consumait. Les frères et leur coéquipier n'avaient aucun moyen de prévenir le groupe à temps. C'était comme s'ils voyaient la scène au ralentit.
La flèche se rapprochait.
Elle se dirigeait droit vers le dos d'une femme aux ailes noires.
Elle n'était plus qu'à quelques mètres…
Trois mètres…
Deux mètres…
Ils sentirent Quatre se concentrer.
Celui-ci lança son sort alors que la flèche n'était plus qu'à un mètre de la femme.
Ses ailes arrêtèrent de battre et il commença à tomber.
Le sort se mit à courser la flèche cherchant à la rattraper.
Trowa se précipita vers Quatre alors que la flèche et le sort continuait leur course.
Quatre tombait et la flèche se rapprochait.
La Séraphosine tourna la tête pour voir la flèche et le sort côte à côte.
Elle n'eut pas le temps de réagir que le sort la frappa en premier.
Un bouclier s'activa et l'entoura juste avant que la flèche ne l'atteigne.
Cette dernière fut arrêtée par le bouclier juste quand Trowa piquait vers Quatre qui tombait.
Il replia ses ailes pour avoir l'aérodynamisme nécessaire au rattrapage de son amant.
Il le rattrapa juste avant qu'il ne touche terre.
Le Pyros hurla une dernière fois et mourut.
Tout le monde avait les yeux fixer soit sur le Chérune évanouis, soit sur la Séraphosine tremblante ou encore sur le tas de cendre, auparavant seigneur du feu.
Trowa ne prêta pas attention au regard poser sur lui et se dirigea vers l'infirmerie son amant dans les bras. Heero ne tarda pas à le suivre suivit de Wufei. Ils planèrent ensemble vers l'infirmerie. Et Trowa se mit à courir dès que ces pieds touchèrent le sol. Il entra en trombe dans l'infirmerie. Le médecin était le même que durant leur examen et dès qu'elle vit le malade, elle ordonna à Trowa de le poser sur un lit.
- Vous feriez mieux de sortir, ordonna-t-elle plus qu'elle ne le demanda.
- Je préfèrerais rester auprès de lui, ratorqua Trowa, inquiet.
- Il ne vaut mieux pas. Sortez, je vous appellerai plus tard.
- Mais… Supplia l'Angelin.
- Pas de mais, décréta la chérune.
En disant cela, elle poussa Trowa vers la porte. Ce dernier fut donc bien obliger d'obéir. Il attendit juste devant la porte. Une main se posa sur son épaule. Il sursauta et se retourna pour savoir pourquoi on le dérangeait. Il vit son frère.
- Je vais prévenir le roi de ce qui c'est passé, prévint Heero.
- Je reste, lui répondit son frère, presque en boudant.
- Je le sais. Je voulais savoir si tu avais besoins de moi, s'inquiéta mine de rien le plus jeune.
- Non ça ira. Vas-y.
Heero hocha la tête et marcha vers la sortie. Dehors Wufei l'attendait.
- Je viens avec toi, dit-il d'un ton qui n'admettait pas le refus.
- Pourquoi ?
- Pour la même raison que toi. A deux on racontera plus facilement l'incident.
- On y va alors, fit Heero.
Ils décollèrent ensemble vers le palais. Ils allaient mettre un certain temps avant d'y arriver, mais cela leur permis de se remettre les idées en ordre. Heero réfléchi à ce qui c'était passé. Tout d'abords, comment Quatre avait-il pu lancer un sort que seul les plus anciens savait maîtriser ?
Ensuite comment un Pyros avait-il pu venir si prêt d'eux sans que personne ne le remarque ? Et enfin, il se demanda s'il y avait d'autres Pyros qui se baladaient en toute liberté dans Eolia…
Si c'était le cas, la bataille était mal engagée pour eux. Ils avaient eu de la chance d'apercevoir la flèche aussi vite. Et encore plus de chance d'avoir pu repérer le Pyros et cela l'inquiétait au plus haut point.
Ils arrivèrent enfin au palais. Ils se posèrent et se présentèrent aux gardes. Ceux-ci ouvrirent la porte. Quand Heero eut posé un pied à l'intérieur, une chose rose et blanche lui sauta dessus. Il serait tombé en arrière si Wufei ne l'avait pas retenu. L'Angelin réussit à décrocher la Chérune de son cou. Celle-ci ne s'avoua pas vaincu et se réacrocha à son bras. Elle le regarda en battant des cils.
- C'est pour moi que tu es venu, n'est-ce pas Heero ? Commença la Chérune.
- Réléna… Tenta Heero.
- Oh ! Comme je suis contente ! Tu es si gentil d'être passer me voir.
- Réléna… Tenta-t-il a nouveau.
- Tu voulais que j'ai l'occasion de te souhaiter bonne chance avant de partir à la bataille n'est-ce pas ?
- Réléna… Essaya désespérément l'Angelin.
- Mais puisque tu es venu me trouver, tu n'as aucune chance de perdre. Je suis un porte-bonheur très efficace et…
- RELENA, finir-il par crier.
- Oui Heero ? dit-il en battant des cils.
- Lâche-moi.
- Pourquoi on est bien comme ça et puis...
- RELENA !
- Heero ?
- Je ne suis pas venu pour toi mais pour voir le roi, soupira-t-il.
- Tu veux enfin lui demander ma main ? Oh ! Heero ! Je suis sur qu'il voudra surtout que… fit la princesse en s'imaginant monts et merveilles.
- RELENA.
- Oui ?
- Je suis venu le voir à propos d'un sujet grave qui n'a rien à voir avec toi. Alors si tu voulais bien me lâcher que je puisse aller le trouver, reprit Heero, sentant la colère l'envahir.
- Pourquoi ? On peut y aller comme ça, répondit-il la Chérune avec innocence.
Heero abandonna et se dirigea vers la salle du conseil. Réléna n'avait toujours pas lâché son bras et si accrochait comme une sangsue. Wufei les suivait ne semblant pas se préoccuper de la chose rose accrocher à son coéquipier.
Ils arrivèrent à la salle du conseil après quelques kilomètres de marche à l'intérieur du palais. Quand ils entrèrent, ils virent le roi et tous ses généraux penchés sur plusieurs cartes. En entendant la porte s'ouvrir le roi releva la tête. Il fut surpris de voir un Angelin et un Séraphos devant lui et surtout, fut mécontent de cette interruption.
- J'espère que vous avez une bonne raison pour venir me déranger au beau milieu d'un conseil de guerre… Gronda-t-il de sa voix de ténor.
- Monseigneur, un Pyros a tenté de tuer deux des nôtres durant l'entraînement, coupa l'Angelin.
- Impossible. Si un Pyros avait été ici nous l'aurions su, répliqua aussitôt le roi.
- Monseigneur, ceci est pourtant vrai.
- Comment aurait-il pu venir jusque là sans être repéré ? Aucun n'a jamais pu passer la frontière sans se faire immédiatement repérer, s'impatienta le roi.
- Jusque là nous avions les Alizés pour nous avertir mais…
- Je sais, ils sont tous morts.
- Exact votre majesté, acquiesça Heero.
- Racontez-moi ce qui c'est passé s'intéressa le souverain.
- Bien votre majesté.
- Mais avant… Réléna tu montes dans ta chambre !
- Mais…Père… Supplia la jeune fille avec des yeux larmoyants.
- Je t'avais dit de rester dans la salle d'étude et tu m'as désobéis. Alors maintenant tu montes dans ta chambre et tu n'y bouges plus.
- Bien père.
Réléna était peut-être une fille gâtée avec un caractère exécrable mais elle savait quand il était temps d'obéir. Pendant que Heero et Wufei racontait l'incident, elle se dirigea vers sa chambre. Elle était tout de même contente que Heero soit venu. Et même s'il ne l'avouait pas, elle était sur qu'il était venu pour elle. Il avait seulement trouvé une excuse pour venir la voir. Il était si timide. Réléna rêvassa en pensant à son Heero.
Elle ne se rendit compte qu'elle c'était tromper de chemin, que lorsqu'elle trébucha. Réléna découvrit alors qu'elle se trouvait dans un secteur du palais qui était à l'opposer de sa chambre. Elle se dit que si son père l'apprenait, il risquait de ne plus lui autoriser à aller voir Heero. Elle se dépêcha de revenir dans sa chambre. Pour faire plus court, elle se dirigea vers la première fenêtre à sa disposition, l'ouvrit et s'élança dans le vide. Elle était gracieuse en vole, réussissant des manœuvres difficiles avec une élégance exceptionnelle, il n'y avait pas à dire. Mais son problème venait de son caractère et non de sa beauté ou de sa grâce. Elle fit le tour du château en volant et se dirigea vers le balcon de sa chambre. Lorsqu'elle passa sous un des arcs-boutants, elle se sentit tirer en arrière. Elle lâcha un glapissement, mais une main calleuse vint très vite clôturer sa bouche. La princesse se débattit et essaya de se libérer mais celui qui la retenait avait une poigne féroce. Finalement l'ombre en eut assez de voir la princesse se débattre et lui donner des coups de coude. Il décida de l'assommer.
La princesse royale Réléna Darlian s'évanouit. Le kidnappeur eut du mal à se reprendre quand les ailes de la princesse cessèrent de battre. Elle était mince mais elle pesait quand même, surtout avec le poids de sa robe, de ses bijoux et surtout celui de ses ailes majestueuses. L'être finit par reprendre son équilibre et s'envola au loin la Chérune dans les bras.
§§§
Trowa avait pu rentrer dans la salle pour aller voir son amant. Celui-ci était réveillé mais il semblait qu'il lui faudrait un peu de temps pour savoir enfin si, oui, le plafond était bien en haut et le plancher en bas. Trowa lui prit la main pour lui faire comprendre qu'il était là. Le Chérune la serra aussi fort qu'il le pouvait. Mais ça n'était pas énorme. Trowa posa un regard inquiet sur le médecin.
- Ne vous inquiétez pas. Dans une heure ou deux il sera comme neuf, l'assura-t-elle.
Rassuré Trowa retourna à la contemplation de son amour. Quatre commença à reprendre ses esprits. Quand il pu finalement reconnaître sa gauche de sa droite, il se tourna vers Trowa et lui sourit comme un gamin qui avait réussit un tour exceptionnel.
- J'ai réussit ! Trowa, j'ai réussit ! s'excita le Chérune, comme un enfant ayant réussit a piquer le choco.
- Quatre te rends-tu compte des risques que tu as pris ? lui dit Trowa, loin de partager sa joie.
- Mais j'ai réussi Trowa ! S'indigna Quatre.
- Quatre tu m'as fait une peur bleue. Ne me refait jamais plus un coup pareil.
- Maintenant que je sais que je peux le faire, je veux bien, répondit-il, tout câlin désormais.
Trowa l'attira contre lui. Quatre se blottit contre le torse de son Angelin. Ils restèrent enlacés jusqu'à ce que la porte s'ouvre. Heero entra suivit d'un Wufei furieux. Le guerrier le regarda surpris.
- Heero qu'est-ce qui c'est passé ?
- Le roi a fait comprendre à Wufei qu'il aurait été préférable d'avoir le Pyros vivant plutôt qu'en tas de cendre.
- Mais nous n'avions pas le choix. C'était ça ou risquer la vie d'autre Eoliens, fit Trowa, un peu choqué.
- Va-le-lui dire toi.
Wufei était réellement furieux de sa rencontre avec le roi. Quatre essaya de détendre l'atmosphère.
- Tu as vu la princesse Heero ? Demanda-t-il, pas si innocent que ça.
- Oui, grogna l'intéressé.
- Au fait je ne savais pas que la princesse avait un fiancé, dit Wufei surpris.
- Il n'y a qu'elle qui le sait Wufei, bougonna le plus jeune des frères.
- Pourtant elle est mignonne Heero, fit Quatre avec emphase.
- Je te la laisse si ça te fait plaisir Quatre.
- Et la séparer de son prince charmant ? Je ne suis pas aussi cruel Heero.
Heero se renfrogna et ne prononça plus un mot pendant que son frère, son ami et le Séraphos se tordaient de rire.
- Ça n'est pas drôle ! s'indigna l'Angelin.
Pour toute réponse il eut le droit à une nouvelle crise de rire. Il décida de changer de sujet avant que ses coéquipiers ne meurent d'asphyxie.
- Tu seras bientôt rétablit Quatre ?
- Oui ne t'inquiète pas. Dans une heure je serais de nouveau en pleine forme, répondit-il en s'asseyant.
- Bonne nouvelle.
Ils continuèrent a discuter et à plaisanter dans l'infirmerie le temps que Quatre se remette complètement.
A suivre.
Chtite : et une fic de revu une
Shinny : T-T
Chtite : quoi Oo
Shinny : t'as changé Réré T-T
Chtite : je l'ai rendu un peu moins cruche 0 mais je l'aime bien depuis moi éè
Shinny : T-T
Chtite : sinon la fic est partit en queue de nouille dans le chap juste après 0
Shinny : siffltoe
Chtite : --0 review please vv
