Auteur : ChtiteElfie
E-mail : ou :GW
Genre :UA, conte, Yaoi, 3x4, OOC
Disclamer :Je déclare officiellement que les g-boys ne sont pas a moi TT
Note : … montre que c'est moi qui parle
§§§ : changement de lieu et/ou de temps
Conte des nuages
Chapitre 3
Le soleil s'était levé depuis deux heures. La bataille était finit. Les Pyros étaient mis en fuite. On emmenait les blessés et on enterrait les morts. Il y en avait eut beaucoup pour une première bataille. Certains groupes, rare, avaient réussi à rester entier. Celui des deux frères en faisait partit. Les survivants partaient se reposer. Les deux frères et leur équipe aussi. Mais un messager les arrêta en vol.
- Le roi demande à vous voir, expliqua le messager.
- Peut-on en savoir les raisons ? demanda Heero, de méchante humeur à cause de la fatigue.
- Il a une mission à vous confier, fit l'Angelin en s'éloignant.
- Alors en route, grogna Heero.
Ils changèrent de direction pour aller vers le château. Une question était dans tous les esprits. Quelle mission devraient-ils faire ? Le messager ne leur avait rien dit. C'était étrange de leur confier une mission, alors que les batailles allaient désormais se succéder. Normalement le roi devrait vouloir avoir tous ses guerriers au combat pour protéger la cité.
Ils arrivèrent au palais et toutes les portes s'ouvrirent à leur passage montrant qu'ils étaient attendus avec impatience. Ils arrivèrent à la salle du conseil. Le messager fit la révérence et repartit. Le roi et tous ses conseillés regardèrent le groupe qui se sentait de plus en plus mal à l'aise. Quatre s'était rapproché de Trowa et sûrement que celui-ci devait se retenir de ne pas le serrer dans ses bras. Le roi finit par parler après quelques minutes d'observation.
- Vous avez été les meilleurs durant la bataille. Votre groupe fut l'un des seuls à rester entier, constat-t-il.
Aucun ne parla. Ils ne comprenaient pas que l'on veuille les éloigner de la bataille puisqu'ils avaient été si bons. On devrait plutôt les laisser se reposer en prévision de la prochaine bataille. Et pourquoi le roi commençait-il son discours de cette manière ?
- Vous avez du vous rendre compte que le combat ne c'est pas finit sans perte de notre côté. Nous ne pourrons pas tenir un an si tous se passent de cette façon à chaque fois. C'est pour cette raison que je veux vous envoyer dans une mission de dernière chance.
Il laissa un instant au groupe pour digérer la phrase. Le roi venait de leur dire que le royaume était perdu et que seul leur mission pourrait le sauver. Rassurant, très rassurant… Ils se demandèrent qu'elle pouvait être cette mission tout en s'inquiétant du fardeau qu'on allait leur confier. Le roi reprit la parole.
- Nous pensons mes conseillers et moi que si vous tuez le roi des Pyros les troupes seront démoralisées. Nous pourrions alors….
- MAIS LAISSEZ-MOI PASSEZ, JE VOUS DIS ! Cria quelqu'un dans les couloirs du palais.
- Mademoiselle, le roi est en grande conversation, tenta un pauvre hère.
- MAIS PUISQUE JE VOUS DIS, QUE C'EST IMPORTANT ! Hurla-t-elle a nouveau.
Les frères et leurs compagnons furent surpris par l'éclat de voix mais le furent encore plus en voyant la Seraphosine en furie qui entra dans la salle. Ses cheveux châtains en désordre et sa précipitation à rentrer la faisant passer pour une folle. Dès qu'elle fut entrée, elle se tourna vers le roi et sans plus de cérémonie lui parla.
- J'ai vu un Alizé durant la bataille ! Il était éloigné du combat mais un projectile m'avait poussé au loin. Il m'a rattrapé alors que je tombais. Je vous jure que c'était un Alizé,s'emporta la Séraphosine en voyant les regards compatissant qu'on lui lançait. Il en reste encore un en vie !
- Du calme mademoiselle. Quel est votre nom ? demanda un peu trop gentiment l'un des conseiller.
- Akaniko, mais… Essaya-t-elle.
- D'autre que vous l'ont-ils vu ? Demanda a nouveau le conseiller.
- Non il était trop loin, mais… Tenta-t-elle a nouveau.
- Qui à part vous a survécu dans votre groupe ? la coupa le conseiller.
- Je suis la seule, mais…
- Allons ! Il est normal de voir des choses qui n'existent pas après avoir perdu ses coéquipiers. Vous n'avez pas à vous en faire, cela passeras très vite, la rassura-t-il.
- MAIS PUISQUE JE VOUS DIS QUE JE L'AI VU ! JE SUIS SUR DE NE PAS AVOIR REVE ! S'énerva-t-elle, ses plumes gonflant sous la rage.
Tout le monde était surpris dans la salle et la regardait avec des yeux ronds. La Seraphosine avait haussé la voix sur le roi. De plus elle donnait vraiment l'air de ne pas avoir toute sa tête. Des gardes s'approchèrent lentement dans l'intention de la ramener à l'infirmerie. Elle s'échappa et continua à crier qu'elle avait vu un Alizé.
Soudain, Quatre s'approcha d'elle. Akaniko recula pas très sûr de ce qu'il allait faire.
- Je veux juste regarder quelques chose… Sur vos ailes, dit doucement le Chérune.
- Quoi ? se méfia-t-elle.
- Les Alizés laissent une fine poudre quand ils se sentent en danger et puisqu'il c'est enfuit selon vos dires c'est qu'il a dut avoir peur. Comme il vous a rattrapé, vous devriez en avoir sur votre dos, expliqua-t-il doucement pour calmer la Séraphosine en colère.
Akaniko se laissa faire. Elle était sûr de l'avoir vu et se demanda comment elle avait put ne pas y penser. Quatre c'était placé derrière elle et son visage exprimait une surprise incroyable. Il tenta de parler mais après plusieurs essais ratés, il fit signe au roi et à tous ceux qui se trouvaient dans la salle d'approcher. Tous se dirigèrent derrière Akaniko et tous furent surpris de ce qu'ils virent.
Les ailes noires étaient recouvertes d'une mince pellicule de poudre qui faisant briller ses ailes. Un sourire satisfait apparue sur les lèvres de la Seraphosine. Ils la croyaient enfin.
- Alors ? dit-elle avec suffisance pour le coup.
- Ne nous pouvons plus douter, s'inclina le conseiller.
- Mais cela change beaucoup de chose, réfléchit le roi, avant de se tournée vers le groupe des deux frère. Votre mission à changer, désormais vous devrez retrouver cet Alizé à tout prix. Mademoiselle vous a-t-il dit quelque chose ?
- Juste son nom, Duo. Après nous nous sommes fait attaquer et quand j'ai voulut lui parler à nouveau, il s'était enfuit, mais… s'arrêta Akaniko en baissant les yeux.
- Mais ? L'encouragea le roi.
- Il est descendu vers Gaia beaucoup trop rapidement, je ne sais pas s'il est toujours en vie, soupira-t-elle.
- Nous devons le retrouver et tant que je ne verrai pas son cadavre les recherches continueront. Je pense que nous pouvons encore tenir la cité quelques mois mais il faudra quand même vous dépêcher.
- Fais-je partit de la mission ? Espéra la Séraphosine.
- Oui je pense que cela vaut mieux, après tout, vous l'avez déjà vue. Vous partirez dans une heure quand vous vous serez un peu reposer. Vous pouvez disposer.
Le groupe et Akaniko firent une révérence et sortir. Quand ils furent en vol, Wufei se tourna vers la Seraphosine.
- Où penses-tu que nous devrions commencer les recherches ?
- Le mieux serait d'aller voir Catherine. Si un Alizé est sur Gaia, elle a dut en entendre parler.
- Tu sais où elle se trouve en ce moment Trowa?
- Elle devrait se trouver dans un village pas très loin au sud.
- Nous commencerons donc par aller la voir.
Puis ils durent se séparer pour rentrer chacun chez eux. Heero et son frère se dirigèrent vers la maison de l'ancien guerrier. Celui-ci là leur avait légué à sa mort. Ils parlèrent de la mission pendant le vol.
- Tu crois qu'elle saura, Trowa ? s'inquiéta le brun.
- Si quelqu'un doit être au courant c'est bien elle, rassura son frère.
- Tu as toujours autant confiance en elle sourit le plus jeune.
- C'est ma sœur spirituelle.
- Quatre risque d'être jaloux, se moqua Heero.
- Je lui ai déjà parlé de Cathi, lui répondit-il sans caché son amusement.
- Sinon, tu en penses quoi de cette Akaniko ?
- Et bien, elle avait raison et il est normal qu'elle se soit énervée, même si je n'aurais pas agis de la même manière, dit-il avec un soupçon de reproche.
- J'espère qu'elle ne fera pas trop de vague. S'il cet ailé a été élevé au milieu des humains, ça m'étonnerait pas qu'il se cache, réfléchit son frère.
- Possible accorda Trowa.
- Nous allons être obliger de nous montrer.
- Bientôt nous existerons plus si ça se trouve alors cela ne change pas grand-chose, répondit-il avec flegme.
- J'espère seulement qu'il ne s'est pas écrasé, soupira Heero.
- Je ne pense pas, répondit l'Angelin aux yeux verts pensif. Même s'il n'en a pas conscience, il doit utiliser une partie de ses pouvoirs de temps en temps. Ne serait-ce que par instinct de survie.
- Alors espérons qu'il l'a fait cette fois ci.
- Oui espérons.
Ils arrivèrent à leur habitation et montèrent directement se coucher. Il fallait qu'ils soient en forme pour la recherche.
§§§
Ils furent réveiller une demi-heure plus tard par des coups frapper à leur porte. Heero et Trowa se levèrent de mauvaise grâce. Ils ouvrirent la porte pour découvrir un messager. Encore un. Heero se demanda ce qui c'était encore passer. On avait découvert une famille entière d'Alizé? Non il n'était pas énervé, c'est juste que ça commençait sérieusement à le foutre en rogne tous ses changements. Le messager voyant la tête qu'il tirait se dépêcha de délivrer son message.
-Le roi vient de découvrir que la princesse Réléna n'était pas dans le château. Personne ne la vue depuis la bataille. Il vous demande de la rechercher en même temps que l'Alizé.
Puis il s'enfuit en volant. La tête qu'avait faite l'un des Angelin l'avait effrayé à un point pas possible. On n'aurait dit qu'il allait l'égorger sur place.
Trowa regarda son frère.
- Tu l'as effrayé, énonça-t-il.
- J'aime pas qu'on me réveil alors que je suis fatigué, grogna l'ours mal léché qu'était son frère.
- Maintenant, on a quelqu'un en plus à chercher.
- Qu'est-ce qui a put lui arriver ? demanda Heero en se retenant de détruire le mobilier sans défense.
- Un autre acte des Pyros peut-être. Après tout nous ne pouvons plus les repérer maintenant.
- Hn. Bon puisqu'on est réveillé autant aller manger, philosopha l'Angelin aux yeux bleus.
Trowa hocha la tête et ensembles ils se préparèrent leur repas.
§§§
Quatre trépignait d'impatience en attendant son amant. A côté de lui Wufei se mit à plaindre Trowa. Il regarda l'énorme sac que Quatre portait sur une épaule.
- Tu as emmené toute ta maison ou quoi ?
- Non, mais j'ai pris le nécessaire ou cas où l'un de nous serait blessé, fit en souriant le Chérune.
- Rien que le nécessaire ? répliqua Wufei en haussant un sourcil.
- Bah ! J'ai peut-être un peu exagérer mais je suis sur qu'aucun de vous n'aura pensez à prendre de quoi se soigner, répondit Quatre sûr de lui.
Toucher. Wufei n'avait pensé à prendre que son sabre et ses composants pour sort. Mais il faut dire qu'il avait été trop occupé à expliquer à Meiran que, oui, il devait partir et que non, il n'avait pas le choix, pour vraiment se préparer. Enfin il ne l'avait pas choisi et même si elle pouvait se montrer agaçante, il l'aimait bien.
Akaniko apparut dans leur champ de vision. Elle avait, elle aussi privilégié ses composants pour sort mais pour arme, elle avait choisi un bâton qui comportait un morceau ferreux aux deux bouts. Elle avait néanmoins pensé à la nourriture. Elle atterrit à côté d'eux.
- Les autres ne sont toujours pas là ? demanda-t-elle.
- Comme tu peux le voir, répondit Wufei avec hargne.
- Bah ! Qu'est-ce qu'il a little Séra' ?
Wufei n'eut pas le temps de répondre que les deux frères apparurent. Ils avaient chacun un arc et un carquois de flèche ainsi que deux dagues. Les faucons préférant utiliser la rapidité plutôt que la force. Ils avaient eux aussi prévue de la nourriture mais comme l'avait prédit Quatre, ils n'avaient pas pensé au nécessaire de soin. Dès qu'ils furent posés, Quatre se jeta au cou du faucon. Celui du ouvrir les ailes pour ne pas tomber en arrière.
- Pourquoi avez-vous mis si longtemps ? J'étais inquiet moi ! les morigéna le Chérune.
- Quatre nous n'avons que cinq minutes de retard, lui rappela Trowa.
- Et alors ?
Trowa abandonna devant le regard de « pure innocence » que lui jetait Quatre. Akaniko fut surprise un instant de les savoir ensemble. Puis elle l'est trouva trop « choupis ». Heero se dit que s'il devait attendre que ses deux là se lâche, ils en auraient encore pour longtemps à patienter. Il se rappelait une fois où ils étaient restés enlacé durant une heure sans bouger. S'il pouvait éviter de retenter un record cela l'arrangerait. Il se décida donc à interrompre la scène, si touchante soit-elle.
- En route, nous n'avons plus de temps à perdre, ordonna-t-il avec énervement.
- Quelque chose ne va pas Heero ? demanda Quatre.
- Je te dirais quoi en vol, répondit l'Angelin en serrant les dents.
Finalement, ils prirent tous leurs envolent voulant tous savoir ce qui avait changé dans leur programme. Trowa les dirigea vers le village où se trouvait Catherine et ils commencèrent une descente en douceur je rappelle que la montagne est très haute et qu'ils n'ont pas envie de se crasher à l'arriver °. Heero n'ouvris pas la bouche et Akaniko du le forcer un peu à avouer le problème.
- Et si tu nous disais ce qui nous vaut ton excellente humeur ! fit-il en espérant l'amadouer.
- …
- Mais encore.
- …
- Tu sais se serait plus facile pour nous de comprendre si tu ouvrais la bouche. On n'est pas télépathe je te le rappelle, tenta-t-elle une dernière fois avant de piquer une gueulante.
- On doit rechercher Réléna, dit-il en un souffle.
- Tu fouillerais un peu le palais, je suis sur que tu la trouverais, se moqua-t-elle.
- Je ne rigole pas nous devons la rechercher en plus de l'Alizé. Elle n'a pas été vue depuis le combat et personne ne la vue partir, grogna le brun.
- Il pourrait envoyer quelqu'un d'autre, bouda la Séraphosine.
- Surtout pas ! Une princesse doit être sauvé par son prince charmant, lança Quatre.
- Quatre occupe-toi de mon frère tu veux, fit l'Angelin aux yeux bleus sans desserré les dents.
- Ne t'inquiète pas pour ça je m'en occupe, sourit le Chérune.
- Mais réellement pourquoi n'envoie-t-il pas quelqu'un d'autre ?
- Parce qu'ils ne peuvent se permettre de dégarnir encore plus les rangs des combattants Akaniko, expliqua Trowa.
- Donc nous sommes reconvertis en sauveteur pour princesse en détresse…
- Hn.
- T'es causant quand tu t'y mets, toi !
- Accélérons.
Joignant le geste à la parole, Heero donnant un battement d'aile plus fort qu'avant et s'éloigna. Les autres le suivirent avec un train de retard.
- Ce qu'il peut être grincheux quand il s'y met, se plaignit la jeune Séraphosine.
- Il ne faut pas lui en vouloir Akaniko. La princesse ne cesse de lui tourner autour depuis la première fois qu'elle la vue. Je crois qu'il est devenu allergique au rose depuis, expliqua gentiment Quatre.
Tous éclatèrent de rire à part le premier concerné qui regardait obstinément les nuages.
Ils arrivèrent finalement en vue de Gaia. Ils commencèrent par entrevoir la prairie verte. Puis les maisons. Certains d'entre eux n'étaient jamais descendus sous les nuages et étaient impressionnés par la vision qui s'offrit à eux. Ils virent en derniers des personnes. Elles avaient le nez en l'air et les regardaient, certains surpris, d'autres à genoux et quelques-uns courant vers une maison. Ils atterrirent sous les regards les regards parfois effrayer, des villageois. Ils ne bougèrent pas ne voulant pas effrayer la population d'avantage et se doutant que certains étaient déjà partit aller chercher la Chérune.
Ils attendirent donc sans bouger jusqu'à ce qu'une Chérune brune aux yeux bleus s'approche d'eux en courant. Elle sauta au cou de Trowa c qu'il a du succès le Tro-man °. Celui-ci l'enserra un court instant, puis ils se séparèrent. Elle regarda Trowa droit dans les yeux.
- Tu sais que son fait longtemps que j'attends ta visite toi ! Tu aurais quand même pu venir plus tôt ! Bouda la jeune fille.
Elle avait prit une mine boudeuse et Quatre regardait son Trowa avec yeux de gentils-petit-chiot-qui-vient-d'être-trahis-par-son-méchant-maitre-et-qui-veut-bien-pardonner-contre-un-calin. Trowa s'approcha de Quatre et l'enlaça.
- Catherine, je ne suis pas la pour une visite de courtoisie, commença Trowa.
- Je comprends mieux pourquoi tu as emmené tant de monde. Que puis-je faire pour toi ? répondit-il sur un ton plus officiel.
- Nous recherchons un Alizé. La Séraphosine que tu vois là, dit en avoir vu un et nous en a donné la preuve.
- Ça n'était donc pas qu'une rumeur, murmura-t-il tandis que ses yeux s'écarquillaient.
- De quoi parles-tu ? Demanda Heero.
- Le bruit circule qu'un chevalier libre accompagner d'un étrange jeune homme aux ailes de papillon se dirige vers les montagnes. Il paraîtrait que ce dernier est poursuivi par Noin, confia-t-elle.
- Pourquoi n'as-tu rien dit à personne ? Et qu'est-ce que cette Pyrosine vient faire ici ? La questionna Trowa.
- Je te rappelle que nous les croyions tous morts, alors je pensais que ça n'était qu'une rumeur parmi tant d'autre. Et s'il y en a un en vie, ça n'est pas étonnant que les Pyros veuillent se l'accaparer.
- Sais-tu où il pourrait être en ce moment ?
- Que se passe-t-il là-haut pour que vous le recherchiez avec tant d'empressement ? s'inquiéta Catherine.
- La guerre a débuté très mal pour nous. D'ailleurs il va falloir que tu remontes. Ils auront besoin de tout le monde possible, lui dit Trowa avec tristesse.
- Je sais un messager est déjà venu me voir. Je faisais mes valises justement. Mais n'est-ce pas un peu tôt ?
- Le dernier…Ou plutôt l'avant dernier papillon est mort hier. Mais Catherine sais-tu où on pourrait se trouver cet Alizé ? C'est important !
- Si j'en crois les rumeur, il doit se trouver aux alentours de la forêt des milles ruisseaux, indiqua la Chérune.
- Merci. Aurais-tu entendus parler de la princesse par la même occasion ? Espéra-t-il.
- Il lui est arrivé quelque chose ? S'inquiéta Cathi.
- Elle a disparu, répondit froidement Heero.
- Non je n'ai rien entendu sur elle, je suis désolé.
- Tu nous as déjà beaucoup aidé Catherine merci, la rassura Trowa.
La Chérune lui fit un sourire radieux. Heero s'avança.
- Nous devons y aller.
- Bien sur. Trowa quand ce sera fini n'oublie pas de venir me voir. Si tu ne le fais pas je viendrais te chercher moi-même et tu le regretteras ! Je peux te l'assurer ! Menaça-t-elle.
- Je viendrais Cathi, c'est promis.
Ils décollèrent ensemble vers la forêt. Les Séraphos regardaient Trowa, ne comprenant rien à la scène qui venait de se dérouler sous leurs yeux. Trowa commençant à devenir nerveux à cause des regards lancés sur lui et se décida à éclaircir la situation.
-Catherine et moi nous connaissons depuis longtemps. Pas la peine de me regarder comme ça elle se comporte toujours de cette manière avec moi. Et Quatre cesse de me lancer ce regard de chiot abandonner, Catherine est comme ma soeur c'est tout, expliqua-t-il avant qu'ils ne s'imaginent des choses.
Le Chérune lui fit un sourire radieux en entendant la nouvelle et les Séraphos se mirent à observer le paysage plutôt que la tête de Trowa.
Dans le ciel deux Séraphos, deux Angelins et un Chérune volent vers une forêt qui recèle bien des surprises.
A suivre
Un pitit mail syouplait chibi eyes
Franchement je le trouve pas terrible ce chap. Alors si quelqu'un veux m'enoyer une review négatif qu'il ne se gène surtout pas moi du moment qu'on me prouve qu'on la lut et qu'on un avis dessus --°
11/07/03
