Disclaimer: L'univers et les personnages appartiennent à J.K. Rowling.

Genre: Yaoi/slash, hétéro, récits de romances, drama: une Bonne dose soyez averti, voyage temporel, léger lime plus sous entendu qu'autre chose…

Couple: Mon couple fétiche. Et un autre que vous n'avez je pense jamais ou très peu vu.

Avertissement pour ce chapitre: Il y a un lemon yaoi. Yarg, premier lemon que je publie, prions pour qu'il ne soit pas exécrable.

Résumé: Harry Potter tombe dans le lac, gelé. Il était seul à nouveau. C'était la faute à Dumbledore. Il avait traversé les couloirs du temps. Il avait aimé, oui, Harry avait osé l'aimer lui, il avait cru être aimé, ils avaient été deux. Il était mort.

Note: Est-ce véritablement un happy-end? Je n'en suis pas sûre, mais je n'imaginais pas la fin autrement. Bien sûr, c'est un peu court mais bon…Et je pense que c'est une fin heureuse, à sa manière.

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Kitten.

--------- Par Lia

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Partie 4

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Thump.

Salazar se figea.

Thump.

Ce son qui résonnait étrangement à ses oreilles...

Salazar mit moins de temps à comprendre ce qu'il lui arrivait qu'Harry.

Thump.

Merlin, son cœur c'était remit à battre. Pour tout dire, il était certainement plus au courant que son Kitten. Oui, lui savait parfaitement ce qu'il lui arrivait, mille ans passé dans le monde des morts lui avaient largement laissés le temps de se renseigner.

L'heure du dernier acte avait sonné.

Enfin, il allait le revoir.

Son cœur, son âme…

Harry.

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L'oxygène envahit emplissant douloureusement ses poumons tant le manque avait été grand. Puis vint la lumière vive, si vive qu'elle l'éblouit et l'obligea à plisser les yeux pour pouvoir les garder ouverts. Quand il apparut, inondé de lumière, ce fut comme s'il le voyait pour la première fois. Il eut l'impression de voir une créature céleste, non pas un ange car même dans son état il n'aurait pas commit la folie stupide de comparer son amant à un ange, mais il le vit comme une créature sacrée. Une créature mystique venue tout droit d'un autre temps. Il le vit comme ce qu'il était un miracle. Un miracle qu'il n'aurait imaginé pouvoir se réaliser. Une main fine, maculée de terre apparue dans son champ de vision. Une main salvatrice destinée à l'aider à sortir du cercueil. Son cercueil.

Submergé, Harry pleura. Il ne se rendit compte que sa vue était étrangement brouillée et ses joues humides que lorsque la main caressa tendrement sa joue, y recueillant les gouttes salées. D'une certaine manière, ses larmes le délivrèrent. Quoiqu'on puisse penser, pleurer délivre toujours. Pleurer soulage, et ce n'est pas uniquement la solution des lâches. Mais celle de tous les êtres humains. Il ne su jamais combien de temps il pleura. Il en avait vraiment besoin. Et Salazar resta là, à essayer ses larmes, penché sur lui, sans jamais parler. Il lui souriait sans chercher à le presser, attendant simplement que ses larmes se tarissent d'elles-mêmes. Et elles cessèrent finalement de couler. Alors sa main quitta sa joue et celle d'Harry se leva à sa rencontre. Elles ne firent d'abord que se frôler, aériennes, hésitantes, puis s'étreignirent, celle de Salazar tira la sienne en avant. Grâce à son aide Harry se releva. Ses muscles étaient douloureux comme s'ils n'avaient pas servis depuis un moment. Il s'en fichait. Tout cela était bien trop irréel pour être trop être vrai. Il s'en fichait. Salazar était là, devant lui, tout près de lui. Vivant. Ils étaient vivants.

Gauche, maladroit, soutenu et aidé par son amant, ses pieds touchèrent à nouveau terre. Il vacilla et se retint à la sépulture de marbre à présent éventrée. Le sorcier paniqua, mais Salazar était là près de lui, et par sa simple présence le rassura. Il ne dit rien.

Ils se contemplèrent en silence, se redécouvrant mutuellement. Ils n'avaient pas changés, c'était comme s'ils venaient de se quitter. Salazar, lui, était couvert de terre. Harry réalisa que lui avait du se débrouiller seul, sans aucun aide extérieure. Même recouvert de terre, il conservait la même prestance, la même aura. Salazar était Salazar, et ce quelque soit sa tenue. Il était bien au dessus de cela. Il fut le premier à bouger, il s'approcha de lui, tout aussi silencieusement. Et Harry le regarda faire, immobile. Son visage fut saisit en coupe par deux mains, et un regard bleu captura le sien. Il dit la première chose qui lui vint à l'esprit.

- On se croirait sortit d'un film d'horreur moldu…Murmura Harry.

- Je ne vois pas de quoi tu parles. Fit doucement le fondateur en retour.

Un premier sourire fut esquissé. Lequel des deux sourit en premier, ils ne le savaient pas, mais bientôt un autre sourire suivit. Toujours aussi tendrement complices malgré les épreuves. Des baisers légers furent déposés partout sur son visage avec chaleur et tendresse. Cette tendresse qui caractérisait chacun de leurs échanges. Cette tendresse qui valait plus que toutes les déclarations du monde. Certes, Harry ne comprenait pas ce qui lui arrivait, mais Salazar était là. Et Salazar était son univers. Il n'avait pas besoin d'en savoir plus. Pas maintenant, pas encore. C'était comme un rêve éveillé qui serait aussi fragile qu'une bulle de savon qu'il ne voudrait en aucun cas briser. Ce dont il avait besoin à ce moment c'était de sa présence, son odeur, sa chaleur, tout ce qui faisait ce qu'il était. Le reste importait peu. Lentement, comme si le temps leur appartenait, chaque parcelle de son visage fut baisée. Harry saisit les mains de son amant qui tenaient toujours son visage, et les en détacha doucement. Il les porta à ses lèvres, pour les embrasser lentement à son tour. Sans le quitter des yeux. Ce qu'ils allaient faire maintenant, il le savait. Ce n'était pas seulement une relation dite sexuelle, ce n'était pas faire l'amour. Non, c'était bien plus que cela. C'était une manière de s'assurer que l'autre était bien là, tout contre lui, avec lui. Qu'ils pouvaient le toucher, le sentir, le goûter. Rien de moins, et tellement plus.

Salazar l'attira doucement contre lui, et la tête contre son torse il entendit un bruit familier.

Thump, thump.

Son cœur, c'était son cœur qui battait là, tout contre son oreille. Il le sentait pulser à l'intérieur de sa poitrine. Harry ferma les yeux, il souriait. Salazar, faisait glisser lentement ses mains sur lui, lascif. Sensuel. Tellement…Lui. Il en gémit lorsqu'une paume chaude se glissa au creux de son dos sur sa peau, après s'être faufilée sous le tissu. Contre sa bouche quémandeuse de baisers, il sentit le fondateur sourire. Son corps complètement coulé contre le sien, Harry fit glisser ses mains sur son torse pour déboutonner habilement son col, et les premiers boutons qui le séparaient de sa peau. Incroyable comme un simple contact pouvait l'électriser tout entier, il n'y avait que Salazar pour faire ça…Une main se glissa sur ses lèvres pour presser un peu plus ses lèvres contre les siennes, et une langue se fraya un chemin entre ses lèvres pour venir torturer la sienne avec sensualité. Harry frémit et s'abandonna contre lui alors qu'il sentit son sang s'affoler dans ses veines. Plus que cette langue, ses lèvres, ses mains qui faisaient déjà des merveilles sur lui, c'était sa présence qui l'enivrait, lui faisait tourner la tête. Salazar délaissa ses lèvres pour s'attaquer avec une lenteur toujours aussi exaspérante à son cou, mordillant, suçotant la peau fine, le faisant soupirer. Venant à bout de sa chemise, Harry la fit glisser avec volupté sur ses épaules blanches, se délectant de la peau qui s'offrait peu à peu sous ses mains. Il le caressait avec une fièvre grandissant, lorsque ses poignets furent capturés par ses mains. Le sorcier releva les yeux pour croiser deux prunelles brûlantes mais amusées. 'Doucement' murmurèrent-elles. 'Laisse-moi faire' Ajoutèrent-elles quand il ne relâcha pas ses poignets l'empêchant de protester. Pour appuyer ses dires, une main indiscrète vint se poser sur son entrejambe, le faisant vaciller en gémissant de frustrations. Le sourire de Salazar s'agrandit et Harry le fusilla du regard le faisant rire doucement. Toutes ses réclamations disparurent lorsqu'un bassin brûlant se pressant contre le sien. Et que malgré le tissu, il sentait qu'il n'était pas le seul à le désirer avec force. Il oublia lorsque sa chemise disparue et qu'une main vint aussitôt cueillir un grain de chair, le faisant rouler sous ses doigts. Harry soupira de plaisir. Et Salazar lui fit peu à peu perdre pied. Quand après avoir honorer chaque centimètre de sa peau nue, ses mains délicieuses s'attaquèrent à sa ceinture, les genoux du brun flanchèrent. Le fondateur l'allongeant lentement au sol sans cesser un instant ses délicieuses caresses. Lorsqu'un frôlement plus précis au creux de ses cuisses le fit crier, Harry se demanda vaguement quand diable avait-il perdu le reste de ses vêtements. Quand les lèvres de Salazar se posèrent sur lui brusquement sans préavis, le faisant se cambrer sous la surprise, Harry perdit définitivement pied. Il sentit le bout d'une langue taquine le parcourir tout entier. Son corps brûlait. Il haletait, Harry tenta de se redresser pour capturer à nouveau son regard. Et son regard le fit fondre.

Toujours. Lui disait-il.

Sa bouche se referma sur lui, l'enfermant dans une moiteur brûlante qui le fit mourir cent fois.

Je serais toujours la pour toi.

Ses mains griffèrent le sol pour se rattraper à quelque chose, il se fit violence pour ne pas bouger ses hanches.

Si je devais traduire mes sentiments…

Harry gémit, frémit, cria, haleta, hurla. Une main blanche se posa sur sa hanche pour l'empêcher de bouger, et l'autre s'était perdue depuis longtemps entre ses cuisses. Il ne savait pas laquelle des deux était la pire.

Je dirais que sans toi…

Il s'était perdu, tout se mélangeait dans sa tête. Il y avait cette bouche, oh dieu, cette langue qui l'enflammait et…et…ses mains, oh oui ses mains. Son cœur allait lâcher tant son rythme était erratique et désordonné.

Je ne suis rien.

Une dernière caresse, une ultime vague de plaisir qui l'envoya à des années lumières de ce cimetière, et Harry se libérant en gémissant sourdement.

Tu es à moi.

Salazar le délaissa lentement, et remonta le long de son corps, ses lèvres effleurant sa peau faisant naître une série de frissons sur son passage. Il captura doucement ses lèvres, les mordillant tendrement pour lui laisser le temps de se reprendre. Harry redescendit lentement de son nuage, ronronnant presque de bonheur. Le voyant enfin de retour avec lui, Salazar s'écarta légèrement, et lui sourit, un brin narquois.

C'est alors qu'Harry se rendit compte qu'il s'était fait avoir, une fois n'est pas coutume, par son amant. C'était toujours la même chose, et se malgré tout ses efforts. D'un coup de reins vengeur, il fit basculer le fondateur sous lui. Il ne se faisait pas d'illusion, s'il réussissait c'était parce qu'il le voulait bien. N'est pas Serpentard qui veut…Harry mordilla doucement la peau pâle, laissant ses mains caresser son ventre plat. Salazar ne faisait jamais de bruits, sauf lorsqu'il se libérait et encore…Mais ce n'était pas grave, ses yeux parlaient pour lui. Les lueurs qui s'allumaient tour à tour dans ses prunelles étaient plus grisantes que tous mes gémissements du monde, à ses yeux. Il s'installa sur le haut de ses cuisses, le contemplant mutin. Il sentait parfaitement son désir le frôler. Mais il l'ignorait volontairement, faussement rancunier. Concentrant ses attentions sur son torse qu'il dégustait avec gourmandise, mettant à profits ses leçons. Ses yeux ne se détachaient pas des siens, le fouillant silencieusement. Saphir contre émeraude. Puis il vit la petite lueur tant recherchée s'allumer, illuminant ses prunelles. Ce fut au tour d'Harry de sourire. Un sourire digne de son amant. Ses mains posées à plat sur son torse, il se suréleva lentement. A présent, il sentait son membre frôler le creux de sa cuisse, il bougea et le sentit tout contre son intimité.

Je t'appartiens…

Harry s'abaissa lentement sur lui, il étouffa un gémissement de douleur alors que son membre se frayait un chemin en lui. L'emplissant totalement.

Totalement.

Il gémit. De plaisir, de douleur, il ne savait plus. Harry se cambra en gémissant à nouveau. Puis Salazar fut là, tout contre lui, un bras passé autour de sa taille, torse contre torse, peau contre peau. Il baisa avec douceur son cou, caressant son dos pour l'aider à ses détendre.

Mais toi aussi.

Le nouveau gémissement qui s'échappa de ses lèvres fut une pure plainte de plaisir. Harry enfouit sa tête au creux de son cou, et bougea lentement. La sensation était grisante, enivrante, elle lui fit perdre la tête, encore. Salazar était partout en lui, autour de lui. Il ne faisait plus qu'un.

Tendresse et amour.

Douceur et volupté.

Passion et désir de l'autre.

Il ne se sentait jamais aussi vivant que dans ses bras. Dieu qu'il lui avait manqué. La suite se perdit dans un tourbillon de sensations toutes plus irréelles, plus intenses, les unes que les autres. Plus qu'un échange, c'était une constante preuve de leur attachements l'un à l'autre. C'était…C'était…Une manière de se prouver qu'ils étaient là, toujours, qu'ils s'appartenaient, toujours, qu'ils s'aimaient, toujours, et se quitteraient, jamais.

Les bras de Salazar autour de lui, sa tête posée contre son torse, il ne se laissait pas de l'écouter. Son cœur. C'était une mélodie si rassurante…

Harry avait trouvé son paradis. Son paradis c'était dans les bras de son amant, comme ça, rien que tous les deux seuls au monde, tranquilles. Et tout au fond de lui, le sorcier ne pouvait s'empêcher de penser ' Faites que ça ne s'arrête jamais, oh pitié, faites que ce moment dur toujours!'.

Il lui sembla qu'ils restèrent une éternité ainsi, s'abreuvant simplement de la présence de l'autre. Puis il fallut bouger, pourquoi il ne le savait pas. Mais il le fallut c'est tout. Ils se rhabillèrent en silence, s'aidant mutuellement, plus complices que jamais. Alors que Salazar refermait soigneusement son col, Harry leva les yeux vers lui. Et parla. Enfin.

Le moment des retrouvailles étaient passées.

Maintenant, il lui fallait des réponses à ses questions, qui bien que mises de côtés, n'avaient cessées d'affluer.

- Salazar…Comment? Enfin…Je veux dire…on est vivant!

Sa voix était faible, fragile, il lui parut même qu'elle trembla. Comme si poser ses questions allait faire mal. Obligatoirement. Il avait peur, c'est vrai. Peur de la réponse. Peur de ce qu'il pourrait arriver après…

La main de l'autre sorcier se leva, elle cueillit tendrement sa joue. Comme là avait toujours été sa place. Ses yeux lui souriaient, rassurants. Et pourtant, son cœur s'arrêta, prit d'un pressentiment insensé. Il allait lui dire que tout cela n'était qu'un rêve, qu'une invention de son esprit, que rien n'était vrai. Et Harry serait seul à nouveau, seul pour souffrir. Toujours.

- Non. Non, Kitten. Je suis mort. Et toi aussi.

Harry posa sa main sur son torse, il sentait son cœur battre pourtant sous sa paume. Son regard se fit plus perdu. Il ne comprenait pas, et Salazar le voyait.

- Morts? Mais…

- C'est un rêve, notre rêve, celui accordé aux morts.

- Mort?

- Oui.

- Je ne comprends pas…Avoua Harry en baissant les yeux. Ca veut dire que tu n'existes pas?

- Non, bien sûr que non, je suis bien réel Harry, je ne te quitterais plus. Jamais.

Salazar l'attira contre lui, l'entourant doucement de sa chaleur.

Harry ne dit rien, il ferma les yeux se blottissant contre son amant. Il ne comprenait pas. Il ne comprenait rien. S'ils étaient morts, que leur arrivaient-ils alors? Tant de questions tournaient et retournaient dans sa tête. Tant d'incertitudes…

Salazar caressa doucement ses cheveux, se voulant rassurant. Il savait ce qu'endurait sa moitié. Les questions qui l'habitaient. Lui aussi les avait connues. A lui aussi on lui avait expliqué.

- Nous sommes en quelque sorte dans l'anti-chambre de la mort. Quand je suis mort, mon âme s'est rattachée à toi, je refusais de te quitter, et si tu es ici, c'est que toi aussi. Ils ont donnés un nom aux gens comme nous ils nous appellent des 'amants inconditionnels'. Ceux que même la mort ne suffit pas à séparer. Et nous ne le serons plus jamais Harry. Murmura-t-il en embrassant tendrement le sommet de son crâne.

- Arrivés ici, les gens voient deux choix s'offrir à eux: avancer et découvrir ce qu'il y après, ou rester ici aussi longtemps qu'ils le souhaitent.

Harry se blottit un peu plus contre lui, sa main agrippant le tissu de sa robe, enfouissant son visage contre lui. Comme s'il eut aimé se fondre entièrement contre lui et y disparaître.

- Ensemble?

- Toujours.

Harry sourit apaisé. C'est tout ce qu'il avait besoin de savoir. Qu'il ne serait plus jamais séparé de Salazar. Qu'ils seraient à présent ensembles. Pour toujours. Qu'importe le reste?

S'il avait été irrémédiablement romantique, il aurait dit que Salazar était son âme sœur, et que quoiqu'il se passe personne ne pourrait plus jamais les séparer. Au lieu de cela, il se laissa simplement aller contre lui, savourant ce moment que pour rien au monde il n'aurait brisé.

Ils n'étaient pas deux. Ils étaient un seul et même être. Mais en même temps…C'était tellement plus que cela…

.Fin.

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Note: Bof…Ce chapitre est pas génial, bof. C'est l'impression qu'il me fait: bof. Surtout le lemon en fait, c'était peut-être une mauvaise idée finalement de le faire é.è Suis pas douée pour ça!Enfin, passons…J'espère qu'à vous il vous a un peu plu ce chapitre.

Kisuuu, et peut-être à dans les autres fics ;)

Une petite review pleeeeeeaaaase éè Histoire de savoir si elle vous a plut mon histoire :) Salazar/Hp powaaa!

Explications:

Je me suis dit que peut-être maintenant je pourrais vous expliquer un peu mieux certains passages de la fic. D'abord, le titre. "Kitten" il veut dire chaton.

Ensuite, le passage où Harry est mort, mais qu'il souffre, énormément. C'est en partie la faute d'Hermione qui n'a cessé de vouloir le ressusciter à l'infirmerie. Je n'étais pas sûre que ce soit très clair ;)

Et la fin, ah oui, la fin, elle est bizarre vous ne trouvez pas? Non? M'enfin mouais…Pour moi, l'anti-chambre de la mort dans cette fic, c'est une sorte d'autre monde, les morts s'y construisent la vie qu'ils souhaitent en attendant de passer de l'autre côté.

La vieille femme du cimetière par exemple, est morte elle aussi, elle a juste choisit de continuer ainsi, Lupin dont elle parle, lui aussi est mort. Il arrive même que des morts continus de 'vivre', comme si de rien n'était car ils ignorent qu'ils sont morts.

Ensuite, comment est-ce que Salazar pourrait savoir tout cela? Et bien, il faut savoir qu'il est mort depuis presque 1000, n'est-ce pas. Il a dont eut largement le temps de se renseigner, même si là-bas le temps ne s'écoule pas de la même façon.