Hello à tous, voici la dernière partie de cette fic !
Je voudrais remercier toux ceux qui ont reviewé, j'ai beau avoir eu de moins en moins de reviews, j'ai adoré traduire cette histoire, voir différents points de vue à propos d'un suicide était assez intéressant (du moins c'est mon avis)
Dans cette dernière partie, vous verrez le point de vue de Gabrielle, la mère d'Angelina, certains mots étaient écrit en français dans le texte original (Gabrielle est d'origine française), je les ai mis en gras dans ce texte-ci.
Owlie Wood : Hello toi ! Cha va ? Alors concernant le petit James et bien on ne vas plus savoir vraiment grand-chose sur lui, au départ le chapitre devait être sous son POV mais l'auteur a décidé de changer et d'écrire celui de la mère d'Angelina…Déso, menfin j'espère que cette histoire t'as plut et te dit bye et à je sais pas quand (je ne sais plus si tu lit d'autres de mes traductions…) bisoux !
Bubblegum712 : Hello cocotte ! J'suis contente que le chapitre précédent t'ai plu, celui-ci n'est pas mal non plus (enfin c'est mon avis), merci pour toutes tes reviews, par contre j'attend tjs de nouvelles 'créations' de ta part ! J'espère que tu passes de bonne vacs ! Bye et grox bzoux
Atalanta de Tebas : On dirait que le chapitre précédent ta rendu toute triste ? Perso c'est celui-ci qui ma le plus touché ! En ttk je te remercie pour tes gentilles reviews et te dit à la prochaine !
Elizabeth Moonstone : Hey mais je veux pas te faire pleurer moi ! lol En tout cas je suis contente que ma traduction te plaise, par contre pour la C2 et bien c'est pas très grave, je ne vais pas ne mourir, sinon je trouve ton idée de regrouper les jeunes auteurs très biens, perso j'ai dépasser l'age limite mais bon c'est vrai que c'est tjs plus sympa de parler avec des gens de son âge ! Bye et merci !
Bonne lecture………
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Helping You Out
POV de Gabrielle
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Well, life has a funny way of
sneaking up on you
(Eh bien, la vie reprend le dessus
d'une drôle de façon)
When you think everything's okay
and everything's going right
(Quand tu penses que tout va bien
et va dans le bon sens)
JE NE PEUX PAS CROIRE CA ! Ma fille ! Ma plus jeune ! Mon bébé ! Ma petite fille ! Comment a-t-elle pu me faire ça à moi ? Sa propre mère ! La femme qui l'a mise au monde ! Comment a-t-elle pu faire ça à sa famille ? A ses amis ?
Ce n'est pas juste ! J'ai donné à cette fille tout ce qu'elle a toujours voulu et elle se tue elle-même comme une gamine ingrate.
Je sais que ça paraît un peu dur et que ça montre que j'ai mérité le tire de 'Reine de Glace', mais je ne peux pas m'en empêcher. Je ne comprends pas comment elle a pu faire une telle chose. J'aurais fait n'importe quoi pour elle, mais tout ce qu'elle a jamais fait m'a blessé. Constamment. Parfois je pense que c'était devenu un jeu pour elle : voir le nombre de fois que tu peux briser le cœur de sa mère et qu'elle te pardonne. A la fin elle ne me parlait même plus. Je savais que quelque chose n'allait pas – depuis longtemps – mais comment lui dire « Je t'aime » quand il est clair qu'elle ne veut pas me voir ?
Jamais elle n'a regardé avant de sauter. Jamais elle n'a pensé aux conséquences de ses actes. Elle a toujours été impulsive. Pourquoi est-ce que cela aurait du être différent ? J'avais le sentiment tenace qu'elle avait projeté ceci depuis un certain temps. Que quelque chose l'avait poussé hors du bord et qu'elle était préparée à ça. Cependant, au début, j'ai été tellement surprise. Jake dit que je suis rétrospective à 20/20, qu'importe ce que ça veut dire. Nous sommes mariés depuis presque vingt-sept ans et je ne comprends pas la moitié de ses expressions anglaises ridicules.
Suicide.
Je n'aime pas ce mot. S'auto-tuer voilà comment ils auraient du l'appeler. Détruire sa famille, rendre fou ses amis et briser le cœur de sa pauvre mère, voilà comment ils auraient du l'appeler. Qu'importe comment il l'appelle, ça semble tellement écoeurent.
Ca parait écoeurant parce que c'est ce que c'est. Juste penser au fait que je vais enterrer ma fille dans quelques heures m'incite à vouloir vomir. Une sorcière de vingt-deux ans n'est pas censé mourir, particulièrement dans la famille Toussaint. Mon propre grand-père est encore vivant à presque cent cinquante ans. La vie n'est pas censé fonctionner comme cela ; on meure jeunes seulement aux mains d'un Voldemort extrêmement puissant (oui, je dis Voldemort ; c'est idiot de l'appeler Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom) et ça n'existe plus.
En regardant autour de moi, je vois des personnes partout. Il y a seulement une semaine, cela m'a réussit d'être sur la page société dans la Gazette du Sorcier. J'ai eu en fait une récompense pour avoir été le plus souvent dans l'Hebdomadaire des Sorcières. Mais c'est bien le dernier événement où je veux des paparazzi. Doux Merlin, une femme ne peut-elle pas s'affliger en paix pour sa fille décédée ?
Bien sûr que non. Au moins, pas si tu es la plus jeune sorcière de la famille la plus riche de France, sorcière ou Moldu. Ni si tu es l'épouse de l'héritier de la troisième plus grande fortune sorcière de Grande-Bretagne. Pas si tu es la cousine (quoique cousine éloignée) du chef des possessions sorcières de Grande-Bretagne. Et certainement pas si ta fille décédée était fiancée à la plus grande des ordures de Grande-Bretagne.
Oui, je parle de Frederick Weasley. Et faire référence à lui comme 'ordure' n'a rien à voir avec son faible milieu ou sa famille. Personnellement, je pense qu'Arthur et Molly sont des personnes brillantes et je les respecte et je tiens compte de leurs opinions bien d'avantage que certains membres de ma propre famille (mon cousin Lucius et son épouse Narcissa, par exemple) et c'est la même chose pour leurs enfants. Mais Frederick…Il n'a jamais été assez bon pour elle et pour être honnête, je pense qu'elle le savait. Le fait que vers l'âge de quinze ans elle passait plus de temps avec George qu'avec lui mettait ça assez en évidence. Le fait qu'elle avait écrit à Isabelle qu'elle devrait aller au Bal de Noël avec George car elle pensait que Fred n'allait jamais lui demander. En dépit du fait qu'ils étaient un couple 'officiel' depuis presque deux ans.
Isabelle insiste sur le fait qu'il a quelque chose à voir avec ça, parce que sa jumelle n'aurait jamais fait quelque chose comme ça. Je ne suis pas d'accord, c'est exactement le genre de chose qu'Antoinette ferait. Mais je ne doute pas une seconde que Frederick était derrière ceci avec le bébé. Il n'y a pas besoin d'un examen scientifique pour voir qu'Antoinette était enceinte, particulièrement aux yeux de sa propre mère. Elle était devenue irritable (pas qu'elle ne l'a pas toujours été) et chutait dans une profonde dépression. Mais elle ne m'aurait rien dit.
Ca ne devrait pas m'étonner, cependant. Elle ne m'a jamais rien dit au sujet de sa vie personnelle. Elle ne m'a jamais aimé. Pour être honnête, tous mes enfants ne m'aiment pas. Pour des petites choses, comme par exemple les appeler par leurs deuxième prénoms…Je pense que les anglais appellent ça le 'middle name'. Elles le détestent toutes parce qu'elles n'ont pas compris pourquoi je le fait. Ce n'était pas mon attention de paraître distante et détachée ; je voulais que mes enfants soient fiers de leur héritage français.
Antoinette le détestait le plus. Pourquoi ? Parce qu'elle a été nomée d'après l'illustre Toni Toussaint. Elle avait l'impression de vivre dans l'ombre de sa tante. Mais je ne comprends pas pourquoi ; après tout, elle était exactement comme ma sœur. Les mêmes yeux bruns foncés, la même nature insolente, le même style terrible…Et également comme ma sœur, elle a passé sa courte vie d'adulte en se sentant désespérée, noyant sa douleur dans le Firewhiskey, les cigarettes et cette drogue Moldue…celle avec les aiguilles…l'héroïne. Elle portait toujours des hauts à longues manches, mais son père et moi l'avons toujours suspecté. Et quand je l'ai vue avec un glaçon, les yeux injectés de sang après une dose particulièrement forte et les marques sur ses deux bras (pendant une fête pour son père en Jamaïque), j'ai su. Et j'ai su que Frederick savait également, parce qu'elle se pavanait toujours en minuscule bikini à son bras. Et quand je l'ai abordé à se sujet, elle m'a dit « d'aller me faire foutre » et m'a demandé pourquoi je m'inquiétais maintenant à son sujet alors que « je ne lui avait apporté que de la merde » jusqu'à maintenant.
Mais elle avait tort comme d'habitude. En dépit de ce qu'elle pensait, je m'inquiétais profondément pour elle. Je sais que je n'aurais pas du jouer aux favorites parmi mes filles, mais que Merlin m'aide, je l'ai fait. Et Antoinette était ma favorite. J'ai essayé de le cacher en la critiquant bien d'avantage que ses sœurs, mais elle était ma favorite. Pourquoi ? Parce que, sans compter le petit James, je suis la seule qui l'ait vraiment comprise. Mais elle ne m'a jamais donné la chance de le montrer.
Je comprends tout le monde. Une bonne blague, pas vrai ? Je suis aussi emphatique que mon cousin et son épouse, d'accord ? Qu'importe ce que vous pensez de moi, je pèse mes mots. Je regarde de l'autre côté de la chapelle. Alicia Spinnet et Lee sont assis près d'Isabelle et Lee a son bras atour des épaules de sa grande sœur. Darryl Jordan est assis près d'Alicia. Et près de lui…le fléau de mon existence.
Francesca Elisabeth Laurence-Jordan. Je peux à peine dire son nom sans devenir physiquement malade. Qui est-elle ? La mère de Lee Christopher Jordan. Le premier – et seul véritable – amour de mon mari. Menue et perspicace, elle est la perfection incarnée. Aussi forte que Jack, elle est sa seule faiblesse (à lui). Aucune autre femme ne pourrait le convaincre de rester infidèle à son épouse depuis des années après l'incident (je sais ce qu'il fait quand il part en voyages d'affaires en Ecosse). Il y a un millier de noms par lesquels je pourrais l'appeler, mais je ne le fais pas parce que je suis meilleure que lui ; je suis mieux qu'elle. Je suis meilleure que cette chienne, meilleure que cette peste, meilleure que cette pute.
Alors pourquoi est-ce que je ne le quitte pas ? Pour la même raison que Darryl et Antoinette sont restés avec Francesca et Frederick, respectivement. Parce qu'ils les aimaient. Parce que j'aime Jake. Je donnerais ma vie pour protéger la sienne. En fait, quand j'ai découvert qu'il l'a voyait toujours, j'ai eu l'impression que c'était la fin du monde. Comme si je n'avais plus de raison pour vivre. J'ai voulu m'auto-avada. Mais je n'ai pas pu. L'image publique de ma famille aurait été ruinée. Et…je n'ai pas eu le courage de tourner ma baguette sur moi.
And isn't it ironic... Don't you
think
(N'est-ce pas ironique... . Ne
penses-tu pas)
Peut-être que j'aurais du baptisé ma fille à mon nom ai lieu de celui de ma sœur. Après tout, elle revécu ma vie. La seule différence est que tandis que je me suis simplement détaché de tout le monde au nom de notre image publique, elle a exprimé son désespoir (bien que c'étaient par des habitudes fortement malsaines). Et quand la douleur est finalement devenue insupportable, elle s'est détachée de tout - quelque chose que j'ai voulu faire pendant des années, mais que je n'ai jamais pu faire de moi-même. Est-ce que ça la rend meilleure que moi, quelque chose qu'elle a toujours voulu être ? Peut-être, peut-être pas, mais ça fait qu'elle est encore plus la Lionne de Gryffondor qu'elle était.
And life has a funny way of
helping you out
(Et la vie a une drôle de
manière de t'aider)
Helping you out.
(T'aider.)
Je crois qu'elle observe ceci, écoutant ce qui se passe dans l'esprit des gens. Et bien, Antoinette – Angelina – où que tu sois, je veux que tu saches que je t'aime. Et merci de me donner le courage de faire plus tard ce soir ce que j'aurais du faire il y a des années.
Voilà j'espère que ça vous a plut, personnellement ce chapitre est mon préféré, c'est celui-ci qui m'a donné envie de traduire cette fic !
Et oui, cette fic était triste et la fin l'est encore plus, surtout lorsqu'on voit la tournure que les choses vont prendrent, hélas il n'y a pas de suite, donc à vous d'en inventer la suite !
Bye et à la prochaine !
