Auteur : Chtiteelfie dit Chtite
Mail : : Gw le seul et l'unique
Genre : tout et nawouak 0 beaucoup de fantastique
Disclamer : des persos je n'ai que les accessoire T-T Les g-boys ne sont malheureusement pas a moi ( a veux Duduuuuuuuuulle !) et Aka s'appartiens a elle-même 0
Conte des nuages
Chapitre 10
- Trois bières ma jolie, lança un client à une serveuse aux cheveux châtains.
La serveuse alla chercher les commandes et les amena à la table. Elle fit ce qu'elle put pour ne pas faire attention aux regards que lançaient les hommes à son décolleté, bien qu'un sort de combustion spontané lui venait naturellement à l'esprit.
Cela faisait déjà une semaine qu'Akaniko servait les clients et elle commençait à en avoir plein le dos. Entre les regards pervers que lançaient les hommes sur son corsage lorsqu'elle se baissait pour servir les plats, les tapes « amicales » sur les fesses, et les attentions « si généreuse » de Marylin… Elle espérait fortement que son calvaire prendrait vite fin. La Séraphosine regarda à nouveau vers l'entré dans la taverne, espérant voir Heero et les autres arriver et la sauver de ce cauchemar. Dire qu'à chaque repas, elle devait déployer des trésors d'imagination pour convaincre Marylin que, non elle n'avait pas besoin d'une deuxième parts, oui elle avait bien mangé tout son repas, non le chien n'avait pas grossis, pareil pour le chat, et les plantes n'étaient pas en train de mourir !
Elle se rassurait en se disant que c'était pire pour Quatre… Le pauvre… Dès que Marylin l'avait vu, elle avait décidé d'en faire « son petit bébé rien qu'à elle ». Quatre avec donc toujours la femme sur ses talons, le gavant comme une oie (le pauvre n'avait pas de chien à qui refiler ses repas), le faisant crouler sous les habits « tout mignons choupinets », remplis de dentelles, froufrous et autres fanfreluches. Et pire que tous, il devait supporter d'être présenté à toutes les amies de la tavernière.
Pourtant, le pire, ils devaient le supporter ensemble. Tous les soirs, un coin de la taverne était réservé aux femmes « correctes » du quartier. Et tous les soirs, elles se réunissaient dans ce coin pour broder, et forcement, Marylin obligeait ses filles à les accompagner, ainsi qu'Akaniko et Quatre. Akaniko pour apprendre les travaux nécessaires à l'entretien de son mari et de ses enfants quand elle en aura, et Quatre pour être admiré et chouchouté par toutes les femelles du quartier.
Akaniko regarda avec angoisse la pendule. Logiquement, Marylin allait très bientôt l'appeler pour lui demander de les rejoindre. Elle essaya de se faire la plus petite possible, frôlant les murs allant très discrètement prendre les chopes de bière au comptoir. Si elle l'avait put, elle serait rentrée dans un trou de souris. Mais jamais Marylin ne pourrait oublier la pauvre orpheline qu'elle avait si gentiment recueillit…
- Bettie, viens par ici ma chérie, appela la tavernière.
… et rebaptiser.
Gémissante, Akaniko alias Bettie, s'approcha du groupe de femme au fond de la taverne. Marylin lui pris son tablier et lui donna en échange son matériel de broderie. Elle fut obligée de s'assoire parmi les femmes et commença plus que maladroitement à coudre. Il lui semblait que l'aiguille faisait exprès de l'attaquer. Mais comme elle avait déjà des pansements à tous les doigts…
Puis se fut l'arrivé du petit prince. Quatre en habit froufroutant arriva. Il semblait malade, et avait un teint légèrement jaunâtre, néanmoins personne ne sembla le remarquer. Il s'assit directement à côté de sa « sœur » et comata un moment. Dès que l'attention des femmes du quartier fut détournée d'eux, Akaniko regarda inquiète son ami.
- Tu n'as pas l'air bien, constata la jeune fille.
- Malade… gémit le blond, une main sur le ventre.
- Ça ne peut plus durer, dis-lui que tu ne te sens pas bien, fit Aka très inquiète à cause du teint bilieux du Chérune.
Ce dernier la regarda avec un air désespéré et suppliant. Il avait déjà voulut dire à Marylin qu'il devait y aller, qu'il ne voulait pas abuser de sa gentillesse, etc… Mais cette dernière semblait ne prendre en compte que l'avis de sa soi-disante sœur, laquelle n'avait pas une minute à elle, entre le travail à la taverne, le ménage des chambres, de la grande salle, les courses au marché, la broderie, ses cours de chants, la présentation au bon parti de la ville… En bref, elle était déjà surmener, et si Quatre avec un teint jaunâtre, le sien s'approchait plus du vampire. Dès qu'elle voulait demander quelque chose à Marylin, cette dernière semblait penser qu'elle s'ennuyait et l'envoyait faire d'autre tache.
- Si seulement, je ne devais pas utiliser ma magie tous les jours pour nos vêtement, soupira le Chérune.
- Et moi la magie autre qu'offensive n'a jamais été mon truc…
- Aka, si on reste plus longtemps je vais finir aussi rond qu'une pomme, pleurnicha Quatre qui pensait déjà à ce que dirait Trowa s'il le voyait ainsi.
- Et moi je vais mourir de fatigue, chouina la Séraphosine pourtant capable de survivre plusieurs jours seule dans la forêt sans vivre ni eau.
- Ecoute, si d'ici à la fin de la semaine on a toujours aucune info, je m'en vais à tire-d'aile, décida le blond, tout en se demandant si ses ailes supporteraient son nouveau poids.
- Alors prions, soupira Akaniko, se demanda si revoir Zechs valait autant de sacrifice.
§§§
Wufei, Heero et Trowa s'en tiraient mieux que le Chérune et la Séraphosine. Trois jours après leur arrivé, on leur avait fait passer des tests de niveau, et ils étaient désormais lieutenant des armes à cheval pour le Séraphos et des armes à pied pour l'Angelin aux yeux vert, et capitaine des armes à pied pour Heero, leur prédécesseur ayant été promus dès l'arrivé de personne enfin capable de les remplacer. Bien sur, tous les soldats récemment recrutés les admiraient en espérant pouvoir faire comme eux, tandis que les anciens semblaient vouloir les tuer pour avoir pris la place qui leur revenait de droit, par leur ancienneté. C'était d'ailleurs la raison pour laquelle les trois Ailés vérifiaient toujours sous leur oreiller avant de dormir.
L'un des avantages à être sous-officier 1, était les chambres individuels. Très pratique quand il s'agissait de renouveler un sort ou pour s'habiller sans avoir à expliquer l'étrange façon de mettre ses vêtements. Wufei commençait à bien réussir la couture par sort maintenant… Le plus dure pour eux, était de ne pas se servir des ailes dans certains cas, comme lorsqu'ils voyaient qu'ils tombaient ou que la pluie leur tombaient dessus et qu'ils avaient la possibilité de s'en protégé sans le pouvoir. C'était un travail de tous les instants que de cacher ses ailes par temps de pluie. Pour Wufei encore cela allait, il lui suffisait de plaquer ses ailes contre son cheval, mais pour Trowa et Heero, c'était beaucoup moins simple, mais ils se débrouillaient.
Pour l'instant, les trois Ailés mangeaient dans le mess, en se demandant quel était cet évènement que tout le monde semblait attendre avec impatience.
- Nouvelle armement ? proposa Trowa pas franchement convaincue.
- Je dirais plutôt retour d'un héros. Et avec notre chance, il va nous détester, fit Wufei, pessimiste convaincue.
- Aucune chance les gars, leur lança le sergent Morty en s'asseyant à côté d'eux. Le capitaine Merquise est trop sympathique pour ça. Je ne l'ai jamais vu détesté quelqu'un. Et en six mois il a acquis la même popularité que les anciens chevaliers.
- Merquise ? Demanda Heero en haussant un sourcil.
- Ouaip, Zechs Merquise, le Capitaine Zechs Merquise ! Je suis déçu que ce ne soit pas moi qui l'aie découvert, mais à vous trois vous le valez presque, répondit Morty sans se rendre compte à quel point il venait de vexé Wufei.
- Il est si célèbre ? Demanda Heero l'air de rien.
- Tu rigoles mon gars ? Tu dois vraiment venir du fond de la campagne pour pas le connaître, s'étonna le sergent instructeur. En fait, avant c'était un chevalier libre, mais il a rejoint l'armée quand c'est devenu illégal. J'suis sur qu'il ne l'aurait pas fait s'il n'y avait… Ça, finit-il d'un air conspirateur.
- Ça quoi ? demanda Wufei n'osant croire à ce qui allait être un vrai miracle.
- Ça c'est ce qu'il transporte avec lui. Personne ne sait pourquoi ni exactement ce que c'est. Certains disent que c'est un démon qu'il à capturer et qu'il amène avec lui pour montrer sa force. D'autre disent que c'est un jeune garçon qu'il a décidé de sauver d'une grande malédiction !
- Quelle malédiction ? Demanda Trowa cette fois.
- Il parait qu'il a des ailes. Quels seraient immenses et noirs comme les ténèbres. Il aurait même des cornes selon certain. Et le Capitaine Merquise l'aurait endormie pour ne pas qu'il se rende compte de l'horreur qu'il est devenu ! Enfin pour ceux qui pensent que c'est une malédiction. Les autres disent que si le démon se réveille, cela voudra dire que les siens approche et qu'ils vont attaquer. Comme ça, le capitaine Merquise sera prévenu, et il les tuera tous ! finit avec fierté Morty. Mais le roi n'aime pas qu'on lui parle du capitaine, personne ne sait pourquoi…
- Mh, répondit sans se mouiller Heero, réfléchissant à toute vitesse. Il arrive quand ?
- Demain matin, fit tout sourire le sergent instructeur.
- Comment faire pour aller en ville ? essaya Wufei, pensant recevoir des reproches plus qu'autres choses.
Morty les regarda un moment, comme les évaluant. Les trois Ailés continuèrent de manger sans se préoccuper de cette inspection.
- En générale les gars attendent le week-end pour se trouver de la compagnie, répondit finalement le sergent instructeur avec un sourire complice.
Wufei manqua s'étouffer avec son petit déjeuner. Il était un Séraphos honorable que diable ! Comment pouvait-on imaginer des choses pareils sur son compte ! Il regarda furieux le sergent qui se sentit tout petit pour le coup.
- J'ai deux amis dans cette ville, lança glaciale le mage en colère, essayant de réprimer la magie qui commençait à crépiter autour de lui.
- Dé… Désolé, je ne savais pas, finit précipitamment le sergent. Pour sortir dit juste au garde à l'entré que le colonel vous y a autorisé. Ils ne vérifient jamais…
Wufei le regarda de haut encore un moment, puis, avec toute la dignité d'un prince, se leva et partit en direction desdits gardes. Morty souffla, soulager, jusqu'à ce qu'Heero le regarde menaçant, lui faisant comprendre qu'il avait plutôt intérêt à les couvrir. Le sergent hocha la tête sous le regard glacial, se demandant comment ces gamins pouvaient être aussi impressionnant.
Les Angelins durent supporter les vitupérations de Wufei durant tout le trajet. Ce dernier n'ayant pas supporter qu'on remette son honneur en cause. Comment pouvait-on imaginer qu'alors qu'il venait juste de perdre sa femme, il allait courir les lieux de dépravations ! A croire que personne n'avait remarqué qu'il était en deuil. Ni qu'il avait été marié d'ailleurs. Ces terrestres n'avaient aucun sens de l'observation ! Cela en devenait affligeant !
- On ne passe pas, fit l'un des gardes est l'entré.
Wufei ne voulut même pas essayé la méthode douce, et se contenta de le regarder avec toute la colère qu'il était capable de montrer. Aussitôt les deux gardes ouvrirent le passage et le laissèrent passer suivit des Angelins. La porte passée, Wufei leva la tête, et s'arrêta net. Devant lui une foule grouillante et bruyante. Un problème s'imposa aux trois Ailés : où étaient leurs amis ? Ils prirent le partie d'interroger la foule, laissant Trowa s'occuper de la tache, puisque c'était le seul à avoir une taille suffisamment grande pour en imposer à la foule. Evidemment, cela donna un léger complexe aux deux autres mais aux point où ils en étaient…
Trowa finit par trouver quelqu'un qui avait entendu dire par la mère d'une copine de sa fiancée, que l'une des personnes décrites travaillait à l'auberge de la « vigne joyeuse » en tant que serveuse. Aussitôt les trois Ailés allèrent à l'endroit présumé de l'auberge, et s'installèrent à une table au fond. Leur costume d'officier fit apparemment effet, puisque deux minutes à peine après leur arrivé une serveuse arriva tout excité de service « trois grands militaires ».
-Nous cherchons quelqu'un. On nous a dit qu'elle travaille ici, fit poliment Wufei, tentant d'oublier le décolleté de la serveuse. Elle s'appelle Akaniko.
- Oh ! Mais je l'appelle tout de suite, elle sera heureuse ainsi que son frère de revoir des gens qu'elle connaît, fit en souriant la jeune femme. Bettie ! J'ai besoin de toi ici.
Bettie, autrefois Akaniko, arriva pâle comme un fantôme des cernes immenses sous les yeux, pendant que les officiers se demandaient de quel frère parlait la serveuse. Dès qu'Akaniko aperçut Wufei qui était le plus près, elle lui sauta dessus presque en pleurant. Ce dernier se demanda pourquoi ça lui arrivait toujours à lui. Mais la jeune fille tremblait contre lui, il préféra donc la laisser se remettre. Quand elle leva la tête de l'épaule de Wufei, se fut pour regarder suppliante Heero.
La serveuse par contre sembla ne pas apprécié ce déballage de sentiment et partie chercher Marylin. Akaniko en profita pour s'installer à côté de Trowa.
- Sortez-nous d'ici, je vous en supplie, supplia la Séraphosine avant que les trois autres n'aient put ouvrir la bouche.
- A croire que c'est l'enfer ici, se moqua Wufei en se demandant ce qui avait put arriver à la jeune fille.
- Mais C'est ! l'enfer. C'est horrible. Quand tu verras Quatre tu comprendras à quel point, fit en tremblant Akaniko.
- Quatre ? s'inquiéta Trowa.
- Tu risque de le trouver très différents ton Quatre Tro. Marylin nous a gavé comme des oies, expliqua Akaniko les nerfs à fleur de peau. Elle nous « adopté » car elle pensait qu'on avait perdu nos parents à cause de la guerre. Pour elle quelqu'un en bonne santé à un bon appétit. Je dois sans cesse travaillée, j'ai à peine le temps de dormir, et jamais j'aurais pensé que la couture était si dangereuse, dit-elle en montrant ses mains estropiées. Sortez-nous d'ici, supplia-t-elle à nouveau.
- Ma Bettie connaît des soldats ? lança soudain une voix féminine.
Akaniko se tendis aussitôt, et tourna mécaniquement sa tête vers Marylin.
- Madame, fit poliment Wufei en regardant d'un air critique la femme.
- Oh, les amies de ma Bettie sont mes amis, appelez-moi Marylin voyons, fit en rougissant la tavernière.
- Bettie ? Réalisa soudain Heero.
- Oui Bettie. Akaniko n'est pas un joli prénom, jamais elle n'aurait put trouver un mari convenable avec un nom pareil, expliqua Maryiln comme si elle s'adressait à un gamin de trois ans.
Trowa retint discrètement Akaniko qui semblait prête à sauter à la gorge de Marylin. Dire qu'elle l'avait trouvé gentille au départ…
- Quatre ? demanda Trowa.
- Oh bien sur, je m'en suis occupé aussi ! Comment aurais-je put séparer un frère et une sœur ? Mais mon petit Quatre est malade. Je ne sais pas ce qu'il a, j'allais d'ailleurs t'envoyer chercher un médecin, dit-elle en regardant Akaniko.
- Nous aimerions le voir, fit froidement Heero.
- Bien sur, Bettie tu n'as qu'à les emmener, répondit joyeusement Marylin.
Akaniko emmena ses trois amis, moitié marchant moitié trottant, vers la chambre de Quatre. Quand elle le vit elle comprit très vite ce qu'il avait. Il transpirait à grosses gouttes et son teint était irrémédiablement jaune. Une crise de foie aiguë. Il lui aurait fallu une nourriture bien moins riche en graisse que celle qu'on lui avait servie, et plus de légume.
Trowa s'avança dans la pièce et mit une main sur le front de son petit ami. Ce dernier ouvrit péniblement les yeux. Leur couleur bleu avait presque viré au vert à cause de la maladie. Sans attendre plus longtemps, Trowa extirpa le Chérune du lit, le prenant dans ses bras.
- On vous emmène ailleurs, conclut Heero.
Akaniko fut tellement soulagé qu'elle du se reposer sur Wufei pour ne pas tomber. Se reprenant, elle alla dans sa chambre se changer, laissant les vêtements offerts par la tavernière dans la chambre et revint avec toutes ses affaires, y comprit la bourse à laquelle elle n'avait pas put toucher. Elle donna à Heero les affaires de Quatre, et sortit de la chambre pendant que les deux frères le changeait.
- Comment a-t-il put en seulement une semaine, attrapé une crise de foie pareil ? Demanda Wufei alors qu'il attendait avec Aka.
- Je te l'ait dit, il a été gaver comme une oie, sans possibilité d'exercice quelconque. On aurait voulu le rendre malade qu'on ne se serait pas mieux pris, soupira la Séraphosine.
Heero ouvrit la porte, et Trowa passa, avec sa charge dans les bras. Ensemble, ils sortirent de l'auberge. Marylin tenta bien de les arrêter, mais le regard de Heero était dissuasif. Une fois dehors, ils commencèrent à réfléchir à ce qu'ils allaient faire.
- Zechs arrive demain avec l'Alizé, vous pensez pouvoir tenir une journée dans une auberge ? demanda Heero aux deux malades.
- Tant que la patronne ne nous prend pas en amitié…répondit Akaniko.
- Pour Quatre ? questionna Trowa inquiet pour son Chérune chéri.
- Ce qu'il lui faut avant tout c'est une nourriture saine et un peu d'exercice quand il sera remis, indiqua le Séraphos. Et pour toi une bonne nuit de sommeil et ça sera réglé.
- Toujours sympa avec moi little séra', bouda Akaniko.
- Je ne vois pas pourquoi j'aurais changé pour tes beaux yeux, fit Wufei méprisant.
- Rooh ! little Séra' en pince pour moi ! Dommage que je sois déjà cœur et âme à Zechs, répondit avec son meilleur air de tragédienne Akaniko.
- Ne prend pas tes rêves pour des réalités, répliqua aussitôt le Séraphos.
- Finit les enfants, les coupa Trowa. Vous resterez ici en attendant. Dès que Quatre pourra marcher aller faire les boutiques pour trouver de meilleur vêtement, prends une taille en dessous pour Quatre.
Akaniko acquiesça, et alla demander une chambre à deux lits à l'aubergiste. Ce dernier les mena à la chambre, et Trowa posa le malade sur l'un des lits, sous les yeux inquiets du patron de l'auberge.
- Il n'est pas contagieux, indiqua sans avoir l'air d'y toucher Wufei.
L'aubergiste poussa un soupir de soulagement. Les quatre Ailés se mirent d'accords sur un moyen de communication par boule de feu. Pas forcément discret, mais sans ambiguïté. Et de toute façon, une fois Zechs arrivé, ils auraient de la chance si ce dernier ne les dénonçait pas…
A suivre..
Chtite : finiiiiiiiiiit XX J'espère que t'es contente Aka XX
Shinny : a ta place je ferait plutôt attention au tentative de meurtre (tête d'ange réincarnée)
Chtite : mais mais… C'est ta faute tout ça é.è pas la mienne é.è
Shinny : c'est pas bien d'accuser les autres !
Chtite : comme lorsque t'as accusé Keimei d'avoir mangé le choco alors que t'en avait plein le museau ? --0
Shinny : mais c'était vraiment elle ! elle a monté un complot avec les extraterrestre pour que je sois accusé !
Chtite : et le choco il met l'alu dans la marmotte --0
Keimei qui se réveille : c'est vivant le choco ? Oo
Chtite : review please XX
1 soyons un minimum réaliste dans toutes cette histoire surréaliste XX ils vont pas mettre des recrues d'à peine trois jours officier supérieur ni officier généraux ce qui est encore pire XX (j'avoue j'ai la fiche des grades justes sous les yeux 0) pis Heero à déjà 100 a 150 hommes a sa charge avec ce grade --0 j'pense qu'il aura de quoi faire XX
