Désolé pour le retard ; j'ai fini le sixième tome d'Harry Potter en anglais : c'est sans doute le moins réussi au niveau de l'aventure, mais c'est le plus bouleversant : que d'émotions

Chapitre 6 : Fin de l'année

Ron et Hermione quittèrent l'infirmerie complètement guéris trois jours avant la fin de l'année. Et malgré le mécontentement de Harry, ils amenèrent leur disputes usuelles avec eux. On pourrait penser qu'être atteint de magie noire et être attaqué par des cerveaux, respectivement, donne une nouvelle vue de la vie. Mais il semblait que leur passage à l'infirmerie n'avait que dégradé leur niveaux de maturité.

Hermione montrait des signes qu'elle voulait parler de Sirius ; entre sa constante dispute avec Ron et ses accusations que Harry les avait abandonnés durant leur hospitalisation.

Quelles observations, pensait Harry en essayant de se contrôler pour ne pas lui jeter de sorts.

Il se demanda brièvement quelle puissance fallait-il mettre dans un charme de mémoire pour que Ron et Hermione oublient qu'ils avaient rencontré la Garçon-qui-a-survécut.

Mais il se dit que quelqu'un pourrait remarquer si les deux oubliait subitement cinq ans de mésaventures. Il reviendrait avec un autre plan. Jetant calmement un charme de confusion, il prit une retraite hâtive, laissant les deux préfets troublés dans leur réveil.

Quelque personnes l'appelèrent ou la saluèrent alors qu'il se dirigeait vers le Grand Hall pour dîner. Il les ignora tous. Il n'avait aucune idée de combien savait les gens sur ce qui s'était passé au Ministère, il n'allait pas satisfaire leur curiosité.

Ils avaient regardé autour; et il ne leur prendrait pas la main maintenant qu'ils réalisaient que le monstre était de retour.

Il avait juste descendu la dernière marche de marbre quand Malfoy, Crabbe, Goyle et quelque autres membres de Serpentard émergèrent d'une porte donnant sur les donjons. Harry s'arrêta brutalement, et les Serpentards aussi.

Malfoy regarda autour. Harry savait qu'il cherchait à savoir s'il y avait un professeur. Retournant le regard à Harry, il dit avec une voix faible : "Tu es mort, Potter"

Harry souleva un sourcil et commença à sourire. "Amusant" dit-il, "tu pourrais penser que je me suis arrêter de marcher"

L'héritier des Malfoy paraissait plus en colère que jamais. Il y avait des visages similaires sur les faces des autres Serpentards. Son sourire s'élargit encore plus et il remarqua qu'ils attiraient maintenant une foule.

"Tu vas payer" dit Malfoy d'une vois que tout le monde dans l'entrée pouvait entendre. "Je vais te faire payer pour ce que tu as fait à mon père."

Harry sortit un petit rire aux mots de Malfoy. Cela semblait énerver les Serpentards encore plus.

"Malfoy, l'idiot incompétent, je doute que pourrait faire du mal à un première année," dit-il pour que la foule entende. Elle avait lentement grossi en nombre.

"Dis moi, est-ce que ton père apprécie Azkaban ? Ils lui ont donné une cellule avec vue ?" demanda-t-il innocemment.

"Les Détraqueurs ont quitté" dit Malfoy, avançant maintenant, les autres autour de lui. Dans le fond de son esprit, Harry se dit qu'il y avait six Serpentards et lui seulement. Les pauvres gars sont en infériorité numérique, pensa-t-il avec amusement. Il se remua mentalement ; apparemment Malfoy parlait encore.

"Papa et les autres seront sortis bientôt," entendit Harry.

"Oui, je pense" dit Harry avec un haussement d'épaule. "Avec un peu de chance, j'aurai une autre chance de les tuer."

Malfoy et les autres prirent leur baguette en même temps. Harry était plus rapide, il avait sorti la sienne avant même qu'ils atteignent la leur.

"Amplifico pello" cria Harry

Le charme de bannissement avancé envoya trois des Serpentards voler dans le mur derrière eux. Ils plongèrent sur le sol, inconscients.

Agitant rapidement sa baguette, un dôme vert l'entoura, juste au moment où Malfoy et les deux autres envoyèrent leur sorts. Au lieu de les renvoyer, le dôme absorba la magie. Avec un petit coup de baguette, Harry défit son bouclier. Il vit brièvement le regard choqué de Malfoy alors que ses propre sorts se retournèrent contre lui.

Les trois Serpentards restants tombèrent au sol, couverts d'entailles et marques de brûlures.

"Affaire désagréable, n'est-ce pas ?"

Il regarda une dernière fois la stupidité de Malfoy, avant d'entre dans le Grand Hall pour dîner, laissant une foule étourdie derrière lui.

Le dernier soir d'école arriva ; la plupart des gens avaient déjà fait leur valises et attendaient avec impatience la fête de fin d'année. Harry n'avait pas encore fini et était dans le dortoir des cinquième année, ignorant les plaintes de Ron.

"Je ne serai pas long," dit-il à l'impatient roux. "Je suis sur que la nourriture sera toujours là quand nous arriverons." Il ajouta ensuite : "Tu peux y aller tout de suite si tu veux, je n'ai plus grand chose à faire."

Quand Ron sortit finalement, Harry regarda autour de la chambre et jeta un fort sort d'intimité. Il prit de sa poche une petite boîte. La déminiaturisant, la boîte grossit jusqu'à ce qu'elle soit la moitié de la taille du lit. Il la plaça ensuite dans son coffre magique. C'était les ingrédients récoltés du Basilik. Ce fut un travail titanesque, mais cela valait le coup : les vieux basiliks étaient très durs à trouver. Il avait aussi fait un porteur de baguette, et s'était entraîné à l'utiliser.

Il ne voulait pas aller à la fête. Il avait évité les foules quand il pouvait, mangeant avant ou après les heures de repas. Ron et Hermione pensaient qu'il évitait ainsi l'attention, bien que Ron semblait perplexe quand à savoir pourquoi on voudrait éviter quelque chose d'aussi merveilleux. En fait, il ne voulait pas frapper la prochaine personne qui lui dirait qu'elle l'avait toujours cru.

Entrant de le Grand Hall, il poussa les portes aussi discrètement qu'il pouvait, et il ne fit pas un bruit.

Il semblait qu'il arrivait au milieu d'un discours de Dumbledore. Il capta rapidement les mots "triomphe", "bien", "mal", avant que le Directeur le remarque. Dumbledore fit alors une pause, et bien sur, toutes les têtes se tournèrent dans le Grand Hall pour voir ce qui avait distrait le sorcier barbu.

Ignorant les yeux pétillants du Directeur et les murmures autour de lui, il s'assit à côté de Neville. Il capta alors le regard de Rogue. Il n'avait jamais vu autant de haine dans les yeux auparavant. Apparemment, les nouvelles du Gryffondor battant six des ses Serpentard l'avaient atteints. Et même si un Serpentard était supposé cacher leur émotions, le regard de Rogue aurait pu faire fondre un iceberg.

Harry lui sourit alors et fut récompensé par une expression indigné du Mangemort. En fait, pensait-il, cela peut être amusant.

Le voyage retour par le Poudlard Express fut agité de plusieurs façons. Malfoy, Crabbe et Goyle, qui avaient attendus depuis mercredi pour l'attaquer, essayèrent de lui tendre un piège alors qu'il revenait de la salle de bain. L'attaque aurait pu être réussie si ils n'étaient pas des idiots complets. Harry avaient leur reflets sur la glace à coté de lui alors retournait dans son compartiment.

Donc quand les élèves sortirent leur têtes des portes pour voir ce qu'était le bruit, ils trouvèrent Harry s'appuyant sur le côté pour ne pas s'écrouler de rire.

"Uh, Potter," demanda un garçon brun. Harry le reconnut comme Blaise Zabini, un Serpentard de la même année.

"Tu vas bien ?" demanda-t-il. Il fronçait légèrement les sourcils en regardant Harry rire sans se contrôler.

En réponse, Harry, pointa son doigt au-dessus de sa tête, incapable de parler. Les élèves rassemblés regardèrent en hauteur pour trouver Malfoy, Crabbe et Goyle. Ils pendaient, couverts de tentacules les maintenant en l'air et recouvert d'un substance épaisse et gluante.

Toujours riant, Harry retourna à son compartiment. Il passa Ron, Hermione, Ginny et Neville sur le chemin, qui allaient voir ce qui se passait. Il s'assit donc dans le compartiment à présent vide, son dos contre le mur et sa baguette en main.

Rien de mauvais qu'une bonne dose de paranoïa, pensait-il sincèrement.

Il sortit un épais livre en cuir de son coffre et l'ouvrit. C'était un des journaux de Serpentard qu'il avait trouvé dans la chambre des Secrets ? Trouvant l'endroit qu'il avait déjà lu, il commença à lire.

Une division s'est faite aujourd'hui, et j'ai peur qu'elle ne fasse qu'amplifier. Le sujet est celui que les autres et moi discutons depuis des années. Le sujet est celui des matières que nous enseignons aux jeunes élèves. Nous n'avons jamais été d'accord, mais à la fin, nous aboutissions toujours à un compromis.

Il semble que Godric a découvert à propos des leçons privées que j'offre à mes élèves. Les thèmes que nous abordons durant ces leçons sont moins qu'honorables selon lui. Je lui ai demandé ce que l'honneur venait faire avec la magie. Nous vivons dans des temps de guerre, et on ne gagne pas une guerre en étant honorable. On gagne une guerre en faisant ce qui est nécessaire. Et Godric, malgré toutes les batailles qu'il a effectuée, ne l'a jamais compris.

I voudrais apprendre à mes élèves toutes les branches de la magie. Je veux leur faire comprendre qu'il n'y a ni clarté ni ombre en magie. La magie est neutre. Nous la contrôlons et la manipulons comme nous le désirons. Et Godric veut se restreindre à ce qu'il appelle la magie 'claire'., comme si il ne voyait cette limitation comme moi. Comment quelqu'un peut-il atteindre son plein potentiel s'il n'a pas une compréhension profonde des aspects les plus sombre de la magie ?

Godric ne m'a pas encore étiqueté comme sombre, mais je sais que c'est ce qu'il pense. Les arts de l'esprit que j'ai développé sont très utiles. L'homme qui a été comme un frêre pour moi est parti. Godric est devenu têtu avec l'âge. Quand nous étions jeunes, je crois qu'il nous aurais compris. Il y a une leçon importante qu'il n'a pas encore appris dans la vie, et je crains qu'il ne l'apprendra jamais.

Il y a des forces dans ce monde au-dessus de magie blanche ou noire. Il y a le gris. Et ceux qui l'embrasseront auront la capacité de développé et garder les pouvoirs qui sont utilisés par à la fois la lamgie noire et blanche. Ils ne sont pas limités par leur préjudice. Car ils n'en ont aucun. Et s'ils embrassent le gris, ils n'y a aucune limite à ce quoi ils sont capables.

C'est ce qu'il ne comprend pas. Il regarde seulement blanc et noir. Il ne réalise même pas qu'il y a une partie grise. C'est sa plus grande erreur.

A ce moment, Harry fut interrompu dans sa lecture. Il avait senti les autres réentrer le compartiment mais ne leur avait pas prêté attention. Il était absorbé par le journal de son grand-père. Apparement Hermione n'appréciait pas son silence.

"Pourquoi as-tu fait ça ?" demanda-t-elle avec un ton désapprouvant. Le froncement de sourcil s'accentua alors que Ron, Ginny et Neville commencèrent à rire.

"Pourquoi j'ai fait quoi, Hermione ?" demanda Harry, ses yeux ne quittant jamais le livre. Il s'avérait que Hermione n'aimait pas le manque d'attention qu'il donnait et lui prit le journal des mains.

"Pourquoi as-tu fait ça à Malfoy et aux autres ?" demanda-t-elle encore une fois, alors qu'elle regardait le livre millénaire dans ses mains.

"Qu'est--ce que c'est" demanda-t-elle confuse alors qu'elle lisait le titre. Ou essayait de le lire plutôt. Il était écrit en Fourchelang, ainsi que le livre en entier. "C'est en quelle langue, Harry ?"

"Premièrement," dit Harry alors qu'il reprit le livre des mains d'Hermione. "Je n'ai pas à expliquer mes actions à quiconque, encore moi à toi."

"Ensuite," continua-t-il, "ceci est écrit dans une langue que tu ne pourrais pas comprendre."

Il se réadossa contre le mur et réouvrit le gros livre.

"Et une autre chose," Harry ajouta après y avoir pensa, "Je te conseillerai de ne pas prendre des choses qui ne t'appartiennent pas, ou tu vas te trouver dans une situation similaire à Malfoy et ses compagnons."

Avec ça il devint une fois de plus absorbé dans son livre. Il ne manqua pas cependant, le regard choqué et offensé sur le visage d'Hermione, ni les sourires que Neville et Ginny essayaient de lui cacher. Ron, semblait-il, était en train d'essayer de voir ce qui venait de se passer.

Alors que les train ralentissait, Harry n'avait jamais été si pressé de s'en aller. Il avait des choses qui avaient besoin d'être faite, et qui ne se faisait pas dans une locomotive magique.

Alors qu'ils traversèrent la barrière magique, il remarqua qu'il avait un comité de réception.

Il y avait Fol-Œil, qui essayait sans succès une tentative de le localiser. La cape de voyage le laissait inaperçu parmi les nombreux moldus. A côté de lui était Rémus, son visage pale, ses cheveux devenant gris. Tonks était derrière eux, ses cheveux violet flashant horriblement. Harry vut que les jumeaux étaient là aussi, debout à côté de M. et Mme Weasley, qui accueillaient Ron et Ginny.

Il se demanda brièvement si une de ces personnes avait déjà entendu parler de sécurité efficace. Il se remarquaient autant qu'un fils de moldu aux yeux des Malfoy. Il scanna la foule un peu plus, cherchant une face de cheval et deux idiots. Il était plus qu'inquiet s'il ne trouvait pas son oncle et sa famille. Pas pour sas écurité bien sur, mais tous ses plans était prévu sur le fait qu'il retournait à Privet Drive.

Reprenant son souffle, il sortit de la jungle des moldu et marcha vers le petit groupe.

"Bonjour Harry," dit Rémus, alors que Mme Weasley abandonnait sa tentative d'atteindre le jeune Lord et de la suffoquer en l'embrassant. Harry s'était justement positionné de l'autre coté de Ron et Ginny, en espérant que leur sacrifice le sauverait.

"Rémus," dit-il au loup-garou. "Une raison pour le comité de bienvenue ?"

"Sécurité," dit Rémus avec un petit sourire.

"Sécurité?" demanda harry, soulevant les deux sourcils à présent. "Oui, bien sur, j'ai réalisé comme vous êtes conscients de la sécurité quand on remarque la couleur des cheveux de Tonks."

Un petit sourire lui remonta alors qu'il regarda la jeune aurore. "Tu te fond très bien dans le paysage, Nymphadora"

Son sourire grandit alors que la métamorphomagus lui jeta un regard mortel. Heureusement, le regard se détourna alors que les jumeaux commencèrent à rire ouvertement.

"J'ai dit à ta tante que nous allions te ramener à Privet Drive." Dit Rémus, répondant à sa question non posée. "C'est plus sûr de cette façon."

"Et comment allons-nous là-bas ?" demanda Harry. Il ne voyait aucun car que Mundungus pouvait avoir volé.

"Par le bus" répondit Harry. Il ajouta ensuite "il y a un sujet que nous devons discuter"

Dans, le bus Rémus demanda soudainement "Comment vas-tu Harry ?"

Il s'attendait à une question pareille, mais Harry ne voulait pas partager ses sentiments.

"Bien", répondit-il. A sa surprise, un sourire apparut sur le visage de Rémus. Harry devint instantanément prudent ; quelque chose n'allait pas.

"Je pensais que tu le serais," dit Rémus avec une voix amusée. Le sourire s'élargissait.

Les yeux d'Harry se rétrécirent, et sa main se dirigea vers sa baguette. Le loup-garou savait quelque chose.

"Donc", continua Rémus "pourrais-tu me dire ce que tu fait à Gringott ?"

Harry se gela pour une milliseconde, puis repris une expression neutre. Mais c'était trop tard. Rémus avait remarqué le léger mouvement.

"Je ne sais pas de quoi tu parles, Rémus," dit-il alors que sa main s'approchait de sa baguette. Il n'hésiterais pas à faire tout oublier à son ancien professeur.

"Tu sais exactement ce que je veux dire, Harry" répliqua Rémus.

"Qu'est-ce que tu faisais à Gringotts?" demanda-t-il encore. "Et comment as-tu quitté Poudlard sans que Dumbledore trouve ?"

Harry étudia Rémus pendant une longue minute. Est-ce que Dumbledore n'était pas au courant ? Car s'il l'était, il devrait changer tous ses plans.

"Est-ce que le vieil homme sait?" demanda-t-il finalement.

Rémus regarda Harry dans les yeux avant de répondre. "Non, Dumbledore ne sait pas."

Harry lâcha un soupir de soulagement.

"Comment l'as tu découvert ?". Il était intrigué à savoir comment Rémus pouvait savoir et pas le Directeur.

"Bill," répondit Rémus simplement.

"Il m'a vu ?" demanda Harry avec surprise. Il avait oublié que le plus vieux des fils Weasley travaillait à Gringotts. Il devra utiliser un glamour la prochaine fois. "Et il n'a pas informé Dumbledore ?"

"Alors que tu quittait, " acquiesça Rémus. "Il pensait que cela serait mieux si je savais d'abord. Ensuite nous pouvions décider quoi faire."

Au regard intrigué de Harry il continua, "Albus n'a pas vraiment gagné beaucoup de fans avec la façon dont il t'a traité. Sirius en particulier était devenu très en colère à son refus de ne rien te dire. Ca, et te faire prendre des cours d'Occlumencie avec Rogue. Beaucoup de gens étaient très confus sur ses décisions de mettre vous deux ensemble."

"Je vais avoir à remercier Bill" dit Harry. Il était assez surpris quand à Dumbledore qui faisait face à de telle critiques pour ses actions. Bien qu'il doutait que le directeur têtu changerait ses décisions à cause de quelque membres de l'Ordre.

Acquiesçant au commentaire de Harry, Rémus dit, "maintenant je suis assez curieux de savoir ce que tu faisait avec Ripthor du bureau des héritages."

"Pourquoi ne lui demande tu pas ." répliqua Harry sarcastiquement. Il voulait que personne ne soit au courant pour les bagues familiales, bien que Rémus mettre deux et deux ensemble. Le loup-garou ne saurait cependant pas pour Tenaroe.

"Oh Bill a déjà essayé," dit Rémus, "Ripthor ne veut pas dire un seul mot à propos de toi."

Se tournant vers Harry, il lui demanda avec intérêt : "Combien l'as-tu payé ?"