cveAuteur : ChtiteElfie dit Chtite
Mail : : Gundam wing
Shinny : comme pour plus de la moitié de tes fics (sifflote)
Keimei : tu crois qu'elle bloque avec les autres série ? Oo
Shinny : na j'ai testé sur Weiss Kreuz --0
Chtite : (assome les bestioles)
Genre : tout et n'importe nawouak 0 pour ce chap beaucoup du nawouak vous fier pas au début j'ai pété un câble en cours de route lool
Keimei : j'suis pas dedans é.è (big bosse sur la tête)
Chtite : y avait pas dd'endroit pour te cas 0
Keimei : (bec qui tremblote) : OUIIIIINNN
Chtite : (assomme) faut pas vous y fier j'adore mes muses (câline les bestioles assomez)
Disclamer : Les perso sont pas a moi T-T Morty et Marilyn oui mais pas les g-boys T-T Akaniko s'appartiens a elle-même. Y a que les accessoire qui sont a moi
Conte des nuages
Chapitre 10
Si pendant les six mois qui suivirent les humains se rendirent comptent de la présence des ailées sur Gaïa, ce ne fut que lors de passages fugitifs lors de jour de grand soleil où aucun nuage ne venait troubler le ciel. Pourtant, d'énorme changement était en cour sur Gaïa. On disait que le roi avait changé, on disait aussi que les chevaliers libres avaient été déclarés hors –la loi. On disait aussi que des armées de démons allaient sortir de sous terre, et que c'était pour ça que tous les hommes en état de combattre étaient réquisitionnés. Les soldats étaient maintenant formés sur le tas, comme si une guerre proche était en vue.
Voila pourquoi en cet automne pluvieux et sombre de l'année des réalisations, personne ne souriait, et pourquoi tout le monde fermait plutôt deux fois qu'une sa porte à la nuit tombé. Voila aussi pourquoi chaque étranger était regardé avec suspicion, et s'il avait une seule marque du démon ; yeux vairons, cheveux roux, ou encore tache étrange, il était aussitôt brûler, condamner pour sorcellerie. Et tout enfant née avec ces mêmes signes se retrouvait donné au loup pour s'en débarrasser, et dans l'espoir d'éloigner les meutes.
Cette année là fut sombre pour tous les terriens, mais s'ils avaient pu regarder plus haut, s'ils avaient pu aller voir dans les cavernes les plus inaccessibles, sur les contreforts des falaises ou dans le creux de montagne immense, oui s'ils avaient pu, les terriens auraient vu une race presque exterminée, dont les seuls rescapés se comptaient en dizaine d'hommes et de femmes. Une race aux magnifiques ailes, mais une race déchue, presque entièrement détruite par ses mêmes démons qu'eux allaient bientôt devoir combattre.
Mais les ailés ne s'avouaient pas vaincue. Bien au contraire. Ils attendaient toujours, ils attendaient l'arrivés de leur sauveur. Ils attendaient l'arrivés de leur nouvelle souveraine. Et ils espéraient, mettaient tout leur espoir dans un groupe d'Ailé qui continuait de chercher…
§§§
- Heero, si tu ouvrais un peu plus la bouche, on pourrait peut-être savoir ou est-ce que tu veux qu'on aille, s'énerva Akaniko.
Heero regarda froidement la Séraphosine, semblant l'évaluer du regard.
- Lan-Koria, répondit-il toujours avec cette froideur qui désormais ne le quittait jamais.
La jeune femme du groupe fit du surplace un moment en se demanda si leur chef n'était pas dingue. Elle rattrapa le groupe et se mit juste devant Heero pour l'empêcher d'avancer.
- Dois-je te rappeler que Lan-Koria est une ville de terrien, mon cher ? fit-elle sarcastique.
- Quatre, se contenta de lui répondre l'Angelin.
La jeune femme se tourna vers le Chérune pour plus d'explication. Ce dernier lui fit un petit sourire mystérieux et maintenant qu'il connaissait la destination, partit droit vers la plus grande cité de Gaïa, suivit de Trowa, de Wufei, et de Heero qui passa sous la Séraphosine.
- Sont tarés, grogna-t-elle dans sa barbe inexistante.
Ce ne fut qu'une fois arrivé qu'elle connue le fin mot de l'histoire. Ils s'arrêtèrent dans la forêt la plus proche de la cité. Dès furent à terre, le Chérune les mis en ligne dos à lui. Il emprunta quelques ingrédients à un Wufei réticent et commença une incantation. Akaniko sentit aussitôt d'étrange picotement lui parcourir les ailes. Puis se fut comme si elles étaient engourdies. Sensation très désagréable, qui finit par des fourmis dans les ailes, encore plus désagréable, mais qui bien heureusement, s'arrêta très vite. Elle se retourna, et découvrit Wufei en train de faire la même incantation, bien qu'un peu plus maladroitement sur Quatre. Elle vit avec étonnamment les ailes blanches du Chérune disparaître petit à petit, comme si diverses voiles tombaient sur ses ailes pour les rendre invisibles. Elle voulut regarder ses propres ailes, mais ne vit rien. Ou plutôt, elle vit la forêt qu'il y avait derrière elle.
C'était assez déconcertant pour un ailé qui depuis l'enfance avait l'habitude d'apercevoir le bout de ses ailes quand il regardait derrière lui, et qui soudain voyait juste le décor. Ça créait une sensation de… vide. Aucun mot ne désignait mieux se qu'Akaniko ressentit quand elle regarda dans son dos. Heureusement, elle les sentait toujours, sinon elle aurait probablement piquée une crise. Pour sa défense, tout le monde semblait perturber par se changement. L'autre chose dérangeante de la scène, fut de voir ses coéquipiers soudain sans plus aucun plumage, alors qu'elle les avait toujours vu avec. Akaniko se força à regarder, non pas derrière chaque ailée, ç'aurait encore pire, mais à côté.
- Wufei, tes yeux, ordonna le jeune leader.
Aussitôt le Séraphos se jeta un sortilège, et donna à ses yeux habituellement d'un noir abyssale une couleur un peu plus humaine marron foncé. Ils avaient déjà remarqués que les yeux de Wufei faisaient paniqués certaines personnes. Trop noir leur avait gentiment expliqué un habitant de Gaïa un peu moins impressionnable que les autres.
Ils avaient déjà échangé leurs vêtements éoliens pour des habits plus terre-à-terre lors d'une recherche dans la montagne aux ermites. Ils avaient découverts un peu étonné qu'être habillé de vêtements identiques à ceux des terriens les rendait un peu moins peureux. Les Ailés n'avaient toujours pas compris pourquoi…
- Faite attention malgré tout, les prévint le jeune blond, tirant Aka de ses pensées. Nos ailes sont désormais invisibles mais on peut encore les toucher. Il faudra donc les garder le plus haut possible pour évité que quelqu'un ne les touche. Et resté au milieu, il serait dommage de buter contre une enseigne, finit-il très sérieusement.
- Pourquoi n'utilisons-nous pas un sort d'intangibilité ? grogna Wufei.
- Personne n'a jamais réussis à se resservir de ses ailes après, réplique le Chérune.
- Mais se seraient plus prudent.
- Mais on risque de ne plus pouvoir retourner voir les nôtres.
Les deux magiciens se foudroyèrent des yeux.
- Pas de sort. On doit pouvoir fuir en volant à tout moment, trancha l'Angelin aux yeux bleus.
Il se mit ensuite en marche sans regarder si on le suivait ou pas. Il doit penser que quelque soit la situation nous le suivrons toujours, songea la jeune femme. Et le pire c'est que c'est vrai…
Ils durent marcher près d'une heure, entourée de champs, s'incliner plusieurs fois devant un quelconque capitaine, maréchal, ou prince et durent aussi marcher sur le bas côté pour laisser place à des troupes de soldats. Mais ils finirent par arriver à la ville.
Tous regardèrent les remparts avec une certaine admiration, militaire ou esthétique. Lorsqu'on volait haut dans le ciel, la vue était complètement différente de lorsqu'on marchait. Le plus petit château vu d'en haut devenait une impressionnante forteresse à terre. Plusieurs citadins les regardèrent moqueur, pensant que c'étaient de pauvres paysans sortant de leur bourgade paumée, qui venait chercher protection dans leur magnifique cité. Mais les Ailés faisaient fi des regards moqueurs, voir pour certain, s'en fichèrent complètement. Ils se mirent à la file, derrière tous les autres qui espéraient entrer dans la cité.
Ils se demandèrent bien ce que le garde allait leur demander pour le passage, car en voyant tous les hommes qui finalement n'entrait pas dans la cité et repartait tête basse, il fallait croire que la cité n'était pas accessible à tous.
Ce fut Wufei qui trouva le fin mot de l'histoire, remarquant que tous les refusés semblaient pauvres et sans le sou.
- Droit de passage, expliqua le Séraphos.
- Tu ne vas pas t'y mettre toi aussi ! s'offusqua sa compatriote. Vous ne savez pas faire des phrases complètes ? Sujet-verbe-complément, c'est quand même pas difficile !
- Tu parles assez pour quatre alors je ne vois pas le problème, répliqua aussitôt le sorcier.
Akaniko lui tira la langue et bouda pendant tout le reste de l'attente en pestant contre un « little Séra' » sans cœur, faisant enragé davantage Wufei. Leurs voisins les regardèrent un moment en se demandant si les deux étaient en couple ou non. Le problème ne vint pas de l'intérieur de la file d'attente et donc des voisins curieux, mais de l'extérieur.
Un groupe de soldat mené contraint et forcé par leur capitaine rentrait dans la cité pour équiper les hommes enrôlés de force, et malheureusement pour les Ailés, le capitaine remarqua très vite le groupe. Aussitôt l'homme mit pied à terre, s'avança droit vers Heero et le regarda dans les yeux. Mauvaise habitude de l'Angelin oblige, il ne pu s'empêcher de répondre à se regard rien moins que guerrier. Le capitaine passa ensuite à Trowa, qui se contenta de lui renvoyer un regard vide. Wufei lui le regarda avec rage, furieux qu'on l'ait tiré de ses pensées sur l'égorgement des Séraphosines. Le capitaine lança ensuite un regard dédaigneux sur Quatre, puis un autre tout aussi dédaigneux quoique un peu intéresser sur Akaniko. Il regarda à nouveau Heero Trowa et Wufei.
- Vous trois, à la file. Je ne sais pas comment vous y avez échappé, mais vous voila de brave soldat de Gaïa, fit le capitaine d'un ton qui n'admettait pas le refus.
Akaniko s'étouffa dans sa salive, tandis que Quatre regardait les trois guerriers inquiets. Heero et Trowa semblaient le prendre plutôt bien quoique le regard de Heero ne promettait rien de bon, mais Wufei… On avait l'impression qu'il allait sauter à la gorge de l'orgueilleux.
- Qu'attendez-vous ? demanda le capitaine, méprisant.
Wufei était sur le point d'attaquer l'homme armé, quand Heero s'avança et alla rejoindre l'arrière de la file, suivit de son frère. Le Séraphos les regarda un moment, déstabilisé, puis pestant contre « ces foutus Angelins stupides qui n'expliquaient jamais rien », il alla les rejoindre. Le capitaine content d'avoir trouver une nouvelle prise et fière de son « charisme », entra en se pavanant dans la cité, les hommes juste derrière lui se prenant toute la boue que son cheval leur envoyait en marchant dans les flaques.
- Pourquoi Heero lui a obéit ? s'étonna la Séraphosine.
- Je n'en sais rien, mais il devait savoir ce qu'il faisait. Enfin j'espère, murmura-t-il, inquiet pour son amant.
- Et nous on fait quoi ?
- Heero m'a remis l'argent du groupe, avec ça on devrait pouvoir entré et après…
- On recueille des infos bien au chaud dans une auberge ? proposa avec espoir Akaniko.
- Pourquoi pas, acquiesça le blond en souriant.
- Yatta !
- Mais on a encore un peu attendre avant, fit Quatre dans l'espoir de calmer la jeune femme qui se voyait déjà au sec, les pieds au chaud, avec un repas fumant sous le nez.
- Rabat-joie…
Quatre lui fit un sourire d'excuse et ils attendirent. N'ayant apparemment pas de chance, il se mit à pleuvoir, trempant les deux ailées qui ne pouvait se protéger de leurs ailes, et qui avait d'ailleurs bien du mal à caser ces dernières. Ils ne pouvaient pas non plus les mettre en hauteur sinon ils protègeraient quelqu'un de la pluie et ça risquait de faire louche, de plus, de l'eau gouttant de nulle part ç'était encore plus suspect. Ils durent se résoudre à poser leurs ailes dans la boue. Quatre surtout eut du mal à l'accepter. Imaginant ses belles ailes toutes blanches tremper dans la boue…
Heureusement, ils mirent peu de temps à arriver devant le bureaucrate. Ce dernier les toisa un moment, fronça le nez à la vue des vêtements sales et détrempés, et leur demanda mécaniquement deux pièces d'argent pour l'entrée, apparemment certain que les deux pauvres hères n'avaient pas de quoi payer. Akaniko qui avait réussit à s'emparer de la bourse, sortit les deux pièces en demandant si c'était tout.
- Raison de la visite ? demanda le bureaucrate, les yeux scotchés à la bourse apparemment bien pleine.
- Nous cherchons des amis, répondit Quatre avec son sourire d'ange.
- Vous êtes déjà venu ?
- Non monsieur, répondit le blond légèrement désespéré en voyant Aka jouer avec la bourse et l'avarice du garde.
- Vous pouvez rentrer, dit-il en ordonnant au garde de laisser le passage.
Les deux ailés entrèrent, levant leurs ailes et les collant aux murs déjà humides et crasseux. Passés plusieurs portes, le vacarme puis l'odeur leurs sautèrent dessus. Le vacarme de la foule qui grouillait dans les rues, et l'odeur de moisi du à la pluie ainsi qu'une autre que les deux Ailés préférèrent ne pas identifier. Ils levèrent à nouveau leurs ailes le plus haut possible, se rendant vite compte qu'avec cette foule, personne ne s'apercevoir de gouttes d'eaux retenues. Akaniko et Quatre était un peu perdu dans cette foule. Jamais leur ex-grande cité d'Eolia n'avait ressemblé à ça. Celle-là était tellement… Etouffante. Tout le monde était serré, les bâtiments souvent construis et reconstruis à la va-tant-que-ça-tient, penchaient sur la route, rendant les Ailés légèrement claustrophobe.
Sans compter les cris qui fusaient de partout et de nulle part sans raison apparente, les assourdissants. Aka qui avait déjà repéré trois pickpockets dans la foule, resserra les cordons de sa bourse, puis finalement, garda carrément une main dessus. Quatre essayait de se repérer dans cette marée grouillante, mais sans résultat. Finalement, le Chérune pris le poignet de son amie, et fonça avec elle dans une ruelle. Dès qu'ils furent au calme, les deux Ailées soupirèrent.
- Comment on trouve une auberge là-dedans ? demanda Akaniko en regardant les différents enseigne qui se balançait au gré du vent.
- Je vais demandé à quelqu'un.
La magicienne regarda sceptique son ami entrer à nouveau dans la foule. Il tenta plusieurs fois d'interpeller quelqu'un, mais les Ailés était naturellement plus petits que les terriens, et Quatre était considéré comme un poids plume chez les Eoliens. La seule personne que Quatre réussis à accoster le regarda avec des yeux noirs. Le Chérune retourna à l'abri de la ruelle.
- Et maintenant ? Demanda gentiment Aka.
- On suit la masse et on entre dans la première gargote qui ressemble à une auberge, soupira le blond.
Ils retournèrent donc dans la foule, se tenant la main pour évité de se retrouver séparé. Ils avancèrent un bon moment en direction du château avant d'arriver dans un quartier plus tranquille et moins… marron. Le seul problème c'est que maintenant on le regardait avec dégoût. Leurs vêtements y étaient probablement pour beaucoup vu qu'ils étaient les seuls à porter des tuniques de lin beige et marron, et qu'ils étaient sans chaussures, tandis que les habitants de ce quartier étaient tous habillés de coton, de soie et de velours.
Ils repartirent aussitôt en arrière, et à la première enseigne avec une grappe de raisin ils entrèrent, et découvrirent avec joie une auberge raisonnablement propre. Ils s'assirent à une table proche du feu, heureux de pouvoir enfin se réchauffer. Très vite une serveuse au décolleté impressionnant vint prendre leur commande. Akaniko demanda un morceau du cochon qui dorait sur la broche et dont l'odeur la faisait baver d'envie et du pain, Quatre préféra un bol de bouillon en espérant que ça lui éviterait d'être malade. Le tout avec une carafe de lait, n'ayant pas franchement envie de tester l'eau, se doutant quel venait de la pluie, et le vin ne les tentant pas.
- Oh joie, oh bonheur, oh extase, déclara Akaniko une fois la serveuse partit. J'ai cru qu'on n'y arriverait jamais.
Quatre n'eut pas le temps d'en dire plus, qu'une femme bien en chair arriva en poussant des « oooh » et des « ah », avant de prendre Quatre contre elle et de le serré de toute ses forces. Akaniko regarda la scène, se demanda si elle devait en rire ou s'en inquiété, jusqu'à ce qu'elle fut « kidnappée » par deux serveuses qui l'emmenèrent dans une seul où l'attendait un bain chaud. Se retenant de s'agenouiller devant l'objet bénit, elle voulut remercier les serveuses mais ces dernières étaient déjà partit. Aussitôt, Aka se débarrassa de ses vêtements et plongea avec délectation dans l'eau brûlante, un sourire béat sur les lèvres. Elle aurait préféré manger avant, mais ça pouvait attendre encore un peu. Un peu beaucoup même.
Elle prit le savon qui l'attendait bien gentiment sur le bord de la baignoire, et commença à laver ses plumes. Chose pas spécialement simple quand on ne voyait pas les plumes. Une fois qu'elle pensa avoir laver entièrement ses ailes, elle se rallongea dans bain, étalant complètement ses ailes dans la pièce, et mijota.
Elle aurait pu y resté des heures, si la femme qui avait « câliné » Quatre n'était pas entré et sans égards pour sa pudeur lui avait lancé une serviette après avoir regardé son corps.
- Allez mignonne lève-toi. Toi et ton petit frère avez dû en voir des méchantes. Mais ne vous inquiétez pas, je vais m'occuper de vous ! Sourit la bonne femme. Allez debout ! Voila, maintenant sèche-toi ma fille ! J'ai retrouvé des vêtements de mes filles, il devrait être à ta taille, même si tu es un peu maigrichonne. Enfin, c'est déjà bien que toi et ton frère soyez en vie. C'est toujours la même chose pendant les guerres, les hommes partent se battre et les femmes se retrouvent seules à devoir s'occuper de tout ! Tu es si maigre, mais je vais te remplumer tu vas voir ! Je vais m'occuper de vous comme de mes enfants. Et mes pauvre fils qui on du aller s'engager… Quel malheur ! Et s'ils mourraient sur le champ de bataille ? Demanda la femme les yeux embués de larme.
- Heu… Oui madame, essaya timidement Akaniko, caché derrière sa serviette, complètement au large.
- N'est-ce pas ? Oh mais ne m'appelle pas madame ! Appelle moi Marilyn, c'est mon prénom ! Sèche-toi n'ai pas peur, je ne vais pas te manger. Oh mais je parle, je parle… Je m'occupe de ton frère va, ne t'inquiète pas pour lui et prends ton temps pour manger…
La femme partit sur ses mots. La Séraphosine resta bouche bée, l'eau gouttant sur le sol, avant que quelque chose que la femme avait dit ne la frappe.
- Petit frère ? S'étonna-t-elle mi-choqué, mi-amusé.
§§§
- Soyez fière ! Bientôt vous serez la fierté de notre nation ! Soyons bon à l'entraînement, et votre statut sera meilleur ! débitait l'entraîneur au jeunes gens qu'il était censé entraîner, et qui pour l'heure, tentait de donner des coups d'épées en bois à leur partenaire qui essayait de faire de même.
L'instructeur s'arrêta un instant pour regarda les hommes, et ce qu'il vit le désespéra. Aucun ne emblait savoir se servir d'une épée. Pour l'instructeur, il était clair que la moitié de ses hommes fuirait à la première occasion et que l'autre moitié serait tué à la première charge. Il vit du coin de l'œil qu'on lui amenait de nouvelle recru.
- Continuer comme ça ! et ceux qui n'auront pas mis leur adversaire à terre iront dormir le ventre vide ! Cria-t-il avant de partir vers les nouveaux arrivant.
- Essaye de faire quelque chose de ceux-là Morty, lança le capitaine en montrant les hommes qu'il amenait.
Puis il repartit, sans plus s'occuper de l'avenir de ses hommes qu'il avait arraché à leur famille. Morty regarda les nouvelles recrus, et à part trois qu'il repéra aussitôt à leur maintien, il savait déjà que tous les autre finiraient comme la fournée précédente.
- Pour commencer tout le monde me fait trois tours de terrain et au pas de course ! Cria l'instructeur devant les regards horrifiés de presque tous les nouveaux.
Ledit terrain devait bien faire milles mètres carré, et tous les nouveaux hésitèrent, enfin presque tous. Un petit brun nerveux partit au quart de tour, suivit d'un autre brun plus grand, et finalement d'un troisième gars aux cheveux noir un peu trop pâle à son goût, qui semblait être en permanence en colère.
- Qu'est-ce que vous attendez pour faire comme eux ! Cria l'entraîneur aux autres recrues qui hésitaient un peu trop.
Puis il observa. Il remarqua que les trois premiers courraient rapidement, un peu trop pour ce qu'il avait demandé, mais leur état à l'arrivé leur apprendront à économiser leur souffle. Les autres par contre trottinaient lentement, et il du les menacer pour qu'ils accélèrent un peu. Malgré tout, les deux bruns et le pâlot arrivèrent avec un tour d'avance, à peine essoufflés.
Il les laissa se reposer le temps que les autres arrivent. Puis il forma des paires, lançant une épée de bois à chacun. Il pris garde à séparer les trois gars.
- Quand j'en donnerais l'ordre, vous attaquerez votre adversaire et tenterez de le mettre à terre ! cria l'instructeur. Allez-y ! Tenez votre arme haute ! Visez les points vitaux ! Le cœur ! L'abdomen ! Ne don… s'étrangla-t-il en voyant que les trois gars avaient déjà mis à terre leur adversaire sous les regards admiratifs et effrayés des autres recrues.
Il ne faisait plus aucun doute qu'ils n'avaient rien à faire avec les soldats de base…
A suivre …
Chtite : agnaaaaaaaaa yeux de hamster shooté
Shinny : l'a l'air fatigué tu trouves pas ?
Keimei : y a eut pire
Shinny : t'as raison
Chtite : agnaaaaaaaa... review please XX
