Auteur : ChtiteElfie
E-mail : :GW
Genre :UA, conte, Yaoi, 3x4, OOC, 1+2, 6+2
Disclamer :sont pas a moi
Muse : Shinny elle est méchante avec mooooiiiiiii TT elle me donne trop d'idée TT
Note : … montre que c'est moi qui parle
§§§ : changement de lieu et/ou de temps
Note2 : c'est la p'tite vrille qui redémarre , lalalalalalalala lalalala lalalalala
Seriel : Le roman de l'été m'aurait po déranger mais sinon les suite arrive aussi vite que je peut les écrire °
Shunrei : t'inquiète aucune que je les mette ensemble ces deux là la suite est avancé
Mely : en veux-tu en voilà la suite et comme tu le vois non ils vont po être obliger d'aller la sauver par contre je suis po sur que ma solution aille mieux °
Mitt : je sais que je suis sadique mais faire tabasser Heero par Duo…bon j'avoue je pourrais mais j'ai po fait enfin je crois --° la honte l'auteuse qui se rappelle plus ses fics nan sa m'étonnerais
Akaniko : plus besoins de me harceler la voilà la suite désoler g po put te mettre se coup si ° mais t toujours présente je te rassure et je tiendrais ma promesse de te caser avec lui
Désoler si j'en ai oublier °
Conte des nuages
Chapitre 5
Il tenait l'Alizé serré contre lui. Leurs ailes se mirent en mouvement. Ils s'arrachèrent du lac. Et montèrent toujours enlacé, haut dans le ciel. Les deux Ailés distancèrent les nuages et s'arrêtèrent. Ils se trouvaient au-dessus d'un tapis de nuages cotonneux. Haut dessus d'eux, ne restait que le ciel bleu et le soleil étincelant. Ils se regardèrent dans les yeux, leurs bouches se rapprochant. Elles n'étaient plus qu'à quelques centimètres, l'une de l'autre. Le jeune Angelin pouvait sentir le souffle de l'Alizé sur son visage. Il resserra un peu plus ses bras et fit un bond en avant. L'Alizé n'était plus là. Il regarda autour de lui, affolé. L'Angelin entendit un cri. Il venait d'en bas. Il plongea. De toutes ses forces, il accéléra vers gaia.
L'Angelin ne contrôlait plus ses ailes. Il tombait. Gaia se rapprochaient. Toujours plus près. Il ferma les yeux s'apprêtant à sentir le contacte dure du sol mais il ne le toucha jamais. La chaleur se fit sentir. Elle devenait de plus en plus oppressante. Encore le cri. Il ouvrit les yeux. Il tombait dans un puits sans fond.
La chaleur continuait d'augmenter. Le jeune homme poursuivait sa descente. Il entrait dans les entrailles de Gaia. L'air se faisait toujours plus chaud. Il lui brûlait les poumons. Toujours le cri.
L'Angelin tombait. Une lumière rouge. Il était arrivé au cœur de Gaia. Il allait s'écrasait. Plus que quelques mètres. Un violent courant le pris de plein fouet. Il le ralentit mais lui arracha presque les ailes. L'Angelin s'écrasa à terre. Celle-ci lui brûlait tout le corps.
Il se releva tant bien que mal s'aidant de ses mains ensanglantées à cause des brûlures. Le même cri. Plus proche. Il se dirigea vers la voix. C'était un appelle à l'aide. Le jeune homme marcha vers elle en boitant, sa jambe cassée lors de « l 'atterrissage ». Chaque pas lui coûtait. Sa gorge le brûlait. Ses mains lui faisaient souffrir le martyre. Mais cette voix qui l'appelait lui redonnait courage.
Il se rapprochait. Une cage. Des barreaux d'aciers. L'Alizé était à l'intérieur. Il l'appelle. L'Angelin n'entend pas ses paroles, il sait juste qu'il doit sauver l'Alizé. Il avance. Il s'accroche au barreau qui le sépare de l'Alizé. Leurs mains s'entre croisent. Leur visage se rapproche. L'Alizé s'écroule. Une mare de sang sous lui. L'Angelin n'en peu plus. Il se laisse tomber à genoux à bout de force. Il a tout perdu.
§§§
- NOOOOOOOOOOON ! Hurla quelqu'un derrière le Chérune
Quatre se précipita vers Heero. Il était couvert de sueur et ses pupilles étaient dilatées. Il tremblait de tous ses membres.
- Alizé… Crie… Cage… Mort… commença Heero les yeux dans le vide.
- Heero revient ! C'est finit ! Le cauchemar est terminé ! tenta de le rassuré le blond.
- Alizé… Mort… Vide… continua-t-il, perdu dans son cauchemar.
- Heero réveille-toi ! dit Quatre en secouant l'Angelin.
- Feu… Mort… Vide…
- L'Alizé a disparu, il faut aller le chercher ! Heero réveille-toi… supplia Quatre.
- Disparue… Feu… Cage… Mort…
- Heero, il n'est pas encore mort ! Aide-nous à le sauver ! Essaya le Chérune en espérant de toute ses forces que Heero reviendrait à la raison.
- Sauver ?
Il avait relevé les yeux. Il regardait Quatre avec tristesse.
- Plus le sauver… Mort… s'apitoya l'Angelin.
Quatre commençait à en avoir marre et décida d'y aller plus brutalement.
- Tu vas te réveiller oui ! Il mourra vraiment si tu ne réagis pas plus vite ! S'énerva le blond.
Heero le regarda abasourdis. Peu à peu, ces yeux redevinrent normaux, ses tremblements se calmèrent pour finir par s'arrêter. Quatre soupira. Il avait finit par le réveiller. Il avait été sur le point de désespérer. Il savait qu'il existait certain cauchemar dont on ne se réveillait jamais. Il s'était demander un instant si Heero n'en avait pas été victime. Mais il était revenu à la réalité et cela le soulageait énormément.
L'Angelin regarda à droite et à gauche se demandant où est-ce qu'il se trouvait. Il se releva lentement. Il se sentait comme dans du coton. Il n'arrivait pas à réunir deux idées claires. Sa vision devint floue et si Quatre ne l'avait pas retenu, il serait tombé par terre. Ce dernier posa sa main fraîche sur le front brûlant de Heero.
- Wufei !
Le corbeau s'approcha d'eux et il n'avait pas l'air d'être de la meilleure humeur.
- Tu saurais trouver des feuilles d'Elénia ? lui demanda le Chérune.
- Bien sur, grogna le mage.
- Alors vas en chercher ! Heero nous fait une poussé de fièvre.
Wufei partit en grognant dans sa barbe. Pourquoi c'était à lui d'aller chercher ça ? Bon d'accords il était le seul à connaître la plante et à savoir où la trouver, mais il lui aurait suffit de décrire et un autre aurait pu s'en charger ! Il n'était pas de mauvaise humeur non ! Seulement apprendre que l'on va devoir affronter l'un des plus grands Pyros existant à de quoi vous mettre les nerfs à fleur de peau. De plus, l'un des meilleurs guerriers tombait malade, l'Alizé leur avait glissé entre les doigts et ils allaient probablement devoir se coltiner un humain. Finalement si ! Il était de mauvaise humeur. Même massacrante l'humeur.
Il trouva enfin les fleurs d'Elénia. C'était une jolie fleur de petite taille. Elle avait le contour des pétales turquoise clair qui s'assombrissait vers le milieu. De petits pistils rouges sortaient de son centre. Il se baissa et les ramassa lentement faisant attention à ne pas arracher les racines. Il aimait les fleurs. Cela le calmait toujours d'en regarder une et aujourd'hui ne dérogeait pas à la règle. Il voyait en elles un petit miracle de beauté à chaque fois. Elles pouvaient être d'un grand secours et aussi d'un grand malheur. Les plus belle pouvait être dangereuse alors que les plus repoussante pouvait guérir tous les mots. Elles montraient toujours leur plus beau visage. Leurs pétales étaient doux et chacune était unique.
Soudain, il entendit un craquement derrière lui. Il se retourna brusquement mais il ne vit qu'une plume blanche tomber au sol. Il n'aimait pas que l'on le dérange dans la contemplation de ces merveilles.
- Quatre c'est toi ? gronda-t-il s'apprêtant a le réprimander sur son manque de confiance.
Nouveau craquement mais toujours aucune parole.
- Quatre ça n'est pas le moment de jouer à cache-cache !
Cette fois-ci, ce plus qu'un craquement. Comme le bruit, de quelqu'un qui tombe. Wufei se dirigea vers l'endroit présumé de la chute, sa mauvaise humeur revenant au grand galop. Si en plus le Chérune ne savait plus être discret, ça n'était même plus la peine de continuer. Il écarta les branches pour faire face à une vision qui le fit pâlir au-delà du seuil autorisé.
Devant lui se trouvait allonger par terre une colombe totalement rose exception faite de ses cheveux et de ses ailes. Elle avait du essayer de se confectionner un costume d'aventurière d'après des livres qu'elle avait vus mais en oubliant les choses les plus importantes. Au lieu d'avoir choisi dans des vêtements couleur passe-partout, elle avait pris un rose flashant facilement repérable en forêt. Elle avait du voir des livres sur les guerrières du désert car son habit ne cachait pas grand chose et elle le regrettait au premier froid.
Wufei du l'aider a se relever, son éducation l'obligeant à aider les femmes. Il s'approcha et se baissa pour la relever. Il manqua la relâcher lorsqu'il vit son visage. Il se demanda un instant si sa journée pouvait encore empirer. Lorsque la colombe fut enfin relevée, il se planta devant elle et la regarda droit dans les yeux.
- Puis-je savoir ce que sa « majesté » fait ici, dans ce bois, alors que nous sommes censés être à sa recherche, grogna le Séraphos.
- Veuillez me parler sur un autre ton, je suis la princesse royale Eolia ne l'oublier pas ! s'indigna la jeune fille.
- Aucune chance de l'oublier, mais maintenant que nous vous avons retrouvé, nous allons vous ramener tout de suite au palais, s'énerva le mage.
- Il n'en est pas question ! Tempêta la Chérune.
- Ça c'est ce qu'on verra !
Wufei avait oublié toute diplomatie. Il avait déjà assez de problème sans qu'il doive en plus transporter la « princesse » avec eux. Cette journée ne pouvait décidément être pire le tonnerre gronda et une pluie diluvienne s'abattit sur Wuffy. naaaaan v po lui faire se coup la quand même quoique….
§§§
Il était en sécurité. Des bras réconfortant autour de lui. Des ailes chaudes pour le réchauffer. Il ne connaissait pas l'Ailé mais il savait, qu'il était là pour lui. Cette chaleur. Elle est si douce. Elle augmente encore. Toujours plus chaud. Brûlante. L'Alizé s'écarte, mais il fait toujours aussi chaud. Ses poumons le brûlent. Il n'est plus dans le lac frais mais sur une terre aussi rouge que le sang. Elle lui brûle les pieds. Il tente de s'envoler mais ses ailes prennent feu. Il a mal. Des larmes acides lui coulent sur les joues. Il appelle à l'aide mais personne ne l'entend. Il a mal. La douleur est atroce. Il appelle encore et toujours. Personne ne lui répond. Personne ne l'entend.
La chaleur devient moins dure. Plus douce. Plus agréable. Des ailes dorées l'entourent. Il veut qu'elles restent. Une douleur dans sa poitrine. L'être devant lui s'écroule. L'Alizé tombe, le sang s'écoulant de sa plaie béante.
§§§
Duo se réveilla en sursaut. Il était couvert d'une sueur glacée. Malheureusement pour lui le cauchemar était presque identique à la réalité. Il faisait moins chaud mais l'air était quand même pesant. Il mit un moment à se remettre de son cauchemar. Il n'aimait pas particulièrement se voir mort. Il finit par reprendre une respiration un peu plus normale. Il se mit à regarder autour de lui.
Il se trouvait dans une chambre. Plutôt luxueuse à en juger par les tentures de soie et au mobilier en bois précieux. Le tout était décoré avec un mauvais goût incroyable. Le bleu turquoise assez sombre des murs contrastait grossièrement avec le rouge écarlate des rideaux.
Il était sur un lit aux couleurs orange et pêche. Les draps étaient là aussi en soie. Il remarqua alors qu'il était nu. La chaleur l'ayant empêché de faire cette constatation avant. Il se drapa d'un des draps et se leva. Il faisait tellement chaud qu'il avait du mal à supporter son vêtement improvisé. Finalement il se débarrassa du morceau de soie et s'enroula dans ses ailes à la place.
Il avait remarqué deux portes et se dirigea vers la première. A l'intérieur se trouvait une baignoire remplie d'eau elle aussi chaude, proche du bouillant. Il était encore couvert de la sueur, résultat de son cauchemar. Il décida donc d'en profiter pensant qu'il n'en aurait peut-être plus l'occasion. Il entra très lentement dans l'eau à la limite du brûlant. Il prit soin de garder ses ailes à l'extérieur, son cauchemar le hantant malgré tout encore un peu. Il se sentait un peu mieux. L'eau l'aidant contre la chaleur ambiante. Il somnola un instant. Sa tête bourdonnante d'image où un être aux ailes brunes le serrait contre lui. Il se rappelait la peau douce contre la sienne. Des plumes soyeuses contre son dos. Des lèvres tendres contre les siennes. Il ne savait pas pourquoi il avait tout de suite accepter d'être si proche avec cet étranger. Il sentait seulement au fond de lui, qu'il avait une destinée commune avec lui. Finalement, après s'être lavé soigneusement, il sortit de la baignoire et enroula ces ailes autour de lui.
En revenant dans la chambre, il eut la surprise de découvrir son lit fait, des vêtements étalés dessus et un plateau de nourriture sur la petite table à côté de la porte. Il commença par s'habiller. Le mauvais goût n'était par parvenu jusqu'aux habits heureusement. Après avoir enfilé le tout il alla se coiffer. La pièce comportait une coiffeuse avec tout le matériel nécessaire dessus, y compris un long ruban bleu nuit. Après avoir démêlé ses cheveux, il alla se regarder dans le miroir à pieds juste à côté. Le reflet lui renvoya son image. Duo fut surpris par ce qu'il vit. Il ne se reconnaissait pas.
L'Alizé portait une de chemise à manche bouffante noir avec par-dessus une veste sans manche qui ne se fermait que par une lanière au-dessous de la poitrine et qui faisait office de cape à l'arrière. Elle était violette bordée d'or. Il avait aussi un pantalon bordeaux dont le haut dépassait, serré par une ceinture, elle aussi or. Ces couleurs mettaient en valeur ses ailes et ses yeux qui semblaient briller d'une vie propre et faisaient ressortir la blancheur d'ivoire de sa peau. Pour finir, il avait coiffé ses cheveux en une longue queue. Le ruban s'enroulant autour telle un serpent. Il avait vraiment l'air d'être un chevalier habillé de cette façon. Le plus surprenant était qu'il s'adaptait parfaitement à lui et surtout qu'ils étaient fabriqués pour quelqu'un avec des ailes, de part les aménagements nécessaires essayer d'enfiler une chemise normale à quelqu'un qu'à des plumes je vous dit bonne chance --°.
Il se tourna ensuite vers la table où le repas encore chaud à cause de la chaleur de la pièce l'attendait. Duo hésita. Il n'était pas sur qu'il devait. Après tout il avait été emmené ici de force, la bosse sur son crâne le prouvait. L'Alizé était d'avis de ne pas y toucher mais son estomac ne semblait pas d'accord avec ça. Il alla donc chercher une chaise à côté du lit et l'approcha de la table. Il commença son repas très lentement puis finit par tout engloutir à une vitesse inimaginable. Il ne fut rassasier qu'une fois le plat vide. Il se leva donc et se dirigea vers la seconde porte.
En l'ouvrant, il tomba sur un long couloir. Le mauvais goût était aussi passer par-là. En plus du bleu et du rouge vif, un vert forêt prenait sa place sur le tapis qui parcourait tout le couloir. Il fut néanmoins ravi d'avoir quelque chose de doux sous les pieds. On n'avait pas jugé utile de lui fournir des chaussures et il ne pouvait déplier assez ses ailes pour voler dans un si cours espace. La hauteur était suffisante mais pas la largeur. Tout en marchant dans le couloir il nota quelque petit détail étrange.
Tout d'abords, les fenêtres avaient des barreaux. On n'aurait pu croire qu'ils avaient peur qu'il leur échappe. Ensuite il ne croisa personne même pas un garde. Et enfin les murs semblaient pulser autour de lui. Il n'aimait pas du tout cela. Il s'arrêta devant une grande porte en or massif. De grotesque dessin était gravé dessus.
On n'y voyait des humains déformés, des Ailés aux ailes lacérées, des ondines aux nageoires déchirées, des nymphes à l'allure torturée. Duo manqua vomir tout son repas devant cette vision. Des scènes de guerre et de torture venaient compléter cet horrible tableau. Il se demanda où est-ce qu'il avait bien pu tomber. La porte s'ouvrit d'elle-même, sans grincement. A l'intérieur une femme. Du moins une chose qui aurait pu passer pour une femme n'était ses ailes membraneuses, noires aux nerfs rouge sang. Ses yeux bleus brillaient d'une lueur malveillante. Ses cheveux, eux aussi bleu sombre semblaient être contre la discipline même avec leur façon de se rebeller vers l'avant. Elle portait pour tout habit une longue robe aussi noir que les ténèbres. Un sourire qui aurait voulut être bienveillant pris place sur son visage. Elle se leva et s'assit en face d'une harpe qui se trouvait non loin de là. Elle commença à en jouer. Un air sombre qui évoquait la déchéance, pris forme.
- Bienvenu dans ma demeure bel Alizé, dit-elle d'une voix profonde, un peu trop théâtrale.
Duo se dit que « antre » aurait mieux valut que « demeure ». Il frissonnait sous les sons grinçant qu'elle faisait de temps en temps sortir des cordes de sa harpe.
- Dis-moi ton nom bel Alizé !
Duo ne voulait pas lui répondre mais c'était comme si les vibrations des cordes de la harpe faisaient vibrer ses cordes vocales. Il tenta le tout pour le tout en faisant une chose qu'il détestait par dessus tout : mentir !
- So…Solo ! Dit-il d'une voix rauque.
- Appelle-moi maîtresse Noin, beau Solo, fit-elle d'une voix sans douceur.
- D'a…D'accords !
Se fut comme si l'une des cordes prenait vie. Elle s'échappa de la harpe pour venir le frapper de plein fouet au visage avec une force incroyable. Il s'écroula à terre sous l'impacte.
- Peux-tu répéter bel Alizé ? demanda-t-elle le regardant comme on regarda une pathétique tortue allongée sur le dos.
- Bi…Bien maîtresse Noin.
- Tu apprends vite, c'est bien. Maintenant dis-moi qui était cette personne dans le lac, demanda a nouveau, toujours en jouant de sa harpe.
- Je ne sais pas…Maîtresse Noin ! Fit-il désespéré.
Duo sentit le regard de Noin posé sur lui. Elle semblait regarder jusqu'au fond de son âme. Il sentit quelque chose se rebeller en lui. Il sentait cette chose remonter. Noin détourna les yeux pour revenir à sa harpe. Duo sentit la chose retourner au fond de son cœur.
- Tu es étrange bel Alizé, lança-t-elle.
Duo se tendit instinctivement.
- Tu embrasses le premier venu, sans raison. Tu es vraiment étrange beau Solo.
Duo aurait voulut courir le plus loin possible de cette femme et de cette musique ténébreuse. Noin se leva et s'approcha de lui d'une démarche sensuelle. Elle lui tourna autour puis s'approcha de lui par derrière. Il entoura son cou avec ses bras et lui chuchota à l'oreille.
- Tu te sens seul n'est-ce pas ? Je vais arranger ça.
Elle lui mordilla le lobe de l'oreille. Duo sentait la chose monter de nouveau en lui. Elle se faisait de plus en pressante. Noin était passé au cou de sa victime. Duo sentit la chose sortir.
Fin
AILLLEEEUUUUU
Missante Shinny TT
A suivre
Il est 6h52 et je vais bientôt partir en voyage et vi vous recevrez plus de fic de moi jusqu'au 20 Août normalement je sens que Shinny va faire la fête en Italie --° PIKOI A-T-IL FALLUT QUE J'HERITE D'UNE MUSE PAREIL TT hyper active et sugar highté 7/7 24/24 J'espère que ce chap vous aura plus et s'il vous plait me tuer po a cause des avance de Noin ° A pars sa Shinny a encore fait des siennes --° pourkoi faut-elle qu'elle me donnes des idée en pleine écriture de fic --° et pourquoi elle me fait vriller tout le temps TT l'est méssssssssanteeeeeee TT j'espère qu'elle se calmera un peu durant le voyage sinon j'aurais jamais assez de papier TT A+ TT quand même contente de partir
07/08/03
